De la Chimie des Corps Ch. 05

Informations sur Récit
La Nouvelle Vie de Walter le Chimiste Ch5.
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Partie 5 de la série de 10 pièces

Actualisé 04/29/2021
Créé 01/17/2015
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Chapitre 5 : Le Marié

Le vendredi 12 juin était tout simplement radieux et sur le coup de 10h30, les premiers invités commençaient à affluer -- ou plutôt les premières invitées puisqu'hormis Walter lui-même, les seuls mâles présents seraient Toussaint et son ami Loïc et encore, ce dernier ne s'attarderait pas vu qu'il devait encore préparer ses derniers examens. Toussaint, qui était arrivé de bon matin pour superviser ses équipes, lui avait subrepticement demandé une dose de 'pot lillois'

« Vous comprenez Doc, sans Loïc, je risque de ne pas pouvoir assurer, à moi seul, la partie 'entertainment' de la fête! »

« Tiens, voilà une dose mais ne le prends pas tout de suite, il fait de l'effet en moins d'une demi-heure donc tu pourras le prendre comme roue de secours en dernière minute si tu en as vraiment besoin! »

Le grand malien sourit, ce qui fit réapparaître la ligne claire de sa cicatrice. Le chirurgien esthétique avait réussi l'opération au-delà de toutes ses promesses et on ne voyait plus aucune trace de l'ancienne balafre sauf lorsqu'il plissait ses joues comme pour sourire par exemple.

L'équipe de Toussaint et celle du traiteur avaient bien fait les choses ; vu le temps splendide, ils avaient déplacé la tente-cuisine pour laisser un maximum de place à des tables, chaises et parasols dans le jardin pour que la réception puisse y avoir lieu plutôt qu'à l'intérieur.

Peu avant 11h, toutes les invitées étaient regroupées près de la porte-fenêtre lorsque Loïc arriva au volant d'une limousine de location avec l'officier d'Etat Civil et sa greffière. Lequel officier était une dame dans la cinquantaine à l'aspect austère mais qu'on disait malgré tout assez douée pour égayer une les côtés les plus ennuyeux d'une cérémonie.

La petite troupe d'une vingtaine de personnes se rendit alors dans la chambre de Niki qui ferait office à la fois de salle des mariages et de chambre nuptiale. Personne n'avait aperçu Niki depuis le petit matin lorsque Soise avait expulsé Walter de sa chambre pour s'occuper de la toilette, du maquillage et de l'habillage de la mariée. Il avait bien fait une tentative vers 10 heures pour poser des questions de vive voix à sa future mais Françoise l'avait repoussé à grands coups de mamelles en lui intimant l'ordre de téléphoner.

Placé pour l'instant au dernier rang, il entendit des applaudissements et des exclamations féminines qui semblaient dénoter de l'admiration.

« Ma Niki a son Grand Jour » se dit-il tout réjoui

La Marche Nuptiale retentit et Francine lui prit le coude pour l'emmener vers la chambre.

« Je ne comprendrai jamais le choix de mon adorable Nicole » lui glissa t'elle sur un ton mi-figue mi-raisin « mais si tel est son plaisir , je t'amènerai jusqu'à l'Autel. A propos, j'ai le fusil de chasse de Paul dans le coffre de la voiture ... »

« Cine, tu n'es pas ici pour m'emmener de force mais pour m'empêcher de courir vers l'Autel» lui répondit Walter sans aucune rancune. « En fait, dans l'état où je suis, je pourrais même léviter .. »

« Tu es un sale type Walt mais quand il s'agit de Niki, je dois reconnaître que tu es très fréquentable. Maintenant en avant marche! Gauche ... gauche ..; »

Ils entrèrent dans la chambre et son cœur s'arrêta .. pendant 10 longues secondes et Francine dut lui refermer la bouche pour le ramener au moment présent. Françoise avait fait un travail magnifique. Jamais Niki n'avait été aussi jolie. A moitié assise et allongée sur le lit, la robe de mariée s'étalant sur presque tout le lit, elle était parfaitement maquillée en harmonie avec sa robe beige. Même son ventre démesuré ne semblait pas choquer dans le tableau d'ensemble. Les flashes crépitaient tandis que Francine le menait à la chaise placée à côté de la tête du lit et que les invitées applaudissaient à tout rompre.

La pièce s'obscurcit un peu lorsque l'énorme silhouette de Toussaint vint se placer dans l'ouverture de la porte mais l'Officier d'Etat civil ne s'en émut pas et elle commença son speech.

Un quart d'heure plus tard, Walter et Niki étaient mariés et il signa les documents avec une euphorie que l'ancien Walter Lévèque n'aurait pas reconnue.

Niki pleurait à chaudes larmes lorsque la greffière lui présenta les documents. Avant de signer, elle tapota sur le verre d'eau posé sur sa table de nuit pour demander le silence qu'elle obtint.

« Vous qui êtes mes amies, je tiens à vous déclarer solennellement que j'épouse le père biologique de mes enfants à naître qui est heureusement l'homme que j'aime. J'espère que ceci clarifie notre situation et que cela fera taire les rumeurs! »

Et elle signa. Elle était maintenant Madame Lévèque

Bien qu'ébahi par la sortie de son épouse, Walter s'amusa des réactions de l'assistance, surtout celles des femmes du Club. Anne et Carine se serraient l'une contre l'autre comme si le ciel allait leur tomber sur la tête. La très digne Geneviève tirait une tête à la Walter et Francine regardait son mari , l'air de dire ' tu vois qu'il y a moyen'!

Françoise fut la première à embrasser la nouvelle Madame Lévèque avec des yeux aussi brillants que ceux de la mariée puis elle vint embrasser Walter, seins en avant et lui roula un patin du tonnerre.

Toussaint dut s'interposer pour éviter à Niki de mourir étouffée sous le poids de ses amies qui se précipitaient sur elle mais grâce à l'autorité du géant, les embrassades se déroulèrent finalement sans danger pour la future mère de famille. Les invitées se dirigèrent ensuite vers le jardin sauf Sylvie d'Arcques qui emmena d'autorité Toussaint vers l'étage en traînant une Caroline plutôt réticente en remorque.

Resté seul avec celle qui était maintenant son épouse, Walter l'embrassa tendrement puis sécha les yeux de son aimée.

« A-t-on idée de pleurer le jour de son mariage? » plaisanta t'il

« Et je ne m'excuserai pas. Une femme pleure le jour de son mariage parce qu'elle va passer le reste de sa vie avec un horrible mâle! Je te charrie Wally! Je suis follement heureuse mon amour. Et ton costume te va très bien ; je suis contente que tu as enfin décidé de balancer ton ridicule coussinet. Maintenant tout le monde a vu que mon mari est un bel homme! » Walter ne put s'empêcher de rougir.

« Je vais un peu me reposer pendant que tu divertis nos invités mais ne bois pas trop ; je veux ma nuit de noces! »

Il caressa son ventre et l'embrassa

« Tu veux que je t'aide à enlever ta robe?

« Tu es fou? Je ne la quitterai pas pendant une semaine! Va rejoindre la horde des gloutons! »

Il se dirigeait vers le jardin lorsqu'il vit Anne et Carine monter l'escalier

(« J'espère que Toussaint a fermé la porte de la chambre sinon il risque d'être un peu débordé avec quatre lesbiennes sur les bras » se dit-il.)

Dans le jardin, Françoise discutait avec Geneviève et deux autres collègues de Niki tandis que la petite gynécologue, Lucie, essayait de se débarrasser d'une dame d'un certain âge certainement amenée par Sylvie. Dans un coin, l'officier d'Etat Civil et sa greffière faisaient un sort au buffet en compagnie d'un Loïc visiblement impatient de les ramener en ville.

Toussaint redescendit, seul, et rejoignit Walter au bar

« Jus de fruit Doc? J'en prendrai un aussi! » dit-il au barman « J'ai eu de la chance ; Madame d'Arcques était tellement excitée par votre mariage avec Madame Nicole qu'elle est partie au quart de tour et elle m'a demandé de me retenir pour que Caro puisse la lécher après moi! Mais après l'avoir mis hors course, j'ai fini par jouir dans la chatte de Caroline et Sylvie la nettoie maintenant ...»

« J'espère que tu as encore des réserves! » dit une voix derrière lui, « Sylvie n'est pas la seule à être ex ...émue par ce mariage... Walter, puis-je vous emprunter Toussaint pour un dépannage urgent? »

« Bien sûr Lucie, bon amusement à tous les deux! »

Il tourna un peu parmi les invitées, saluant au passage une attachée parlementaire amie de Niki depuis l'époque des cabinets ministériels, l'adjointe du préfet et une conseillère régionale influente en matière de politique scientifique que Niki lui avait particulièrement recommandé se caresser dans le sens du poil (« Figurativement Walt! Figurativement! »)

Un peu plus tard, c'est Françoise qui l'intercepta alors qu'il retournait au ravitaillement

« Wally, je vais aller jeter un coup d'œil dans la chambre de Niki pour voir si tout va bien puis je vais aller retrouver Lucie et Toussaint si tu n'y vois pas d'inconvénient. Je leur ai dit de prendre ma chambre ... »

Elle croisa Sylvie et Caro qui redescendaient et les salua avec affection puis alla vérifier que Niki dormait paisiblement . Elle se précipita ensuite dans sa chambre mais faillit ne pas pouvoir entrer ; un corps massif bloquait l'ouverture de la porte. En plus, un hurlement frappa ses tympans au même moment.

« AAAHH! .. TOUSSAINT ... ENCORE .. PLUS FORT ...! BOURRE-MOI!

Toussaint était en train de besogner Lucie contre le mur. Malgré sa longue robe , la petite doctoresse avait noué ses jambes sur les flancs du garçons et criait justement sa jouissance au moment où Françoise arrivait. Françoise se glissa dans l'espace laissé libre et referma précipitamment la porte avant que les cris de son amie n'alertent les autres invités.

Toussaint poussa un sourd grognement, empala Lucie encore deux fois et s'immobilisa.

Lucie redescendit péniblement à terre et lissa sa robe qu'elle n'avait pas ôtée pendant son sauvage accouplement et embrassa Françoise.

« Ouf! Ma chérie, j'ai l''impression d'avoir été passé à la moulinette. Cette Léa! Elle sait choisir ses hommes! Heureusement que j'avais choisi cette robe fendue ; c'est la plus pratique»

« Surtout qu'avec une fente aussi haute, tu ne peux pas mettre de slip! »

Françoise regarda Toussaint qui débandait lentement.

« Et maintenant qu'il s'est déversé en toi, comment vas-tu faire pour qu'on ne voie pas les traces dans deux minutes? »

« Qui te dit que j'ai envie de cacher que j'ai été somptueusement baisée? »

« Salope! »

« Jalouse! »

Elles éclatèrent de rire et s'embrassèrent. Toussaint en profita pour avaler en cachette la dose de 'pot lillois'.

« Toussaint, j'ai une folle envie de subir le même sort que Lulu mais je suppose que tu es hors combat pour un bout de temps? »

« Avec toi Soise, ce ne peut être que très temporaire! »

« On va arranger ça! Lulu, pour te faire pardonner, suce le pour me le rendre dans l'état où tu l'as trouvé! Moi je m'occupe du haut! »

Pendant que Lucie s'accroupissait et prenait le phallus géant dans sa petite bouche, Françoise baissa le haut de sa robe sans bretelle, offrant ses seins aux mains du géant noir tout en relevant la tête pour qu'il l'embrasse .

Comme tous les hommes hétérosexuels, quelques homos et une bonne partie des lesbiennes, Toussaint était incapable de résister aux seins de Soise. Il les broya dans ses grandes pattes et elle gémit de bonheur dans sa bouche, heureuse d'avoir un mâle aussi puissant à sa disposition. Le jeune homme sentit sa verge durcir à nouveau dans la bouche serrée de Lulu. Soit l'élixir du Docteur Lévèque faisait de l'effet bien avant l'heure, soit les seins de Soise avaient un effet magique sur lui.

Lulu dut abandonner le combat face à la monumentale verge d'ébène qui avait retrouvé toute sa splendeur. Comme avec Loïc, elle ne parvenait pas à contenir un monstre de cette taille dans sa bouche. A regret , elle se releva et donna l'accolade au couple enlacé.

« Je vous laisse vous amuser ; je vais répandre la bonne parole dans le jardin! »

« Chic, Toussaint pour moi toute seule! J'espère que tu es en forme mon beau mâle , j'ai envie que tu me baises deux fois plus fort que cette gringalette! »

« Viens ici ma belle! »

Il la renversa sur le lit et troussa sa robe jusqu'aux hanches

« Tu n'as pas non plus de slip! »

« Je n'ai jamais prétendu en avoir un! »

Il lui écarta les jambes et se coucha sur elle.

Elle était tellement ouverte et moite de désir qu'il n'eut aucun mal à trouver l'ouverture et entama une lente pénétration dans le vagin palpitant.

« Touss'! J'avais dit en en force! Cruel! Tu veux me faire grimper au plafond »

Il ne répondit pas, continuant sa progression avec la même provocante lenteur, bloquant ses hanches avec son bassin pour l'empêcher de venir à sa rencontre. Les nerfs en pelote, elle le mordit à l'épaule juste au moment où il arrivait en fin de course ; sa verge géante emplissant complètement le vagin palpitant.

Il démarra alors ce que Léa appelait le « Toussaint Spécial » , écrasant la femme pantelante sous lui, il commença à la pilonner comme un forcené, ne lui laissant aucune possibilité de bouger sous lui. Soise gémit puis délira de bonheur

« Enfin ... c'est ça ... qu'il me .. fallait .. ooh ... Touss .. Baise ta .. femelle en ... chaleur ... massacre-moi ... la chatte ... oui ... tu es le plus fort... oooh TOUSS' .. je suis à toi ... »

Lucie fit le tour du jardin, saluant quelques connaissances avec lesquelles elle n'avait pas encore eu l'occasion de papoter . Assez rapidement, elle s'aperçut qu'elle mourrait de faim ... et que du sperme coulait à l'intérieur de sa cuisse.

(« les émotions ça creuse ... surtout quand c'est Touss' qui creuse! » se dit-elle)

Elle s'assit en compagnie d'un groupe de femmes de l'Institut de Nicole et attaqua son assiette avec l'avidité d'une louve affamée. La plus jeune du groupe , un peu replète, lui glissa

« Vous en avez de la chance de pouvoir manger comme cela ; rien qu'à vous regarder, je grossis! »

« Mais les rondeurs vous vont très bien » répliqua Lucie « moi j'aimerais bien être un peu plus rembourrée! Ce serait tellement plus confortable au lit! »

A ce moment, elle entendit un faible mais distinct hurlement de plaisir qui provenait de la chambre de Soise à l'étage. Heureusement bien étouffé par le double vitrage, seules Lucie et sa jeune voisine semblaient l'avoir entendu.

« Quand on parle de lit » ironisa t'elle

« Qui est-ce? » demanda la curieuse

« Mon amie Françoise qui passe un bon moment avec Toussaint, vous savez, le géant africain »

« Oui je le connais » répondit Carine avec un frisson d'horreur qui n'échappa pas à Lucie toujours à l'affût.

« Ah, vous préférez les filles? »

« Elle préfère UNE fille » dit soudain l'autre voisine de la jeune femme.

Lucie et elle se toisèrent puis la première sourit . « Désolée je n'avais pas d'intention particulière ; je vous souhaite une agréable après-midi »

Elle se dirigea vers le bar rejointe peu après par Walter

« Lulu, tu as une grosse tâche mal placée i On dirait que tu as perdu les eaux! »

« C'est presque ça. Touss m'a inondée et maintenant il règle son compte à Soise «

« Un homme aux multiples talents notre Toussaint! »

De leur poste d'observation, ils virent Anne et Carine rentrer dans la maison

« Tiens, elles remettent ça » constata Walter « C'est déjà leur deuxième tournée... »

« Je pense que j'ai un peu excité l'instinct possessif de la dominante » expliqua Lucie « Et ça risque d'être chaud là-haut avec Soise qui va les régaler de ses vocalises! »

Sur ces entrefaites, les premières invitées à quitter la réception vinrent dirent au revoir à Walter et le prier de présenter encore une fois leurs meilleurs vœux à Nicole. Il se dit que jamais autant de monde ne lui avait adressé la parole en une seule journée. Le Vieux Rat Thé semblait avoir disparu pour de bon.

Une heure plus tard, Toussaint redescendit enfin, l'air exténué. Il ne restait plus que Lucie dans le jardin avec Walter et le personnel.

« Ca va Toussaint? »

« Crevé Doc mais cela valait largement la peine. Soise est knock-out »

« Je vais aller voir si elle va bien » dit Lucie un peu inquiète. « Ce serait bien la première fois que Soise est mise hors combat par une partie de jambes en l'air! Même Loïc n'y est jamais arrivé»

Les deux hommes se regardèrent ; ni l'un ni 'autre ne parla du 'pot lillois' et Toussaint se laissa tomber lourdement sur la première chaise venue.

« C'est démoniaque votre préparation Doc . J'avais beau jouir, je ne débandais pas. Dommage que je n'en n'avais pas le mois passé. Loïc et moi on a honoré dix filles chacun ; ça aurait été plus facile avec votre truc »

« Chapeau! Mais n'en abuse pas Toussaint ; on a déjà eu un mort probablement dû à un abus de 'pot lillois' ; je ne tiens surtout pas à ce qu'il t'arrive quoi que ce soit! Moi j'ai arrêté sur ordre formel de Niki! D'ailleurs, il est temps que je la rejoigne. Tu te charges de la remise en place? »

« Vous en faites pas ; dans deux heures, vous serez de nouveau chez vous! »

Walter se dirigea vers sa chambre nuptiale et ouvrit la porte le plus doucement possible pour ne pas réveiller son ... épouse (« c'est quand même incroyable! Nicole Delpierre est mon Epouse! ») mais il arriva en fait juste à temps pour l'empêcher de se lever toute seule dans son encombrante robe de mariée.

« Niki! Arrête, laisse-moi t'aider! »

« Désolée Walt mais j'ai une urgence. Tu m'aides jusqu'aux toilettes? »

Soutenant sa femme qui soutenait sa robe, il installa sa femme sur le siège puis lui amena une petite bassine remplie d'eau pour qu'elle puisse se rafraîchir avec un gant de toilette. Il la ramena ensuite au lit , se déshabilla et s'étendit à ses côtés.

« Vous avez l'intention de me faire subir les derniers outrages , Monsieur mon Mari? » demanda t'elle sur un ton très 'Grand Siècle'

« Très chère, il en sera comme vous voulez. Je suis à votre disposition pour vous faire l'amour ou pour vous tenir la main selon votre bon plaisir » répliqua t'il au diapason.

« Wally, tu veux bien brancher la caméra sur mon portable? Je voudrais enregistrer notre nuit de noces ... même si on commence cette après-midi! »

« On a une petite envie Madame Lévèque? »

« Surtout quand tu m'appelles Madame Lévèque! Mets cette caméra en route et viens ici!» dit-elle en tapotant sur la place libre dans le lit

Il s'affaira autour du PC puis revint se coucher à ses côtés. Il défit les premiers boutons de la robe pour dégager ses seins magnifiquement gonflés dans le soutien-gorge d'allaitement qu'elle utilisait déjà vu l'expansion précoce de sa poitrine. Il ouvrit les balconnets pour dévoiler les mamelons rouge foncé, presque bruns qui avaient eux-aussi pris une extension impressionnante et se pencha pour les téter avidement comme un nourrisson.

« OOOH Wally! Tu n'as pas idée come ils sont sensibles! Je crois que je pourrais jouir rien qu'avec une bonne tétée»

« C'est normal ; c'est un processus de protection des bébés ; la femme prend plaisir à leur donner le sein! »

« Tais-toi et suce! »

Pendant qu'elle geignait de plaisir, Walter troussa la longue robe pour dévoiler les jambes de sa femme. Non sans difficultés, il fourragea à l'aveugle dans l'amas de tissu pour enfin trouver l'ouverture vers son entrejambe qu'il trouva dépourvue de slip et mouillée à souhait malgré la toilette intime quelques instants auparavant.

Il remarqua non sans une certaine inquiétude que le vagin de sa femme était déjà un peu dilaté et nota mentalement d'en parler à Lulu. Elle n'en n'était qu'au septième mois et il valait mieux que les bébés se développent encore un bon mois dans son ventre.

Son clitoris par contre n'avait pas suivi la croissance des seins et de la vulve et il retrouva le petit bouton avec satisfaction . mais pas autant que la satisfaction de Niki qui ondula autant que son gros ventre le lui permettait pour augmenter l'amplitude des caresses. Elle haletait maintenant et balbutiait des phrases presqu'incohérentes

« Wal .. ly ... mari .. . donne .. moi .. aaah .. plaisir .. encore! Vas .. faire .. jouir .. Wally .. si bon ... ooohhh! »

Elle pressa son visage sur le sein qu'il était occupé à sucer et il eut soudain du liquide dans la bouche. Elle lui avait offert son lait maternel! on aurait plus dit de l'eau que du lait mais il y avait néanmoins une vague trace de sucré dans le liquide qu'il déglutit.