De la Chimie des Corps Ch. 08

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Léa et Toussaint s'étaient laissés tomber, nus, sur des chaises voisines et se tenaient la main.

« Qu'est-ce que tu dirais d'une bonne douche et d'un moment d'intimité? » demanda la jeune fille. « C'est la première fois en deux jours que je peux te toucher »

« Bonne idée, Tous les autres sont occupés ; on devrait avoir la paix ... mais je te préviens, leur truc marche encore » dit-il en montrant sa verge en pleine érection

« Parce que tu crois que cela ne me démange plus? En plus , je n'ai eu qu'une demi-bite pour me satisfaire! J'ai besoin de me faire ramoner convenablement ... après la douche »

Ils quittèrent la pièce aussi discrètement qu'un couple entièrement nu pouvait se déplacer

Le Colonel s'approcha d'Ulla et de Maureen toujours prostrée, se demanda dans quel orifice fourrer son sexe pour assouvir son trop plein d'énergie sexuelle. Il venait d'empoigner les hanches d'Ulla quand les événements se précipitèrent dans la chambre d'interrogatoire . Grâce aux dimensions exceptionnelles de Loïc et à la sensualité exotique de Gabi, les deux goules venaient de jouir mais leur compagnon 'passif' poussa un hurlement strident et s'évanouit après avoir éjaculé quelques misérables gouttelettes de sperme. La femelle, à moitié hébétée, se dégagea à grand peine de la verge qui la clouait à son amant humain et rampa vers le 'passif' qu'elle enlaça en appelant son compagnon 'actif' qui essayait de s'arracher à Gabi en produisant des sons incompréhensibles. Ils se blottirent tous les deux contre le corps inerte du troisième membre de leur 'couple' en essayant de le ranimer, en vain.

Loïc appela par l'interphone « Colonel, je pense qu'il est temps que vous interveniez »

Ce dernier se rajusta à regret et avec difficulté puis dit. « Mère Supérieure, faites venir une escouade de gardes. Abbesse, prévenez Archevêque que sa présence est requise. Nous passons en mode de combat »

Il rejoignit Loïc et Gabi qui avaient pris position face au trio affalé au sol. La femelle était en larmes mais en voyant un homme plus âgé, habillé et dégageant visiblement une autorité indéniable, elle se reprit et parvint à articuler ses premiers mots dans un français très approximatif « Aide vite jouir »

Son compagnon actif lui dit quelques mots dans la langue incompréhensible qu'elle avait déjà utilisée et tous deux fouillèrent leurs cheveux pour en extraire un filament blanc qu'ils enroulèrent autour de leur oreille droite. Lorsque le filament fut en place, la femelle reprit la parole dans un français impeccable cette fois et s'adressa au colonel qui pestait intérieurement contre les gardes qui avaient soi-disant fouillé les prisonniers.

« Etes-vous le Neutre de votre famille? Notre Neutre a besoin d'aide immédiatement. Pourriez-vous demander à votre mâle et à votre femelle de produire de la semence?»

« Si vous répondez à quelques questions d'abord. »

« Je vous promets que nous vous dirons tout ce que vous voudrez savoir mais notre Neutre va se dissoudre dans très peu de temps si vous ne l'aidez pas avec de nombreux orgasmes »

« Combien en faut-il? »

Elle regarda le Neutre d'un air angoissé « Au moins cinq ; il est vraiment très faible! »

« Mère Supérieure, venez avec les gardes. Novice, étendez-vous sur la banquette! »

Lorsque les gardes entrèrent dans la pièce, cardinal leur désigna Gabi en ordonnant « Elle est à vous. Cadence maximum! Mère Supérieure, à vous de jouer avec Vicaire. Moi je continue l'interrogatoire »

Le plus rapide des gardes était déjà sur Gabi, débraguettant son pantalon pour en sortir son sexe roide. Il commença aussitôt à le prendre sans ménagement tandis que le second lui fourrait son membre dans sa bouche. Loïc était choqué par le comportement des gardes mais excité en même temps car le avant même qu'Ulla le rejoigne, il bandait comme un taureau. Mère Supérieure le poussa sur la seconde banquette et s'écartela pour pouvoir s'empaler sur la verge monstrueuse.

Gabi, heureusement encore frustrée par son accouplement avec le goule, accepta les étreintes brutales presqu'avec soulagement et se mit à gémir en subissant les assauts aussi égoïstes que brefs des soldats. Le premier des gardes se vida en elle avec un grondement de satisfaction et céda la place au suivant de la file qui s'était formée derrière lui. Il s'approcha ensuite d'Ulla et à la grande surprise de Loïc, obligea sa supérieure hiérarchique à sucer son membre couvert de son sperme et des sécrétions de Gabi. Il lui cachait la vue de sa bien-aimée maltraitée par les autres hommes du peloton mais il ne pouvait s'empêcher d'entendre les grognements de plaisir mêlé de douleur de Gabi.

Il saisit 'Mère Supérieure' aux hanches et s'employa à la pilonner de toute la puissance de sa bite d'âne pour la détourner de la fellation qu'elle essayait de prodiguer au soudard. Il entendit un 'Mmmmh' plus fort que les autres et comprit que sa douce Gabi venait de jouir sous les coups de la bite d'un des soudards. Ses mains abandonnèrent les hanches d'Ulla pour malmener la forte poitrine de la 'Mère Supérieure' qui gémit de douleur elle aussi, abandonnant enfin sa fellation.

« Ach, salaud, tu venges uugh ta femme? Ach, vas-y, massacre mes tettes aargh ..GUT! »

Le colonel faisait silencieusement les comptes : Gabi, deux gardes plus un qui allait bientôt se répandre dans sa gorge, on approchait du compte. La femelle goule surveillait les signes vitaux du 'Neutre' et semblait se rassurer. Il entendit Ulla glapir sa jouissance bientôt suivie par Loïc qui cria « GABI ... JE VIENS... » .

Cette dernière qui venait d'avaler le foutre du garde qui violait sa bouche lui répondit en criant elle-aussi « OUI MON AMOUR, MOI AUSSI! » et son corps se tendit comme un arc tandis qu'un quatrième garde se soulageait dans son intimité.

On venait de passer de trois à huit jouissances et le Colonel vit les yeux du 'Neutre' s'ouvrir et ses testicules soudain réapparaître dans ses bourses. Celles du mâle 'actif' avaient également repris une taille presqu'humaine. (« Il est temps de passer aux choses sérieuses » se dit-il)

« Bon, vous m'avez promis de tout m'expliquer » dit-il au trio « Il est temps que vous teniez parole ou nous serons obligés de recommencer à vous faire subir ce que vous avez fait à vos victimes »

« Désolés pour cela ... Neutre , nous n'avons jamais pensé que vos congénères succomberaient aussi vite à la petite mort. Ils devaient être un peu bouleversés en sortant du revitalisateur? »

« Je ne sais pas ce qu'est un revitalisateur mais je peux vous assurer que leur mort n'a pas été petite et qu'elle a surtout été définitive! Vous et vos congénères, avez près de vingt morts à votre actif!»

« Quoi? Mais cela fait des milliers d'année que nous avons le revitalisateur ; nous pensions que vous en aviez aussi pour combattre la petite mort ; votre espèce est si proche de la nôtre que cela marche pour vous aussi ; nos essais l'ont démontré! »

« Notre espèce .. votre espèce ... mais vous êtes des mutants ou est-ce que vous venez d'une autre planète? »

« Nous venons en effet d'une autre plaaaanète » dit le Neutre qui prenait la parole pour la première fois au moment ou un cinquième garde jouissait dans le vagin inondé de sperme de Gabi. Le colonel jeta un coup d'œil à son équipe : Les gardes continuaient à se relayer entre les cuisses de Novice ainsi que dans sa bouche tandis que Loïc avait installé Ulla à quatre pattes de façon à pouvoir observer la scène tout en la prenant avec rage en levrette. Ulla geignait et à l'occasion hurlait sous la violence des coups de boutoir du garçon déchaîné.

« Je suis euh .. appelez-moi 'Zen' » dit le Neutre et mes époux sont ... Xen, ma Femelle, et Yen , mon Mâle. Nous appelons notre race les 'Baits' , ce qui veut dire 'humains' dans notre langue. Et race est un bien grand mot ; après des milliers d'années de déclin, nous ne sommes plus que 30 en âge de nous reproduire mais même avec l'aide de votre espèce, nous n'y arrivons plus! »

« Désolé mais vous n'êtes plus que 27 » dit le Colonel qui commençait à saisir l'étendue de sa découverte.

Une expression d'infinie tristesse gagna le visage de Zen mais une voix retentit dans le dos du Colonel « Cardinal, si vous permettez ... » Archevêque venait d'entrer, la chevelure en bataille, la braguette ouverte mais l'air très satisfait de lui-même.

« Monsieur Zen, une question très simple : Est-ce que votre femelle jouit lorsque vous tentez de procréer? »

« Non, dans nos archives il est bien question du plaisir femellien mais de toute ma vie, je n'y avais jamais assisté, jusqu'à aujourd'hui! »

« Ce n'est qu'une intuition basée sur mes observations mais je suis persuadé que si vous vous accoupler d'ici quatre à cinq orgasmes de mes collègues, Xen pourrait probablement être fécondée avec succès! »

« Mais comment ... pourquoi? »

« La composition du sperme de votre mâle et surtout de la cyprine de votre femelle ont été profondément modifiés après le premier orgasme de Xen. Je ne connais pas la physiologie de votre race mais je suis convaincu que cela va faire la différence »

Sur ces entrefaites, Ulla sanglota un nouvel orgasme et deux des gardes prirent leur plaisir dans Gabi. Les testicules de Zen et de Yen doublèrent de volume sous les yeux de Walter

« Fascinant » commenta t'il pour lui-même « Je parie que leur race a développé ce genre d'empathie sexuelle dans les derniers millénaires. Saint Charles Darwin doit danser de joie! »

Pendant ce temps, Loïc avait laissé tomber la Mère Supérieure inconsciente et se dirigeait vers Abbesse qui eut l'air effrayée devant la taille du harpon dilaté au-delà de toutes les normes qui se tendait vers elle.

« Abbesse! Laissez-vous faire. Cette phase de la négociation est cruciale! »

« Bien Cardinal » répondit-elle d'une voix chevrotante avant que Loïc ne la saisisse, ne la jette au sol et ne se couche sur elle, lui écartant les jambes d'un coup de genoux avant de la perforer d'un seul mouvements de hanches

« AAAÏÏÏÏËEE » hurla t'elle « OUCH ... BRUTE ... AAAAHH! »

Le colonel se tourna à nouveau vers Zen

« Voici mon marché Zen : le revitalisateur, votre substance d'excitation sexuelle, votre technologie spatiale ... toute votre technologie en fait ... en échange de notre aide pour procréer et notre pardon pour les morts involontaires. »

« Au nom de ma race, j'accepte ce marché, Neutre Cardinal, nous sommes tellement désespérés que nous aurions accepté toute autre proposition même beaucoup moins prometteuse! »

Gabi hurla à son tour tandis que le garde qui occupait sa bouche jouissait à gros bouillons sur son visage, maculant sa peau noire de la blancheur de son sperme. L'homme accroché à ses cuisses jouit lui aussi et le dernier garde de la file prit sa place sans laisser le moindre répit à la jeune femme. Loïc venait d'achever Maureen et la repoussa pour se relever et venir se poster à côté de la banquette sur laquelle Gabi achevait de se faire baiser par la tournante.

Les testicules des deux Baits continuaient à croître et le Colonel demanda à Zen « Quand pensez-vous être prêts pour un essai avec Xen? «

« Très bientôt, Neutre, très bientôt! »

« Archevêque, pourriez-vous faire venir Carmélite et Béguine ; ce sont les deux seules de nos adjointes encore en état de s'occuper de nos besoins »

Dès que le dernier garde eut finit de jouir dans le vagin de Gabi, Loïc se coucha sur la banquette et la fit passer sur lui, l'obligeant à s'empaler sur sa bite d'âne. « OOOOH LOÏC... MON LOLO ... ENFIN! Tu veux bien baiser un hangar à bites?»

Ce rappel de l'avilissement de son aimée sembla le surexciter au plus haut point mais le garçon avait lui-aussi entendu de la bouche de Léa la suite des opérations et il distendit les fesses de sa compagne pour inviter le premier des gardes de venir la sodomiser.

« LOLO ... NON ... PAS LE SANDWICH!!! AAAHHHH ... C'EST TROP!! »

Le premier macho en uniforme ne tint aucun compte de ses cris mais par contre s'adressa à Loïc en défonçant le petit trou de Gabi

« Humpf! Merci Sergent ; toujours .. humpf ... agréable quand le ... han ... trou est bien ... humpf ... entraîné même si ... han... vous me laissez... humpf ... peu de place ... »

« AAHH! Jouis chien d'enculeur... Retire-toi salaud ... OOOH! » sanglotait Gabi écrasée sur le torse de son amant

« Chut ma belle... aaahh ... c'est pour le bien ... oooh ... du service ...aah ... je sens bien.. sa bite ... dans ton ... cul ...AARRGH! GABI ...TON CUL... JE VIENS ... «

« OUIIII! LOLO ... JE TE SENS ... OOOHH! ..TU ME REMPLIS ... MA CHATTE ... LOLO ... OUIII ... JE VIENS AUSSI! AAAHHH»

« HAANN! AAHHH ... Merci Sergent .. ; vous avez bien .. de la chance... très bon cul ... AU SUIVANT! »

Loïc sentit vaguement sa verge se détendre mais aussitôt après une autre bite pénétra l'anus de Gabi et cette présence étrangère dans le corps de sa bien-aimée lui rendit des forces.

« Regarde-moi chérie, je vais te prendre... humpf... aussi longtemps que ces salauds ... humpf.. tu es à moi ...han ... je prête ton ... humpf...ravissant cul .. han ...mais tu es .. humpf... A MOI! »

« OOOHH ... Mon Lolo! .. Tu es si gros ... Ca t'excite... ces ... aaahh ... bites .. dans mon .. petit cul ...ooohh ... Il jouit déjà ... tu ne leur laisses pas aaaahhh .. de place... je suis trop .. . oohh... serrée ... Lolo ... le suivant ... aaahhhh! »

Yen s'excusa auprès du Colonel et emmena Xen sur la banquette laissée libre. Il se coucha sur elle et se mit à lui faire l'amour avec une intensité que Cardinal n'avait jamais constatée dans les enregistrements. Xen partit dans une cascade de 'iiik' tonitruants et la verge de Zen se tendit, atteignant presque les dimensions de celle du Colonel toujours sous l'influence des cris de plaisir qui lui parvenaient du côté de Gabi.

« Vous êtes certain que vous ne courrez pas de risque? » demanda t'il à Zen

« Non, Neutre, regardez! » dit-il en montrant ses testicules qui avaient atteint la taille de boules de pétanque. « Grâce aux efforts de votre Famille, j'ai entièrement récupéré et je dois vous avouer que je ressens une stimulation inconnue »

A ce moment, Anne-Sophie et Carmen firent leur apparition. Cardinal fit signe à Carmélite de venir le sucer tandis qu'Anne-So se dirigeait vers Archevêque assis sur une chaise qui observait l'accouplement des Baits

« Vous permettez Zen? Je vais également contribuer à votre résurrection »

Malgré son apparente indifférence , il devait ressentir un impérieux besoin de se soulager car il empoigna la tête de Carmélite et se mit à baiser sa bouche avec la même intensité que les gardes qui sodomisaient toujours Gabi.

Anne-So s'assit sur les genoux de Walter, entoura son cou de ses bras et l'embrassa passionnément.

« Alors Professeur, vous nous avez de nouveau sauvés en deux jours? Faites attention, mes supérieurs vont finir par s'y habituer ». Elle défit un à un les boutons de sa blouse de laboratoire, prit la main de son patron et la glissa sous le tissu, directement dans son entrejambe qu'il découvrit trempée de mouille. « Et vous m'avez négligée, patron ... mmmh... ,j'aime votre doigté ... oh patron... j'ai tellement envie ... de vous ... aah .. vos doigts ... magiques ... sur mon .. petit .. ; bouton .. OUIIII ... LA ... LA... WALLY! JE Viens ... je viens ... mon a.... ça n'arr.. ête pas... »

A ce moment , un 'IIIK' plus strident que les autres attira l'attention de tous les participants à l'orgie multiraciale qui regardèrent avec stupéfaction Xen qui s'était arc-boutée sur la couchette, soulevant même Yen qui s'accrochait à elle tandis que ses testicules rapetissaient à vue d'œil. Zen s'était approché d'eux et à voir les soubresauts de sa bite, le Neutre attendait son tour avec une impatience de moins en moins contrôlée. Il aida Yen à se relever et prit sa place sur et dans Yen, la prenant avec une ardeur et une violence incroyable pour un être qui avait failli mourir -- se dissoudre -- quelques minutes plus tôt.

Le colonel se vida enfin dans la bouche soumise de Carmen et voyant que le dernier garde se relevait aboya une volée d'ordres

« Carmélite, nos gardes ont encore besoin d'un peu de détente. Emmenez-les au dortoir et occupez-vous d'eux. Je n'aurai plus besoin de vos services. Vicaire! Vous pouvez disposer avec Novice. Excellent travail! Mère Supérieure, Abbesse! Allez-vous reposer. J'aurai besoin de vous en forme demain matin. Archevêque, hâtez le mouvement ; dès que nos hôtes en auront fini, nous allons avoir une longue conversation avec eux! »

Anne-So venait d'extraire la verge de Walter par sa braguette toujours ouverte mais il l'arrêta « Attends, je dois d'abord la nettoyer. » « Pas le temps » répondit-elle en sortant une lingette de sa poche et en essuyant son membre gonflé. Elle finit le travail en le suçant avec application puis revint sur lui et s'assit sur son pubis, enfournant sa verge en un seul mouvement dans sa vulve plus qu'accueillante.

« OOOH Prof! Vous n'imaginez pas comme j'en avais envie de celle-là! Aaah ...Faites-moi les seins Prof! ... OUIII ... Plus fort! ...PLUS FORT!!!... AAAHHHH J'ai mal ... c'est si bon! Vas-y Wally, viole-moi ... tu aimes me prendre aaahhh comme une brute ... ooh mon .. Wally! Ta bite est si grosse ...Tu vas jouir dans mon ... petit con .. dans ma chatte? OOOH ... WALLY ... OUIII! JE TE SENS ... AAAHH JE VIENS ... AUSSI! »

« Tant que vous y êtes, venez jusqu'ici » dit Cardinal qui s'était assis à la table en compagnie de Yen et les deux regardaient Xen et Zen qui en terminaient d'un accouplement frénétique à grands renforts de 'iiik' de la Femelle et de 'youk' du Neutre. Anne-So et Walter se hâtèrent de les rejoindre. Yen les regarda avec curiosité puis demanda au Colonel

« Vous êtes le Neutre de ces deux-là ou des deux qui sont partis? »

« Les relations entre humains sont à la fois plus simples et beaucoup plus complexes que les vôtres » répondit Cardinal tandis qu'un 'YOUK YOUK YOUK' triomphal retentissait du côté de la banquette. « pour commencer, nous n'avons pas de 'Neutres' quoique certains humains et humaines de ma connaissance pourraient en être qualifiés. De même, la relation standard est limitée à un seul mâle et une seule femelle quoique là aussi, il y a pas mal d'exceptions, surtout au sein de notre équipe.

Zen les rejoignit avec un air euphorique même si de grosses larmes coulaient sur ses joues tandis qu'il étreignait son Mâle.

« Yen, cela a marché! J'ai senti la double fécondation se produire! » puis se tournant vers Walter, « Merci à vous Mâle! Sans votre intervention, nous n'aurions sans doute jamais compris l'importance du plaisir femellien dans notre processus de reproduction. Puis-je connaître votre nom? Nous voudrions le donner à nos futurs enfants! »

Walter qui s'amusait intérieurement d'être appelé 'Mâle' alors que le Colonel était un 'Neutre' se tourna vers ce dernier qui hocha la tête « Nous repassons en mode Civil »

« Mon nom est Walter »

« Nous aurons donc Xalter, Yalter et Zalter ... des noms très Baits avec ce qu'il faut d'exotisme pour nous rappeler leur conception! »

« Ma femme et moi venons d'avoir des triplés, c'est très rare chez les humains de cette planète et une sacrée coïncidence au vu de notre rencontre! »

« Peut-être avez-vous un lointain ancêtre Bait? L'interreproductibilité ne survient que dans 0,01 % des rapports mais comme nos expéditions étaient nettement plus nombreuses jadis, les statistiques jouent en cette faveur ... et cela pourrait expliquer votre compréhension instinctive de notre espèce »

« Cela fait donc longtemps que vous vous .. mêlez à nous? »

« Hélas oui ; le déclin de notre espèce a commencé il y a plus de 15.000 de vos années même si pendant quelques millénaires, vous nous avez permis de freiner le processus. Mais depuis qu'une guerre civile a détruit nos cités de Sedom et Gamorah sur cette planète, le processus d'infertilité s'est accéléré vu que nos meilleurs scientifiques y étaient rassemblés avec toutes les bases de données sur notre génétique. Je ne sais même pas si l'importance du plaisir femellien avait été découverte à l'époque. C'est vous dire la perte de connaissances que nous avons subie! »