De "Patronne" à "Maîtresse"...

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Baise torride dans un cabinet d'avocats!
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Je venais d'être engagé comme stagiaire dans ce cabinet d'avocats. Ma « maîtresse de stage » (eh oui, c'est le titre officiel!), Simone Langelier, avait la cinquantaine. Une grande femme bien en chair, plutôt autoritaire qui était donc chargée de me montrer les ficelles du métier, dans m'initier à la pratique, bien différente évidemment de ce qu'on apprend à la Fac'. J'avais un bureau juste à côté du sien, avec les deux secrétaires et n'ayant guère de clients personnels à ce stade, je travaillais sur ses dossiers. Ma « patronne » (terme usuel également), avait un rapport visiblement compétitif avec son mari, également associé, et voulait décidément être la meilleure. Elle était du coup très exigeante et dès que je lui remettais une note, elle était relue attentivement et me revenait généralement avec plein de commentaires, des questions sur des points demeurés obscurs. Frustrant, dans un sens, mais j'étais là pour apprendre aussi.

Juillet cette année là était torride. La canicule était féroce, le chien répandait sur la France une haleine brûlante et le bureau était une vraie étuve. Un dossier urgent nous avait forcé, Simone Langelier et moi, à revenir travailler le 14 juillet et je m'étais autorisé à venir en T-shirt. Ce n'était pas très formel mais bon, il n'y avait ni personnel ni clients et je n'étais pas fâché de rompre le formalisme un peu guindé qui présidait aux relations entre ma patronne et moi. Celle-ci arriva juste après moi, elle portait une robe bleue, plutôt courte et décolletée qui révélait ses cuisses charnues et l'échancrure entre ses seins. C'était la première fois que je voyais sa poitrine et je remarquais le galbe imposant de ses globes. La robe moulait son ventre un peu rond et, surtout, une belle paire de fesses que les tailleurs pantalons amples masquaient généralement. Au lieu d'une coiffure élaborée, elle avait juste noué ses cheveux mi-longs en queue de cheval et, ma foi, ce look informel lui allait plutôt bien.

Nous devions trier et lister un nombre important de documents relatifs à une faillite, plusieurs cartons de papiers d'affaires, factures, lettres (on écrivait encore des lettre à l'époque...), comptes, tout un fatras qui nous permettrait espérions-nous de démontrer que le client était plus victime qu'escroc lui-même... Nous étions côte à côte, nous penchant sur les mêmes documents et j'avais une vue plongeante sur ses seins qui se pressaient l'un contre l'autre quand elle tendait le bras pour prendre un document un peu éloigné. Appétissant et je ne me privais pas de maquer, tout en restant discret évidemment. Simone s'essuyait fréquemment le front, m'offrant une vue intéressante sur ses aisselles rasées. Il arrivait que nos bras se frôlent ; au début je m'excusais mais lorsque je remarquais que c'était souvent Simone qui avait la « maladresse » de me toucher, je laissais aller avec curiosité. Elle passa derrière moi et je sentis comme un frottement léger sur mes fesses moulées dans un pantalon de toile léger. Je poussais volontairement un petit grognement et ne réagis pas plus... Elle était en train de m'allumer ou quoi?

Je décidais d'avoir un geste « accidentel » moi aussi, pour voir. Quelques documents étaient au bord de la table, je fis un mouvement maladroit et les papiers tombèrent. Comme certains allaient vers les genoux de Simone, je me précipitais pour les prendre au vol, le revers de ma main brossa ses seins au passage et en prenant les papiers, je touchais la peau de ses cuisses là où elles n'étaient pas couvertes par sa robe. « Oh pardon Simone, désolé. » J'avais « perdu l'équilibre » en me penchant et dus m'appuyer sur sa jambe, la serrant un peu. Je me relevais et la regardais en souriant. Je notais qu'elle avait rougi. Elle posa sa main sur mon bras et dit que ce n'était rien. Je poussais la chaise et me baissais pour ramasser les papiers au sol. À ma grande surprise, Simone se baissa aussi, m'offrant une vue sur ses gros seins qui pendaient librement dans le mouvement. Je les voyais monter et des cendre au rythme de sa respiration devenue subitement plus rapide ; Je sentis ma queue se raidir et nos mains se touchèrent encore en ramassant les documents. J'émis un petit grognement quand Simone posa presque franchement sa main sur la mienne et mes hormones prirent le dessus : au risque de prendre une gifle et la porte si je me trompais, je pris Simone par le bras, la relevais et embrassais goulument ses lèvres. Je la sentis se raidir mais elle se laissait faire. Sa bouche s'ouvrit même et sa langue vient me fourrer, tandis qu'elle se pressait contre moi.

Je sentais sa poitrine opulente s'écraser sur mes pectoraux, son ventre douillet se presser pour chercher le contact de ma queue et je pris ses grosses fesses à pleine mains pour l'appuyer bien fort. Elle gémissait en me bouffant littéralement la bouche et le visage, affamée et goulue, tortillant son corps excité et sensuel contre moi. Visiblement elle avait envie de baiser et même si elle n'était plus de la première fraîcheur, sa chair opulente donnait des envie de malaxage, je voulais me remplir les mains de ses gros nichons, de ses fesses grasses, ouvrir ses cuisses charnues pour découvrir sa chatte et la planter, lui ramoner le con bien à fond puisque c'est ce qu'elle attendait de son stagiaire maintenant! Hm, vider mes couilles bien remplis dans son canal!

Je tirais la fermeture de sa robe, la fis glisser et dégrafais son soutif ; Pendant qu'elle s'en débarrassait, j'enlevais mon T-shirt. Wahou! Ses seins étaient vraiment gros! Ils pendaient un peu comme deux sacs bien chargés mais restaient fermes et ornés d'énormes tétons bruns foncés, deux gros bout de chair qui donnaient envie de les sucer et de les malaxer. Sa robe était tombée à ses pieds et tout en commençant en effet à la téter, je lui fourrais la main dans le slip pour chercher sa chatte. Une grosse touffe de poils m'accueillis puis des grandes lèvres déjà trempées de jus. Fichtre, elle était déjà prête à se faire enfiler, le con trempé, la moule bien mouillée qui tressautait dans ma main pour se faire branler. Je ne me perdis pas en caresses subtiles et lui enfilais immédiatement deux doigts dans la chatte. Elle cria « oh oui oh c'est bon » en se sentant doigtée tendis que ma bouche lui bouffait ses gros bouts de seins qui se redressaient, durcissaient, devenant raides comme le bout du doigt. Je les suçais de toute mes forces, les mordant un peu aussi et visiblement ce n'était pas trop sévère pour elle, elle me poussait ses bouts dans la bouche, je pris gros comme une orange de chair douce et suçais pour faire affluer le sang. Elle criait de plaisir, ses mains courant sur mes épaules puis descendant pour me malaxer la bite à travers mon pantalon. Mon slip avait depuis longtemps laisser échapper mon engin qui battait le long de la cuisse, cherchant désespérément à se redresser hors de cette prison de tissus!

Hmm si elle voulait de la bite, il allait falloir qu'elle se prête au jeu : voir ma patronne à genoux entrain de me sucer la queue pour se faire baiser était évidemment un plaisir dont je n'allais pas me priver! Il y aurait pour elle quelque chose de paradoxal à être ainsi en position d'esclave, ne recevant plus aucune caresse, uniquement dévouée à la bite de son maître, à la sucer, la caresser, la faire gonfler dans l'espoir de se faire enfiler comme récompense. Je défis ceinture et attaches, descendit mon fute et mon slip et restais fièrement campé ; Ma queue avait bondit en l'air, presque collée contre mon ventre bien raide et épaisse. J'appuyais sur les épaules de Simone et elle se laissa tomber à genoux sans rechigner.

« Suce-moi, bouffe ma queue ». Elle grogna et commença à me lécher la tige en la massant doucement d'une main, l'autre prenant mes couilles dans un petit berceau pour les malaxer gentiment. « Prends moi dans ta bouche, suce moi ». Hm elle obéit docilement et engama ma verge, pompant le long de la tige en suçant. Je sentais le sang affluer, mes veines courant en palpitant le long de la verge, l'envie de baiser montant avec chaque succion. Elle bougeait sa tête d'avant en arrière comme une forcenée, me caressant aussi vite qu'elle pouvait, les narines grandes ouvertes pour respirer. Mais j'avais envie qu'elle me prenne en entier, de la faire suffoquer quand elle sentirait mon gland obstruer méchamment le fond de sa gorge. Je lui pris la tête à pleine mains pour la bloquer et enfonçais, enfonçais jusqu'à ce que son visage s'écrase sur ma touffe. Je sentais qu'elle déglutissait avec peine et relâchais. Elle abandonna un instant ma queue pour se reprendre mais je n'étais pas prêt à accepter ca. Prenant ses cheveux dans ma main, je les tordis pour assurer ma prise et forçais à nouveau ses lèvres. Elle bougeait maintenant au rythme que je lui imposait et je baisais sa bouche comme une chatte, à mon rythme, à grand coups, son désir la soumettant à ma volonté.

Mais je voulais surtout lui jouir dans la chatte. L'idée de ses cuisses largement ouvertes, de sa fente ruisselant de mon sperme était trop tentante -- même si voir son visage couvert de foutre n'aurait pas été mal non plus! Je dégageais ma bite et emmenais Simone vers le canapé. Elle me suivit et s'allongea sur le dos sans problème, docile et n'attendant que de se faire enfiler. Putain! Jamais je n'aurais imaginé voir Simone Langelier comme ça! Au lieu de la femme autoritaire et stricte dont j'avais l'habitude, sure d'elle et donnant des instructions précises, respectées de ses pairs et de ses clients, j'avais devant moi une femme affolée de désir et totalement nouvelle! Son corps charnu révélait bien son âge, ses gros seins pendait de chaque côté de sa poitrine, son ventre rebondit incitait à la brutalité et ses cuisses pleines n'avaient pas du s'ouvrir récemment pour un jeune mec excité!

Je restais debout, penché sur elle pour caresser son corps, gorger mes mains de sa chair opulente. Je luis pris les seins si fort que je pouvais voir la marque de mes mains mais il semblait que la douleur ne fasse qu'augmenter son excitation. Je malaxais son ventre, frottant ma bite contre ses cuisses. Une envie me vint mais c'était peut-être aller un peu loin... « Tourne »toi. » Elle obéit et se retrouva à genoux, appuyée sur l'accoudoir du canapé. Je caressais maintenant con gros cul encore bien ferme, des fesses pleines et qui attiraient... paf! Une bonne claque! Elle poussa un petit cri mais sans réagir plus. Paf! une deuxième plus forte! Oh surprise, elle s'affaissa en avant pour faire encore plus saillir ses fesses et, son bassin basculant, m'offrir une vue et un accès sur sa moule luisante. Je commençais à la fesser maintenant plus fort, son cul rougissait et elle criait sans refuser les claques, tournant son cul après chaque coup ; Soudain mais plus doucement, je donnais une petite gifle sur sa chatte. Quelques gouttes de cyprine sautèrent pour retomber sur ses fesses. Elle criait plus fort et creusait les reins pour tendre se fente maintenant presque béante! « Hm tu aimes ça? » Je me retenais encore de la traiter de salope mais l'envie montait aussi! « Oh oui c'est bon, fesse-moi encore! » Je craquais » « Oh oui salope je vais te fesser le cul! » Elle accepta l'insulte comme les claques. Son gros cul était rouge et ma bite battait contre mon ventre à chaque claque que je lui administrais, le gland maintenant décalotté, Elle m'excitait tellement qu'elle me faisait une bite de circoncis!

Il était temps que je me prenne mon plaisir! Je la tournais et elle geignit quand son cul frotta sur le tissu du canapé mais je lui relevais les jambes et lui glissais un coussin sous les fesses. Ainsi elle était plus confortable et plus offerte aussi. Elle écarta les cuisses pour me montrer sa chatte velue. Une grosse touffe ornait son bas ventre, bien noire encore malgré quelques poils gris. Visiblement elle ne se souciait pas d'épilation, les poils débordaient sur les aines, courraient sur ses grandes lèvres. En nos temps d'épilation quasi généralisée, cette abondance velue avait quelque chose de vulgaire qui donnait encore plus envie de la baiser sans ménagement : puisqu'elle ne prenait visiblement pas grand soin de son con (peut-être plus baisé depuis bien longtemps), pas besoin d'être délicat, tout ce que méritait cet endroit broussailleux et marécageux, c'était d'être défoncé violemment. Ma queue, qui est de bonne taille, était même maintenant verticale, plaquée contre mon pack de muscles bien dessinés. Elle la regarda en gémissant. « Tu as envie de ma queue?» « Oh là là, elle a l'air si grosse, si dure, tu vas me faire mal! » « Mais non, ta chatte est prête et puis tu aimes bien quand c'est un peu rude, non? » Elle rougit. « Baise moi s'il te plait, j'ai envie de jouir. » Ça, je n'en doutais pas mais c'était incroyable de l'entendre parler comme ça, me demandant de l'enfiler, comme on demande une faveur!

Avec un grognement, je fourrais mon gland dans sa fente inondée. Elle n'était évidemment pas très étroite mais encore confortable et de toute façon la fessée que je lui avais donnée m'avait fait grossir la bite au max et je me frottais donc parfaitement dans son vagin. Han! han! je commençais à la bourrer à grand coups. Ni elle ni moi n'avions envie ni besoin d'y aller progressivement : je la savais prête à jouir et mes couilles criaient au secours depuis un bon moment déjà. Nous ruisselions de sueur, je gouttais sur elle, des ruisseaux courraient sur ses seins, dans les plis de son ventre et, à chaque fois que je poussais brutalement et m'écrasais contre son sexe et ses cuisseaux, des gouttes salées bondissaient de mon corps. Elle participait activement, cherchant à s'accorder à mon rythme, poussant en même temps que moi pour que l'empalement soit le plus violent possible. Elle cria un truc incroyable, révélateur de fantasmes inouïs « Viole-moi! » Mon corps claquait contre le sien, mes couilles frappaient son périnée à chaque fois que ma bite violait, en effet, ce con maintenant agité de spasmes.

Elle montait, je sentais que sa jouissance se construisait car maintenant son vagin serrait plus étroitement ma queue, la pressant magiquement. Mon gland devenu énorme défonçait le fond de son canal amoureux, battait contre son cervix, se frottait comme jamais, la fente prête à cracher. Je lui avais empoigné les cuisses à pleine mains pour les basculer, me donner le maximum d'accès à son con. J'en posais une sur mon épaule et, descendant ma main entre ses grosses fesses bien écartées, je la glissais dans la raie de son cul, transformée en ruisseau tant sa chatte coulait. J'appuyais deux doigts sur son anus et les rentrais d'un seul coup, sans préparation. Ils glissèrent aisément dans son rectum et je pressais bers le haut. Au travers de ses muqueuses, je sentais les mouvements de va et vient de ma bite et elle aussi sentit la double caresses vaginale et rectale. Ce fut trop! Elle poussa un cri, s'agrippa à mes épaules et commença à jouir à grandes contractions de tout son corps. Son visage prit une expression démente, celle que j'aime tant chez les femmes qui jouissent bien : bouche ouverte, yeux exorbités, la tête qui roule sous les vagues de plaisir. En même temps sa chatte se serra sur ma bite comme celle d'une gamine. Elle me pressai à grand spasmes qui déclenchèrent aussi ma jouissance. Mon foutre trop longtemps contenu jaillit de mes couilles à grands jets et vint remplir sa chate. Toujours bandé, je continuais à la baiser comme un fou pendant que le sperme débordait et coulait entre ses fesses, sur ma main qui lui branlait toujours le cul.

Comme sa jouissance se calmait, je retirai mes doigts de son cul et me laissais aller sur son corps confortable. Ma bite dégonflait doucement dans sa chatte encore animée de spasmes et je reposais sur sa chair accueillante, son ventre bien moelleux, ses gros seins bien gonflés de plaisir. Elle chercha ma bouche et m'embrassa sensuellement, sa langue courant dans ma bouche, ses mains courant langoureusement sur mes épaules, allant jusqu'à pétrir gentiment mes fesses. Comme nous nous calmions, elle s'étira puis, d'un air innocent que démentait le plissement au coin des yeux, elle me dit « Je ne suis pas très propre en bas... » « Hm, on doit pouvoir arranger ça. » Descendant la main je passais dans la raie de son cul, sur son anus encore un peu ouvert, sur la vulve et le clito, mes doigts et ma paume pleins d'un mélange de cyprine et de foutre... Elle poussa des petits cris quand je passais sur ses zones érogènes encore toutes gorgées de sang et se tortilla contre moi. Je remontais ma main et elle la lécha, me regardant en même temps, souriant entre deux lampées. Visiblement elle aimait le goût mélangé de nos fluides dilués dans la sueur. D'un air franchement vicieux, elle me dit alors « Je crois que j'ai besoin d'une toilette plus soignée... ». Je descendis et commençais la dite toilette! ma langue passa dans les plis de ses grandes lèvres encore dilatées, sur l'entrée ouverte de son vagin, jusqu'à son anus . Je goûtais moi aussi avec plaisir le jus produit par nos ébats, la faisant frissonner et gémir lorsque je léchais les points les plus sensibles. J'avoue que je restai longtemps sur le trou de son cul, l'agaçant un peu, dardant ma langue, provoquant des réactions intéressantes : elle poussait son cul vers ma bouche quand je la léchais! Hmm elle était certainement anale!

Devoir accompli, je me levais et tendis ma bite vers son visage Elle était encore grosse, et pas encore débandée. Elle comprit le message et entrepris de la sucer pour la nettoyer. Elle commença par gober ma queue la pris entière dans sa bouche et remonta lentement vers le gland dans un bruit de succion, me regardant pour ne pas perdre une goutte ni de foutre ni de mon expression. Elle avala tout ce qu'elle avait ainsi ramassé et je ne pus m'empêcher de sourire devant son air gourmand. Encore une fois, il y avait une telle différence entre l'avocate bourgeoise d'âge mur et cette femme rajeunie par le plaisir qui suçait son amant avec gourmandise! Elle lécha partout et me fis bien propre.

Elle ferma les yeux puis, en quelques secondes, son expression changea. « Bon, il faut remettre un peu d'ordre dans tout ça avant de partir... » L'avocate était de retour mais cette transformation à vue provoqua chez moi une réaction inattendue : elle me fit rire et, relevant Simone, je la pris contre moi serrée dans mes bras, un étreinte d'ours dont elle ne pouvait se dégager et l'embrassais le plus tendrement du monde. Elle résista un instant puis se détendit et me rendit mon baiser. « Ça va être compliqué le rapport hiérarchique classique. » Elle sourit « Oui je sais mais on trouvera moyen de fonctionner... sur tous les registres. » Ouh, ça promettait...

Le cabinet possède heureusement une salle de bains, parfois bien utile lorsque des négociations s'éternisent dans la nuit et nous primes une douche commune, sans trop parler mais en se touchant gentiment. Nous partagions le souvenir des moments sensuels que nous venions de connaître et rien évidemment ne serait plus comme avant.

Quand nous avons été rhabillés, que les dossiers ont été remis vaguement en pile, Il était temps de partir. Nous nous sommes embrassés et Simone a dit froidement « Je crains qu'il y ait encore du travail en plus dimanche... »

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