Deux Bourgeoises en Cadeaux

Lola est l'unique fille de la famille et c'est pour cela qu'elle était traitée comme une reine par le reste de la famille: ses trois frères ainés, son père et sa mère Veronica. En plus d'être bien née dans une famille bourgeoise, c'était une fille superbe de 21 ans que l'on pourrait appeler une "bimbo". Brune, le teint mate car métissée de par son père, européen et de sa mère Veronica, brésilienne d'origine. Tout comme sa mère, elle adorait s'habiller sexy et provoquer les hommes. Son père lui avait payé des implants mammaires car son corps était beaucoup plus fin que celui de sa mère. Très fière de sa

nouvelle poitrine, elle adorait les mettre en avant des qu'elle le pouvait. Outre sa poitrine, il y 'avait son petit cul ferme que les garçons pouvaient admirer lorsqu'elle mettait des tenues moulantes. Malgré son apparente superficialité, elle était bonne étudiante et elle avait passé haut la main ses examens pour entrer en master. Ainsi, ses parents, fiers de leur fille, lui avaient proposé de les accompagner avec eux en long week-end dans un hôtel 4 Étoiles ainsi que son copain du moment. Mais Lola n'était pas décidé à ce que ce dernier les accompagnent car justement, elle envisageait de le larguer car elle se lassait vite de ses copains. Elle savait aussi qu'elle pouvait en trouver un quand elle le désirait grâce à ses charmes. Ses parents ne pouvant rien lui refuser, ils acceptèrent de n'emmener qu'elle. En secret, vu l'endroit réputé où ils allaient, elle comptait bien trouver un gars plein aux as car la jeune fille comptait bien se faire entretenir à long terme. C'était une bimbo, fière de l'être qui aimait le luxe...

En route pour les vacances...

Après une heure d'avion, Lola et ses parents arrivent à bon port. On les installent à l'hôtel puis le père proposent d'aller au restaurant. Veronica et Lola sautent de joie et se font belles histoire de rendre Monsieur fier de ses femmes. Car oui, le Monsieur adorait se pavaner au coté de sa femme et de sa bimbo de fille. Ça amusait ces dernières qui de toute façon adorait s'habiller sexy. Le repas fut magnifique mais Monsieur, comme à ses habitudes, avait tendance à boire plus que de raison et les deux femmes durent le ramener à l'hôtel ivre mort. Lola était furieuse tandis que sa mère, blasée , revenait de la chambre où elle avait couché son mari:

-J'en ai marre de coucher papa à chaque fois qu'on sort!

-Du calme, ma chérie! tu sais que ton père travaille dur pour que l'on ait tous ce que l'on veuille!

-On va pas rester ici à ne rien faire, maman!

Veronica fit un clin d'œil à sa fille.

-Hors de question ma fille! j'ai envie de sortir et m'éclater malgré ton père!

Lola sauta de joie:

-On va s'habiller comme des putes et on va s'amuser!

-Aah, mais j'ai tout ce qu'il faut pour ça, dit Veronica.

-Hmm, je vois, ma petite maman veut faire des cornes à son mari!

-Comme si c'était la première fois!

Les filles rirent de bon cœur et allèrent se préparer. Veronica enfila une superbe robe blanche moulante à large décolleté et qui lui arrivait à mi cuisse. Avec l'âge et ses quatre grossesses, Veronica avait perdu sa silhouette de jeune fille mais compensait par ses atouts: d'abords son cul certes volumineux mais des fesses fermes qui bien moulées dans la robe fine pouvait faire bander n'importe qui. Il y' avait ensuite ses gros seins naturels contrairement à sa fille plus élancée. Elle était assez petite mais cela accentuait ses charmes. Elle ajouta des mules à talons haut lui galbant le cul, les cuisses et les

mollets. Elle opta pour un maquillage outrancier mis en avant par sa peau mate et ses longs cheveux noirs. Lola était donc presque l'inverse de sa mère. Il n'y avait que quelques traits du visage et sa couleur de peau qui montrait leur appartenance familiale. Le métissage avait fait des merveilles: grande, athlétique juste ce qu'il faut avec en plus des seins siliconés parfait. Son maquillage était plus fin que celui de sa mère et la rendait superbe. Elle opta pour une minijupe jean et un demi haut blanc. Ses jambes paraissaient magnifiquement interminables. Veronica enfila quelques bijoux et garda son alliance qu'elle avait la paresse d'enlever. De toute façon, elle avait remarqué que cela excitait encore plus ses nombreux amants lorsqu'ils remarquaient la bague. Elles appelèrent un taxi. Lola dragua le chauffeur complétement déboussolé et lui demanda de les déposer dans un bar de nuit réputé sympathique. Il s'exécuta et déposa les deux femmes ultra sexy, encaissa et reparti chauffé à mort par Lola. Les femmes entrèrent

donc dans le bar bondé de monde et trouvèrent miraculeusement une table. A peine assises, une tournée leur furent offertes par une bande de jeunes éméchés. Elles leur sourient pour les remercier et les deux complices savourèrent l'effet qu'elles avaient sur les hommes et surtout qu'elles allaient se saouler gratuitement au frais des pigeons. La soirée avance, chaude et festive.Passé 23h00, une piste de danse s'organise. Un grand black invite Veronica à danser et elle s'empresse de le suivre. Lola reste bouche bée car d'habitude, c'est elle qui est la première à être inviter. Mais presque au même moment, un autre gars d'un peu plus de trente ans se permet de s'asseoir à la place de Veronica. Il tient deux cocktails et en offre un à Lola:

-Mon pote , Michel, il a une attirance pour les femmes mûres et votre amie semble lui avoir tapé dans l'œil!

-Ce n'est pas mon amie, c'est ma mère!

L'homme sembla un peu gênè:

-Excusez moi, je suis Paul et vous, vous m'avez tapé dans l'œil!

Lola était stupéfaite par ce "rentre dedans" mais ça l'amusa:

-Je suis Lola!

-Enchanté tenez, c'est moi qui offre!

Lola s'empara du verre et trinqua avec cet étrange partenaire. Ils restèrent un moment silencieux à regarder la danse endiablée de Veronica et Michel. Michel devait avoir au moins 20 ans de moins que Veronica et il était assez drôle de voir la différence de taille car le black devait faire au moins 1m90 et sa partenaire dépasser à peine les 1m60. Pourtant, les deux semblaient être fait pour s'entendre et leur danse devenait langoureuse. Paul posa sa main sur la cuisse de Lola qui ne dit rien...bien au contraire. l'homme lui plaisait. Plus âgé qu'elle, entreprenant et audacieux. Il l'avait abordé de façon brutale mais respectueuse. Elle savait qu'il voulait son corps uniquement mais celà ne lui déplaisait pas. Veronica et Michel revinrent donc rejoindre Lola et Paul mais comme il n'y' avait pas assez de chaise, Paul proposa de finir la soirée dans son appart. Ils prirent le véhicule de Paul. Lola était devant tandis que Veronica et Michel étaient derrière. Dans le retro, Lola pouvait voir Sa mère et son partenaire de danse se tripoter. Michel caressait la cuisse de la femme Mûre tandis qu'elle passait sa main sur son torse. L'autre main de Michel commença à lui caresser son opulente poitrine puis rapidement, ils se roulèrent des pelles. Cette scène excita Lola qui ne put s'empêcher de mettre la main au paquet du conducteur. Elle constata que sa bite était bien dure et ses couilles pleines. A peine arrivé, le quatuor se divisa en deux. Michel et Veronica finirent dans la chambre de Paul. Le grand black arracha à moitié la robe moulante de sa partenaire qui se retrouva en sous vêtement. Elle ôta son soutient gorge et son string puis s'empressa

de sortir la grosse queue de Michel. Elle semblait obsédée, avide de la mettre en bouche. Elle baissa le pantalon de l'homme, admira l'engin et l'enfourna dans sa bouche tout en pompant bruyamment. Les bruits de succions de Veronica dérangeaient Lola et Paul qui s'assirent dans le salon face à face.

-Votre mère sait ce qu'elle veut!

-Tu peux me tutoyer. Oui, elle dit qu'à son âge, on apprend à se passer de fioritures.

-Et toi? tu sais ce que tu veux?

-A ton avis!

Elle ôta sa culotte lentement, la fit glisser le long de ses jambes et la lança à Paul qui sourit. Il avança, s'accroupit devant elle et releva la mini jupe jean pour y glisser sa tête entre les cuisses de la bimbo bourgeoise. Là, il commença à la lécher comme il se doit. Lola sentit le plaisir monter en elle. Les tétons de ses seins refait durcirent. Ils se retrouvèrent à terre, sur la moquette de l'appart et Paul enleva la mini jupe. la jeune fille se retrouva chatte à l'air, pattes écartées offerte à la langue experte de son amant. Il continua de la lécher pour le plus grand plaisir de sa partenaire qui en redemandait.

De son coté, Veronica gémissait bruyamment sous les coups de bites de Michel. Il l'avait retourné, à quatre patte afin de bien l'enculer. Veronica apprécia d'être prise comme ça. La bourgeoise qui se fait sodomiser par un grand black bien membré. Michel constata que ce trou du cul était loin d'être vierge et du coup il commença à se lâcher, à grand coup de rein. il claqua les fesses de sa salope de bourgeoise tout en admirant le ballottement des loches.

-Qu'est ce qu'ils penseraient tes fils, s'ils te voyaient comme ça!

-Que leur petite maman est loin d'être la prude qu'ils croyaient qu'elle était!

-J'adorerai te baiser devant eux , histoire de voir leur petite gueule de bourges!

-Hmmm, ce serait génial qu'ils me voient autrement que leur mère!

Ces sales paroles excitèrent le grand black qui méprisait de plus en plus sa partenaire. A coté, Paul et Lola ne perdaient pas leur temps. cette fois, la jeune fille avait tout enlevé hormis ses talons aiguilles. Paul s'allongea sur Lola, affalée sur la moquette et lui embrassa ses magnifiques seins siliconés. Elle redressa la tête pour voir son amant à l'ouvrage. Elle adorait sentir la langue titiller ses tétons. La main gauche de Paul se mit à malaxer la poitrine dont elle était si fière. Les mains de la jeune fille glissèrent sous Paul et déboutonna le pantalon. Elle en sorti la bite dure comme jamais. A son tour, Lola voulait lui faire une gâterie. Elle commença à le branler et telle une pro, commença à le sucer. Paul commença à grogner de bonheur. Cette fille de bourgeois lui plaisait bien et elle savait y faire . Il était à deux doigts de gicler dans la bouche de sa partenaire lorsque celle- ci s'arrêta. Elle le regarda avec un sourire pervers:

-Ça ne va pas s'arrêter comme ça!

Paul l'allongea sur le dos puis la pénétra. Michel et Veronica avait fini leur affaire. Veronica bien pleine et Michel les couilles bien vidées, vinrent observer Paul et Lola qui baisaient comme des lapins. Veronica était très fière de sa fille. Elle embrassa le grand black et dit:

-C'est ma fille, je suis fière d'elle...

Michel malaxa la poitrine de Veronica:

-Elle doit être fière de sa mère aussi! J'ai bien baisé avec toi.

Ils entendirent les deux amants gémir et Paul fini par gicler. Lola écarta les pattes et accueillit la semence de son amant avec un immense plaisir. Ils restèrent coller l'un à l'autre pour reprendre leur souffle. Veronica sentit la bite de Michel se raidir. Elle la sentait sur son cul tandis qu'il continuait à lui pétrir les loches. Paul se releva et aida Lola. Il la contempla et se dit qu'il en avait pas fini avec elle. Il regarda aussi Veronica. Décidément, la mère aussi était bandante avec ses gros seins et sa nationalité Brésilienne. Il eut une idée mais d'abord , reprendre un peu de force, la nuit n'était pas

finie. Il prépara quatre cocktails bien corsé et invita tous le monde à boire. Ce fut Lola qui vida son verre en premier. Elle avait l'habitude des fêtes et de ses excès. Veronica eut plus de mal car mariée, il était beaucoup plus rare qu'elle sorte et qu'elle se saoule. Les deux hommes s'échauffèrent à voir ces deux femmes nues, bourgeoises et épanouies, se dépraver de la sorte. Paul toucha le sein de Lola et de l'autre main celui de Veronica.

-Alors, tu préfères lequel? demanda Lola.

-Les deux se valent! J'aime l'esthétique de ta poitrine, Lola, et surtout qu'ils ne pendent pas. Mais j'aime aussi la poitrine de ta mère, naturelle et plus moelleuse au toucher. les deux se valent. Michel tâta lui aussi du nichon et en arriva à la même conclusion. Lola fronça les sourcils:

-Dites, mon père a mis presque 10 000 euros pour ça!

Paul lui roula un patin pour la rassurer. Veronica sembla heureuse du verdict et osa dire:

-Le secret, c'est d'avoir allaiter 4 enfants!

Michel sourit de façon perverse:

-J'adore quand tu ouvres la bouche en disant ce genre de perversion!

Lola s'approcha de sa mère et lui avala un nichon. Veronica tressaillit de plaisir. Michel la rejoignit dans sa parodie d'allaitement. Paul sentit sa bite se durcir et poussa le trio vers la chambre bien destiner à une partouze dont Veronica serait le centre des attentions pour le départ. D'ailleurs, Veronica, au centre du lit, se faisait "téter" par sa fille et Michel tandis que Paul la branlait avec ses doigts. Veronica se tortillait de plaisir, renversa sa tête, posa ses mains sur la tête de Lola et Michel pour les inciter à téter plus fort. Michel tendit son bras vers Lola et lui tata le nichon. Lola le regarda du coin de l'œil. Le grand black lui plaisait bien. Elle parvint à atteindre la bite de ce dernier et à le branler. Lola sentit une agréable sensation au niveau de son anus. C'était Paul qui avait introduit sa langue et titillait l'orifice. Mais déjà la bouche de Michel s'approcha de celle de Lola et les deux échangèrent de langoureux baisers au niveau des grosses loches de Veronica en extase. Peu à peu, les couples se formèrent dans le lit. Michel et Lola d'un coté et Paul et Veronica de l'autre. La jeune fille engouffra le sexe du grand black et le pompa de toute ses forces. Le jus de Michel revenait mais malgré sa jouissance, il ne voulait pas se lâcher tout de suite bien décidé à profiter de cette splendide bimbo aux seins siliconés. Paul avait placé sa grosse bite entre les loches de la maman brésilienne. D'ailleurs, ce n'était pas une maman que l'on voyait là, mais belle et bien une pute en manque du fait de l'expression perverse de son visage. Elle fixait droit le sexe de son amant tandis qu'elle pressait ses gros melons pour bien le branler. Paul sentit qu'il allait juter mais Veronica pressa ses loches et lui dit:

-Tu ne vas pas t'en tirer comme ça mon petit!

L'expérience de Veronica avait parlé. Une fois giclé entre ses gros seins, en général, la partie se finissait, et ses amants, les couilles vides, s'en allaient la laissant frustrée . Elle attrapa doucement le bras de sa fille occupée à pomper le grand black et la tira vers elle, toujours en douceur. Et pour le plus grand plaisir des deux hommes, mère et fille commencèrent à se gouiner. D'abord, elles se caressèrent doucement le corps mutuellement. Maintenant, elles n'étaient plus mère et fille mais deux amantes perverses. Puis chacune caressèrent les seins de l'autre. C'était la première fois que Veronica tâtait les seins siliconés de sa fille. Dire que son alcoolique de mari avait dépensé un max pour les caprices de sa fille. Mais il l'adorait et était très fier de sa progéniture. Les deux femmes s'embrassèrent langoureusement, avec passion. Du coin de l'œil, elles vérifiaient que les deux mecs n'en perdent pas une miette. Les voilà qui commencent à se branler devant la scène. Lola et sa mère entamèrent un 69 se

léchant mutuellement. Les seins des deux femmes se pressaient sur leur corps magnifiques tandis qu'elles s'affairaient. N'en pouvant plus, Michel se précipita sur le cul de Lola et l'encula. Veronica pouvait voir les couilles pendantes du grand black tandis qu'il ramonait sa fille. La fille était plus étroite de l'anus que la mère mais ça , c'était normal du fait de l'expérience. Pourtant, cette étroitesse lui plaisait bien et le voilà qu'il lui claqua les fesses tandis que ses couilles claquaient contre le cul de sa partenaire. Paul observait la scène: hors de question de juter en se branlant. Il voulait se lâcher à l'intérieur de Veronica comme pour l'engrosser. Il la tira par les pieds et lui écarta les pattes. Veronica jubila du fait qu'il la traite comme un tas de viande. Il la baisa à la missionnaire sauvagement. Il eut une pensée qui décupla son excitation. Il imaginait les trois fils de Veronica et son alcoolique de mari en train de la voir se faire tringler comme une pute. Il le chuchota à l'oreille de Veronica qui à son tour, visualisa avec une immense jouissance, la présence de son mari et de ses fils, offusqués, abasourdis de voir leur mère se faire tringler et dans un râle lui dit:

-Toi, tu m'as tout comprise!

Ce fut une orgie de sexe cru, de sueur, de foutre et de cyprine. les deux femmes furent honorées comme il se doit, remplit de semence, satisfaites. Les hommes, les couilles bien vidées à l'intérieur de ces bourgeoises. Après un moment de calme, de repos, Veronica dit:

-Il est temps ma chérie, il faut rentrer! ton père va commencer à émerger de sa cuite!

Les femmes se rhabillèrent et furent raccompagnés à l'hôtel. Paul donna son numéro de portable à lola tandi que Michel glissa son numéro de telephone entre les gros seins de Veronica.

-On remet ça demain si vous voulez?

-Nous verrons, celà va dépendre de mon mari mais on va faire en sorte de bien le saouler!

-Oui, on sait y faire! dit Lola.

Les deux femmes montèrent et allèrent dormir un peu. Le lendemain, le mari se réveilla avec une belle gueule de bois. les deux femmes s'étaient levées tôt malgré leurs courtes nuits et attendaient Monsieur pour aller prendre le petit déjeuner. Pour les deux femmes, la journée allait être longue en attendant le prochain rendez-vous avec leurs amants.