Deuxième Place 05

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Terri cherche de l'aide, ça tourne mal…
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Partie 5 de la série de 8 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 07/28/2017
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Deuxième place : 9ème partie

Traduction de « Second Place » de Terri Madison

Terri conduisait lentement, faisant attention aux numéros des maisons qu'elle dépassait. Il commençait à faire sombre, et son temps était précieux.

Trop c'est trop, avait décidé la jeune femme. Danielle l'avait transformée en une call-girl, avait exigé qu'elle se fasse refaire les seins, l'avait forcée au lesbianisme, baisée son mari, volée et mis en gage son alliance, l'avait fait prendre en tournante par tous les mecs du bureau, et l'avait abjectement humiliée des centaines de fois.

Ça devait finir. Terri savait qu'elle ne pourrait plus supporter bien longtemps les souffrances que lui infligeait Danielle. Mais elle n'avait aucune idée de la façon de mettre fin à cette série d'abus. Danielle prenait soin de conserver des traces de toutes les activités immorales ou illégales de Terri. Elle se trouvait coincée et elle avait besoin d'aide.

L'aide, espérait-elle, viendrait sous la forme de Nicole Myers, une femme qui avait grandi avec Terri et avait une intelligence aussi brillante que celle de Terri et Danielle. Plus rare, elle ne détestait pas Terri. Peut-être parce qu'elle ne l'avait pas côtoyée durant sa dernière année de lycée lorsque l'attitude de bêcheuse de Terri avait atteint des proportions astronomiques. Nancy étant partie à la fac pour étudier le droit, si Terri se souvenait bien... elle comptait dessus en tout cas...

Elle était arrivée. Elle gara sa voiture, marcha jusqu'à la porte et frappa.

La femme aux cheveux brun clair qui l'accueillit était petite et plutôt discrète. Elle faisait à peine un mètre cinquante, et ne pesait guère plus de 45 kilos. Sa principale qualité, ses jolis yeux noisette, étaient cachés derrière des lunettes. Elle n'avait rien d'impressionnant, et peu d'hommes avaient été impressionnés --- Nicole n'avait jamais eu de rendez-vous amoureux et vivait seule. Elle travaillait comme assistante juridique et étudiait pour obtenir son diplôme de droit, un but qui lui serait accessible cette année.

Assise dans le salon de Nicole, Terri se sentait déplacée. Danielle lui avait imposé de porter une robe de cocktail et ses seins 95 F semblaient à deux doigts d'en sortir. Nicole, elle, ne faisait que du 85A et n'avait même pas besoin de soutien-gorge. (Dans sa période vacharde, Terri se serait probablement moquée de ses "piqûres de moustiques").

Nicole, regardait mal à l'aise la manière choquante qu'avait Terri de s'habiller et parla en premier « Alors, Terri, qu'est-ce qui t'amènes par ici? »

Terri réajusta nerveusement le bas de sa robe. Puis elle débuta. « Nicole... tu te souviens d'une fille qui allait avec nous à l'école... elle s'appelait Danielle? »

Et ainsi Terri raconta son histoire.

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Nicole était horrifiée. Être forcée de se donner à tout un groupe d'hommes comme cadeau d'invitation, et que ceux-ci mettent leur chose dans chacun de ses orifices? C'était terrible, mais pas autant que d'avoir à lécher une autre femme LÀ-DESSOUS... cette seule pensée donnait envie de vomir à Nicole.

Mais la partie analytique de l'esprit de Nicole s'était mise en route. Était-ce possible que Terri ne dise pas la vérité? Durant le lycée, Nicole avait vu la plantureuse blonde jouer de mauvais tours à tout un tas de gens. La jeune auxiliaire juridique devait bien admettre que la possibilité d'un mensonge existait. Après tout, travaillant dans un cabinet d'avocat, elle entendait des gens mentir tous les jours.

Donc quand Terri eut fini, la première question que posa Nicole fut : « Tu peux prouver ton histoire? » Il faut dire que n'ayant jamais eu de vraies amies, les aptitudes sociales de Nicole n'étaient pas très développées.

Terri se fâcha : « Quoi... tu penses que j'aurais inventé un truc comme ça??? Tu crois que je m'habille comme ça parce que ça m'amuse? TU VEUX MONTER EN VOITURE, QU'ON AILLE JUSQUE CHEZ CARRIE POUR VOIR LA CAISSE DE MON MARI GARÉE DEVANT CHEZ ELLE??? »

Nullement impressionnée, Nicole la prévint « Si tu viens chez moi pour me crier dessus, tu peux partir. »

Baissant la voix, mais toujours aussi fâchée, Terri continua. « Alors, regarde ça... Tu sais que je suis blonde. Alors comment tu expliques ça? » elle souleva sa robe, et montra sa toison pubienne teinte d'un noir intense.

Nicole regarda ailleurs, gênée et dégoûtée. « Terri, je vais te demander de prendre congé. J'ai des choses à faire pour demain. Alors... je vais réfléchir à tout ça. »

Terri perdit son calme. « Tu vas, RÉFLÉCHIR À TOUT ÇA???? GÉNIAL!!!! Pendant que tu "RÉFLÉCHIS À TOUT ÇA", mon trou du cul se fera farcir par une bande de mecs, pendant qu'une autre femme baisera mon mari!!! Merci BEAUCOUP!!!! C'est pas ÉTONNANT qu'aucun homme ne t'approche, avec ton attitude de MERDE!!! » Aussitôt après, Terri grimaça et regretta de ne pouvoir revenir sur ce qu'elle venait de dire.

Son hôtesse se leva. « Terri, j'aimerais que tu sortes de chez moi. Je vois que tu n'as pas changé du tout. » Nicole ouvrit la porte pour son invitée. À ce moment le pager de Terri se mit à biper. Elle s'immobilisa.

« Nicole.... je suis désolée... Je ne voulais pas.... mes propos étaient déplacés..... je suis désolée... »

Nicole tenait toujours la porte ouverte. « S'il te plaît Nicole, aide-moi. Je réalise que j'aurais pu être beaucoup plus sympa quand on se fréquentait, et que je n'aurais pas dû te crier dessus à l'instant. Mais S'IL TE PLAÎT, pour l'amour de Dieu... Cet appel que j'ai reçu? C'est Danielle. Je dois la rappeler, pour qu'elle m'indique qui je dois baiser ce soir » --- Nicole sembla gênée de l'usage du mot "baiser" --- « et si je ne la rappelle pas... » La voix de Terri s'effondra.

Nicole fit une pause. « Tu dois la rappeler... et elle te fera aller quelque part pour faire à l'amour à quelqu'un... contre de l'argent? »

L'amour n'avait rien à voir dedans... Mais Rome ne s'est pas faite en un jour, pensa Terri avec soulagement : « Oui! c'est ce que j'ai essayé de t'expliquer! »

Nicole ferma la porte, et regarda Terri avec une compréhension grandissante. Et de la pitié.

Après avoir téléphoné à Danielle pour recevoir ses instructions, Terri raccrocha. Nicole qui écoutait avec un autre téléphone de la maison fit de même. Alors les deux femmes mirent au point un plan.

Terri s'éloigna de la demeure, se sentant libre pour la première fois depuis longtemps. Nicole ne l'avait pas pris dans ses bras en lui disant au revoir, elle n'avait pas non plus essayé de la réconforter, elle n'avait même pas dit « Tout ira bien » -- mais elle avait promis que, dès qu'elle arriverait au travail elle en discuterait avec un avocat de confiance.

Et Terri était mal placée pour trouver à redire au manque de chaleur humaine de la discrète jeune femme. Après tout, lorsqu'elle était la reine du lycée, elle aurait facilement pu l'inviter dans des sorties en groupe, ou arranger un rendez-vous entre Nicole et un des nombreux jeunes hommes dont elle avait rejeté les avances. Mais à la place elle ne s'était préoccupée que de Terri, Terri... et Terri.

Ce que Nicole avait expliqué à Terri était que Danielle se livrait au chantage, et que c'était illégal. Le juge prendrait donc en compte des circonstances atténuantes pour les actes illicites que Terri avait commis. Cependant, Terri AURAIT à répondre de ses actes devant Steven, mais elle était sûre qu'elle finirait par obtenir son pardon, et à regagner son amour.

Terri était si grisée qu'elle mit du zèle à baiser sans relâche les trois hommes qui avaient payé Danielle pour profiter de ses faveurs. Elle grimaça à peine quand ils prirent chacun leur tour pour lui mettre dans le cul. Et après qu'ils eurent fini, s'étaient rhabillés et s'apprêtaient à partir, la jeune femme les arrêta et les supplia de lui permettre de leur sucer la bite une dernière fois. Elle le fit, et après qu'ils eurent quitté la chambre, elle savoura l'arrière-goût de foutre comme si c'était un champagne de luxe. Et dans l'ensemble, elle se sentait bien, pas de s'être comportée en salope, mais d'avoir fait quelque chose de sa propre initiative.

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Le matin suivant, Terri entra fébrilement dans le bureau de Danielle. Celle qui ne serait bientôt plus que son ex-bourreau était installée à son bureau.

« Bonjour Terri.

— Bonjour, Danielle. »

Danielle remarqua que sa secrétaire ne l'avait pas appelé "Madame", mais n'en fit pas mention.

S'asseyant sur une chaise en face de Danielle, la jeune femme prit une grande respiration et commença le discours qu'elle avait répété toute la nuit : « Danielle, je sais que tu as pu avoir des raisons d'être très fâchée contre moi pour les choses que j'ai pu te faire par le passé. Mais je ne crois pas que cela te donne le droit de me faire chanter. » Les yeux de sa patronne avaient immédiatement réagi à mention de "chanter". Fais attention à ce que tu dis, Terri, se réprimanda-t-elle. Elle continua :

« Je ne crois pas que ça te donne le droit de me forcer avoir des relations sexuelles avec toi. Et je ne crois pas que ça te donne le droit de me forcer à avoir des relations sexuelles avec des hommes pour de l'argent. »

Danielle, étonnamment, semblait l'écouter avec attention. D'ailleurs, est-ce qu'elle ne tremblait pas un petit peu? Peut-être même avait-elle quelques gouttes de sueur... « Alors, je suis vraiment désolée pour la façon dont je t'ai traité par le passé. Mais ça ne peut pas continuer comme ça. Je veux reprendre ma vie comme elle était avant. Alors, pourquoi ne pas dire qu'on est quitte? » C'était l'hameçon.

Danielle se mit à parler. « Non. Tu m'appartiens, Terri. Si tu essaies de me quitter, ou de me désobéir de quelque façon que ce soit... » la secrétaire s'adressa intérieurement des félicitations, Danielle tombait dans son piège la tête la première «...toutes les cassettes vidéos seront envoyées à ton mari, et les documents confidentiels que tu as volés iront à la police. Oh, et je ferais placer une dizaine de sachets de cocaïne dans ta voiture, et passerait un appel anonyme aux flics. » Elle s'arrêta « Tu n'aurais pas autre chose à me dire?

— Comment ça? » Demanda Terri, un peu confuse.

Danielle se contenta de faire un geste de la main lui signifiant de lui donner quelque chose.

« Qu'est-ce... redemanda Terry

— Le magnétophone, Terri » déclara Danielle blasée, comme si elle était déjà lasse de ce genre de petit jeu. « Ouvre ton sac à main et donne-le-moi. »

Ce n'est que trop tard que Terri remarqua que se trouvait, près de la fenêtre, une robe à imprimé bleu chiffonné, et juste à côté une culotte toute blanche en coton

Terri regarda la robe. Une robe très ordinaire. On pourrait même dire que c'était une robe plutôt discrète. Le genre qu'on s'attendrait à voir porter par une femme banale de 26 ans et plutôt effacée.

Danielle fit rouler sa chaise en arrière, révélant Nicole agenouillée et nue en face d'elle, lui léchant diligemment la chatte de la même façon que Terri la lui léchait tous les matins. Terri vit aussi que le dos et les fesses de la femme étaient couverts de zébrures et de bleus. Des dépôts de sperme séchés étaient aussi visibles sur son cul, ses cuisses et sa toison pubienne non rasée.

Danielle, la voix triomphante déclara. « Nicole, mon ange, dis bonjour à Terry. »

En tournant la tête, la discrète jeune auxiliaire juridique murmura « B..b...bonjour...Terri... » Elle portait toujours ses lunettes (et absolument rien d'autre) et les verres étaient embués. On pouvait tout de même voir que les yeux de Nicole étaient rouges pour avoir pleurés toute la nuit.

Terri sentit la rage bouillonnée en elle. Se levant, elle saisit son sac à main, et le magnétophone caché dedans.

Elle se dirigea vers la porte, et lança « Je vais à la police, salope, sale putain de CHIENNE. » Elle ouvrit la porte...

... et se cogna à Scott, accompagné de cinq de ses camarades : "l'équipe" de Scott qui l'avait gangbangé en premier pour la crémaillère de ses nénés.

« Qu'est-ce qu'on fait d'elle? demanda Scott.

— Amenez là à la réserve de fourniture et violez-la, répondit Danielle avec désintérêt.

— On pourrait peut-être aussi se retaper la future super-diplômée? se renseigna Scott avec espoir en indiquant Nicole.

— Peut-être plus tard. Elle doit d'abord apprendre à utiliser sa langue, » expliqua Danielle. Puis à Nicole « Je ne t'ai pas dit d'arrêter. Continue à brouter, petite chienne. »

Tout en étant escortée au loin, Terri implorait leur pitié. Pour elle... et pour Nicole.

Mais Danielle n'écoutait pas.

****

Deuxième place - 10ème partie : Nicole

Après que Terri soit partie de chez elle, Nicole se glissa dans sa chemise de nuit et s'apprêta à se coucher. Certaines nuits, elle aimait s'étendre sur le lit, et se toucher. Elle pouvait se faire beaucoup de bien en mettant les doigts au bon endroit. Mais ce n'était pas une de ces nuits. Repensant à l'histoire de Terry elle trouva ça repoussant. La simple idée de...

On frappa doucement à la porte. Et puisque personne ne rendait jamais visite à Nicole (n'ayant pas d'ami), ça devait forcément être Terri. Peut-être que les gentlemen avec qui il était convenu qu'elle fasse l'amour -- qu'elle BAISE, se corrigea-t-elle avec un mouvement de recul pour avoir simplement pensée à ce gros mot --- peut-être qu'ils ne s'étaient pas présentés, et que Terri était libre. Peut-être, pensa Nicole, qu'elle devrait trouver un moyen d'être plus gentille, et un peu plus réconfortante vis-à-vis de Terri.

Elle entrebâilla la porte et commença à dire : « salut Ter --- »

VLAN! La porte fut ouverte en grand frappant la jeune femme ordinaire en plein visage et la faisant tomber à la renverse. Ce n'était pas Terri qui était à la porte... c'était deux hommes.

Les hommes récupèrent une Nicole dans le coaltar et la sortirent de la maison jusqu'à une camionnette qui les attendait. Elle demanda plusieurs fois où on l'emmenait ; ils l'ignorèrent.

Ils conduisirent jusqu'au centre-ville, et accompagnèrent Nicole hors de la camionnette jusqu'à la zone de chargement d'un immeuble de bureau. Puis elle fut transportée dans le bâtiment et monta dans un ascenseur de service. Pendant la lente montée, un des hommes commença à lui peloter sa minuscule poitrine.

« S'il vous plaît, ne me touchez pas là, se défendit Nicole mollement.

— S'il vous plaît, ne me touchez pas là! S'il vous plaît me toucher pas là! l'imita l'homme

— Elle n'a aucune idée de ce qui l'attend, » ajouta l'autre homme.

Les yeux de Nicole s'agrandirent d'effrois. « Écoutez -- » une gifle au visage la fit taire.

L'élévateur s'arrêta, et Nicole fut escortée dans un des bureaux. Quand la lumière fut allumée, elle vit qu'il y avait deux hommes en train d'attendre. L'un d'eux se leva.

« Conduisez-la dans la réserve. » Les hommes obéirent. Les quatre hommes furent bientôt tous avec Nicole dans la petite pièce.

L'un des hommes s'adressa à elle. « Alors que t'as dit Terri ce soir?

— Rien, répondit Nicole

— Tu mens, affirma l'homme. Et la gifla

— qu'est-ce que t'as dit Terri? répéta l'homme.

— Rien. » VLAN!!!

— Scott, elle ne va pas parler.

— On dirait bien, » répondit l'homme qui avait parlé en premier -- Scott. « On ferait bien de trouver un autre usage à sa bouche alors... »

Se tournant vers Nicole, Scott lui demanda : « Tu sais comment sucer une bite?

— Non, c'est dégoûtant! répliqua Nicole comme si elle grondait un gamin de huit ans qui aurait fait quelque chose de stupide.

— Dégoûtant ou pas, tu vas nous sucer. » Comme si c'était un signal, les hommes baissèrent leur pantalon. Nicole détourna le regard.

« À genoux, chienne. Commence par la mienne

— Non. »

Sur ce, Scott déchira la chemise de nuit de Nicole. Elle était maintenant debout, nue et tremblante, mais toujours rebelle. Scott la força à se mettre à genoux et lui agrippant le haut du crâne, il força sa verge dure contre ses lèvres, mais elle refusait d'ouvrir la bouche pour la laisser passer.

Collant Nicole sur une table, Scott défit sa ceinture. Pendant que les autres hommes la maintenaient fermement, Scott lui fouetta le dos et les fesses. Quand toute sa partie arrière fut rougie, il ordonna qu'on la retourne. À nouveau, il demanda à ce qu'elle le suce. Nicole, les yeux fixés sur la ceinture était remplie de terreur, mais elle secoua négativement la tête. Scott la fouetta de face. Ses petits seins... son ventre... ses cuisses. Alors il demanda encore, et elle dit non encore.

« Ça me va, » dit Scott, haussant les épaules, il agrippa la jeune femme et l'étendit sur le sol. « Je vais te baiser ta chatte alors. » Nicole se débattit, mais elle n'était pas de taille face à Scott. Il l'avait immobilisée sous lui, et son gland était à l'entrée de son orifice. Il poussa.

« Purée, ce qu'elle est serrée! » fit remarqué Scott à ses amis. « C'est une vierge!!! C'ÉTAIT une vierge, » il corrigea.

Nicole, qui n'élevait jamais la voix, luttait pour ne pas pleurer. « S'il vous plaît....Scott. Je vais... je vais sucer votre chose... »

Tous les hommes se mirent à rire. « Ma "chose"? Pépette, puisque tu vas devenir une salope comme Terri, tu ferais bien d'en apprendre le langage. Ceci -d'un mouvement rapide il s'enfonça profondément en elle, lui dépucelant l'abricot- est une bite. » Scott se mit alors en action pour baiser frénétiquement l'infortunée auxiliaire juridique. Nicole ne pouvait que gémir doucement.

Après Scott, les trois hommes mirent aussi leur chose -- leur BITE -- en elle. Puis Scott présenta à nouveau sa queue raidie devant ses lèvres. Cette fois, elle ouvrit sa bouche à contrecœur et le laissa entrer.

Il l'instruisit sur la manière d'utiliser sa bouche. « C'est ça... utilise ta langue... prends-la plus profondément... BOUGE TES DENTS. Plus profond. Maintenant, recule. Lèche le gland. Reprends-la dans ta bouche. J'AI DIT... » Sortant sa queue de la bouche, Scott recula et gifla Nicole en plein visage « ... VIRE TES DENTS DE MA QUEUE, SALOPE. » Puis il fut de retour dans sa bouche. « Suce-la. Ouais. Tu tiens le bon bout. »

Nicole ne fut capable de traverser cette épreuve qu'en se rappelant que Terri devait faire de même, TOUS les jours. Pendant tout ce temps elle continua à besogner la bite de Scott dans et hors sa bouche.

« C'est ça. T'as un talent inné pour sucer les bites, gamine. Ouais, suce ça... ohhhhh.... et maintenant... voilà ce qui arrive... aux bonnes petites filles qui savent... comment bien sucer une bite... à la fin tu as droit à une surprise crémeuse dans la bouche... »

Les pupilles de Nicole s'écarquillèrent. Elle essaya de retirer la tige turgescente de sa bouche. Mais Scott lui empoignait le dos de la tête, ses hanches lui pistonnant la bouche en va-et-vient. Il se mit soudain à crier, et la jeune femme traditionaliste, qui n'avait même jamais embrassée un garçon, sentit sa bouche se remplir de la semence crémeuse et salée de Scott. S'étouffant, elle voulut recracher, mais il maintenait sa bite dans sa bouche. Elle n'avait pas d'autre choix que d'avaler si elle voulait respirer.

Quand Scott eut fini de décharger, il se retira de sa bouche. Nicole se mit immédiatement à cracher essayant désespérément de se débarrasser du goût. Jusqu'à ce Scott l'arrête. « Ça ne sert à rien ce que tu fais... tu as encore trois autres bourses à vider. » lui dit-il en indiquant les trois autres hommes, leur bite dure attendant impatiemment de découvrir et d'exercer ses nouveaux talents buccaux.

Pour le reste de la nuit, les hommes défouraillèrent Nicole, la baisant dans toutes les positions imaginables. Ils avaient reçu l'ordre de Danielle de ne pas toucher à son trou du cul vierge, car Danielle avait "quelque chose de spécial" pour lui. Nicole avait aussi appris à supplier pour se faire baiser, et après quelques coups de ceintures supplémentaires, elle fut même capable de dire des phrases comme : « S'il vous plaît, Monsieur, baisez ma chatte humide, » ou « S'il vous plaît, laisser cette pute vous sucer votre bite. » Sans s'arrêter entre les mots.