Domination Noire 06

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La soumission prend le dessus pour Sylvie et François arrive
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Partie 6 de la série de 7 pièces

Actualisé 08/16/2023
Créé 05/10/2020
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LucasDehi
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CHAPITRE 6

François marchait en rond tout autour de son salon. Cet appartement qu'ils avaient eu en centre-ville avec sa fiancée était parfaitement situé et plutôt spacieux. En repensant à sa fiancée, il eut un haut-le-cœur. Depuis maintenant 1h, l'image de Juliette se faisant lécher par sa petite sœur passait en boucle dans sa tête.

Au début, tellement choqué, il était resté sans voix pendant de longues minutes, assit sur son canapé. Puis il avait explosé de colère. Comment Juliette pouvait-elle lui faire ça! Le tromper avec des inconnus! Puis re regardant la photo, une autre sensation était venue s'immiscer dans son esprit, une sensation qu'il était si honteux d'éprouver que depuis une heure, il se forçait à marcher et vider sa tête de ces pensées. Cette sensation, il la connaissait mais ne l'avait jamais ressentie comme à cet instant. Cette sensation, c'était de l'excitation...

À bout de force, il se coucha. François mit du temps à s'endormir. Les cris de Juliette, le souvenir de ses tétons tous durs et de son air exalté sous les coups de langue de sa belle-sœur, le hantèrent jusque tard.

Au matin, il se réveilla en sursaut, transpirant, le souffle court. Il souleva les draps et vu son matelas taché d'une substance qu'il connaissait bien. Il avait éjaculé durant son sommeil... Il fixa le plafond pendant de longues minutes et prit une décision. Il savait ce qu'il allait faire... Il devait libérer ses femmes et ne pas céder à ses idées sombres. Mais il ne pouvait pas en parler à ses collègues, c'était trop humiliant... Non, il devait agir seul...

Je me réveille difficilement. Je mets quelques secondes à me demander pourquoi est-ce qu'il y a un homme noir dans mon lit. Puis je me rappelle, je suis soumise depuis quelques jours à des dominatrices noires perverses qui ont fait de moi et mes filles chéries des pantins de chair, soumises à leurs désirs...

Je sors du lit sans réveiller Rachid. Il doit être fatigué. Hier après une soirée de luxure extrême ou nous, les chiennes blanches comme ils aiment nous appeler, avons été forcé de subir les pires tourments, Rachid m'a emmené dans ma chambre et m'a baisé pendant encore 1h avant de s'endormir. Je me rappelle très bien de l'énorme orgasme que j'ai eu sous les yeux de ma fille, Juliette, lorsque Leia, perverse, l'a obligée à se doigter en contemplant le spectacle.

Je passe à la salle de bain, me contemplant dans le miroir. Mes seins sont encore rouges d'avoir été malaxés, mes fesses remplies de zébrure à force d'avoir été fouettées. Je me trouve salope, moi la femme mature aux seins lourds, cheveux en pagaille et cernes sous les yeux... Salope comme jamais je ne l'aurais imaginé...

Je décide de descendre au salon. La scène que j'y découvre me laisse sans voix...

Ma pauvre Lisa, 18 ans, est attachée sur une chaise. Un vibromasseur posé sur le clitoris, elle a la tête baissée comme si elle dormait sur place. Elle pousse de faibles gémissements, tandis que son bassin bouge lascivement à la rencontre du gode. À mon avis, nos tortionnaires n'ont pas dû lui laisser beaucoup de répit. La chaise sur laquelle ma fille est assise, est souillée par ses sécrétions intimes. Nos 2 dominatrices sont nues. Leia, notre maitresse, s'approche d'elle et la fait manger à la cuillère comme si c'était un bébé. Lisa redresse sa tête misérablement et englouti la nourriture présentée par Leia. Cette dernière tapote sur la tête de sa soumise en la félicitant. Lisa murmure un remerciement et resombre dans un état léthargique.

Je contemple cette situation avec horreur, ma fille est réduite au rôle d'esclave, nourrie comme une chienne par sa maitresse. Je me demande avec effroi depuis combien de temps son clitoris est-il malmené comme ça. Mais je ne suis pas au bout de mes surprises...

Moha besogne Chloé, l'amie de ma fille. Elle est à genoux sur le canapé tandis que Moha en levrette, lui massacre la chatte. La violence des vas et vient fait bouger les gros seins de cette dernière. Juliette, mon autre fille fraichement fiancée, est assise sur le bord du canapé et se fait lécher la chatte par l'amie de ma fille. Ma grande fille gémit, se mordant la lèvre inférieure tandis que les gémissements de Chloé se perdent dans le con de ma progéniture. Juliette croise mon regard et j'y découvre un mélange de honte, de résignation mais aussi indéniablement d'excitation.

Je me demande ou est Farida. Leia qui est en train de pincer méchamment la pointe des seins de ma fille me dit :

- Ton autre maitresse est dehors, va la voir! m'ordonne-t-elle, alors que ma fille pousse un gémissement de douleur sous la torsion de ses tétons.

Son regard noir et dur me transperce et je sens mon libre arbitre fondre instantanément. Comme une automate, je me dirige vers le jardin. Effectivement, Farida est allongée sur un transat profitant du soleil éclatant.

- Enfin réveillée salope! Regarde ce que j'ai commencé à faire, tu pourras me remercier.

Je la regarde les yeux ronds, ne comprenant pas la signification de sa phrase. Puis je tourne la tête et vois une jeune femme blanche à peine majeure en train de brouter de l'herbe à quatre pattes. Elle est nue, ses seins pendent misérablement tandis qu'elle se penche pour arracher le gazon avec sa bouche. Je reconnais immédiatement Emilie, la meilleure amie de ma fille... Elle me regarde, les yeux vides, une expression de soumission extrême sur son visage comme si elle n'avait plus aucun désir. Voir une fille si intelligente, si gentille finir comme cela me fait frissonner de peur.

- Je me suis dit que ce serait ma manière de te remercier pour l'accueil. M'explique Farida, un sourire malicieux sur le visage.

- Tu as de la chance, si elle fait du bon boulot, je n'aurai pas besoin que tu finisses le job.

Horrifiée par cette suggestion, je fuis sans demander mon reste, abandonnant la pauvre fille à sa besogne.

Arrivée dans le salon, Leia s'approche de moi. Elle passe une main le long de ma fente.

- Déjà trempée salope! Ricane-t-elle.

Je baisse les yeux, il est vrai que tout ce qui se déroule dans ma maison m'excite... C'est plus fort que moi...

- Tu vas voir aujourd'hui j'amène du renfort pour vous. Vous allez en prendre pour votre grade.

Je ne réponds pas à cette provocation, à quoi bon? Je sais qu'elle fera ce qu'elle veut dans tous les cas. Entendant cela, Lisa pousse un long grognement. Elle vient de jouir une énième fois, mais n'a même plus la force de gémir ou demander à ce que ça s'arrête. Leia la regarde avec un air de dégout.

- Cette chienne n'a fait que jouir depuis hier, ça fait 2h qu'elle ne parle plus.

- S'il te plait, Leia, enlève-lui tout ça, elle n'en peut plus. Suppliai-je, inquiète pour ma fille.

- Surveille ton langage salope! Il y a bien longtemps que ce n'est plus vous qui donnez les ordres. M'aboie-t-elle tout en giflant mes seins.

Elle me regarde soudain avec un air lubrique. Elle me pousse sur le fauteuil.

- Si tu l'aimes tant ta fille, je pense que tu ne verras aucune objection à prendre sa place. Déclare-t-elle, triomphante.

J'acquiesce, si devoir subir le même sort que ma fille peut l'en libérer, je le ferai. Une autre partie de mon esprit, que j'essaye de réprimer, réclame aussi ce vibromasseur sur ma chatte... Mais je proteste pour la forme. Une fois la mère attachée et préparée, la fille peut s'écrouler sur le sol du salon. Les yeux mi-ouvert, elle regarde sa mère qui, les yeux exorbités, pousse des gémissements.

Le reste de la journée ne fut qu'une succession d'humiliation en tout genre. Je dois sucer la mouille de ma fille sur la bite de Moha avant de me faire baiser violemment par Farida tandis que Chloé pose le vibromasseur sur ma chatte, ce qui me fait hurler de plaisir.

Pendant ce temps, toujours plus perverse, Leia a ordonné à mes filles de se gouiner... Les deux sœurs sont positionnées en ciseaux au milieu de salon. Leurs gros seins, dont je leur ai fait hériter, perlant de sueur et se touchant à chaque mouvement. Leia en profite pour leur pincer les tétons et mes filles crient à plein poumons, me faisant mal aux oreilles.

Pour ma part, je pompe la grosse bite de Rachid avec empressement, regardant l'accouplement lesbien du coin de l'œil. Ma main branle frénétiquement ma chatte en même temps. Leia fouette ses deux soumises ce qui les fait partir dans un orgasme qui les fait hurler comme des folles. Moha bourre Emilie sous les yeux de sa copine qui l'embrasse à pleine bouche.

Puis les rôles changent, armée d'un gode ceinture je dois prendre Juliette. Au début, hésitante, je me déchaine maintenant dans la fente de ma fille après que Farida nous ait menacé d'une sodomie si je n'y mettais pas du cœur. Juliette secoue la tête de gauche à droite, la bouche ouverte avec un cri silencieux. Je la vois se pincer elle-même la pointe de ses mamelles. Je suis totalement excité par cet acte, d'autant plus que l'armature du gode ceinture vient frotter mon clitoris.

Lisa est positionnée comme sa sœur en face. Farida la baise sauvagement. Je suis hypnotisée par ses seins gigotant sous les coups de reins qu'elle inflige à ma fille. Les deux sœurs se regardent, le visage crispé par le plaisir prit par leurs corps défendants. Chloé et Emilie sont empalées sur les bites des deux noirs, elles sautillent énergiquement sur les queues dans un concert de cris.

Je suis surprise, moi qui n'aie jamais été une femme avec une libido importante, de voir que malgré tout le temps passé à être dominée, les perversions successives auxquels je suis soumise me gardent dans un état d'excitation constant...

Dans l'après-midi, Émilie et Chloé prennent congé après que Farida ait accepté de les laisser partir à condition que le week-end prochain elles soient disponible. J'ai l'impression que la domination de ma famille les intéresse plus que celle des amies de ma fille.

Je regarde les filles partir, perdant espoir d'un jour peut être avoir du repos moi aussi. Les garçons se reposent un peu, il faut dire que jouir sans arrêt est épuisant, même pour des jeunes comme eux. Ils regardent un film sur la télé du salon tandis que ma jeune fille de 18 ans leur apporte des rafraichissements. Moha ne se prive pas de claquer les lourds seins de Lisa à chaque aller et retour de cette dernière.

Juliette est occupée avec Leia, notre dominatrice l'a emmené à l'étage dans la salle de bain et on entend de temps en temps des plaintes s'échappées de la porte. Farida m'envoie récupérer des bouteilles de vins dans le bungalow de mon jardin.

- On aura besoin de munition pour ce soir! lance-t-elle, joyeusement.

Tandis que j'effectue mes trajets, je remarque alors un mouvement dans le buisson qui donne sur la rue. Intriguée, je m'approche et découvre François, le mari de ma fille Juliette. Je suis bouche bée devant cette apparition, me rappelant que je suis nue devant mon beau fils.

- Belle maman! Vient vite, il faut partir. On doit se rendre au commissariat, avec ton témoignage on a le pouvoir de toutes vous libérer!

Je n'en reviens pas! Une lueur d'espoir traverse enfin le sombre nuage de tourmente dans lequel moi et mes filles sommes plongées! Je m'apprête à le suivre quand j'entends une voix venir de derrière.

- Tu ne comptais pas nous abandonner quand même!

Je me retourne et vois Farida debout dans le jardin, elle est encore nue et ses beaux seins trônent fièrement sur sa poitrine. François s'est figé, il regarde dans toutes les directions comme s'il s'attendait à voir un homme se jeter sur lui.

- Ne t'inquiète pas, je n'ai pas besoin d'aide, assure Farida. Ma soumise n'ira nulle part sans ma permission.

Je m'apprête à rétorquer que je peux faire ce que je veux, que maintenant j'ai un moyen de pression sur elle! Mais les mots se bloquent dans ma bouche. Farida plante son regard dans le mien, ses grands yeux noisette me fixent intensément. Je sens une partie de mon libre arbitre s'envoler à ce moment-là. Ses belles lèvres s'agitent et de sa voix suave elle m'ordonne :

- Reviens ici chienne, tu sais que tu m'appartiens! Et tu n'as pas le droit de partir sans mon accord.

Je la regarde fixement puis je sens une main attrapée mon bras.

- Sylvie allons-nous en! Vite! me supplie François.

- Esclave, écoute-moi, reprend Farida. Tu dois obéissance à tes maitresses. Toi et tes filles êtes notre propriété maintenant. Viens ici! exige-t-elle gentiment mais avec fermeté.

Je bois ses paroles, hypnotisée par son regard et le mouvement de ses lèvres. Je dégage mon bras de l'emprise de mon gendre. Et je laisse l'emprise mentale de ma maitresse noire dépasser ma volonté. Peut-être qu'elle a raison, qu'après tout je lui appartiens... Après tout, je me suis mise toute seule dans cette situation alors que j'aurais pu l'arrêter plus d'une fois... Peut-être que c'est cela ma volonté au final...

Je m'avance lentement, un pas après l'autre, vers Farida. La gorge sèche, mon cerveau est confus, comment puis-je passer à côté de ma liberté, de ma seule chance de revenir en arrière.

- C'est bien esclave, tu sais que je suis ta maitresse. Et que tu es ma soumise et mes soumises me doivent une obéissance totale.

Je hoche la tête en continuant à avancer. Pas après pas, je choisis mon destin, celui d'une esclave blanche. François me regarde, totalement désemparé, il a compris que ces femmes dont sa fiancée étaient sous la domination de leurs pulsions et de la loi du plus dominant. Que nous étions des femelles répondant à nos plus bas instincts.

J'arrive à côté de Farida et tombe à genoux, elle me caresse le haut de la tête, comme si j'étais son animal. Je regarde fixement devant moi, ma déchéance est complète et maintenant irréversible.

Farida porte son regard sur François qui n'a pas bougé :

- Et toi, je suis sûr que tu feras un parfait petit soumis une fois dressé. Comme tu le vois, les chiennes de cette famille sont notre propriété. Tu ne peux rien faire. Rejoins-nous ou repars!

François est sous le choc, son plan ne s'est absolument pas passé comme prévu. Lui qui avait juré de sauver la famille de sa femme, comprend qu'elles ne veulent pas être sauvées. Et à sa plus grande honte, sa détermination à sortir sa femme de là se transforme petit à petit en excitation malsaine. Voir sa belle-mère réduite à l'état d'esclave, l'a énormément excité malgré lui. Son esprit se brouille. Et il s'avance lui aussi, succombant à l'emprise presque surnaturelle de cette femme. Sa tête lui cri de partir mais son esprit est torturé par le besoin d'obéir...

- C'est bien chien, enlève tes vêtements et viens voir comment nous traitons ta femme et sa famille.

Mon gendre acquiesce et ôte ses vêtements un à un. Il apparait avec une belle érection et nous suit dans la maison. Farida le tenant par la main, tandis que son nouveau soumis sent la soumission s'immiscer dans son esprit.

Dans le salon, l'orgie a recommencé et François découvre une scène dès plus vicieuses. Sa femme, Juliette, suce les doigts de pied de Rachid tandis que Leia la branle avec le goulot d'une bouteille de vin. Ma fille balance son bassin et s'active sur les orteils, les yeux fermés. Lisa se fait tringler par Moha, à genoux sur le canapé, ses gros seins écrasés contre le dossier.

Tout le monde s'arrête quand François rentre dans la pièce. Juliette le regard fiévreux, les seins pointant vers le ciel, contemple son mari, nu, tenu par la main par Farida. Sans pitié, Leia reprend ses vas et vient et appuie sur la tête de ma fille pour qu'elle continue de lécher les doigts de pied de son tourmenteur.

- Va t'asseoir sur le fauteuil! ordonne Farida à François.

Comme un automate, il s'exécute, regardant sa fiancée, agiter son bassin sur le gode improvisé. Il s'assoit dans le fauteuil à côté de Lisa, son regard se porte sur sa belle-sœur, il découvre une vraie salope, suppliant Moha de la défoncer encore plus. Il bande de plus belle devant cette scène surréaliste.

Je suis envoyée par Farida sucer le mari de ma fille. Il me regarde, totalement excité tandis que je prends en main sa verge dressé. Farida derrière moi, pousse ma tête et j'engloutis le membre.

Farida reste pour m'encourager et les insultes pleuvent :

- Suce-le comme une chienne, voilà lèche les couilles, c'est bien comporte toi comme la salope que tu es.

Je m'active sur la bite de mon gendre, étrangement déterminée à obéir aux encouragements de ma dominatrice. Je le suce comme cela de longues minutes pendant lesquels il gémit sans retenue.

Le regard de François, se porte à présent sur Lisa qui suce Rachid avec enchantement pendant que Moha la pilonne toujours. Juliette, elle, me fesse le cul avec un des fouets achetés au sex-shop sous les encouragements de Leia.

- Fouette ta pute de mère, elle suce ton fiancé comme une pro. Elle mérite de se faire punir.

Le pire, c'est que j'ai l'impression que ces invectives à mon encontre fonctionnent car ma fille n'y va pas de main morte et me frappe violement les fesses. Je gémis de douleur mais ça n'y fait rien. Juliette le regard fou, augmente l'intensité de ses coups sous mes cris de douleurs.

C'en est trop pour le pauvre François qui éjacule en poussant un cri rauque tandis que je manuélise sa bite, haletante. Pour me faire pardonner, Leia m'oblige à sucer le clitoris de ma fille qui a pris la place de son mari dans le fauteuil. Je m'exécute avec empressement, totalement excitée par ce scénario...

François doit se balader à quatre pattes dans le salon, nu, sa bite pendant misérablement. Farida lui introduit par moment un doigt dans le cul. Ce dernier cri de douleur et supplie Farida mais rien n'y fait et à plusieurs reprises, sa nouvelle maitresse agite un ou deux doigts dans son anus. Il est par la suite contraint d'aller lécher la chatte de ma fille de 18 ans tandis que cette dernière se fait toujours baiser par Moha.

Ceci donne une idée à se dernier qui se retire de la chatte de ma fille et se présente devant la bouche de François. Ce dernier, refuse obstinément d'ouvrir la bouche, mais une claque violente sur ses fesses le fait crier de douleur. Moment saisit par Moha puis introduire sa queue dans la bouche de mon gendre.

- Si tu mets les dents, je te promets que je vais te cogner. Menace Moha.

François vaincu, ne dis rien et accepte l'immonde pénétration. Tout à son aise, Moha alterne entre la chatte de ma fille et la bouche du mari de mon autre fille. Je promène ma langue sur le vagin trempée de Juliette, ma fille se cramponne aux accoudoirs et pousse son bassin vers ma langue. Je sens qu'elle va bientôt jouir. Leia s'est positionnée derrière elle et lui murmure à l'oreille :

- Regarde ton copain, il lèche la chatte de ta sœur. Et il bande comme un taureau! Quel vicieux! Je suis sûr qu'il voudrait la baiser ta petite sœur à peine majeure.

Juliette lance un dernier gémissement et jouit en criant comme une folle. Sa mouille me recouvrant le visage. Je suis trempée mais je n'ai pas reçu l'ordre de me toucher...

Leia la pousse sur le sol et lui ordonne :

- Branle-le, ton mari! Pendant qu'il lèche ta sœur! crie-t-elle, hystérique!

Humilier toujours plus ma famille à l'air de la rendre folle de luxure. Je regarde mon ainée, se déplacer comme une chienne sur le sol du salon. Elle prend en main la bite de son fiancé. Lui adressant un regard lourd de reproche, ce dernier croise son regard mais honteux se reconcentre sur sa tâche. Lisa, qui n'a pas l'air gênée du tout par cette situation, halète de plus belle grâce à cette double stimulation. Rachid, lui, prend des photos et des vidéos de la scène, qui est des plus perverses.

- Une famille blanche soumise avec en plus un policier, ça va faire fureur aux quartiers... Explique-t-il en ricanant.

Juliette branle François comme si elle voulait le traire tandis que ce dernier a inséré son doigt dans le cul de Lisa. Puis sous les ordres de Leia, ma fille de 25 ans doit insérer elle aussi son doigt dans le fondement de son petit ami. François lui lance un regard suppliant mais rien n'y fait, les ordres sont les ordres...

LucasDehi
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