Dosé Ch. 07

Informations sur Récit
Post-coïtus animal triste.
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Partie 7 de la série de 8 pièces

Actualisé 04/23/2024
Créé 10/20/2023
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Cette œuvre est une fiction basée sur les pilules X-change qui permettent de changer de genre facilement, pour différentes durées.

Cette histoire est une fiction qui n'a d'autre but que de vous divertir. Je ne défends aucun des comportements de mes personnages. Ils ne sont pas des modèles à suivre.

les produits X-change n'existent pas dans la réalité.

Ceci est l'épisode 7, u rapide résumé est prévu au début de l'histoire

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Post-coïtus animal triste

C'est en portant un jean que je retournais en cours pour l'après-midi. J'avais prévu une protection en cas de saignement. Dans la voiture, Marc souriait, moi aussi.

31 jours auparavant, dans une boîte de nuit, j'avais été dosé : une pilule x-change qui transforme les hommes en femme avait été mise dans ma bière. Les filles du groupe s'étaient occupées de moi, en particulier Rachida. J'avais espéré me retransformer au bout d'un journée, puis de 28 jours. Pendant ce temps, j'avais dû me constituer une garde-robe, apprendre à gérer mes règles, ou les pulsions des hommes comme celles de Paul et Abdou qui avaient tenté de me violer. Au bout de trente jours, j'étais un peu dépressive à l'idée de rester femme pour toujours, mais une visite au poste de police m'a appris que c'était une femme que j'avais défendue contre son mari violent qui m'avait dosé. Je l'avais empêchée de mettre en œuvre sa vengeance envers cet homme, et c'est moi qui avais été la victime de sa colère. Le jour même, j'avais fêté cela avec Marc. Le lendemain, une nouvelle tentative de viol de Paul et Abdou m'avait fait me réfugier entre les bras de Marc, et, alors qu'il me raccompagnait chez moi pour me changer, je lui avais offert ma virginité.

J'étais plutôt contente, mais je ressentais une vague douleur. Le soir, je passais à la pharmacie pour obtenir la pilule qui m'avait été prescrite.

Les jours suivants, j'étais un peu perdue. La libido de ces deux jours me semblait perdue, et je me retrouvais un peu sans repère sur mon excitation alors même que ce qui s'était passé entre Marc et moi restait un bon souvenir. Le soir, cette mémoire n'était pas suffisante pour une masturbation. En fait, ce qui me plaisait c'était le souvenir de lui contre moi. Le contact de nos peaux, l'une contre l'autre. J'avais bien aimé le sentir me pénétrer. Mais seule, c'était presque de la nostalgie, pas grand-chose de plus. Un plus grand motif d'insatisfaction était le manque de nouvelles de Marc. Nous ne nous étions plus croisés. Il ne m'avait pas appelée. Je n'osais me dire que maintenant que j'étais passée à la casserole, je ne représentais plus d'attrait pour le chasseur.

Le jeudi, je le vis à la cantine. J'allais l'ignorer, mais il me fit de grands signes, alors, j'allais poser mon plateau repas à côté du sien.

-Je suis content de te voir, ça va? » me demanda-t-il immédiatement.

-Oui, ça va? » dis-je un peu froidement.

-OK... tu es en colère? Pas après moi quand même? » demanda-t-il encore. Il me désarmait!

-Ben... tu aurais pu m'appeler? » dis-je.

-Euh... oui, je n'ai pas osé. J'ai eu peur que tu croies que je voulais un abonnement. Et puis tu ne m'as pas appelée non plus. » me dit-il.

-Je... pour moi c'était à toi d'appeler? » dis-je en le regardant dans les yeux, je suis certaine qu'il pouvait y lire ma colère.

-Parce que je suis le garçon? C'est un peu sexiste, non? » me dit-il, sur un ton qui me laissait penser qu'il ne prenait pas ça au sérieux.

-Ben... »

-Par contre j'ai adoré ce moment avec toi » me dit-il en se levant pour m'embrasser. J'étais scotchée, immobile, incapable de réagir autrement que de rougir... et de fondre sous l'effet de ce baiser.

-Moi aussi j'ai aimé. » Dis-je en baissant la tête. »

-Et je n'ai rien contre une autre fois. Et je note qu'il faut que je t'appelle après. En tout cas toi tu peux m'appeler quand tu veux. » me dit-il. Me faisant rougir encore un peu plus.

-Ça va, tu n'as pas eu de souci ou de douleur? » s'inquiéta-t-il alors.

-Non, non, rien d'anormal » mentis-je. Je n'avais pas envie de l'inquiéter inutilement.

-Oh, les amoureux, on peut vous rejoindre? » demanda alors Stéphanie.

-En tout cas vous êtes mignons à vous regarder dans les yeux avec vos bouches ouvertes! » ajouta Céline.

-Enfin, on ne vous demandera pas comment Marc était indispensable pour aider Michelle à se changer. Manifestement ça s'est bien passé à voir vos mines, » dit encore Cécile. Manifestement, nous n'avions pas été assez discrets.

Marc semblait ne plus me voir, absorbé qu'il était dans son téléphone alors que les filles avaient pris le dessus parlant des séries Netflix du moment.

-Je pensais te proposer de venir voir le rugby avec moi samedi après-midi » me dit le SMS que je reçus. Je me doutais que nous ne ferions pas que regarder le rugby. Mais pourquoi pas... »

-On peut peut-être se retrouver avant : je voudrais me racheter une robe. Tu veux venir avec moi? » répondis-je.

-Euh, je ne sais si je serais d'une grande aide, mais pourquoi pas? » me répondit-il à l'insue des filles qui occupaient tout l'espace sonore entre nous.

Je voulais le surprendre, et pensais à ce que m'avait fait une fille une fois... je m'arrêtais pour acheter des bananes.

Tous les soirs je m'entraînais à dérouler un préservatif sur une banane avec la bouche : eh bien, ce n'est pas si facile qu'on peut le croire.

Les jours suivants, j'étais sur un nuage. À la fois excitée de le revoir, et en même temps angoissée de ma libido. Et si je n'avais pas envie. Si je restais sèche? Homme, j'avais toujours peur de ne pas réussir à bander. Et pourtant seul, ça marchait au doigt et à l'œil. Là, j'étais en panne.

Le samedi matin, Marc est venu me chercher pour aller dans un centre commercial, où je regardais les robes comme celle qui avait été déchirée. Je la retrouvais dans ma taille (Ouf!) quand Marc est arrivé avec une mini-jupe.

-Tu ne veux pas essayer ça aussi? » me demanda-t-il.

-Euh, c'est super court, je n'oserais jamais porter ça! » lui-dis-je.

-Là c'est juste essayer. » Argumenta-t-il. Je n'osais dire non. Mais une fois dans la cabine d'essayage, les questions fusaient alors que je me déshabillais. Devais-je me réjouir qu'il participe et commencer par essayer sa jupe? En même temps j'avais peur de l'exciter, puis de me retrouver à ne pas avoir envie. Je réfléchissais en me déshabillant si bien que je retrouvais en sous-vêtements. J'enfilais donc la robe : les faits avaient décidé pour moi. Je sortis pour me regarder dans les miroirs.

-C'est la même, Michelle, elle te va bien comme la précédente » me dit-il.

-Merci » lui-dis-je en retournant dans la cabine. C'était peut-être bien de lui montrer que mon intention était bien cette robe! J'enfilais la jupe avec mon chemisier. Forcement sur les ballerines, ça faisait moyen, mais je sortis quand même de la cabine.

-Il faudrait des talons, et des collants, ou des bas » dis-je, en constatant que la jupe arrivait quand même aux deux tiers de mes cuisses. Ce qui reste court.

-Je l'aime bien sur toi » me dit Marc, je n'avais pas remarqué ce ton grave et chaud qu'il pouvait avoir, et que j'adorais.

-Ça ne va pas être facile à porter » dis-je, sous-entendant que je la prenais. Pour être honnête, j'étais un peu mal à l'aise en repartant avec Marc.

-Comment on fait, je te dépose chez toi? Ou tu veux qu'on mange ensemble? »

-On pourrait manger ici, puis aller chez toi regarder le rugby? » proposais-je.

-Si tu veux? » me dit-il visiblement déçu.

-Qu'est-ce qui ne va pas? » demandais-je

-Non, rien. »

-Si, je le vois bien. Dis-moi, ce dont toi tu as envie? »

-Je pensais te déposer chez toi, et que tu viendrais avec la jupe, des talons, des bas... » me dit-il. Pour un peu, il aurait bavé.

-Je comprends » commençais-je en pensant que je n'étais pas une call-girl. « Mais je ne suis pas à l'aise, ni dans la jupe, ni même dans ce corps. Une autre fois, tu veux bien? » dis-je en essayant de ne pas me mettre en colère. Lui aussi, ne se fâchât pas, mais il restait frustré.

Nous avions mangé au centre commercial, puis nous allions chez lui. J'étais à la fois excitée, et inquiète. Un peu vexée aussi qu'il pense qu'il allait se passer ce que je pensais qu'il allait se passer.

Les hymnes n'avaient pas encore raisonné qu'il se tourna vers moi : « on pourrait chacun choisir une équipe, et faire un pari... » commença-t-il.

-Si ton équipe gagne, tu me baises, si mon équipe gagne, je me laisse baiser? » dis-je bien plus désagréablement que je n'aurais voulu. Il s'assit, renfrogné. Je ne voulais pas le vexer, mais en même temps lui montrer que je n'étais pas dupe. Le résultat, nous boudions, chacun de son côté en sirotant nos bières. Je n'étais pas excitée. Et l'après-midi dont je me réjouissais quelques jours avant était gâché.

-Marc, tu ne veux pas venir sur le canapé? » demandais-je. J'avais bien envie que ça dérape, mais avant tout j'avais envie de le sentir tout contre moi. Juste un câlin. Il souffla, se leva, et vint à côté de moi, grognant. Mais en acceptant un câlin. Je posais ma tête sur son épaule, et j'étais bien.

Assez vite il passa un bras autour de mon cou, puis il le descendit vers ma taille, lentement, insensiblement. Je le laissais faire, si bien qu'à la mi-temps, j'étais toute engourdie entre ses bras. Je me retournais un peu sur le côté. Et, de par ma position ses bras glissaient sur mes seins.

-Oh, pardon, je vais chercher de nouvelles bières? » dit-il en se levant. En bougeant pour le laisser se lever, je réalisais que j'étais un peu humide et que mes seins commençaient à durcir.

-Je veux bien, mais ne traîne pas... » dis-je, en réalisant après-coup que je me mordais la lèvre. Je le vis sourire. Quand il revint, il avait une bosse visible dans son pantalon : aussitôt, je me suis dit que c'était moi qui provoquais ce débordement. J'étais fière et un peu inquiète. En même temps, il me semblait que la panne que j'avais ressentie toute la semaine s'estompait. Je le fis asseoir sur le canapé en position demi-allongé, puis je m'installais sur lui. Ses mains tombaient naturellement sur mes seins.

-Il faut qu'on tienne jusqu'à la fin du match » dis-je.

-Tu es sûre » me dit-il en remontant sa main sur ma poitrine...

-Oui, » dis-je le souffle court, alors qu'il commençait à caresser ma poitrine. Un peu tard, je réagissais en donnant de petites tapes pour le faire arrêter. Mais alors ses mains venaient glisser sur mes cuisses. Je tapais encore, et il remontait sur mes tétons, puis mes fesses, l'intérieur de mes cuisses. À la frappe suivante, il passa sous mon chemisier.

-Hey, non » dis-je. En gloussant de plaisir.

-Toi aussi, tu as envie... » me glissa-t-il dans l'oreille.

-Après le match » répondis-je.

-Quel est le score » me demanda-t-il, alors qu'il commençait défaire les boutons de mon chemisier.

-Je... ne sais pas, non, arrête... » dis-je.

-Je crois que je viens de marquer un point » me dit il quand mon chemisier fût ouvert.

-Ce n'est pas du jeu... » protestais-je, mais ses mains vinrent ouvrir mon jean.

-Marc, non » dis-je, sans être capable de l'arrêter quand il défit la braguette. Avec ses deux mains, il le fit glisser vers le bas, et je levais les fesses pour l'aider.

-Je crois que quand l'un des deux est déculotté, il a perdu » me dit-il, faisant glisser ma petite culotte avec le reste du pantalon.

-Heureusement que je n'ai pas mis la jupe j'aurais été désavantagée », répondis-je en me retournant vers mon homme encore entièrement habillé, lui. Je me retrouvais à quatre pattes entre ses jambes écartées.

Aussitôt, je défis sa ceinture, le bouton de son jean. Il caressait mes cheveux. Il se doutait de ce que j'allais faire. J'ouvris la braguette, puis j'allais là, pêcher ce qui se trouvait engoncé sous les vêtements. Il leva ses fesses, je tirais le jean, et cassant ce moment magique nous sommes levés pour retirer ses peaux de textiles mal commodes.

Puis, nus, nous nous sommes remis en position : son sexe tendu vers moi. J'y ai vu une promesse. Une prouesse. C'était beau son excitation. Je serrais les cuisses, moi aussi j'étais excitée, enfin!

J'embrassais le bout d'homme fièrement dressé. Juste un bisou sur le bout, avec pour résultat un petit grognement. Je léchais, telle une glace, à la fraise pour la couleur, mais au goût de mon homme. Sans doute, pas une saveur de trois étoiles au Michelin, mais avec un avant-goût de septième ciel pour moi, pour nous. Et puis, mon odeur à moi non plus ne ferait pas recette dans une parfumerie, mais à mon avis elle le rendrait dur comme la pierre.

Puis comme j'avais appris avec les bananes, j'enroulai ma langue, j'ouvrai la bouche, je le dévorai, sans le toucher de mes dents. Je m'appliquais. Je perdis un peu mon fil pour être dans la technique. Il grogna de plaisir j'en déduisis que j'avais droit aux erreurs techniques si j'avais l'intention de lui donner du plaisir. Je revins sur ma technique, le frein, lécher le frein, je me reculais, et je frottais de ma langue. Était-ce assez? Était-ce trop?

Je n'en pouvais plus. Moi aussi j'avais envie. J'attrapais le bout de caoutchouc. Je déchirais, j'attrapais, je tirais. Il se laissais faire. Après-tout, tout à l'heure c'était moi. Je le posais sur son sexe, je me souvins quand c'était sur le mien, j'en riais. Il me regarda, il s'attendait à ce que je le déroule des mes doigts fins. Mais je suçais son sexe à nouveau. Je poussais avec les lèvres. Ça roulait, ça déroulait. Ça touchait le fond de ma gorge, je toussais.

-Il est habillé! » disais-je. J'hésitais à venir sur lui, mais il profita de mon hésitation. Il me guida, je compris. Je me retournais, à quatre pattes, sur le canapé. Il était derrière moi, à genoux. Il posa ses mains sur mes hanches. Je sentis sur ma fente son obélisque. Je mis une main pour guider, Il poussa dans un sens, je poussais dans l'autre. Ça coulissait, ça glissait, c'était délicieux, et je râlais de plaisir. Il me pénétrait tout simplement.

Déjà, les hommes et les femmes des cavernes devaient pratiquer cette danse. J'eu un moment d'inquiétude. Il entrait, mais jusqu'où?

Je poussai un gloussement de plaisir inattendu alors qu'il 'touchais le fond' : « Oh oui »

Mais comme la marée, il se retira. J'adorais le sentir en moi. Puis avant de sortir, il s'arrêta. Ses mains sur mes hanches se raffermissaient. Fini de jouer, l'assaut allait commencer! Je me raidis, pour lui offrir une prise tout me délectant d'être la citadelle qu'il allait prendre. Il était fougueux, et j'avais du mal à ne pas être emportée par ses vas-et viens furieux. Mes sens eux grimpaient mécaniquement d'un cran ou deux à chaque fois. Je perdais pied. Une claque sur ma fesse me fis me cambrer. C'est idiot, mais ça changea les zones de frottement, les frictions, la magie de sa baguette, ma conscience ondula et virevolta. Je ne n'étais plus là, je n'avais jamais été si consciente de mes sens. Je criais, je pleurais, je riais.

Il haleta, il grogna, il souffla, il s'effondra. Je m'effondrais sous lui. Je le sentis sortir de moi. Il était épuisé. Je me retournais, je l'embrassais.

-Merci » lui dis-je. Il avait l'air étonné. Ses yeux roulent, il venait de jouir lui aussi. Je lui retirai ce bout de plastique qui nous séparait l'un de l'autre. Je ris doucement alors que je voyais qu'il allait s'endormir. Ce n'était donc pas une légende.

J'étais comblée, heureuse, et sans savoir dire pourquoi un peu triste aussi. Je me serrais contre lui.

Quelques minutes plus tard, il reprit ses esprits.

-Tu as une pizza, on mange ici? » demandais-je. Je le vis sourire.

-Tu veux dormir ici? » demanda-t-il.

-J'allais te le demander. » dis-je, trop heureuse de pourvoir me frotter à lui, encore.

-Je t'aime » me dit-il en m'embrassant dans le cou.

-On mange d'abord » le coupais-je sachant très bien où pouvait nous mener ce qu'il entamait.

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