Dosé Ch. 08

Informations sur Récit
A la recherche de la libido perdue
2.9k mots
0000
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Cette œuvre est une fiction basée sur les pilules X-change qui permettent de changer de genre facilement, pour différentes durées.

Cette histoire est une fiction qui n'a d'autre but que de vous divertir. Je ne défends aucun des comportements de mes personnages. Ils ne sont pas des modèles à suivre.

les produits X-change n'existent pas dans la réalité.

Ceci est l'épisode 8, un rapide résumé est prévu au début de l'histoire

-----------------------------------------------------------------------------------------------------------

A la recherche de la libido perdue

Je me souviens d'avoir plaisanté sur les filles pouvant avoir du mal à marcher après une nuit de sexe à répétition. Le matin suivant, j'étais dans cette situation. Au cours de la nuit, Marc avait remis le couvert, et si, sur le moment, je m'étais régalée, au matin, j'étais assez endolorie. Comment pouvait-on avoir mal là? Je marchais effectivement avec les jambes arquées.

- J'ai dû lubrifiant, ou tu préfères de la crème? » Me dit-il.

- Pour? »

- Tu as l'air d'être irritée... » Commença-t-il.

- ...de la chatte, » complétais-je avant d'éclater de rire. En fait, il avait raison ; lubrifier mes lèvres apaisait les frottements! Je pouvais finalement rentrer chez moi en me promenant par un beau, mais froid dimanche matin.

J'étais heureuse, joyeuse même. Insouciante, je pensais à la prochaine fois. Je riais en pensant que j'allais devoir récupérer pour éviter des ampoules! Pour autant, je ne remettais pas en cause ma nuit, bien au contraire.

Un mois avant, j'étais encore un garçon bien portant, qui allait en boîte de nuit avec trois amis. Les quatre garçons que nous étions y avaient rencontré quatre filles que nous connaissions déjà. Je savais que rien n'aboutirait avec elles, mais un couple se disputait violemment plus loin, et l'idée de jouer les chevaliers blancs me traversa l'esprit. Aussi, quand la dispute semblait passer un seuil critique, je me suis levé pour intervenir. Les choses ne sont pas passées comme je le souhaitais : L'homme me frappa, et je tombais au sol. Tout le monde a été stupéfait que la femme me dise que j'aurais mieux fait de me mêler de ce qui me regardait. En fait, elle souhaitait se venger de son homme, et mon intervention l'en avait empêchée. Elle se débarrassa de la pilule X-change qu'elle avait réservée pour son homme dans mon verre de bière. Si bien que quand je retournais à ma place, en buvant ma bière j'avalais la pilule destinée à transformer les hommes en femmes.

Bien entendu, la transformation s'est faite dans la boîte de nuit. Rachida, une fille de mon groupe savait quoi faire et m'a aidé à trouver des vêtements pour mes premières 24h. Nous pensions que cela ne durerait pas plus longtemps. Mais quand ce délai fut écoulé, il fallut bien se rendre à l'évidence : j'allais passer au moins un mois en fille. Sans doute étais-je dans le déni, mais, j'espérais que ma transformation durerait 28 jours. En fait, les cas de dosage avec des pilules ayant cet effet sont extrêmement rares. Ma famille a bien sûr été au courant du fait de mes besoins de vêtements, et le manque de discrétion de mon banquier. Parmi mes copains, Marc ne semblait pas gêné de me voir changé en fille. Paul et Abdou, par contre, faisaient bien la différence, et ils pensaient que toutes les filles x-change étaient chaudes. Ils ont essayé de me violer. En fait sexuellement, j'étais perdue. C'est en passant voir la police au bout de 30 jours que j'appris qui était la cause de ma transformation.

C'est là que j'ai pu me libérer avec Marc. Sans toutefois comprendre mon excitation.

Sur le chemin pour rentrer chez moi, je ne me souciais plus de ça. En fait, j'avais refusé à Marc de porter une mini-jupe la veille. Là, je me demandais l'effet que ça lui ferait de me voir dans cette jupe.

Malheureusement, cette pensée fut polluée par le souvenir de Paul et Abdou, mais aussi de mon propre frère. Comment réagiraient les hommes que je croiserais? En attendant, je me promettais de l'essayer en rentrant pour voir avec quoi j'allais la porter.

Mais une fois devant ma porte, toutes mes pensées s'envolèrent. Ma porte avait été taguée d'un « Salope! » rouge. Je restais interdite devant ma porte sans oser bouger pendant de longues minutes. Qui avait fait ça? Pourquoi? Quelle avait été leur intention?

-C'est vous qui habitez là à la place du jeune homme? » me demanda la vieille dame qui se plaignait souvent du bruit que je faisais.

-Oui, il est parti il y a un mois environ. Je m'appelle Michelle, » dis-je sans essayer de lui expliquer la situation. Elle n'aurait pas compris.

-C'est vrai que depuis un mois c'est moins bruyant! Enfin, sauf hier soir, » s'exclama-t-elle.

-Ah, vous êtes là, vous! » me dit le voisin d'en face.

-Euh, oui, que c'est-il passé, » demandais-je

-Deux gars, ils ont tambouriné sur la porte pendant deux heures. Et comme vous ne réagissiez pas, ils ont tagué la porte, » expliqua-t-il.

-Mais... vous n'avez pas appelé la police? » demandais-je.

-Si, mais, ils ne se sont pas déplacés, » me dit l'homme.

J'entrais chez moi, et je pris le temps de me doucher, puis de me changer. Après avoir pris une photo de ma porte, je repartais vers l'hôtel de police, un peu vexé de devoir retraverser la route.

-Bonjour Madame, c'est pour une plainte? » me dit un policier.

-Oui, Stéphanie Lopez n'est pas là? » demandais-je un peu désarçonnée.

-Non, c'est une plainte pour viol? On a d'autres femmes pour prendre votre plainte, » me dit-il.

-Non, ce n'est pas un viol, mais elle s'est occupée de moi la dernière fois. »

-C'est pour quoi? »

-Du harcèlement. Cette nuit, on a tagué ma porte, » expliquais-je, en montrant la photo sur mon téléphone.

-Vous savez quand ça a été fait? »

-Non, je n'étais pas là, mais les voisins m'ont dit que deux personnes avaient frappé à ma porte toute la nuit. »

-Et ils n'ont pas réagi? » me demanda-t-il.

-Il m'ont dit que vous n'aviez pas voulu vous déplacer, » rapportais-je. Il grimaça et tapa sur son ordinateur.

-Je ne trouve rien, » me dit-il, avant de recommencer à taper.

-C'est ce qu'ils m'ont dit. »

-Je ne remets pas en cause. Ils ont peut-être appelé la municipale, » me dit-il.

-Dans la semaine, je passerais les interroger. Vous savez qui sont ces deux personnes? » Pour moi, il était évident que c'était Paul et Abdou. Mais comment le dire.

-Je ... »

-Vous avez une idée? »

-Oui, mais aucune preuve. »

-Nous sommes d'accord. »

-Deux anciens amis ont essayé de me violer par deux fois... » Avouais-je.

-Vous avez porté plainte? »

-Non. »

-Déposé une main courante? »

-Non. »

-Alors vous allez déposer une main courante. Pour les deux fois, » me dit-il.

-Mais... »

-Vous ne les accusez pas de harcèlement, mais on a une trace des deux tentatives de vol. Et on fait le lien, » me dit-il en souriant.

-Je... dois vous raconter... » dis-je hésitante.

-Je peux appeler ma collègue, » me dit-il. Finalement, je lui racontais mon histoire. Depuis la boîte de nuit. Puis le match de rugby chez Marc. Et aussi l'histoire de la cantine.

-Je suis désolé, ce ne doit pas être facile à raconter. Mais ça nous fait des éléments contre eux. Le harcèlement implique une répétition, et là, on l'a, » me dit-il en souriant.

-Et, c'est tout? »

-Euh, oui. »

-Et s'ils reviennent? »

-Vous nous appelez, » me répliqua-t-il.

-Je... suis inquiète, » dis-je

-Bien sûr. Mais on ne peut pas vous donner un garde du corps. Attendez là, » me dit-il, avant de me laisser seule, pendant plus de 15 minutes.

-J'ai quelque chose pour vous, » me dit-il en revenant enfin.

-ça ressemble à un téléphone portable. Vous appuyez trois fois sur le bouton, et ça lance une alerte, » dit-il en me donnant un objet qui ressemblait à un smartphone.

En sortant de l'hôtel de police, je serrais l'objet d'alarme dans ma main. Je suis rentrée chez moi et après avoir lessivé ma porte, avec un succès mitigé, je passais mon après-midi à travailler.

La nuit fut angoissante, mais rien ne se passa. J'avais l'impression d'avoir obtenu le téléphone pour rien.

Le jour d'après, je suis retournée en cours, avec la robe que je venais de racheter. Sans doute un désir de provoquer Paul et Abdou. Une volonté de les piéger. Bien sûr je n'avais rien dit à Marc. Je voulais agir seule. Je ne voulais qu'il ait à prendre parti pour ou contre ceux qui avait été nos amis.

Mais, cela n'a pas marché, je ne les avais pas vus. À midi j'allais courir avec Céline.

-ça va avec Marc? » Me demanda-t-elle alors que nous nous déshabillons pour passer sous la douche.

-Tout le monde est au courant? »

-Ben, il t'a raccompagnée a moitié à poil tellement ta robe avait été déchirée, et vous êtes revenus juste à l'heure, tout sourire, l'un et l'autre, » rie-t-elle.

-On a manqué de discrétion? »

-C'est Paul et Abdou qui ont manqué de finesse, » me coupa-t-elle.

-Ils ont tagué ma porte ce week-end » ajoutais-je

-Tu n'as pas réagi? »

-Non, j'étais pas là, »

-Où étais-tu? » me demanda-t-elle.

-Chez... Marc, » avouais-je, provoquant un large sourire sur le visage de mon amie.

-À propos, tu t'y fais à pisser assise? » me taquina Céline.

-Je n'ai pas vraiment le choix? »

-Mais si » me dit-elle en se mettant dans la douche.

-Comment ça? »

-Par devant... » commença-t-elle en pissant debout, nue les jambes écartées.

-Et par-derrière » compléta-t-elle en se cambrant et le jet d'urine coula effectivement vers l'arrière. Quand elle eut fini, elle fit couler l'eau.

Je m'y essayais aussi, C'était plutôt facile, mais l'urine coulait aussi entre mes jambes. Le jeu de Céline n'était pas vraiment utilisable avec un pantalon ou même simplement une culotte baissée.

-Marc, je le trouve un peu mou, comme mec. À mon goût, » me dit Céline, une fois que nous en fûmes à nous essuyer.

Puis, je me rendais à la cafeteria. Paul et Abdou n'étaient pas là, mais Marc semblait attendre quelqu'un avant de manger. Il me fit signe, et j'allais m'installer pour manger avec lui. J'attendais une remarque sur ma tenue, mais pas une remarque graveleuse.

-Michelle, il y a une soirée jeudi soir, avant les vacances? Tu y viens avec moi? » me demanda Marc.

-Oui, bien sûr! » dis-je, un peu déçue qu'il n'ait pas fait de remarque sur ma tenue.

Le jeudi soir, je m'ennuyais un peu à la soirée. Après avoir bien dansé, Marc s'était mis à jouer aux cartes, et je n'avais pas envie de danser seule, ou avec une autre personne. Paul et Abdou ne se montraient pas, et je préférais ça. En fait, les vacances m'angoissaient. J'allais rentrer chez moi pour une semaine, et affronter mon frère et mon père, avec le peu de soutien que ma mère voudrait bien me donner.

En fait, j'avais envie de repasser un moment avec Marc. J'avais envie de danser avec lui, mais pas sur la piste de danse. J'avais envie d'une autre danse, plus intime. Je repensais à ce que nous avions fait. Et j'étais désespérée de ne pas ressentir physiquement cette envie. Je n'avais pas cette chaleur dans le bas de mon ventre. Encore une fois, ce corps me trahissait, par son absence de libido.

Je passais aux toilettes, mais comme d'habitude les toilettes des filles étaient saturées. Je sortis prendre l'air. Plus loin sur le parking, un gars prenait une fille sur la capot d'une voiture. J'étais plus dégoûtée qu'autre chose, alors qu'avant ça m'aurait excitée. J'avais même plutôt peur, mais j'avais toujours le smartphone d'alerte, que j'avais glissé dans mon corsage : ma robe n'avait pas de poches.

Je repensais à Celine, et une idée folle me passa alors par la tête : je retirais ma culotte, et je remontais ma robe. Les jambes écartées j'évacuais mon urine. Je retournais à l'intérieur soulagée d'avoir vidé ma vessie, mais un peu effrayée d'avoir, peut-être, attiré vers moi un pervers. Je ne savais plus très bien comment remettre ma culotte. Je décidais ne pas le faire et de la ranger dans mon sac que j'avais laissé près de Marc. Une idée me vient alors.

-Tu peux me garder ça? » Lui dis-je alors en glissant ma culotte soigneusement pliée dans la poche de sa veste.

-Oui, bien sûr! » Me dit-il. Je le regardais alors de loin. Il fallut quelques minutes pour qu'il glisse sa main dans sa poche. Il devait tâter le tissu et deviner de la dentelle. À quoi pensait-il?

-Il sortit le bout de tissus, et le regarda. Il sursauta en comprenant ce que c'était, et il le remit dans sa poche. Puis de son regard il parcourut la salle, jusqu'à ce qu'il me trouve. Il se leva. Je devinais sa bosse entre ses jambes. Il venait vers moi. Je devinais son excitation tellement ses yeux brillaient. J'avais peur de ne pas savoir assumer le feu que je venais d'allumer. Lui était à fond. Et moi...? Moi, je commençais à sentir ce petit pincement entre les cuisses.

-Tu veux rentrer? » me demanda-t-il. J'avais un peu de mal à ne pas rire.

-Comme tu veux. Ça te gène si je dors chez toi, ça t'évite de faire un détour » répondis-je sans rire. Lui me fusilla du regard.

-J'allais te le proposer » me dit-il, en serrant un peu les dents.

-C'est quoi ça? » me cria-t-il une fois dans la voiture en me montrant l'objet que je lui avais confié. J'étais impressionnée et surprise de sa colère.

-C'est une culotte, la mienne. Les toilettes des filles étaient pleines, alors je suis allée dehors. Je n'ai pas pris le temps de la remettre, car il faisait froid. Et je n'ai pas de poche... » Commençais-je à expliquer.

-Ça va, ça va, j'ai compris... mais si je l'avais dépliée devant tout le monde? » Me rétorqua-t-il déjà moins en colère.

-Tout ce monde se serait dit que tu avais une admiratrice. Certains se seraient peut-être doutés que j'étais sans culotte. Dans les deux cas, je ne pense pas que ce soit 'dévalorisant' pour toi, si? » Demandais-je sans doute un peu trop amusée par la situation. Peut-être aussi excitée par son excitation et par le fait d'être cul-nu, et quelque part 'accessible'.

-Et si quelqu'un en avait profité? » me dit-il.

-Paul et Abdou n'étaient pas là. Et puis je sais que je peux compter sur toi... pour être le seul à en profiter, » le provoquais-je encore, en me choquant un peu moi-même de ma propre audace.

Dans l'ascenseur, nous nous embrassions, et lui semblait perdu en essayant de glisser une main sous ma robe.

Une fois la porte de son appartement passée, je commençais à défaire son pantalon.

-On va dans la chambre? » me demanda-t-il.

-Non, sur le canapé, relève ma robe, » soufflais-je, en me penchant sur le canapé. Quand il releva ma robe, je sentis le souffle d'air entre mes jambes.

-Tu es un peu basse... » Me dit-il alors qu'il se baissait sur ses jambes.

-Lève-moi, » proposais-je. Il m'agrippa par les cuisses, et me souleva pour me basculer sur le canapé. Je devais repousser l'assise avec mes mains, pour ne pas culbuter vers l'avant. Il écarta mes jambes sans grand ménagement, et se glissa entre mes cuisses. J'étais ravie d'être ainsi malmenée. Je sentis son sexe contre ma fente.

-Oui, prends-moi, fort! » dis-je. Il ne se le fit pas dire deux fois! Une fois qu'il m'eut pénétré de toute sa longueur, nous soufflions un soupir de soulagement. Ma position un peu instable ne me permettait pas de participer pleinement, mais j'appréciais d'être ainsi son objet sexuel. À moins que ce soit moi qui en aie fait mon objet sexuel en le provoquant ainsi.

C'était intense, mais ça ne dura pas longtemps. Épuisés, nous sommes retournés dans sa chambre.

-Je suis désolé, je t'ai un peu brusquée, » commença-t-il. Je posais un doigt sur sa bouche.

-Oui, je crois que je t'ai un peu provoqué, » répondis-je amusée.

-Tu m'as carrément allumé! » corrigea-t-il. Il avait raison, et j'avais bien aimé le faire et en subir les conséquences.

-Il ne faut plus que je le fasse? » Demandais-je.

-Non, enfin, si... mais... » me dit-il.

-On dirait que tu reprends des forces? » dis-je, en remarquant un début d'érection. Une occasion inespérée de changer le sujet de discussion.

-Euh... quand je repense à ce que tu as fait... » Commença-t-il. Je le repoussais sur le lit, et en l'embrassant, je montais sur lui à califourchon. Son sexe continuait à reprendre de la vigueur. Je repensais que j'allais avoir du mal à marcher le lendemain.

J'attrapais son sexe, et, me soulevant, je guidais cette épée dans mon fourreau.

-Hummm, oui, » dis-je, en m'empalant tranquillement sur lui. Je commençais par de petits mouvements d'avant en arrière. Lui me prit par les hanches. Je corrigeais la position de ses mains en les posant sur mes seins.

-J'adore... » dit-il. Et il commença à relever ses hanches. Je ne pensais pas me lancer dans un rodéo. Mais ce soir-là, je suis restée en selle jusqu'à l'épuisement de mon étalon.

Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
Partagez cette Récit

récit TAGS

Histoires SIMILAIRES

Comment se Débarrasser des Gêneurs Les diners de Valdimir ont une sombre réputation...
Le Xchange Anal Challenge 01: La Cage Jean découvre une cage de chasteté surprenante
On Vacation - An X-Change Novella Ch. 01 Part 1 An X-Change Love Story.
Investigating in X-Change Ch. 01 - Prep A policeman wants to investigates why girls disapear.
Plus d'histoires