Dosé Ch. 09

Informations sur Récit
La libido retrouvée.
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Partie 9 de la série de 9 pièces

Actualisé 05/17/2024
Créé 10/20/2023
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Cette œuvre est une fiction basée sur les pilules X-change qui permettent de changer de genre facilement, pour différentes durées.

Cette histoire est une fiction qui n'a d'autre but que de vous divertir. Je ne défends aucun des comportements de mes personnages. Ils ne sont pas des modèles à suivre.

les produits X-change n'existent pas dans la réalité.

Ceci est le dernier épisode, un résumé sommaire est prévu au début de l'histoire

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La libido retrouvée

Au matin, je me suis échappée, pour retourner chez moi, me doucher, me changer et préparer mes bagages pour rentrer chez moi pour les vacances.

La matinée est passée sans que je m'en rende compte, et à midi, j'étais ravie de retrouver Marc. Je n'hésitais pas, devant tout le monde à l'embrasser sur la bouche.

- Je regrette un peu la robe d'hier! » s'exclama-t-il

- Pas pour prendre le train, » expliquais-je, contente d'avoir le lendemain la remarque que j'avais attendue la veille.

Le trajet fut le moment de repenser ce que j'avais traversé!

Le garçon que j'étais, avait été transformé en fille dans une boîte de nuit : l'Antre de la Bête. Une pilule X-change, que l'on avait laissé tomber dans mon verre de bière. Rachida m'avait alors pris sous son aile protectrice en me fournissant des vêtements. Nous pensions alors que cette transformation durerait une journée. Mais, après 26h (24h, plus 2 heures de sécurité), il avait fallu me rendre à l'évidence : j'allais rester fille plus longtemps. Les policiers et Rachida avaient essayé de me faire comprendre que je me faisais de faux espoirs en pensant que cela durerait 28 jours. Mais après ce temps écoulé, la responsable l'avait confirmé, ma transformation était définitive.

Ces premiers jours je les avais passés dans l'idée que je reprendrais ma vie comme avant. J'avais aussi l'interrogation de savoir lequel de mes amis m'avait joué ce mauvais tour. Le but étant en général de violer la personne transformée, Paul et Abdou étaient en bonne position sur ma liste de coupables potentiels. Mais c'était une autre personne. Savoir ça m'avait libérée. Et j'avais pu découvrir le sexe au féminin avec Marc. Mais jusque-là, ma libido restait un mystère.

Aussi, dans le train, je décidais de noter les moments où j'avais été excitée. Mais c'était difficile. D'abord parce que souvent, c'était après coup que je réalisais mon excitation. Cela laissait des traces dans ma culotte, sans que j'en sois consciente sur le moment. Une érection était nettement plus parlante.

Enfin trois ou quatre fois j'avais été excitée au point de m'en rendre compte. La première fois; c'était en sortant de cette pizzéria, j'avais trop bu et rien ne s'était passé. Je ne savais même pas si j'étais vraiment sexuellement excitée, ou juste complètement désinhibée. Je me souvenais de Marc qui me tapait sur la main en me demandant d'être sage. Sur le moment, il n'avait pas voulu aller plus loin, et je lui en voulais un peu. Il y avait eu la seconde fois où Paul et Abdou avaient essayé de me violer. Marc était intervenu.

Il m'avait raccompagné jusque chez moi pour que je me change. Il m'avait pris dans ses bras, et m'avait fait un bisou dans le cou. J'avais du mal à savoir ce qui avait déclenché ces fourmillements dans mon ventre. Et puis, il y avait ce moment pendant un match de rugby. On s'était cherchés, provoqués, l'un l'autre. Nous savions tous les deux que ça finirait comme ça. Mais le moment où j'ai senti mon excitation : c'était quand j'avais vu son érection dressée vers moi. Peut-être étais-je déjà excitée? Et enfin la dernière fois était plus facile : la veille, je lui avais glissé ma culotte dans sa poche. Et j'avais pris conscience de mon excitation en voyant son regard quand il est venu vers moi. Enfin, peut-être pas son regard, mais plutôt la bosse dans son jean, qui trahissait son érection.

J'étais perdue dans mes pensées quand je me rendis compte que le train allait arriver en gare. J'avais juste le temps d'aller me soulager. Passant aux toilettes, j'en profitais pour estimer mon niveau d'excitation. Ma culotte ne trahissait rien, mais la météo de ma vulve était plus humide, mais pas encore les grandes eaux. En me rhabillant, je repensais à mon souci : comment m'en rendre compte sans y mettre le doigt? Pas facile!

En me rasseyant, je serrais les cuisses. Et je notais une sensation diffuse plutôt agréable.

Mon frère avait voulu accompagner ma mère pour venir me chercher. Et franchement, il m'agaçait, mais ne m'aidait pas à porter mes bagages.

- Il va falloir te trouver des vêtements qui fassent plus hiver, » me dit ma mère sur un ton proche du reproche.

- Oui maman, » dis-je. Je profitais de l'instant pour serrer les cuisses. Et là, je n'eus pas la sensation agréable. Oh! C'était diffus. Cela nécessitait de se concentrer, mais il me semblait tenir là un début de piste sur les signaux faibles de mon excitation sexuelle!

Le retour à la maison, et le dépôt de mes affaires dans la chambre s'étaient bien passés. Le repas aussi. Et, alors que mon frère s'éclipsait, je savais que je devais aider à débarrasser. C'était sexiste, mais j'en avais profité quand j'étais un garçon, et je ne me voyais pas laisser faire ma mère seule. D'ailleurs, elle me parlait de ce qu'elle pensait qu'elle devait m'acheter comme vêtements. Elle s'en réjouissait, et pour être honnête, je m'en réjouissais également.

- Tu ne veux pas mettre une robe, ou au moins une jupe pour aller faire des achats? Tu sais pour choisir des chaussures, ou des collants ce sera mieux, » finit-elle par dire, et je montais me changer pour me soumettre à la volonté matriarcale. J'étais plutôt amusée, et je comprenais qu'elle ait envie de profiter de sa nouvelle fille, dans une tenue féminine.

- À propos... c'est définitif? » Me demanda-t-elle encore une fois.

- Oui, Maman, tu sais, c'est une femme que j'ai voulu protéger d'un homme violent... » Commençais-je.

- Je ne comprends pas ce qui l'a motivée, » me répondit-elle.

- Il y aura un procès, » ajoutais-je. Cela semblait la satisfaire.

- Tu as un copain, et il t'a enfilée? Tu l'as sucé? Tu t'es fait mettre? Et tu lui as même mis ta culotte dans sa poche? » me demanda mon frère qui en fouillant dans mes affaires avait trouvé les feuilles sur lesquelles j'avais pris des notes dans le train! »

- Je... » Je ne savais quoi dire!

- Mais enfin, c'est quoi ces manières et ce vocabulaire! File dans ta chambre. Je vais te trouver une pilule pour toi aussi, » hurla ma mère! Mon frère fila dans sa chambre et claqua la porte.

- Voici la clé de la porte de ta chambre, je crois que tu en as besoin, » me dit-elle.

J'étais un peu honteuse en me changeant, et j'étais au bord des larmes. Mais finalement, je redescendais après avoir fermé ma chambre à clé. Et nous sommes montées dans la voiture.

- Tu sais, les mères n'ont pas à savoir ce que font leurs filles, et inversement, » me dit ma mère.

- Oui, » répondis-je, d'une petite voix.

- Fais juste attention à ne pas te retrouver enceinte, et à ne pas avoir une réputation, » me conseilla-t-elle.

- Je... je fais attention. Et oui, j'ai un copain, » dis-je simplement.

- Je suis désolée, si tu avais été ma fille avant j'aurais donné ces conseils avant... »

- Tu me les as donnés, mais plus sur la forme du respect dû aux filles.... » Dis-je en me rappelant comme cela m'avait agacé à l'époque.

- Ce doit être curieux, mais instructif de vivre cela en tant que fille en ayant été homme avant, » me dit-elle, tout en souriant. Elle était mal à l'aise. Moi aussi.

- En fait... Je suis un peu perdue. En tant qu'homme ça me paraissait facile. Là... »

- Tu comprends mieux tes copines? »

- Je dirais plutôt que je ne me comprends pas moi-même, et que du coup, je comprends pourquoi je ne les comprenais pas! » dis-je, en riant légèrement. Il y avait un malaise à discuter de ça avec ma mère.

- En tout cas, mettre sa culotte dans la poche d'un garçon, ça doit être efficace, » commenta-t-elle. Un peu comme si elle approuvait.

- Oui, bon, » dis-je tout pas, honteuse.

- Mais, non, c'est que tu savais ce que tu voulais. C'est osé. Mais j'aime bien, » me dit-elle d'une voix calme.

- Tu sais qu'une fois, j'ai pincé les fesses de ton père? » me dit-elle.

- Maman! » la coupais-je, avant de réagir, « ce n'est pas si osé... »

- Nous étions dans un ascenseur, et je me suis collée à lui, face à face... Puis j'ai fait glisser mes mains le long de son dos, en les glissant dans son pantalon jusque sur ses fesses... je crois que c'est le jour où l'on t'a conçu, » me dit-elle tout rouge. Elle serrait les cuisses, puis les relâchait. Manifestement, c'était un bon souvenir... Moi-même, serrer mes cuisses était agréable. J'étais un peu choqué que ma mère me raconte ça, mais je notais l'idée : il allait falloir que je trouve l'opportunité de faire ça à Marc!

Il me fallut un moment pour réaliser que nous étions stationnées, et qu'elle me regardait alors que j'étais pensive.

- Et si ta question c'était de savoir ce qu'était l'envie féminine, moi j'ai toujours eu la sensation que j'avais besoin que le garçon me montre qu'il me désirait. Mais on est sans doute toutes différentes, » me dit-elle, et immédiatement après elle est sortie de la voiture. Nous allions dans le centre commercial, me chercher des vêtements d'hiver.

- Tu veux des bas, des vrais avec un porte-jarretelles? » me demanda-t-elle. J'étais surprise, et je n'osais pas répondre.

- C'est un peu cher, mais ça plaît toujours... » Me dit-elle.

- Je te l'offre, et tu l'utiliseras, ou pas. Et tu n'auras pas à me le dire, » me dit-elle.

J'étais très mal à l'aise de mettre ça, mais cela me rappelait les collants colorés, et je trouvais cela excitant de mettre ces bas. J'aimais leur contact sur ma peau. J'imaginais les doigts de Marc dessus.

- On met la culotte dessus, ou dessous? » Demandais-je dans la cabine d'essayage.

- Dessus, pour pouvoir aller aux toilettes sans défaire les jarretelles, » me dit ma mère. C'était évident.

- Merci, » dis-je à la caisse quand le porte-jarretelles et deux paires de bas tombaient dans un sac. J'avais hâte de faire découvrir ça à Marc. Et c'est là en serrant les cuisses que je réalisais mon excitation.

Je dois dire que cette semaine à la maison c'était passé lentement, et j'avais pu réfléchir sur ma libido, essayant plusieurs fois les bas dans ma chambre. Chaque fois, je sentais l'effet sur mon corps, mais l'effet n'était pas celui des bas, mais plutôt de la réaction de Marc en me voyant en bas.

Nous avons eu un passage au spa, où j'en profitais pour refaire mon épilation.

Évidemment, j'arrivais sur ma dernière pilule du mois, et mes règles se déclenchèrent le jour de mon retour. La pilule avait par contre été efficace contre les douleurs d'avant les règles. Dans le train, j'attrapais ma liste faite à l'aller. Mais une question me préoccupait. J'avais toujours été partisan de la sodomie pendant les règles. Aucune de mes copines n'avait partagé ce point de vue. Et maintenant, j'étais nettement moins convaincue, maintenant que le cul devant être pénétré était mien.

Je repensais à la discussion avec ma mère, et aux points que j'avais notés. Pour elle, le déclencheur c'était de se sentir désirable. Or, dans les cas où ces picotements dans le bas ventre, Marc s'était occupé de moi, soit en étant tendre, soit quand je l'avais provoqué, en me montrant son désir par son érection. Cela faisait sens maintenant : mon envie dépendait de son désir. Désir que je pouvais stimuler en « l'allumant ». Je n'aimais pas dépendre de lui, mais cela correspondait à ce que j'avais ressenti jusqu'à maintenant. Je devais vivre avec. L'utilité des bas et du porte-jarretelles m'apparaissait alors importante, autant pour l'exciter sur le moment, que pour me préparer moi, en anticipant son désir. Je serrais les cuisses pour mesurer mon excitation, mais je ne ressentais rien. 'Flûte, la sensation n'est pas la même en fonction du jour de mon cycle' pensais-je.

Un peu vexée, je rangeais mes notes. Homme, je savais m'exciter facilement. Et puis une idée fit son chemin, si j'ose l'exprimer ainsi : j'attrapais mon smartphone et je tapais « comment se faire sodomiser, » après tout en lui offrant mon petit trou, ne provoquerais-je pas son excitation, et donc la mienne?

Je souriais du ton de l'article : « Toutes les règles pour passer par la porte de derrière sans faire de fausses routes! » L'article était-il bien écrit (NdA : il l'est) ou ma culpabilité d'ancien mâle m'entraînait-elle à m'offrir sur l'autel de la sexualité anale? L'idée d'essayer ne m'était plus aussi désagréable. Je repensais aussi à la chanson de Gainsbourg « tes trois orifices ». Je notais les sex-toys qu'il me fallait. Mais je me demandais aussi comment aller les chercher...

Le lendemain, j'étrennais de nouveaux vêtements, et travaillais ma course avec soin, car j'avais remarqué que ma semaine de congé avait eu un effet sur ma ligne. Puis, je rejoignais Marc à la cantine.

- Oh, je ne te reconnaissais pas dans cette tenue, » me dit-il en m'embrassant.

- Tu ne dis ça que parce que tu as envie de me l'enlever, flatteur, » répondis-je

- L'idée me plaît. Tu veux venir chez moi ce soir? » Me demanda-t-il.

- Je ne voudrais pas te décevoir, » répondis-je

- Ça ne va pas? »

- Zone rouge, » expliquais-je. Il mit du temps avant de réagir.

- Aïe... » Me répliqua-t-il.

- Tu sais, ça arrive tous les mois! » Répondis-je.

- C'est vrai que tu as de l'expérience, » me taquina-t-il.

- Tu as un point, » reconnus-je.

- Et du coup, tu ne veux pas venir? » Me dit-il...

- Si, mais je ne voudrais pas tout peinturlurer en rouge! » Expliquais-je.

- Je comprends... mais on peut peut-être faire autre chose? » Me proposa-t-il. Nous y étions.

- Tu penses à quoi? » Demandais-je;

- Euh, » me dit-il. Il n'osait pas le dire. Et je dois dire que je me régalais de le mettre mal à l'aise. Oui, je suis taquine.

- Tu veux que je vienne te sucer? » Dis-je sur un ton un peu indigné.

- Non, non, ce n'est pas ça...»

- Alors? Tu ne voudrais pas me sodomiser quand même? » Demandais-je.

- Euh, non... » Dit-il d'une petite voix.

- Je viens, si on ne fait que des calins, pas de sexe... » proposais-je

- Ok, d'accord, » dit-il, la tête basse.

Le soir même, nous étions dans les bras l'un de l'autre. Et à un moment, il passa une main sous ma jupe, le long de mon collant. Je tapais la main.

- Marc, j'ai dit non, » dis-je brutalement.

- Désolé... mais c'est tentant, » pleura-t-il.

- Je sais, mais moi j'ai mes règles. J'ai pas envie, et si on le fait on va faire des taches, » insistais-je.

- C'est pas facile pour moi? »

- Je sais... Mais je crois que j'ai compris comment je fonctionne... » Dis-je, pour changer de sujet.

- Ah, oui? »

- Demain, tu pourrais m'emmener dans un sex-shop? » Demandais-je. Il se tendit.

- Demain, tes règles sont finies? »

- Non. Mercredi ou jeudi plutôt. »

- Ah.... » fit-il manifestement déçu.

- Tu me fais confiance? »

- Oui... » dit-il, en trouvant un peu d'entrain.

Le lendemain,, il me conduit à un love-shop, un sex-shop de luxe difficilement accessible sans voiture. Seule, j'aurais eu peur d'y aller. Mais je prenais un plug anal, du lubrifiant, et une poire à lavement.

- C'est pour faire quoi? » me demanda-t-il.

- Tu voulais passer par-derrière, non? » dis-je simplement.

- Euh... tu voudrais bien? »

- En tout cas on peut essayer » dis-je avec un clin d'œil. Je le vis réajuster son jean.

Le lendemain, j'allais en cours en jean. Marc le remarqua, mais ne dit rien. Mais le soir, je repassais chez moi, me changer. Je reprenais une robe, et je mis mon arme secrète : le porte-jarretelle!

J'anticipais la réaction de Marc en me voyant ainsi. Il allait bander comme un taureau. Et j'allais le faire attendre pour me préparer pour me sodomiser. Quoique, cette étape pouvait sans doute attendre... Je me demandais si une relation normale ne serait pas suffisante.

Prête, ouvris-je ma porte, que je me trouvais face à Paul et Abdou!

Je refermais la porte, mais à deux, ils poussaient si fort, que je ne pus rien faire, ils pénétraient dans mon appartement. Je pensais au smartphone d'alerte, mais où était-il? L'avais rapporté de chez mes parents? Je paniquais en reculant dans mon appartement. Mais, un studio, ce n'est pas très grand.

- Vous êtes chez moi, partez! » criais-je. Ils riaient, j'étais terrorisée.

- Fais-nous un strip-tease, et tout se passera bien, » dit Abdou, mais je savais que ce ne serait que le début.

- Ou au moins, relève ta jupe, on voudrait voir ce qu'il y a dessous, » ajouta Paul.

- Non, laissez-moi! » criais-je à nouveau espérant qu'un voisin réagirait.

- Arrête de crier, et viens plutôt me sucer, ta bouche est faite pour ça! » dit encore Abdou.

- Non, partez, » hurlais-je. Mon sauvetage dépendait de petits vieux à moitié sourds! Ils avançaient, et quand Abdou fut suffisamment près, il tendit la main, voulant le repousser je lui offrais mon bras qu'il saisit, puis il me tira vers lui, et me poussa vers le lit sur lequel je m'étalais, perdant mon sac à main, avec mon smartphone.

L'un d'eux attrapa le bas de ma robe et la remonta.

- Ben c'est joli tout ça, on dirait un paquet cadeau, juste prêt pour nous » s'exclama Paul.

- Tu nous attendais? » Rit-Abdou, qui relevait ma robe, encore un peu plus.

Je roulais sur le lit pour leur échapper, mais ils attrapèrent mes pieds, et me tirèrent vers eux.

- On va prendre notre temps, et visiter tous tes orifices, tu seras bien garnie » dit Abdou. Je frémis de peur. Dans l'article sur la sodomie, ils étaient clairs sur le fait que, mal-fait c'était archi douloureux. Et mal-fait c'était fait dans la précipitation. Ils disaient qu'il fallait une grande confiance entre les deux partenaires. Je ne faisais pas confiance à Paul et Abdou!

Un objet attira mon attention. Le reconnaissant, je l'attrapais.

- Hop, hop, hop, laisse ce smartphone, » dit Paul, en me l'attrapant des mains alors que je n'avais appuyé qu'une fois sur le bouton.

- De toute manière, il ne marche pas ton truc! » ajouta-t-il, en me montrant que le bouton latéral n'avait aucun effet. J'espérais que l'alerte avait été donnée. Si c'était le cas, c'était Paul qui l'avait fait!

Je reculais pour me relever. Abdou me laissa faire, mais alors que j'allais courir vers la porte, il remonta le bas de ma robe. Paul retira son ceinturon. Qu'allaient-ils faire?

Je m'attendais à ce que Abdou déchire ma robe, mais, pas du tout, il l'attrapait fermement, et la remontait. Paul l'aidait.

- Ça ne se retire pas comme ça, » finis-je par dire alors que je croyais qu'ils voulaient la passer au-dessus de ma tête. Mais pour ça il fallait défaire le zip dans le dos.

- t'inquiètes! » Me dit Paul en me serrant à la gorge avec sa ceinture.

- Non! »

Mais en fait au lieu de m'étrangler, il passa sa ceinture autour de mon cou, sur le bas de la robe. Il fit deux tours. Et serra un peu, mais, je pouvais respirer, encore. Par contre, mes mains étaient dans la robe : le bas relevé au tour de mon cou était maintenu par la ceinture. Évidemment comme ça tout le bas de mon corps était « accessible » et Abdou commença à baisser le tanga assorti à mon porte-jarretelles.

- Non, arrêtez! »

- Tu va voir, on va bien s'amuser ma salope, » me dit Abdou en me claquant les fesses.

- Elle est tout humide, » dit Paul en se permettant de me doigter brutalement.

- Allez à genoux, tu vas nous sucer d'abord, les filles X-change, elles jouissent juste en suçant! » Déclara Abdou.

Paul tapa avec le tranchant de la main derrière mon genou, et je tombais face au sexe circoncis d'Abdou, je n'avais pas encore remarqué qu'il avait ouvert son pantalon.

Il attrapa mes cheveux, et les tira pour forcer ma tête contre son sexe. Je gardais la bouche fermée, et pensais à voir si je pourrais le mordre. A ce moment, je sentis le sexe de Paul en bas de mes fesses.

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