Du Bonheur à L'horreur 03

Informations sur Récit
Vers la rédemption.
4.8k mots
4.65
13.5k
2
Récit n'a pas de balises

Partie 3 de la série de 10 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 08/28/2020
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Je me réveillais seule dans le lit de Carlos qui devait déjà être parti travailler en ce vendredi matin. En effet c'était la veille de mon mariage et je me réveillais dans le lit du patron de mon fiancé qui m'avait baisé toute la journée de la veille. Je regardais mon portable qui me montrait un message de mon Julien.

« Bonjour chérie j'espère que tu as passé une bonne soirée avec tes potes et que vous n'avez pas fait trop de bêtises 😊. Passe une bonne journée avec tes parents et on se voit demain devant l'autel. Je t'aime tellement Adèle »

Ce message touchant me fit fondre en larmes et me culpabilisa d'être si faible et manipulable. J'ai été totalement sous l'emprise de ce gros porc de Carlos que je trouve pourtant répugnant physiquement. Moi la jeune femme si timide et prude avec mon corps de déesse avait été totalement dominé et j'avais joui un nombre incalculable de fois. Il fallait absolument que je reprenne ma vie en main et que je redevienne la fiancée modèle que j'étais pour que nous reformions ce couple si parfait avec mon beau Jullien. Pour cela il fallait que j'évacue le démon qui me possédait et qui me faisait prendre tellement de plaisir et surtout qui m'empêchait de résister et de repousser les avances sexuelles de ces hommes. C'est pourquoi je pris la décision de rendre visite au père Emile dès ce matin afin de confesser mes péchés et qu'il m'aide à régler tout cela avant qu'il m'unisse demain à l'homme de ma vie.

Je partis en vitesse de cette villa du mal et me rendis chez mes parents ou j'allais passer ma dernière nuit de célibataire. Heureusement mes parents n'étaient pas chez moi et je pus entrer et filer directement prendre une bonne douche. Je me changeais et enfila une petite robe blanche d'été sur des sous-vêtements sage blancs également.

J'écrivis un petit message à Julien pour lui répondre de son message de ce matin.

« Bonjour chéri oui hier la soirée était super mais tu m'as beaucoup manqué. Je vais passer voir le père Emile aujourd'hui pour me confesser. Fais-toi très beau pour demain mon amour Je t'aime »

Je pris la route vers la petite église de mon village d'enfance il était 11h du matin. En effet le père Emile était le prêtre exerçant dans cette église depuis ma plus tendre enfance. C'est lui qui m'a baptisé, communié et à qui je rends visite régulièrement pour des confessions. Mais jamais je ne lui avais rapporté quel qu'onques pêché d'ordre sexuel. A vrai dire il y a deux jours mes expériences sur ce sujet étaient vraiment très limitées. C'est un homme de petite taille 1m60 et assez gras. Il doit bien avoir 65ans maintenant. C'était le parfait cliché du curé moyenâgeux mais il m'a toujours paru très sympathique et empathique. J'avais totalement confiance en lui.

L'église était en réparation et les ultimes travaux été en cours de finalisation pour le grand jour de demain. En arrivant je vis d'ailleurs 3 ouvriers en train de peindre la dernière partie qui devait être rénovée. Ces trois hommes ressemblaient à des gitans et paraissaient sales et vulgaires. Ils me dévisagèrent quand je passais devant eux pour entrer dans l'église. J'entendis même quelques sifflés.

En entrant je vis Emile installé sur son pupitre en train de répéter son office de demain. Il parut surpris de me voir mais agréablement surpris. Il vint me faire la bise avec son grand sourire.

- Bonjour Adèle, je suis content de te voir. Tu es venu voir que tout était prêt?

- Bonjour mon père, a vrai dire je suis venue me confesser comme c'est la tradition avant de se marier.

- A très bien! Parfait même si j'imagine que cela va être rapide, tu es si sage.

A ces mots je fondis en larmes devant lui. Il me prit dans ses bras avec une douceur très rassurante.

- Que se passe-t-il mon enfant. Ne pleure pas comme ça. Tu es si belle c'est dommage.

- Désolé mon père c'est que j'ai pêché très gravement ces deux derniers jours.

- Viens, on va se mettre dans le confessionnal et tu vas me raconter ça dans les moindres détails et je suis sûr que quoique tu ais fait le seigneur saura te pardonner.

Ainsi nous nous dirigeâmes vers le confessionnal. Je m'asseyais dans cote et le père Emile ouvrit la petite trappe de l'autre cote. La confession pouvait démarrer.

- Je t'écoute mon enfant

- Mon père j'ai pêché. J'ai succombé aux plaisirs de la chair

- Ah je vois, vous n'avez pas pu attendre le mariage avec Julien c'est ça?

- Oui enfin c'est vrai que nous avons fait deux ou trois fois l'amour et nous nous sommes déjà touchés et fais du bien mais toujours avec culpabilité et nous sommes reste très sage.

- Je me doute Adèle de nos jours ce genre d'engagement n'est pas souvent tenu tu sais. Et je suis persuadé que vous avez fait ces actes avec amour et retenu. Pas besoin de fondre en larmes

- Oui mon père mais c'est autre chose qui m'a poussé à venir vous voir.

- ...

- Avant-hier nous avons été invités avec Julien a un repas chez son patron et nous avons beaucoup bu. La situation a échappé a notre contrôle et ses collègues nous ont entrainé dans des jeux sexuels des plus sordides.

- Comment ça?

- Je ne me souviens pas de tous les détails mais je suis à peu près sûr d'avoir couché avec ses deux collègues.

- Soit plus explicite Adèle j'ai besoin de savoir l'étendu des dégâts.

- J'ai pratiqué la fellation, la sodomie et même la double pénétration et pas avec mon mari.

Je ne pus me retenir d'éclater en sanglots en racontant cela a cet homme qui me connaissait depuis toute petite. Sa voix quant à lui paraissait saccadée

- Ma pauvre Adèle, il me semble que votre faiblesse et votre manque de courage vous ont poussé à commettre ses horreurs. Mais je suis sûr que vous êtes les victimes dans cette histoire.

- C'est ce que je pensais mon père. Même si le plus grave et que j'ai pris beaucoup de plaisir. Les sensations que j'ai senties sont fortes et agréables.

- Oui le corps est parfois traitre ma belle. Tu dois apprendre à vaincre ces pulsions. Vous en avez parler avec Julien au réveil j'imagine?

- Non hier j'ai commis l'irréparable... J'ai dû revoir les collègues de mon mari pour récupérer des affaires sans que Julien ne soit au courant... Et je suis retombé dans la dépravation et cette fois sans alcool...

- Tu veux dire qu'en plus de tout cela tu as commis l'adultère?

- Oui avec 4 hommes différents durant toute la journée en prenant énormément de plaisir même si je culpabilise énormément. Je suis une horrible personne. Croyez-vous que je puisse être pardonné. Que ces pulsions peuvent être soignées?

- Ecoute moi attentivement Adèle. Je ne vois qu'un seul traitement pour ce genre de péchés mais tu dois me promettre de me faire confiance car seulement comme cela ton âme et ton corps pourront être libéré de ce démon.

- Je vous fais entièrement confiance mon père. Je veux retrouver ma vie d'avant et ma pureté je ferais tout ce que vous me demandez

- Très bien. Alors cela va se dérouler en 5 parties : L'inspection, la punition, la collaboration, la médication et la rédemption. Pendant tout ce processus qui va prendre toute la journée tu ne pourras plus parler. C'est bien clair?

- Oui mon père

- Bien donc en sortant de ce confessionnal tu vas me suivre et je ne veux plus entendre le son de ta voix avant la fin de la journée ou tu atteindras la rédemption et le pardon pour tes péchés.

En sortant le père Emile m'emmena dans une pièce a l'arrière de l'église. C'était une petite salle avec un lit, une table, une armoire. C'était glauque et l'ambiance était un peu maussade à l'intérieur. C'est là que devait dormir le père Emile et je le plaignais. Il prit place sur une chaise.

- Ma belle Adèle nous allons commencer par l'inspection. Pour cela je vais te demander de te mettre à nue et de te révéler a moi. J'ai besoin de comprendre l'étendue de tes symptômes afin de les corriger. Enlève ta robe!

Bien que la situation devînt malsaine je savais qu'il savait ce qu'il faisait et était prête a tout pour régler ce problème. Je fis donc tomber ma robe et me retrouver en sous vêtement devant ce vieil homme.

- C'est bien continu je dois te voir comme dieu t'a créé

Je dégrafais donc mon soutien-gorge et fis glisser ma petite culotte le long de mes cuisses. J'étais nue avec ma peau mate, mes petits seins parfaitement fermes avec mes tétons que le froid faisait dresser, mes fesses parfaitement bombées et mon pubis épilé parfaitement.

- Tu es vraiment magnifique Adèle. Tu ressembles à un ange. Viens sur mes genoux mon enfant que je commence à voir ce qui ne va pas.

Timidement je m'approchais de lui et vins m'assoir sur ses genoux dos a lui. Je sentis une bosse imposante sous son pantalon toucher mes fesses.

- N'ai pas peur je vais caresser ton corps pour voir quelles zones provoquent chez toi ces pulsions dont tu m'as parlé tout a l'heure.

Il commença par caresser mes épaules, ses mains froides me firent frissonner puis passa lentement sur mon cou. Il mit ses mains dans mes longs cheveux bruns, caressa mes joues, passa un doigt sur mes lèvres. Ses caresses étaient très douces et sensuelles et inconsciemment ma respiration s'accélérait. Il descendit ses mains sur ma poitrine qu'il soupesa puis massa doucement. Ses mains recouvrant entièrement chacun de mes seins il les pressait sans forcer pour passer ensuite à mes tétons qu'il pinçait doucement en les tordant un petit peu. Moi je commençais à me dandiner de plaisir sur ses jambes.

- Je vois que ton corps réagit beaucoup à ces caresses Adèle. Je commence à comprendre ce qui ne va pas.

Il continua en descendant ses mains le long de mon ventre puis caressa mes cuisses d'abord sur le dessus pour arriver vers l'intérieur. Il les écarta d'ailleurs lentement et plongea une de ses mains vers mon intimité. Au premier contact de ses doigts sur mon clitoris je ne pus retenir un gémissement. Il caressa mon clitoris qui était trempé et commença à introduire un puis deux doigts dans ma chatte.

- Tu es trempé ma pauvre Adèle. C'est bien plus grave que je ne le pensais.

Il me doigtait maintenant sans ménagement d'une main, l'autre étant sur ma bouche pour retenir les gémissements que j'émettais sans le vouloir. Sans me prévenir il me souleva et m'allongea sur la table et, tout en continuant de me doigter, commença à m'embrasser. Je répondais à son baiser enflammé, nos langues se chevauchant. Puis il suça mes tétons un par un pour enfin descendre entre mes cuisses. Il commença à laper mon intimité qui était complètement trempé. Je ne pus retenir longtemps un orgasme dévastateur. Il cessa ainsi son œuvre et se releva.

- Je n'aurais jamais pensé que tu étais si dépravé Adèle. J'aurais dû le voir bien avant. Moi qui te croyais si sage tu me déçois vraiment. Retourne-toi met toi a 4 pattes et cambre-toi bien j'ai encore une zone à explorer.

Honteuse et consciente de mon malheur je m'exécutais tendant bien ma croupe au prêtre. Il plongea deux doigts dans mon vagin pour les humidifier et les introduit dans mon anus. Il commença à faire des mouvements circulaires à l'intérieur tout en les faisant aller et venir. Je ne mis pas longtemps à sentir le plaisir remonter en moi. Ce qu'il put remarquer à ma respiration et aux petits bruits sortant de ma bouche. Il continua jusqu'à ce que j'atteigne un autre orgasme symbole de ma luxure.

- Bon le bilan est désastreux ma petite. Tu es infestée de partout par le malin. Cela va être compliqué de corriger tout cela mais nous allons y arriver. Je te préviens cela ne va pas être une partie de plaisir. On va passer à la punition. J'ai remarqué trois zones les plus érogènes à combattre. Tes seins, tes fesses et ton entrejambe.

Il me demanda de me mettre debout, ventre sur la table. Je le vis se diriger vers l'armoire et en sortir des cordes. Il me ficela les jambes aux pieds de table et les mains aux pieds opposé. Cette position mettait mes fesses bien en évidence. Emile fis le tour de la table et m'introduit une balle dans la bouche qu'il noua derrière ma tête. C'était inconfortable et mon attente dura un moment dans cette position jusqu'à sentir une énorme fessée s'abattre sur ma fesse gauche suivit d'une autre sur la droite. Je criais mais cela était étouffé par la balle. Des larmes commençaient à couler le long de mes joues.

- Tu vas souffrir petite vicieuse. Tu n'as ce que tu mérites pour être une petite salope.

Les fessées s'enchainaient à un rythme soutenu aggravant a chaque coup la douleur. Le supplice s'arrêta a 30 et mes fesses devait être bien rouges. Je pensais qu'Emile allait maintenant me détacher, je me trompais lourdement. Après un petit instant une douleur immense envahit mes deux fesses, je hurlais de douleur pleurant maintenant avec des grosses larmes.

- Ça fait mal hein? Petite chienne. Le martinet a boules c'est tout ce que comprenne les putes dans ton genre.

Je ne reconnaissais plus l'homme à qui je confiais mes secrets depuis 20ans. Il me parlait crûment et vulgairement, j'assumais que c'était pour vaincre mes démons. Il me frappa avec son outil une bonne trentaine de fois je sentais par moment une lanière s'immiscer entre mes fesses frappant directement mon anus ce qui dupliquer la douleur. Complètement abattue et resignée je me laissais faire quand il dénoua mes liens cependant ce n'était que pour attacher mes mains à un crochet au plafond. J'étais cette fois suspendue les bras tendus en l'air.

Il entoura mes seins de corde qu'il serra très fort ce qui était très douloureux. Je vis d'ailleurs rapidement mes seins changer de couleur et devenir rouge vif. Il attacha deux énormes pinces sur chacun de mes tétons ce qui me tordit douleur. Je cherchais son regard pour lui procurer de la pitié mais je ne vis que rage et détermination. Il partit me laissant ainsi seule avec ma souffrance une bonne vingtaine de minutes qui me parurent une éternité. Quand il revint il enleva les pinces recula et frappa avec le martinet sur mes seins. Je passais du soulagement a la douleur en un dixième de seconde. Emile avait le regard haineux et frappait à intervalle régulier sur mes seins. La bave coulait abondamment sur mon menton et je manquais de m'évanouir. Enfin il arrêta et retira les cordes autour de mes seins que je ne sentais plus.

- Il reste une dernière étape Adèle pour finir ta punition.

Il écarta mes jambes et positionna une pince sur chacune des lèvres de mon sexe avec un petit poids ainsi qu'une autre sur mon clitoris. C'était vraiment horrible la douleur que je ressentais mais je ne cherchais mémé plus à crier sachant que cela était inutile.

- J'ai une messe à effectuer je reviens dans une heure. Tiens le coup tu sais que c'est pour ton bien.

Cette heure fut l'une des plus longue de ma vie surtout qu'en plus des poids sur mon sexe, la douleur dans mes bras devenait vraiment puissante ainsi que mes mâchoires qui étaient distendues depuis un bon moment. Emile revint enfin et me libera de tous mes supplices. Je m'écroulais par terre. Il me souleva et me déposa sur le lit.

- C'est bien tu as fini la deuxième étape, repose-toi un moment je viendrais te chercher pour la collaboration.

Je m'endormis un bon moment je pense et fus réveillé par Emile qui me caressa les cheveux tendrement.

- Réveille-toi mon enfant, Il est 17h c'est l'heure de la collaboration. Enfile cette tenue et rejoins-moi dans la nef.

Il me tendit une tenue de bonne sœur que j'enfilais avant de sortir le rejoindre. Tout mon corps était douloureux mais j'étais déterminée à suivre le processus du père Emile.

- La collaboration consiste à effectuer une bonne action et à en faire profiter la société. Pendant que tu dormais j'ai réfléchi, tu vas aller voir les ouvriers dehors. Ils ont fini la rénovation de l'église et c'est vrai que nous ne les avons pas payés beaucoup. Je pense que ce serait bien que tu aille dans leur bungalow avec ce panier de nourriture et que tu partages le repas avec eux. Et remet cette lettre au chef cela indique que tu ne peux pas parler mais que tu peux les aider s'ils ont besoin de quoique ce soit pendant deux heures.

Dans mon fort intérieur je me demandais si le père Emile était naïf ou si c'était intentionnel mais vu comment ces 3 hommes m'avait sifflé en arrivant ce mot n'allait pas signifier la même chose pour eux. Je ne voulais pourtant pas gâcher tout ce que j'avais enduré et ne rompis pas mon vœu de silence. Je me rendis donc avec le panier de nourriture et la lettre devant le bungalow des ouvriers situé derrière l'église.

Je frappais à la porte toujours dans ma tenue de nonne. On m'ouvrit la porte étonné, je tendis donc la lettre. L'homme était vraiment le stéréotype du gitan mendiant de métro sale et vulgaire. Il devait avoir la cinquantaine, il lut la lettre et avec un grand sourire dont il manquait des dents il me fit rentrer. Le bungalow était en fait une sorte de vestiaire avec des cabines de douches au fond, une toilette, une table centrale et des casiers. Des posters de femmes nues recouvraient les murs et l'odeur dans cette pièce était vraiment forte, un mélange de sueur de clope et d'urine. Les deux autres hommes étaient assis torses nus en train de fumer leurs clopes en buvant une bière de fin de journée. Ils parurent aussi surpris de me voir entrer avec leur collègue. Les trois hommes se ressemblait beaucoup, vieux, sales, des dents en moins, poilus, des horreurs. Je déposais le panier garnit sur la table sans un mot.

- La petite vient partager un repas avec nous les gars. Et surtout elle a fait vœu de silence et est là pour nous aider si on a besoin. Hahah

- Je crois rêver une petite nonne vient nous aider c'est gentil ça

- Oui c'est un petit cadeau du prêtre pour nous remercier de la rénovation.

- Bon bah on va bien en profiter ça serait bête de refuser haha

Les trois hommes me scrutaient du regard et commençaient à m'entourer.

- Par contre les gars je n'ai pas très faim mais c'est l'heure de la douche et je pense qu'on va avoir besoin d'aide pour ça.

- C'est clair c'est compliqué de se savonner tout seul et surtout qu'on est bien sale avec cette journée de boulot.

- D'abord elle va nous montrer la marchandise la cochonne.

- Ouais surtout que tu nous as bien ignorer quand on t'a sifflé tout a l'heure

- C'est clair tu vas payer ça

- Allez fou toi à poil on ne se douche pas habiller

Je pleurais mais je savais que mon sort était scellé et que cela faisait partie de ma rédemption. Je retirais donc ma robe de nonne et me retrouva nue au milieu de l'assistance.

- Ouah vous avez vu les marques sur ses fesses et ses seins

- Elle a dû déguster la garce

- C'est qu'il ne rigole pas Emile haha

- Bon au moins on sait qu'on peut y aller fort avec cette garce

- Hahah qu'est ce qu'elle est bonne! J'ai l'impression de rêver aucun poster n'arrive à la hauteur

- Ouais et j'en ai baisé des putes mais aussi belle et jeune jamais. On a deux heures les gars alors on va se régaler.

Ces commentaires étaient le comble de l'humiliation surtout venant de ces trois mecs que je méprisais il y a 5h

- Bon c'est moi qui commence

Celui qui m'avait ouvert et qui devait être le chef me prit par main et m'emmena dans la cabine de douche. Il se déshabilla vite et je pu découvrir une grosse bite d'au moins 25cm. Il alluma la douche ou nous étions assez serré

- Allez ma grande tu vas me laver maintenant

Toujours dans mon silence je pris le savon sur le côté et commença a lui savonné le torse puis les bras, son ventre bedonnant, son dos... Il était couvert de poils. Pendant ce temps lui en profiter pour me tâter les seins à pleine mains et sans aucun tact. Quand j'eu bien laver son corps il lui restait son sexe que je savonnais rapidement.

- Ça tu vas finir de la laver avec ta bouche cochonne

Il me mit donc à genoux et introduit son gros sexe entre mes lèvres, pris ma tête entre ses mains et commença à imprimer un va et vient de plus en plus profond et de plus en plus rapide. Je ne le suçais même pas vraiment, ma bouche était juste réduite à un trou ou cet homme se déchainait. Il était maintenant bien au fond de ma gorge et me boucha le nez, je commençais à étouffer et à baver fortement. Il fit durer ce supplice un bon moment avant de lâcher. Il me releva, m'embrassa à plein bouche en me mordant la langue puis sans attendre me retourna souleva une de mes jambes et me pénétra d'une traite. Heureusement que la situation m'excitait et que je mouillais sinon la douleur aurait été forte. Là j'eu seulement du plaisir car son sexe me pénétrait bien profond et je gémissais fortement. Ces deux collègues ont dû entendre car le rideau de douche s'ouvrit.

Trompe
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