Ecole Privée Ch. 02

BÊTA PUBLIQUE

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- On dirait que tu es bien la blonde proverbiale : Stupide avec des gros nichons.

Il attendit qu'elle réagisse, mais comme elle ne le fit pas, il continua :

- Je te l'ai dit, je veux m'amuser avec toi.

Il se dirigea vers le lit et s'assit. Anne s'éloigna comme s'il était pestiféré. Elle tenta de recouvrir son corps avec les couvertures.

- Sors de mon lit! Si tu essaies de me violer, je crierai et réveillerai tout le pensionnat. Siffla-t-elle.

MAURICE éclata de rire.

- Penses-tu honnêtement que je suis là pour te baiser?

Il n'essaya pas de retirer les couvertures mais posa ses mains dessus. Elle put le sentir se poser sur sa cuisse. Pendant quelques instants personne ne parla. Anne était trop énervée et MAURICE semblait se contenter de profiter de la situation. Il ramassa la photo et dit en souriant :

- J'en ai profité pour ajouter quelques commentaires. Les as-tu vu? Je suis sûr que tu les apprécieras.

- Arrête ça et dis-moi ce que tu veux. Quel genre de perversions trouves-tu amusant? L'interrompit Anne.

- Voilà, maintenant nous allons pouvoir avancer.

Le garçon sourit et continua :

- Avant de poursuivre, laisse-moi t'expliquer certaines choses. Premièrement mon père est très riche. Il veut que j'aie mon diplôme ici, mais si je ne l'ai pas ce n'est pas grave. Dans tous les cas, je reprendrai les affaires familiales, scandale ou pas. En plus, il pourra toujours me faire rentrer dans une autre école privée. Deuxièmement, je n'ai pas besoin de baiser une salope comme toi. Je peux avoir n'importe quelle fille ici à l'école. Et je les ais toutes eues. Il suffit que je porte ma main à mon entrejambe et elles accourent toutes. Mais je suis un type raisonnable comme tu as pu le remarquer.

Un autre sourire apparut sur son visage.

- je n'ai aucun intérêt de te faire virer de cet endroit. Après tout, où serait le plaisir de le faire? Et je n'ai besoin d'aucun traitement de favoritisme en classe non plus. Je suis un étudiant qui n'a que des bonnes notes. Tout ce que je veux c'est soulager l'ennui de cette école. Je dois y rester encore pendant un an et je veux que cette année soit plus intéressante, c'est tout. Et qu'y-a-t-il de plus intéressant que d'avoir son professeur salope personnelle.

Il la regarda en attendant visiblement une réponse.

- Et qu'est-ce que tu appelles « intéressant ». Murmura Anne, tenant toujours les couvertures.

- N'est-ce pas évident? Je veux une salope comme toi à mes ordres, c'est aussi simple que ça. Chaque fois que je te dis de sauter, tu sautes. Mais je ne suis pas déraisonnable dans mes exigences, tu peux demander à quelle hauteur, avant de le faire bien sûr.

Il se moquait pendant qu'elle se mordait la lèvre.

- Bien tu sais quand garder la bouche fermée. Mais au cas où tu n'aurais pas compris, laisse-moi préciser les alternatives une fois de plus. Tu peux faire ce que je dis et passer le reste de l'année scolaire ici, même si tu trouveras certaines choses... disons, un peu désagréables. Mais je suis sûr que tu as déjà fait la plupart des choses auparavant. Sinon, il est temps que tu les apprennes. Une chienne aux gros seins comme toi devrait apprécier, je sais ce que je dis. Ou alors, tu peux aller voir le directeur ou la police, et tu peux être sûre que toutes les photos apparaîtront dans l'école et sur le net. A toi de choisir.

Le silence s'éternisa. Les idées tournaient en rond dans la tête d'Anne. Elle essayait de trouver une porte de secours mais elle ne réussit pas. Elle ne pouvait pas se permettre de perdre son travail et d'être humiliée à vie. Elle acquiesça :

- Je ferais ce que tu dis. Je n'ai pas d'autres choix.

- Tout à fait. Tu n'es pas aussi stupide que tu le parais. A partir de maintenant, je te possède pour un an. Tes seins, ton cul, ta chatte et toutes les autres parties de ton corps sont à moi.

Il n'y avait plus de réponse à cela alors Anne attendit.

- Maintenant que tout est réglé, il reste encore une petite chose. Tu m'as giflé. Ce n'est pas à ce genre d'obéissance que je dois m'attendre n'est-ce pas? Je devrais peut-être publier l'une de ces images non?

Il prit une des photos au hasard.

- Que penses-tu de celle-ci?

Anne écarquilla les yeux.

- Non, s'il te plaît...

Sa voix s'éteignit lorsqu'elle vit le sourire se répandre sur son visage.

- Tu comprends le dilemme salope? Mais comme je t'ai dit, je suis un gars raisonnable alors je vais te donner un moyen de t'en sortir. Tu peux me supplier de te punir d'une manière différente. Si tu me supplies bien, je pourrais décider de garder les images et choisir une autre punition.

- Que veux-tu dire par punition différente? Demanda Anne, la bouche sèche.

- Tu le sauras quand tu seras puni n'est-ce pas?

Il attendit quelques secondes.

- Bon, je suppose que je ferais mieux de télécharger cette photo sur un site web. Beaucoup d'hommes vont pouvoir se branler.

Il se leva et se dirigea vers la porte. Anne se mordit la lèvre. Quand sa main fut sur la poignée, elle retrouva sa voix.

- Non s'il te plaît...

Le garçon se tourna et la regarda. Visiblement il attendait plus.

- S'il te plaît... S'il te plaît... punis-moi.

Il sembla réfléchir.

- D'accord, tu as dit s'il te plaît. Mais une bonne supplication devrait être faite à genoux tu ne crois pas?

Elle avait envie de lui crier de sortir et d'aller se faire foutre, mais elle se retint avec beaucoup d'efforts. Lentement, elle repoussa les couvertures et glissa une jambe hors du lit. Son corps était engourdi quand elle se laissa tomber à genoux.

- S'il te plaît, punis-moi, mais ne publie pas les photos. Marmonna-t-elle.

MAURICE s'approcha et sourit, appréciant visiblement la professeure agenouillée à ses pieds en nuisette fine. Il finit par dire :

- C'est mieux. Je pense que la punition devrait correspondre au crime tu ne crois pas? Tu m'as giflé, donc je devrais te gifler ne retour. Deux fois bien sûr car c'est supposé être une punition. Mais tes joues sont déjà si rouges que ça ne se verrait pas. Et de toute façon, ça va être plus amusant ailleurs. A poil!

Anne lui lança un regard noir. Levant un nouveau sourcil, il lui montra une photo. Anne sut qu'elle était vaincue. En silence, elle, relava sa chemise de nuit par-dessus sa tête, et resta agenouillée devant lui, nue.

- Mets tes mains derrière ta tête s'il te plaît! Ordonna-t-il avec une politesse feinte.

Elle le fit et sa poitrine se dressa fièrement. Il plaça sa main droite contre son sein gauche comme s'il voulait le caresser, puis il la leva et gifla sa poitrine avec force, la faisant trembler et tressauter. Sans attendre il leva de nouveau la main et fit de même avec le sein droit, mais encore plus fort. Anne attrapa ses seins douloureux.

- Ben alors, tu ne peux pas attendre que je sois parti avant de jouer avec ta poitrine!

Il la laissa, à genoux sur le sol.

A suivre...

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Anonymous
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5 Commentaires
milfoliviamilfoliviail y a environ 5 ans

Mmm j'adore. Cette situation est tres excitante. Je me suis reconnue au debut de cette seconde partie.

AnonymousAnonymeil y a environ 5 ans
Merci

Bravo pour ce choix de texte.

Merci à Anne.

Et merci à vous, encore, pour le travail de traduction

trouchardtrouchardil y a environ 5 ansAuteur

Il s'agit d'une histoire trouvée sur bdsmlibrary

AnonymousAnonymeil y a environ 5 ans
Où trouver l'histoire originale ?

Merci pour votre traduction !

Serait-il possible d'avoir le lien ou une indication sur comment trouver l'histoire originale ?

AnonymousAnonymeil y a environ 5 ans
ça promet

Il va y avoir ...... du sport !

C'est top

Rudy

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