Ecole Privée Ch. 08

Informations sur Récit
L’enculée. Habile de la langue.
2.7k mots
4.39
18.1k
1

Partie 8 de la série de 13 pièces

Actualisé 06/09/2023
Créé 03/13/2019
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Traduction d'un texte de « Anne ».

Avertissement : Ce récit raconte l'humiliation et la dégradation d'une jeune enseignante. Certains passages sont assez durs et peuvent choquer. Si vous avez l'âme sensible, fermez cette page.

*********

15 -- L'enculée.

Maxime contourna lentement Anne, savourant ce qui allait arriver. Elle le sentit s'agenouiller derrière elle et relever ses hanches.

- Ce trou est sec! Se plaignit-il.

Anne espéra un moment qu'il utilise plutôt sa chatte humide. Mais au lieu de ça, il cracha plusieurs fois sur son trou du cul, puis il tira un de ses bras en arrière.

- Frotte ton trou du cul et mouille-le. Puis colle un doigt dedans.

Le visage d'Anne devint écarlate. Enfoncer son doigt dans son trou du cul devant tous les garçons? Elle enfouit son visage dans le tapis et obtempéra. Elle frotta son petit trou à plusieurs reprises puis essaya de pousser son doigt à l'intérieur. Elle sentit que le garçon crachait encore sur son cul.

- Assez, maintenant je mets ma bite dans ton cul. Décida Maxime.

L'enseignante sentit le membre dur du garçon contre son ouverture serrée. Elle gémit quand il augmenta lentement la pression. Elle sentit son sphincter céder et elle gémit de douleur.

- S'il te plaît Maxime, va doucement.

Le garçon rigola.

- Doucement? Éric dit que tu es une pute. Je ne suis pas gentil avec les putes. Tu vas aimer que je t'encule durement, tu vas voir.

Il sembla hésiter un moment, puis il poussa en avant et Anne cria quand son cul fut transpercé.

- Ouais c'est ça, baise cette garce. Je parie qu'elle va avoir un orgasme avec ça.

- Allez Maxime ; encule-la bien profond.

Le garçon n'avait pas besoin d'être encouragé. Après avoir ouvert son cul avec sa queue, il la poussa tout au fond puis commença à la pilonner. Elle entendit le claquement de ses hanches contre ses fesses, mais tout ce qu'elle sentait c'était son cul douloureux. Elle gémit bruyamment, mais cela sembla encourager le garçon.

- Aowww, ce trou est très bien, vraiment serré. Dit Maxime en deux coups de rein.

Il attrapa les cheveux de l'enseignante et lui releva la tête.

- Tiens, regarde putain, je vais te faire jouir en t'enculant. Cria-t-il en donnant des coups plus profonds.

Il n'en fallut qu'une douzaine avant que le garçon gémisse tout en déchargeant sa semence dans son cul.

- Aaaahhh c'était bon. Gémit-il à bout de souffle tout en se retirant.

Anne s'effondra sur le sol en essayant de garder ses jambes jointes pour éviter la honte du sperme coulant de son cul. Mais elle ne put se reposer. Robert se leva de sa place.

- Allez enculée, je vais te montrer comment ton cul va bien se faire défoncer.

Trop fatiguée pour résister, Anne rampa. Il la plaça face sur le canapé et remonta son derrière. Sa queue aurait dû glisser facilement dans le trou du cul distendu, mais sa bite était plus grosse que celle de Maxime. Robert lui attrapa les cheveux comme une bride.

- C'est comme ça qu'une salope comme toi devrait être traitée. Siffla-t-il.

Il enfonça brutalement sa queue et commença à la pilonner. Anne était sûre qu'elle aurait des bleus le lendemain matin. Toutefois, la douleur disparut après un moment. Elle était impuissante alors que Robert l'utilisait comme une pute bon marché.

Emme espéra que c'était terminé quand il éjacula, mais David était déjà en train d'attendre, nu, souriant, sa queue bien raide à la main.

- Hé, attends, il faut qu'elle se repose un peu. Elle doit avoir mal partout. Ce n'est pas un jouet et ça risque d'être mauvais pour elle.

Surprise, Anne leva les yeux et vit Pierre, toujours habillé. David Sourit.

- Oh tu crois? Ici salope!

Il montra à Anne l'endroit devant le canapé où Pierre était assis. Avant qu'elle ne réagisse, il l'avait attrapée et jetée sur les genoux de Pierre. Son visage pouvait sentit l'érection du garçon à travers son jean. David explique alors à Pierre :

- Un, mon ami, c'est un jouet, un jouet de sexe et nous ferons ce que nous voudrons avec. Et deux, elle a peut-être mal, mais cette salope profite de chaque minute. Je vais te le montrer.

Il releva les fesses de sa professeure et glissa sa queue dans son cul facilement. Anne se dit que son anus devait être béant après avoir été utilisé par les deux garçons précédents. David la baisa lentement pendant un moment, puis il attrapa sa jambe gauche et la retourna sans sortir sa bite de son cul.

- Maintenant regarde bien Pierre. Regarde sa chatte alors que je la sodomise. Regarde comme elle est jolie, humide et avide de bite. Si elle a mal c'est parce qu'elle n'a pas de bite dans sa chatte.

Anne se mordit la lèvre en sachant que c'était vrai. Son cul était douloureux et sa situation dégradante, mais elle était toujours excitée. Et elle le montrait. Allongée sur les genoux de Pierre, les jambes écartées, elle ne pouvait cacher l'humidité de sa chatte. Elle voyait que Pierre regardait et elle sentait son érection sous elle.

- Je la veux! Déclara Pierre.

Il la repoussa et se déshabilla à la hâte. David prit son temps et la baisa lentement. Lorsque Pierre laissa tomber son short, il eut droit à un sifflement élogieux.

- Bel engin Pierre! Cria quelqu'un.

Le garçon ne réagit pas mais se rassit sur le canapé. David retourna de nouveau l'enseignante. Et soudain, elle sentit une bite dure appuyer contre son clitoris.

- OHHHH. Gémit-elle en essayant de capturer la queue entre ses petites lèvres.

Pierre respecta son désir et elle eut alors le plaisir divin d'une bite bien raide qui glissa dans sa chatte nécessiteuse. Le fait que la bite de David soit toujours dans son cul ne diminua pas le plaisir. Au contraire, ça l'augmenta. Et lorsque les deux commencèrent à la baiser, elle perdit tout contrôle.

- Ohhhhh oui, c'est si bon. Oui s'il te plaît, ne t'arrête pas, baise-moi plus profondément.

Elle savait qu'elle se donnait en spectacle, elle en avait honte. Mais elle ne pouvait s'en empêcher. Elle oublia tout à part la sensation merveilleuse d'une grosse bite dans sa chatte. Rien d'autre ne comptait. Elle ne se rendit plus compte du temps qui passait alors que son orgasme se développait en elle. Elle sentit David ajouter son sperme à celui qui était déjà dans son cul. Puis Pierre accéléra et elle jouit en criant, sans même se rendre compte qu'il éjaculait dans son ventre. Elle s'effondra sur le jeune garçon.

- Tu vois camarade, tout ce qu'elle avait besoin c'était une bite dans sa chatte.

Anne entendit vaguement la voix de David, mais elle était trop épuisée pour s'en soucier. La voix suivante pénétra le brouillard de son cerveau.

- Bien Pierre, il semble que tu aies donné à notre chienne un orgasme. Mais elle n'avait pas demandé la permission. Tu n'es pas à blâmer, tu voulais la baiser ce qui est ton droit. Cette chienne aurait simplement dû se retenir. Il semble qu'elle mérite une punition. Mais pas maintenant. Nous allons remettre ça à demain, lorsque nous aurons plus de temps pour en profiter. En outre, je dois admettre que je bande. Je vais donc aller dans l'aile des filles et laisser Belinda profiter de ma bite. Debout salope!

MAURICE entraîna Anne dans sa chambre où il l'attacha pour la nuit.

- Fais de beaux rêves grosse vache! Dit-il en éteignant la lumière.

16 -- Habile de la langue.

Au moment où il arriva, le lendemain matin, Anne avait désespérément envie de faire pipi. Mais il prit son temps pour la délier et lui expliquer ses tâches du jour.

- Ecoute bien salope, je ne le dirais qu'une fois. Ce soir à 20 heures, tu viendras dans la salle commune et tu demanderas ta punition. Jusque-là, tu ne quittes pas le bâtiment et tu seras disponible pour tout. Si tu veux quitter ta chambre, tu demandes la permission à l'un des gars. Compris?

- Oui Monsieur. Mais s'il vous plaît Monsieur, puis-je aller dans l'aile des filles, j'ai besoin de faire pipi et de me laver.

MAURICE sourit.

- Je devrais te garder ici et te laisser te pisser dessus. Mais je suis un gars sympa, tu le sais n'est-ce pas? Alors vas-y.

Il finit de la libérer et la regarda alors qu'elle se dépêchait d'enfiler des vêtements et de prendre une serviette. Ironiquement il lui tint la porte. Anne se précipita dans l'escalier pour rejoindre l'aile des filles et arriva aux toilettes juste à temps. Ce fut un énorme soulagement pour elle. La dernière chose qu'elle voulait était de donner au garçon la satisfaction de la voir se pisser dessus. Quand elle eut fini et qu'elle sortit de la cabine pour aller aux douches, elle tomba nez à nez avec Katia ANNIEL qui avait un sourire radieux sur le visage.

- Oh merveilleux Mme POISTOUT! Vous savez que vous m'avez énormément manqué. Je m'étais promis de ne plus jouer avec ma chatte, mais j'étais tellement excitée que je l'ai fait deux fois.

La jeune fille sourit malicieusement.

- Mais maintenant, je ne vais pas avoir à le faire. Vous allez lécher ma chatte à nouveau n'est-ce pas? Elle est toute propre, je viens de sortir de la douche.

Anne ne voyait aucun moyen de s'échapper sans expliquer sa situation. Alors elle se contenta s'acquiescer. La jeune fille s'exclama :

- Génial, ma chatte me démange déjà. Elle sera complétement humide quand nous arriverons à ma chambre. Oh merde, on ne peut pas. Lydie dort et on ne peut pas le faire devant elle ou elle voudra que vous la léchiez aussi.

Elle avait l'air malheureuse alors qu'Anne poussait un soupir de soulagement silencieux. Mais les yeux de Katia s'illuminèrent.

- Vous savez quoi? Nous pouvons le faire ici Mme POISTOUT. Nous pouvons verrouiller la cabine pour que personne ne nous dérange. Je vais m'asseoir et vous pourrez me faire jouir avec votre merveilleuse langue.

- Mais Katia, ici? Dans les toilettes?

Un regard irrité traversa le visage de Katia.

- Et alors? Vous avez bien fait des pipes à tous les garçons ici.

Résignée, Anne respira profondément et ouvrit la porte d'un box. Le sourire revint sur le visage de la jeune fille. Elle entra, laissa tomber son peignoir et s'assit sur la cuvette. L'enseignante ferma soigneusement la porte derrière elles. Elle n'avait pas besoin d'être découverte avec Katia dans les toilettes. Quand elle se retourna, elle vit Katia plisser le nez.

- Whaou, vous sentez le sexe Mme POISTOUT. C'est ce que je sens quand je joue avec ma chatte. Et c'est ce que sent Lydie quand elle se fait baiser. Qu'avez-vous fait la nuit dernière? Baisé tous les garçons?

Anne ressentit un moment de panique, mais se mit rapidement à genoux et poussa son visage dans la chatte odorante de Katia. Celle-ci commença tout de suite à gémir et Anne espéra qu'elle oublierait ses questions. La jeune fille avait raison, sa chatte était inondée et elle jouit sous la langue de Anne, répandant son jus sur le visage de la professeure. Celle-ci nettoya la chatte avec diligence pour en finir au plus vite. Être à genoux dans des toilettes publique en train de lécher son élève n'était pas quelque chose qu'elle aimait. Cette pensée la fit sursauter. Servir ses élèves semblait être ce qu'elle allait faire tout le week-end. La voix de Katia brisa sa rêverie.

- Ohhh Mme POISTOUT, vous savez, j'ai eu un fantasme. Oh oui c'est tellement bon, mais moins vite, je veux vraiment en profiter.

Anne ralentit légèrement.

- Oui un fantasme vraiment vicieux. Je n'osais pas le dire mais comme vous m'avez dit que ça ne vous dérangeait pas de me lécher la chatte après que j'ai fait pipi, maintenant que je suis toute propre, pourriez-vous me lécher le cul aussi?

Sans attendre de réponse, elle changea de position et leva les jambes. Anne était sur le point de refuser avec indignation, quand elle se retrouva tout à coup en train de lécher le cul de Katia.

- Ahhhhh, c'est tellement excitant.

Les doigts de la jeune fille se posèrent sur sa chatte et la frottèrent vigoureusement. Anne hésita puis continua à lécher. Au moins comme ça, ce serait bientôt fini. Katia continuait à se doigter devant les yeux de l'enseignante.

- Oui, léchez mon trou du cul, ça me fait tellement du bien. Pourquoi n'avez-vous pas deux langues pour me lécher le cul et la chatte en même temps? Ce serait parfait. Oh oui oui, plus vite maintenant, je jouis, ouuiiiiii!

La jeune fille eut un nouvel orgasme, projetant un peu de son jus sur le visage d'Anne. Puis elle se détendit, haletante. Anne attendit à peine que son orgasme soit terminé pour se relever de cette position humiliante. Mais Katia était épuisée et elle ne pouvait sortir de là en laissant la jeune fille avec les jambes écartées. Il lui fallut une minute pour récupérer et elle fit un grand sourire.

- C'était incroyable Mme POISTOUT, je n'aurais jamais pensé pouvoir réaliser mon rêve et trouver quelqu'un qui lèche mon trou du cul. C'est trop vicieux n'est-ce pas? Mais vous l'avez fait si habilement, surtout à la fin quand vous avez enfoncé le bout de votre langue dans mon petit trou.

Elle souriait alors qu'Anne rougissait. C'était déjà assez pénible de le faire, mais entendre la fille en parler la faisait trembler.

- Allez Katia, je dois prendre une douche.

A regret l'étudiante se leva et Anne ouvrit la porte. Lydie était appuyée contre un mur et souriait autant que Katia.

- Vous avez enfoncé votre langue dans son petit cul Mme POISTOUT? Allez-y, prenez une douche. Mais ensuite, vous viendrez dans notre chambre et ça sera mon tour. Je suis sûre que vous voudrez faire un peu plus de travail parascolaire pour rendre vos étudiants heureux. Dépêchez-vous!

Elle resta appuyée contre le mur, tandis qu'Anne, muette, la tête penchée, se dirigeait vers les douches. Lydie la regarda se déshabiller et se laver. La professeure était engourdie et se la va sans réfléchir. Après s'être séchée, Lydie lui désigna la porte et elle suivit la jeune fille dans la chambre qu'elle partageait avec Katia. Lydie laissa tomber sa robe de chambre et s'assit en écartant immédiatement ses jambes.

- Bon, voyons comment après la mignonne petite chatte de Katia, tu aimes en lécher une vraie, une qui baise régulièrement. Tu lécheras d'abord ma chatte puis tu pourras essayer mon trou du cul.

- Lydie, s'il te plaît... Essaya de discuter Anne.

- Tais-toi! Katia et moi partageons une chambre, et maintenant nous te partageons. Je préfère sa langue, mais je vais me débrouiller avec la tienne ; Mets-toi au travail!

Que pouvait-elle faire d'autre? Elle était de plus en plus humiliée. Elle s'agenouilla devant Lydie et regarda sa chatte bien poilue avant de commencer à la lécher. La jeune fille avait un goût amer et fort, et ses poils épais entraient constamment dans sa bouche. Mais elle savait qu'elle n'avait pas d'autre choix. Quand sa langue entra plus profondément dans la chatte, elle pensa avoir détecté le goût du sperme. Elle se souvint de Katia disant que Lydie avait souvent des relations sexuelles avec ceux qui voulaient. Les mains de la fille attrapèrent sa tête et la poussèrent plus profondément entre ses lèvres poilues et humides. Elle la tint comme ça un moment puis elle dit :

- Voyons maintenant à quoi ça ressemble de se faire lécher le cul.

Anne était sur le point d'étouffer. Lydie n'avait clairement pas encore pris de douche et elle goûta à sa sueur. La fille la garda sur son cul pendant quelques minutes puis elle tira sa tête pour plus de léchage de chatte. Anne perdit le compte du temps qu'elle passa aux pieds de son étudiante. Celle-ci ne semblait pas pressée de jouir et elle bougeait sa tête alternativement sur son sexe et son cul. Finalement, les mains se crispèrent sur ses cheveux, et Lydie jouit dans la bouche d'Anne. Immédiatement après, elle la relâcha. Puis elle sourit et dit :

- Pas mal. Je ne te prenais pas pour une lécheuse de chatte, mais plutôt pour une salope avide de grosses bites. Mais à partir de maintenant, je suppose que tu vas être notre lécheuse de chatte à Katia et moi. Katia t'utilisera surement plus souvent que moi. Généralement je trouve assez de bites pour me satisfaire. Mais j'avoue qu'une bonne langue après une bonne baise est plutôt agréable.

A suivre...

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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a presque 5 ans

Bravo! Encore Monsieur Trouchard

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