Ecole Privée Ch. 09

Informations sur Récit
Punition publique.
2.4k mots
4.13
21.9k
2

Partie 9 de la série de 13 pièces

Actualisé 06/09/2023
Créé 03/13/2019
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Traduction d'un texte de « Anne ».

Avertissement : Ce récit raconte l'humiliation et la dégradation d'une jeune enseignante. Certains passages sont assez durs et peuvent choquer. Si vous avez l'âme sensible, fermez cette page.

*********

17 -- Punition publique.

La journée passa. Anne essaya d'oublier sa situation en se plongeant dans son travail, mais elle fut interrompue à plusieurs reprises par des garçons qui voulaient une fellation. Etrangement, sucer des hommes dans sa chambre lui parut moins humiliant que de demander à Pierre puis à Ali la permission de descendre prendre son repas.

A 20 heures, Anne se demanda si elle devait porter des vêtements ou se rendre nue dans la salle commune. De toute façon, elle se dit qu'elle ne garderait pas longtemps ses vêtements. Et de plus, tous les garçons connaissaient son secret, pour qui devrait-elle cacher son corps? Le moment venu, elle ouvrit sa porte et sortit nue dans le couloir. MAURICE était appuyé contre le mur en face de sa chambre. Il souriait.

- Je me demandais si je devais venir te chercher. Ça aurait augmenté ta punition bien sûr. Mais tu a décidé de venir toute seule. Tu apprends salope. Mais ça ne signifie pas que tu peux te comporter comme une putain éhontée et marcher nue dans les couloirs. Retourne dans ta chambre et mets quelque chose de jolie et sexy.

Anne fit demi-tour rapidement et enfila des vêtements légers. MAURICE regardait par la porte ouverte et quand elle eut fini, il jeta quelque chose par terre à ses pieds : un bandeau. Elle n'attendit pas qu'il lui demande et se banda immédiatement les yeux. Son cœur battait la chamade quand elle sentit la main de MAURICE sur son coude. Elle le suivit vers la salle commune. Il y avait un bourdonnement de voix qui venait de la pièce. Mais quand MAURICE ouvrit la porte, les voix s'arrêtèrent et seuls quelques halètements coupèrent le silence soudain.

- Alors maintenant que nous sommes tous ici, rappelez-nous pourquoi Mme POISTOUT!

Elle entendit la voix de MAURICE et sentit une légère pression sur son coude pour qu'elle sache qu'elle devait parler. Elle prit une profonde inspiration.

- Vous êtes ici pour assister à ma punition.

- Et pourquoi êtes-vous puni?

Pas la peine de tourner autour du pot. De toute façon, ils étaient tous venus en sachant pourquoi.

- Parce que j'ai eu un orgasme sans votre permission M. MAURICE.

- Et par qui étiez-vous baisée quand vous avez joui?

- Je... j'étais baisée par... par...

Elle n'arrivait pas à se souvenir ce qui lui avait été fait avant de jouir.

- Je ne... me souviens pas M. MAURICE.

- Vous ne vous souvenez pas?

La voix du garçon était incrédule. Il continua :

- Est-ce que votre mémoire est si mauvaise ou est-ce que vous baisez tellement de monde que vous en perdez le compte? Hein?

- Je... j'ai oublié lequel c'était Monsieur.

- Alors tu baises beaucoup de gars. Qui peut te baiser?

- Tous ceux que vous me dites Monsieur.

- Et ils ne peuvent que baiser ta chatte? Continua-t-il à l'interroger.

- Non Monsieur, ils ont droit à ma bouche et..., et ils peuvent aussi me sodomiser.

Il y eut quelques éclats de rire dont certains ressemblaient à des gloussements.

- Bien, alors laissez-moi résume. N'importe qui des garçons ici peut te dire d'ouvrir ta bouche et tu le suceras? Ou d'écarter les jambes? Ou le lui offrir ton trou du cul? C'est bien ça?

- Oui Monsieur! Murmura Anne.

Les rires furent plus forts cette fois-ci.

- Je crois qu'il y a un mot pour les femmes qui laissent quiconque les utiliser de la façon qu'ils veulent. N'est-ce pas?

- Oui Monsieur, je suis votre pute.

- Oh non, tu n'es pas une pute. Une pute le fait pour gagner sa vie. Toi, tu le fais parce que tu es une salope naturelle, une vide-couilles à trois trous pour être exact. Ai-je raison?

- Oui Monsieur, je ... je suis une vide-couilles à trois trous.

- Et une salope comme toi a besoin d'être formée et contrôlée pour qu'elle apprenne que l'essentiel n'est pas d'assouvir ses besoins sexuels mais de servir les autres. Et comme vous n'avez pas su faire preuve de suffisamment de maîtrise de votre corps, et que vous avez joui au lieu de mieux servir votre baiser, vous avez besoin d'une punition, n'est-ce pas?

- Oui M. MAURICE, s'il vous plaît punissez-moi!

MAURICE se réjouit :

- Eh bien, si vous suppliez si gentiment. Mais bien sûr ce ne sera pas moi qui vous punirait. Après tout, je ne veux pas d'une grosse salope comme vous. Il est donc mieux que ce soit les personnes que vous avez ignoré au lieu de les servir comme vous le devriez, n'est-ce pas?

- Oui Monsieur.

Que pouvait-elle dire d'autre?

- Mais, une salope comme toi doit être punie nue, alors déshabille toi!

Pourquoi lui avait-il dit de prendre des vêtements? Surement pour l'humilier davantage en la faisant se déshabiller. Mais que pouvait-elle faire? Elle enleva lentement son chemisier et sa jupe. Elle resta debout, nue avec seulement le bandeau sur les yeux.

- Bon, maintenant que vous nous montrer votre corps pour le punir, je pense que vous devriez également nous dire à quoi chaque partie est bonne, à la fois pour la punition et pour une utilisation normale. Par exemple, à quoi sert ça?

Il lui toucha la chatte avec le bout de la cravache.

- Eh bien parlez. A quoi sert votre chatte et comment peut-elle être punie?

La cravache tapa légèrement ses petites lèvres. Le contact la fit reculer.

- Ma chatte peut être baisée et...

Elle hésita.

- Ou être fouettée.

Sans un mot, la cravache toucha son cul.

- Mon cul peut être baisé. Et il peut être fouetté aussi. AIIIEEE!

- Non salope, fais preuve de plus d'imagination.

Fébrilement elle réfléchit et dit :

- Il... il peut être fessé.

La cravache gifla son mamelon gauche.

- Mes seins peuvent être tripotés ou serrés et... et mes mamelons peuvent être tordus.

La cravache lui caressa le visage avec une douceur surprenante.

- Mon visage peut être baisé et ma bouche peut sucer des bites. Et ma figure peut être giflée.

Elle se mordit les lèvres lorsqu'elle réalisa qu'elle avait pratiquement invité tous les garçons à la gifler.

La voix de MAURICE déclara avec mépris :

- Quelle stupide salope! Trop idiote pour se souvenir pour quoi elle est bonne. Il y aura une autre punition. Mais d'abord, vous allez demander à chacun des garçons de vous punir, et il choisira où le faire. Allez salope!

Anne se demanda ce qui allait lui arriver, mais elle n'avait pas le temps de réfléchir sinon elle serait encore punie. Elle respira profondément et se prépara au pire.

- Thomas, veux-tu me punir s'il te plaît!

Elle entendit le garçon se lever et dire :

- Penche-toi en avant.

Elle entendit un bruit strident et réalisa que c'était le son d'une ceinture qu'on tirait d'un pantalon. Un instant plus tard, elle oublia de penser quand une douleur aiguë la traversa quand la ceinture tomba sur son cul. Elle haleta alors qu'une langue de feu se propageait sur son derrière, et fut bientôt rejointe un moment plus tard par une autre, puis une autre. Au moment où Thomas lui demanda de se redresser et de ne pas toucher ses fesses, elle gémissait et geignait.

- Nous n'avons pas toute la journée salope! dépêche-toi!

MAURICE tapota son cul douloureux avec la cravache. Alors elle continua avec le nom suivant qui lui vint à l'esprit.

- Maxime, veux-tu me punir s'il te plaît?

Elle attendit avec anxiété qu'il lui donne un ordre en l'entendant s'approcher d'elle. Mais rien ne vint. Elle le sentit derrière elle et cria soudainement quand ses doigts s'enfoncèrent dans ses seins. Il lui pinça les mamelons et commença à les tordre lentement, lui faisant venir les larmes aux yeux.

- Je ne peux pas les frapper dix fois. Alors je vais les tordre, jusqu'à ce que tu me donnes dix noms pour tes seins.

Le garçon serra ses doigts sur les mamelons et commença à les tourner. Anne s'efforça de se concentrer malgré la douleur.

- seins, poitrine, nichons, mamelles, pis, lolos... mmmmm.

Anne se mordit la lèvre pour la énième fois, essayant d'ignorer la douleur et l'humiliation de devoir proposer des noms pour ses seins.

- ... nénés, robert, tétés, buste.

En avait-elle dit dix? Elle avait perdu le compte, mais poussa un soupir de soulagement quand le garçon la lâcha.

- Ca fait dix, mais tu as triché. J'ai déjà dit que seins et poitrine sont la même chose. Les mains derrière la tête!

Elle obéit sans réfléchir, et se recroquevilla quand la lourde main gifla son sein gauche si fort qu'elle tomba presque.

- Tiens-toi droite!

Elle obéit, les lèvres tremblantes. Elle réprima un autre cri quand il gifla le même sein à nouveau et répéta rapidement le même traitement de l'autre côté. Maxime s'exclama soudainement :

- Oh j'ai un problème. J'ai encore une claque à délivrer, mais sur quel nichon? Qu'en penses-tu salope?

- Le gauche. Dit rapidement Anne dans l'espoir d'en finir.

- Mais ce serait injuste. Tu sais quoi? il ne me reste plus qu'à frapper les deux côtés.

Les seins de Anne servirent de punching-ball encore une fois. Quand Maxime repartit s'asseoir, ses seins la brulaient autant que ses fesses. Elle avait du mal à respirer, mais elle devait surmonter tout cela d'une manière ou d'une autre.

- Ali, veux-tu me punir s'il te plaît?

Elle a entendu le garçon s'approcher et elle a de nouveau subi l'attente de la douleur à venir. Il la fit attendre plus longtemps que les autres. Puis il la contourna lentement comme s'il avait du mal à se décider. Puis, sans avertissement, elle sentit une gifle lui bruler la joue gauche. Encore une fois, il la fit attendre. Anne resta immobile. Elle dut se maintenir dans la même position tout en sachant qu'il allait la gifler à nouveau. Même si elle attendait avec appréhension, la deuxième gifle fut de nouveau une surprise. Et Ainsi de suite. Le garçon prenait vraiment son temps, la faisant craindre l'arrivée de la prochaine gifle à chaque fois. Quand il eut fini, elle était trempée de sueur et respirait fort, comme si elle venait de courir.

David et Guillaume optèrent pour son cul. Elle se dit alors qu'elle ne pourrait pas rester assise pendant des jours. Mais elle se demanda si elle ne préférait pas avoir plus de coups sur son cul quand Pierre et Tom serrèrent et tordirent ses mamelons jusqu'à en pleurer. Robert gifla son visage et Olivier et Charles ajoutèrent plus de marques sur son cul douloureux. Cinquante coups avec une ceinture! Mon Dieu quoi que le dernier veuille faire, que ce ne soit pas sur son cul.

- Frédéric, veux-tu me punir s'il te plaît?

- Sur le dos sur le sol, les mains sous le cul, les jambes bine écartées, les genoux relevés!

Les ordres vinrent immédiatement, avec autorité. Anne s'empressa de prendre la position.

- Maintenant, tu soulèves ton cul, jusqu'à ce que tu tiennes seulement sur tes épaules et tes pieds.

Anne réalisa soudainement ce qui allait lui arriver. Quelle sera la douleur d'avoir sa chatte fouettée?

- Je crois que Maxime a eu une bonne idée tout à l'heure. Bien sûr, je peux compter les coups, mais ça ne veut pas dire que tu ne peux pas nous dire ce que tu as entre tes jambes. Dès que tu prononceras un mot, je fouetterai la partie de ton corps qui est si importante pour toi. Allez, vas-y! et si tu hésites trop longtemps je te fouetterai mais ça ne comptera pas. Alors dépêche-toi!

Anne se prépara pour résister à la douleur, et était sur le point de commencer lorsque la cravache envoya une douleur brulante dans sa chatte. Elle s'effondra sur le sol et mit ses mains sur son sexe.

- Debout salope! En position pour tes dix coups. Gronda Frédéric.

MAURICE ajouta :

- Douze coups. Un de plus pour n'être pas restée en position et un autre pour avoir posé ses mains sur sa chatte.

Anne ramena lentement ses mains sous elle et commença à lever son corps.

- Chatte. Argghhhh!

Elle dut lutter pour tenir la position.

- Minou. Owwwwwwww!

La douleur était atroce, mais elle savait que toute hésitation l'augmenterait.

- Moule.

La douleur resta continue, augmentant légèrement lorsque la cravache la touchait et s'estompant légèrement entre les coups.

- Chagatte.

- Garage à bites.

Cette définition fit rire plusieurs spectateurs.

- Dépôt de sperme.

Elle n'osait même pas se demander où elle avait entendu toutes ces expressions dégradantes.

- foufoune.

- Cramouille.

- Con.

- Motte.

- Touffe

- Abricot.

Au dernier coup, sa chatte était presque engourdie, avec juste une douleur sourde. La sueur coulait le long de son ventre et entre ses seins. Soulagée, elle était sur le point de se laisser tomber quand elle entendit la voix de MAURICE.

- Reste en position petite pute! Qu'es-tu?

- Une... une salope à trois trous Monsieur. Murmura-t-elle complétement épuisée.

- Bon, je suppose qu'après cette petite présentation, plusieurs d'entre nous voudront tester si vous avez appris votre leçon Mme POISTOUT. Après tout, ils ne vont plus vouloir faire la queue pour utiliser un de ces trois trous. Donc, s'il vous plaît messieurs, tirez au sort avant de partir et informez-vous aimablement de qui c'est le tour.

Oh non, après tout ça, elle était sûre de devoir s'occuper de tous les garçons. Et si quelqu'un voulait baiser sa chatte, est-ce que la douleur allait augmenter?

- Et toi salope, répète vingt-cinq fois ce que tu es, puis enlève le bandeau et tu fais ce qu'on te dit.

- Oui Monsieur.

La voix d'Anne sembla avoir pris une vie propre. Elle s'entendit répéter la même phrase encore et encore alors qu'elle essayait de rester en position, les jambes écartées, sa chatte douloureuse relevée et exposée.

- Je suis une salope à trois trous. Je suis une salope à trois trous....

Elle entendit les garçons partir un par un. Elle se demanda si elle avait été laissée seule ou si MAURICE se tenait toujours debout quelque part. Elle ne prit aucun risque et répéta la phrase humiliante vingt-cinq fois. Puis elle enleva le bandeau sur ses yeux, et se retrouva à présenter sa chatte aux cinq filles de sa classe.

A suivre...

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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a presque 5 ans
Plus de suite?

Qd pensez vous nous offrir la suite de l'histoire ?

Cdlt

AnonymousAnonymeil y a presque 5 ans

Très bien d'associer la punition physique à la contrainte de parler de soi en termes grossiers. L'humiliation est toujours là bravo et merci pour le plaisir que je prends en même temps

Aurailiens

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