Ecole Privée Ch. 11

BÊTA PUBLIQUE

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- Maintenant excuse-toi auprès de Katia.

Elle se retourna et rampa sur les quelques mètres à genoux, puis se baissa et embrassa les pieds de Katia. N'importe quoi pour éviter plus de douleur à sa chatte.

- Je m'excuse Mlle ANNIEL. Je vous remercie pour votre suggestion, mais je refuse respectueusement.

Katia la regarda méchamment et lui dit :

- Tu vas passer un long moment à me lécher le cul pour ça.

Quand Anne revint devant sa classe, elle poussa un soupir de soulagement d'avoir évité plus de punition. Elle jura qu'elle réagirait dorénavant de manière plus circonspecte aux autres suggestions.

- Mlle RIVIERE, puis-je entendre votre tâche maintenant?

- Je veux que tu sois notre petit chien pendant un moment. Faire le beau, t'asseoir, aller chercher des choses...

Valentine reprit son souffle après avoir eu le sentiment d'avoir fait preuve de tant d'audace.

Ramper sur le sol et se faire donner des ordres comme à un chien? Anne était sur le point de refuser poliment, mais elle réfléchit, il valait mieux connaître la troisième tâche proposée.

- M. LAVIE, pourriez-vous s'il vous plaît me dire votre tâche?

Le grand garçon noir s'étira et savoura le moment. Anne ne savait pas si son sourire était seulement heureux ou ironique.

- Tu vas aimer ça j'en suis sûr. Tout ce que tu as à faire est de t'asseoir sur un bureau, de lever les jambes pour que ta chatte soit bien ouverte et de supplier d'être rudement baisée.

Il regarda autour de lui comme s'il attendait pour des applaudissements et ajouta :

- Tu devras le faire sur le bureau du directeur cependant.

Cela créa un gros brouhaha et tout le monde voulut ajouter un commentaire.

- Oui, fais-la baiser par ce vieux connard!

- Je suis sûr que le vieux BONHOMME aimerait seulement un gros baiser humide.

- De toute façon, il n'arrivera pas à rentrer sa queue avec son gros bide.

Il leur fallut quelques minutes pour se calmer et que le silence revienne. Les étudiants la regardèrent et attendirent sa réponse. MAURICE rompit le silence :

- Eh bien, qu'est-ce que tu choisis? Bien sûr, tu peux tout refuser et recevoir 25 coups de cravache. Peut-être que Maxime a raison et que ça va te faire jouir.

Anne essaya de rassembler ses pensées. Elle ne pouvait pas demander au directeur de la baiser et elle savait qu'elle ne supporterait pas 25 coups de cravache sur sa chatte.

- Je serai votre chien Mlle RIVIERE! Murmura-t-elle.

- A poil salope! Commanda immédiatement MAURICE.

- Mais s'il vous plaît, M. MAURICE, ne pouvons-nous le faire dans la salle commune du dortoir? Si quelqu'un entre?

- Tais-toi salope! Ou tu veux 25 coups de règle?

Frissonnant à cette pensée, Anne enleva ses vêtements et se mit à quatre pattes sur ses mains et ses genoux. Pour essayer d'en finir, elle se dirigea vers Valentine et commença à se frotter sur sa jambe. Elle sentit la jeune fille caresser ses cheveux comme si elle était un chien. Maos presque aussitôt elle entendit la voix d'Olivier.

- Au pied!

Elle rampa vers lui à contrecœur. Mais il se leva et fit le tour de la classe. Anne essaya de rester près de sa jambe gauche comme elle l'avait vu faire par des chiens dressés, craignant qu'il ne la garde. Mais Pierre prit la relève puis Robert. Lorsqu'ils en eurent assez d'elle, elle était trempée de sueur.

- Assis!

Thomas continua avec une nouvelle série d'humiliations. Il la força à s'asseoir, à s'allonger, à se retourner et faire plein de trucs que l'on enseigne aux chiens. Quand Lydie l'appela avec une lueur malicieuse dans les yeux, Anne comprit que son humiliation allait continuer. La jeune fille tenait un morceau de saucisse de son déjeuner dans sa main.

- Fais le beau, salope!

Il fallut tout son sang-froid à Anne pour ne pas crier des obscénités à la jeune fille, mais s'asseoir les fesses sur ses talons et lever les mains. Lydie la félicita :

- Bon chien, voici ta récompense.

Elle jeta la saucisse en l'air. Anne fut trop surprise pour réagir. Elle la regarda tomber.

- Chienne idiote! Va chercher ta récompense!

Se mordant les lèvres, Anne se tourna et baissa la tête sur le sol. Avec précaution, elle prit la saucisse entre ses lèvres et la présenta à Lydie.

- Qu'est-ce que tu veux que j'en fasse? Penses-tu que je vais manger des choses qui sont tombées sur le sol sale, ou pire encore, qui ont été dans la bouche d'une chienne? Avale!

La saucisse lui resta presque coincée dans la gorge, mais elle obéit. Maintenant bien sûr, ils voulurent tous se débarrasser des restes de leur déjeuner. Anne n'arriva pas à en attraper un seul, et, très vite, des morceaux de nourriture furent jetés dans toute la pièce. L'enseignante dut ramper entre les chaises pour les trouver et les manger. Elle était en train de ramasser un morceau de biscuit entre deux chaises au dernier rang lorsque la classe se fit silencieuse.

- Qu'est ce que vous faites tous encore ici? Le cours est terminé depuis presque une heure.

Quand Anne entendit la voix familière, elle pâlit et commença à trembler. Et s'il la trouvait comme ça, nue sur le sol? Et s'il voyait ses vêtements? Elle essaya désespérément de se rappeler où elle les avait mis et s'ils étaient visibles de la porte.

- Mme POISTOUT nous a donné un sujet de discussion, Monsieur le Directeur. Et nous avons décidé qu'il était préférable de commencer tout de suite, alors que nous étions tous ensemble. Nous nous excusons si nous avons fait du bruit.

- Ah d'accord, continuez alors!

Anne entendit la porte se refermer.

- Ici salope!

MAURICE semblait complètement imperturbable en l'appelant. Il vida le contenu de sa boite de déjeuner par terre et ajouta celle de son voisin.

- Tu as travaillé dur, salope, tu dois avoir faim. Alors dîne maintenant et ensuite ça sera fini.

Anne regarda le mélange dégoûtant sur le sol. Mais la seule pensée que ça mettrait fin à son humiliation, lui fit baisser la tête et se nourrir comme un chien. Ce ne fut que quand elle eut presque fini, qu'elle réalisa qu'elle n'était qu'à quelques minutes de son premier orgasme depuis plusieurs jours. Cette pensée l'excita et sa chatte commença à mouiller. Elle leva la tête et rampa vers Valentine.

- Comment puis-je avoir mon orgasme Mlle RIVIERE s'il vous plaît?

Encore une fois, la jeune fille eut l'air troublée. Sa voix fut presque inaudible.

- Tu peux jouer avec toi-même.

Légèrement déçue, Anne remercia Valentine et commença à presser ses mains sur son corps. Mais MAURICE intervint :

- Arrête salope, pas encore. Tu es probablement trop bête pour t'en souvenir, mais dimanche nous fêterons notre premier anniversaire. Tu es ma salope depuis un mois. Et j'ai décidé d'organiser une petite fête chez toi. Tu nous prépareras le déjeuner et ensuite nous nous amuserons. Et tu sais quoi? Comme nous allons surement tous jouir plusieurs fois avec toi, je pense que tu auras droit aussi à deux orgasmes. Le premier tu l'auras seule en te masturbant devant nous et ensuite tu en auras un deuxième de célébration que tu ne devrais jamais oublier. Tu ne me remercies pas salope?

Attendre Dimanche? Encore trois jours? Résignée, Anne baissa la tête et embrassa les chaussures de MAURICE.

- Merci Monsieur.

A suivre...

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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a presque 5 ans

Je partage le commentaire précédent. Très excitant, l'humiliation est toujours réelle et quelle imagination bravo je prends beaucoup de plaisir Aurailiens

AnonymousAnonymeil y a presque 5 ans

Toujours aussi excitant. J’adore cette graduation dans la déchéance de notre jolie Anne. J’espere Qu’elle va subir encore bien plus ...

Bravo et merci pour cette super histoire.

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