Educatrices Ch. 03

BÊTA PUBLIQUE

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Enfin elle se leva, éteignit le poste et voulut descendre les stores, Char-les avait bien travaillé, elle ne put les baisser et abandonna rapidement.

Elle semblait engourdie, vraisemblablement par l'alcool, ses évolutions étaient lentes, ses gestes amples mais ralentis.

Elle commença par déboutonner sa blouse, apparaissant en combinai-son noire, puis toujours aussi doucement elle l'enleva offrant à ses ma-teurs subjugués un spectacle d'un fol érotisme douillet.

Ses sous vêtements contrastaient fortement avec l'image traditionnelle de la femme au travail, ils contemplèrent tout d'abord la lisière large des bas noirs attachés aux fines jarretelles qui striaient les cuisses à la couleur pain d'épice.

Le porte jarretelle qui lui cernait le ventre était noir incrusté de dentelles rouges, bientôt ils virent qu'il était assorti au soutien gorge contenant tant bien que mal son opulente poitrine.

Continuant son strip-tease involontaire, elle posa le pied sur une chaise, et de trois quart profil dégrafa ses jarretelles avant de faire glisser sen-suellement le bas sur la jambe, sa position permettait de distinguer va-guement quelques poils follets dépassant la mince ficelle du string lui séparant les deux hémisphères, se perdant dans la vallée ombreuse, avant de couvrir la gousse d'une tache rouge dont ils pouvaient aperce-voir la pointe.

Les bas enlevés, le string et le porte jarretelles subirent plus rapidement le même sort, la main dans le dos elle dégrafa enfin les attaches du sou-tien gorge et apparut alors dans son intégrale nudité.

Elle fit quelques pas vers le miroir du coin toilette et se mit à apprécier manuellement la plénitude de ses formes, à deux mains, elle palpa son ample croupe, escalada les flancs puis vint soupeser ses lourdes ma-melles.

Charles, le plus verni distinguait nettement, dans son objectif, la large aréole plus brune qui cerclait les tétons raidis, presque violets de ses mamelons.

Les autres se contentaient de noter le violent contraste entre les bandes blanches soulignant les fesses et la poitrine, tranchant vivement avec la carnation générale de la belle, les bandes étaient forts réduites .... l'été elle ne devait arborer que le strict minimum sur les plages.

Après cinq minutes de caresses enveloppantes et lascives, elle s'étendit sur le dos, resta inerte quelques minutes.

Puis lentement, comme dotée d'autonomie ses cuisses s'écartèrent alors que ses mains se dirigeaient en rampant vers la gousse poilue, les cuis-ses grandes écartées permirent à nos spectateurs privilégiés de consta-ter que sa chevelure était bien en rapport avec le pubis.

Aucun doute c'était une vraie rousse, un vrai régal pour les yeux.

Avec lenteur elle immisça ses doigts dans le triangle pubien démêla les poils, dégageant la cicatrice profonde marquant son bas ventre.

Elle les faufila ensuite dans sa fente, comme pour en tester l'incontesta-ble moiteur, flatta son clitoris, le pinçant, le pressant jusqu'à ce qu'il se dresse avec fierté, formant un petit ergot incarnat.

Puis brusquement le rythme s'accéléra, elle engouffra ses doigts dans le vestibule luisant, força violemment le sanctuaire les enfonçant au plus profond de son vagin largement distendu.

Les allées et venues dévoilaient largement le goulot du con écarlate, les bords en accompagnaient les coulissements, se retroussant en de longs éclairs de chair violette, avec brutalité, sans précaution, à sec elle se fourra le majeur dans le cul et se branla simultanément les deux trous.

Miloud et Stephan s'étaient déculottés, leurs bites tendues, violacées les torturaient.

Ils enjoignirent a leurs femelles de les branler doucement, l'actrice invo-lontaire fouilla dans sa table de nuit et en extirpa un phallus aux dimen-sions respectables, de longueur ordinaire, mais d'un calibre équivalait au diamètre du poignet de Miloud.

La belle s'en poignarda, avec une violence inouïe, la monstrueuse bite de plastique forçait les chairs écartelées à la limite de la rupture, les gri-maces de l'infirmière révélait la souffrance due à la brutale intromission et pourtant elle commençait à l'agiter dans son con béant.

A ce spectacle Miloud et Stephan ne purent résister, ils tirèrent leurs partenaires et les forcèrent à emboucher leurs pals frémissants de désirs.

Les allées et venues du monstrueux postiche ne durèrent pas bien long-temps et les trois orgasmes éclatèrent en même temps.

Tandis que Miloud et Stephan explosaient, s'épanchant avec abondance dans les bouches tièdes de leurs fellatrices, inondant leur arrière gorge, les gavant de semence jusqu'à l'estomac, dans un dernier saut de carpe, la bouche crispée sur des cris inaudibles de l'extérieur, l'orgasme éclata

dans le ventre de la rousse, elle resta longtemps encore allongée sur son lit, le corps agité de frissons convulsifs avant d'éteindre la lumière.

La dernière image qu'ils emportèrent d'elle la montrait cuisses grandes écartées, yeux extasiés le postiche démesuré planté jusqu'à la garde dans son intimité dont les bords boursouflés épousaient étroitement la forme.

-- Ben mon vieux... S'exclama Charles admiratif.

-- Quelle séance... Je vous jure bien qu'on lui foutra son gode dans le cul les copains!

Tous cinq regagnèrent le groupe encore sous le coup des émotions qu'avaient provoqués en eux le spectacle hautement pornographique, obscène que leur avait, bien involontairement fourni, la rousse au carac-tère de feu.

Crevés, mais des images délirantes de lubricité fixées sur les rétines, ils s'étendirent auprès de leurs femelles repues et sombrèrent rapidement dans un sommeil réparateur que ne tardèrent pas à partager leurs zé-lées fellatrices, la bouche encore poisseuse, imprégnée de l'odeur, du goût de leurs mâles.

Coulybaca

Texte personnel

9 mai 2008.

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