Educatrices Ch. 08

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Partie 8 de la série de 10 pièces

Actualisé 09/15/2022
Créé 05/13/2008
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L'EDUCATRICE

Coulybaca - Texte personnel.

Tous les jeunes participant physiquement à l'action sont âgés de plus de 18 ans.

Chapitre 8 : Echanges

La prise de possession des lieux se fit sans coup férir, le vaste apparte-ment, entièrement aménagé pour la vie en semi-autonomie réservait une vaste salle de loisir commune, une cuisine salle à manger confortable et six chambres meublées de vastes lits.

Il était conçu pour servir de sas transitoire entre la vie surveillée de l'IME et l'autonomie totale de l'extérieur.

Une chambre était aménagée pour recevoir l'éducateur chargé d'aider les jeunes sortants dans leurs démarches et la gestion de leur vie maté-rielle.

Dans l'esprit des chefs, cette chambre accueillerait l'éducatrice de ser-vice.

L'infirmière qui demeurait à proximité y séjournerait aussi bien que de façon moins soutenue, puisqu'elle pouvait rester d'astreinte chez elle.

De toute manière c'était aux trois volontaires de gérer leur emploi du temps, mais en aucun cas les jeunes ne devaient rester hors de surveil-lance.

Toujours dans leur esprit, les trois aînés seraient à même d'y prouver leur débrouillardise et leur capacité à s'autogérer sous contrôle bienveil-lant.

La consigne donnée aux éducatrices était de les laisser agir le plus pos-sible, de n'intervenir qu'en cas de conflit ou d'abus flagrant.

Dans ce but, eux mêmes ne feraient que de rares visites de façon à lais-ser les situations se nouer et se dénouer de la façon la plus naturelle.

Ils avaient beaucoup appréciés ce tandem d'éducatrices, qui sans vio-lence, sans éclat, avait si bien réussi à maintenir ces jeunes jusqu'ici sources de multiples problèmes dans un chemin qu'ils pensaient pavé de bonnes intentions.

Chacun prit possession de sa chambre, en fonction de la disponibilité de leurs maîtresses.

Ils conçurent un planning leur permettant de toujours avoir à leur disposi-tion trois femelles, se débrouillant même pour pouvoir profiter des quatre à la fois deux soirées par semaine.

Elles mirent sur le compte de l'entraide et de la solidarité cette activité qui les chassait souvent de leur foyer, les maris ne pipèrent point, et la vie s'organisa suivant les normes qu'avaient fixées les jeunes.

Quel que soit l'heure du jour, elles devaient être nues ou porter des te-nues suggestives propres à exciter la convoitise de leurs amants, aucun voile ne devait protéger l'accès de leurs trous toujours disponibles.

Toutes quatre, à force de parader en bas, porte-jarretelles, voiles arach-néens, se trouvaient excitées en permanence, la cyprine coulait à flot de leurs moules lascives.

Le cul graissé en permanence elles étaient toujours prêtes que ce pour une étreinte hâtive sur le bord de la table, ou pour une possession à plu-sieurs dans la douce tiédeur des couettes de lit.

Il arrivait même souvent que deux d'entre elles s'aiment sous les yeux des trois jeunes investissant simultanément les trois orifices de la délais-sée.

Deux jours ne s'étaient pas passés que déjà Fabienne et Françoise avaient compris ce que dorénavant ils attendaient d'elles.

Un soir, à la tombée de la nuit, elles accompagnaient Miloud et Stephan partis chercher des cigarettes dans le coin le plus mal famé de la ville.

Choisissant un bar tabac des plus louches, Miloud s'accouda au comp-toir et commanda quatre demis, elles protestèrent qu'elles n'avaient pas soif, mais bien plutôt pipi, rien n'y fit, elles durent consommer, puis, puis-que c'était leur désir, ils les emmenèrent aux toilettes, mais à leur grande

confusion, dans celles des hommes.

Les deux compères s'amusèrent à les faire pisser dans les urinoirs sus-pendus, elles donnaient un spectacle croquignolet, ventre tendu vers le bac, sursautant à chaque bruit.

La vessie contractée par la crainte de voir surgir un client, elles s'efforcè-rent de les satisfaire sous leurs rires.

Enfin, étirée sur la pointe des pieds, le ventre tendu au dessus de la faïence blanche, les petites lèvres pressées entre leurs doigts, pour mieux diriger le jet, elles parvinrent à se soulager.

Elles ne purent cependant éviter les éclaboussements qui leur souillèrent les cuisses.

Elles 'étaient troussées toutes deux au dessus de la taille, un mouchoir humide à la main, se nettoyant les cuisses et la fente lorsque surgirent deux consommateurs interloqués.

Sur un signe de Miloud, elles durent terminer la toilette de leurs chattes, avant de s'enfuir véritablement devant les sarcasmes des deux voyeurs, qui, ravis d'assister à un tel spectacle, commentaient grivoisement le ta-bleau.

Folles de honte, elles s'empressèrent de régler cigarettes et consomma-tions, puis, avant le retour des deux intrus, elles se précipitèrent au de-hors, cherchant à se dissimuler pour attendre leurs tourmenteurs.

Ce n'est qu'une fois rentrées à l'appartement, que racontant la scène à leurs amies, elles comprirent que dès leur entrée dans les toilettes, Mi-loud escomptait l'arrivée d'étrangers désireux de les contraindre à cette exhibition obscène devant des tiers inconnus, cela augurait bien de l'avenir proche!

En bref la vie allait bon train dans l'appartement, les quatre femelles ne vivaient plus que pour le plaisir de sentir exulter leur corps, elles ne ressentaient même plus d'humiliation devant leurs volontés les plus perverses et se pliaient avec volupté à toutes leurs initiatives, surenchérissant même souvent.

Bêtes à jouir elles ne se sentaient vraiment bien que la pine dans la chatte la bouche ou le cul, cherchant souvent à les avoir dans leurs trois trous simultanément, goulues de sexe elles n'aspiraient plus qu'à pour se faire troncher du mieux et le plus souvent possible.

Françoise constata sans surprise la présence de plus en plus fréquente de Francis dans son sillage, insouciante elle ne s'en préoccupa pas.

Toute à l'exultation de son corps, elle n'en ressentit qu'une aversion en-core plus marquée pour son mari qui la faisait ainsi surveiller.

De toute manière, les trois jeunes prenaient assez de précautions, ils n'exhibaient leurs compagnes que dans l'intimité, ne s'autorisant aucune privauté dans les lieux par trop public.

Un après midi que Miloud et Fabienne se promenaient dans le même quartier louche, il s'entendit héler :

- Miloud ..... eh Miloud!

Dirigeant leurs regards vers la terrasse du "globe", ils aperçurent un petit gros qui de la main leur faisaient signe Miloud le reconnut tout de suite.

-C'est Michel, un vieux copain de boite, viens on va le rejoindre!

Ils prirent place au coté du petit gros .

Blond, la figure bouffie, de petits yeux porcins, le gaillard déplut d'entrée à Fabienne, d'autant plus qu'il la déshabillait du regard.

Elle sentait ses yeux ramper le long de ses courbes, le contact lui sem-blait si physique, qu'elle en ressentit comme une brûlure.

--Fabienne, ma maîtresse... La présenta Miloud, appuyant sur le vo-cable.

-- Ta maîtresse? Interrogea le petit gros, visiblement intéressé.

--Eh oui... J'aurai du dire mon esclave... Elle fait tout ce que je veux... N'est ce pas Fabienne?

--......

--Tu te souviens... Y'a six mois... Tu m'as dit que tu te tapais la femme du notaire... Que tu l'avais photographiée en pleine action avec son gigolo, et que depuis ce jour elle se pliait à tes quatre vo-lontés...

--.......

--Eh bien, avec Stephan et Charles, on a suivi ton exemple... On a maintenant chacun notre nana... J'ai donc, cette fois de la viande à te proposer en échange de ta belle!

--Continues mon vieux, tu m'intéresses, non seulement j'ai toujours Claudine à ma botte, mais ici aussi, j'ai fait école, Rachid, Ahmed, Roland ont eux aussi leurs baiseuses... Elle a l'air pas mal ta gon-zesse... Mais avant de jouer, je voudrais voir la donne!

Rouge jusqu'aux oreilles, le cœur bourrelé d'angoisse, les larmes au bord des yeux Fabienne écoutait fiévreusement cet échange, en devi-nant déjà la conclusion.

Une fois de plus elle serait contrainte, elle devrait se soumettre aux fan-taisies libidineuses de son maître.

--Tu veux voir la marchandise?

--Ben toi quand t'achètes, tu testes la qualité avant, non?

--Rentrons dans une des loges, à l'intérieur, on sera à l'abri des re-gards, t'es toujours copain avec le serveur?

--Oui, allons y ça doit pouvoir s'arranger... Christophe! Christophe, on prend la loge quatre, tu peux surveiller pour qu'on ne vienne pas nous déranger? Si ça t'intéresse, tu pourras toujours venir te rincer l'œil!

Les deux garçons pénétrèrent dans une loge séparée de la salle princi-pale par une porte western, ils s'assirent au fond sur la banquette, Fa-bienne debout face à eux.

--Trousse-toi, montres ta chatte... Lui ordonna Miloud.

D'un geste lent, pâle de honte, Fabienne releva la courte jupe sur ses cuisses, le liseré des bas apparus, puis la zone de chair dorée du haut de la cuisse et enfin le triangle blond frisé de son pubis.

Seule la toison fournie de Fabienne dissimulait encore sa fente.

--Bien dressée... Elle porte jamais de culotte?

--Toujours prête!

--Félicitations, c'est de la bonne marchandise... Commenta le petit gros.

--Tourne toi maintenant, tu vas voir le cul qu'elle se trimbale!

Docilement, servilement, elle pivota sur les talons exhibant l'opulence de ses fesses musclées, séparées par le profond sillon culier.

--C'est moche ces marques blanches... Remarqua Michel suivant le contour blanc des marques du maillot... Tu devrais remédier à ça... Je peux? Questionna-t-il enfoncent sa main dans l'entre fesse.

--Bien sur... Tâte la marchandise... J'espère que t'apprécies, et en-core tu peux pas savoir... Elle a le cul serré, c'est un rare plaisir de l'enculer!

Sous les commentaires graveleux, Fabienne pâlit encore, l'entrée du serveur un plateau à la main ajoutant encore à sa confusion.

Le bas du corps dénudé, jambes légèrement écartées, la main du tes-teur entre les fesses, Fabienne offrait une image d'une parfaite obscéni-té, et en avait conscience.

Elle rougit cette fois, désemparée, elle ne cherchait même pas à se soustraire à la caresse de plus en plus appuyée.

--Eh bien mes cochons, vous ne vous emmerdez pas... Tu me la passeras aussi?

--On verra plus tard... Chaque chose en son temps... Pour l'instant Michel est sur l'affaire... Mais j'en ai d'autres... Si le cœur t'en dit...

Michel obligea de la main Fabienne à présenter de nouveau sa chatte, lissant les poils, les démêlant afin de mieux découvrir la fente charnue, des doigts il suivit les grandes lèvres, effleurant du pouce le clitoris qui, affolé, se raidit au contact de la caresse furtive, puis il lui enfonça facile-ment l'index dans le vagin.

--Dis donc, c'est une vraie fontaine! Elle démarre au quart de tour ta nana... Elle est déjà trempée... Si j'ai de la tapisserie à faire je te l'emprunte... Souligna vulgairement le petit gros.

En effet le mécanisme du plaisir s'était emparé du corps de Fabienne, sa tête avait beau dire non, elle perdait tout contrôle de son ventre, de ses reins, son exhibition et les caresses brutales la chaviraient.

Brusquement sa motte s'était inondée de cyprine, elle sentait sa liqueur sourdre de son sexe poissant toute sa fente, son ventre se tendait vers la caresse infâme.

Brutalement le pouce du petit salaud lui força l'anus, il entreprit de lui masser la chair tendre et fine du périnée entre le pouce et l'index.

Dans un soupir, Fabienne du avouer son orgasme sous l'œil des trois mateurs narquois.

Le serveur appelé à l'extérieur les quitta, tandis que Michel, d'une main fébrile sortait son gros sexe rouge de son slip.

--Suce moi! Commanda -t-il sur un ton péremptoire.

Comme elle s'agenouillait pour obtempérer, Miloud intervint :

- Ah non mon vieux... T'as le droit de tâter mais pas de goûter! De-main après midi à l'appart... Amène ta putain et tu goûteras à la mienne... Préviens les copains, nous on présentera le cheptel au grand complet...

Bizarrement, Fabienne se sentit lésée, elle était si préparée à la fellation qui devait suivre, qu'elle ressentait presque de la frustration de s'en voir privée.

La soirée se passa calmement au rythme des coups de queues de ces messieurs impatients de se voir au lendemain.

Les trois adolescents disposaient de leur harem au complet pour cette soirée qu'ils voulaient fracassantes, inoubliables.

Excitées, quelque peu inquiètes les quatre jeunes femmes s'affairaient dans l'appartement suivant les directives de leurs amants.

Françoise et Murielle portaient leurs tenues de soubrettes modèles, pe-tits tabliers blancs sur porte-jarretelles et bas alors que Sylvie et Fa-bienne dévêtues d'une guêpière et de bas semblaient attendre le client.

Elles n'auraient pas d'ailleurs pu mieux dire, à la première sonnerie à la porte, elles reçurent pour mission de s'agenouiller de chaque coté de la porte et d'honorer les visiteurs de leurs bouches charnues.

Sans rechigner, prêtes à tout elles se prosternèrent la gorge tendue et attendirent le chaland.

La porte s'ouvrit avec fracas, trois jeunes malfrats à l'allure douteuse pé-nétrèrent, surpris et ravis de l'accueil, ils défouraillèrent sans attendre s'enfonçant avec délice dans les réceptacles offerts, tandis que leurs na-nas, dans leurs dos assistaient à la réception.

La bouche forcée par une épaisse bite odorante, les femelles ployèrent le cou, engouffrant jusqu'aux amygdales les chibres tendus.

A peine deux ou trois sucions appliquées et les lances vibrantes asper-gèrent leurs luettes d'un flot crémeux et acre.

La bouche à peine libérée, déjà d'autres membres se présentaient, Mi-loud imitant ses copains prétendit se faire cajoler ainsi que le dernier in-vité.

En bonne pipeuses dociles, à nouveau elles se trouvèrent une bite en-fournée jusqu'au tréfonds de la gorge, queues qui ne tardèrent pas à ar-roser de leur venin les cavernes chaudes.

Le sperme suintant aux commissures des lèvres, elles se levèrent, et fesses prises à pleines mains, elles précédèrent les invités au salon.

--Ben dit donc... Quel accueil... Souffla le plus vieux des trois invi-tés.

--La prochaine fois je me préparerai... Je tiendrai plus longtemps!

--Ca t'as déplut? Plaisanta Miloud.

--Non ... Non bien au contraire... S'enthousiasma le plus gros.

--Je suis même prêt à recommencer!

--Ne vous inquiétez pas! Reprit Miloud

--La soirée ne fait que commencer... Vous aurez l'occasion de les baiser par tous les trous nos belles pétasses ... Et croyez moi, elles ont du talent... Et du ressort... Vous serez vite épuisés!

Miloud présenta son groupe :

-Vous connaissez Charles et Stephan... Fabienne, Françoise, Syl-vie et Murielle...

Les arrivants se présentèrent à leur tour.

Michel, le petit blond grassouillet, que Fabienne connaissait déjà était suivi d'une belle blonde sophistiquée, l'air assez dédaigneuse, Claudine l'épouse du notaire du lieu, Rachid un grand noir aux épaules musculeu-ses tenait Nicole, une petite brune, pétillante de vie, femme de médecin, par les hanches, Roland, le plus maigre, affirmait son emprise sur Odette, une blonde potelée, la quarantaine épanouie, elle aussi femme de notable.

Les trois femmes, le même age, la même allure racée, faisaient visible-ment partie de la bourgeoisie du cru, on les imaginait plus facilement au bridge, les cartes à la main que dans un bouge la queue des trois gail-lards qui les accompagnaient en pleine bouche.

Silencieusement, sans enthousiasme, visiblement sous la contrainte, el-les se dévêtirent, ce qui permit immédiatement à leurs admirateurs de constater que si Claudine était une vraie blonde, Nicole une brune natu-relle, Odette, elle, était décolorée, son sexe châtain en témoignait clai-rement.

A leur tour, les garçons quittèrent leurs jeans et leurs tee-shirts.

Les trois jeunes femmes découvrirent avec stupeur la conformation par-ticulière de Michel et Rachid.

Michel était doté d'un sexe mafflu, qui s'il était normal par sa longueur, était effrayant de grosseur.

Hypnotisée, Fabienne y porta la main pour en vérifier la réalité, sa main refermée était loin d'en faire le tour, d'un diamètre avoisinant celui d'une bouteille de "Heineken" ce qui lui valait d'ailleurs ce surnom, elle reposait telle une grosse courge violacée sur deux grosses oranges poilues.

Rachid, s'il présentait un ustensile d'une grosseur normale, bien que su-périeure à la moyenne, frappait surtout par la longueur invraisemblable de son long cylindre noir, une vraie queue de mule qui pointait agressi-vement vers les intimités dévoilées.

A cette vue, les trois femmes sentirent des picotements au fond de leurs vulves, les trois invitées, certainement habituées à leurs conformations, n'y prêtait guère attention, évaluant d'un oeil furtif les trois virilités qui, elles le savaient, se glisseraient bientôt dans tous leurs orifices.

Sans un mot, Michel s'allongea et attira Fabienne à lui, elle était effrayée à l'idée d'engloutir cette monstruosité dans sa chatte.

Les autres couples les entourèrent, curieux de voir comment elle s'y prendrait pour se prêter à l'effraction qui la guettait.

Avec effroi, Fabienne décida de prendre les initiatives, à défaut de vase-line, ou de pommade, elle enduisit le gros cylindre de sa salive, puis de la pointe des doigts, elle se graissa abondamment la fente, se barbouil-lant le méat, de son jus enfonçant ses doigts le plus loin possible dans son conduit pour plus l'assouplir.

Elle ne pouvait retarder plus le moment fatidique, le dos au sol, Michel l'empoigna aux hanches, l'installa à l'aplomb de son vit animalesque, puis lentement il la descendit sur son pieux tendu.

L'énorme courge buta sur la vulve, lui écrasant les lèvres, malgré la tar-tine de cyprine lui beurrant la chatte, il n'arrivait pas à s'introduire dans le chas crispé par l'appréhension.

Il la releva avec douceur, et soudain avec une violence inouïe l'empala sur son gourdin.

Un cri déchirant jaillit des lèvres de Fabienne, de lourdes gouttes de sueur froide perlèrent sur son front, envahissant rapidement son visage, elle ouvrit désespérément la bouche, à la recherche d'un peu d'air .

Bien que seule la tête de la mentule soit parvenue à pénétrer sa chatte elle se croyait éventrée, cela avait craqué du coté du périnée, elle se croyait déchirée.

En vérité, l'énorme masse avait réussi son entrée, le muscle annelé s'était fait le plus large, le plus dilaté, effectivement à la limite de la rup-ture pour mieux admettre le visiteur surdimensionné.

La sueur lui inondant le visage, les joues creusées, des douleurs lanci-nantes irradiant de son ventre meurtri, elle le sentit appuyer sur ses han-ches la forçant doucement à engloutir le pal frémissant, la sensation d'envahissement se précisait, elle sentait sa matrice lui remonter sur l'es-tomac au fur et à mesure de l'impitoyable progression.

Ses poumons sifflant comme des soufflets de forge, c'est avec joie qu'elle sentit enfin ses fesses reposer sur le ventre musclé, elle n'aurait pu subir plus longtemps ce supplice du pal sans s'évanouir, l'énorme présence dans son ventre la remplissait toute.

Ce fut pire encore, lorsqu'il la souleva pour la laisser retomber, l'empa-lant à nouveau jusqu'au col, chaque fois qu'il la relevait, les spectateurs pouvaient entendre un étrange bruit de succion, immédiatement suivi du ronflement de ses poumons lorsqu'elle retombait.

Cependant, peu à peu l'abominable douleur s'estompait, laissant place à une anesthésiante lourdeur, son ventre tendu à bloc se transformait en un bout de bois que seuls quelques picotements élançaient encore, elle coulissait plus aisément sur la courge disproportionnée, les picotements embrasaient maintenant son ventre, des éclairs résonnaient dans sa tête, l'effroyable souffrance avait pris fin se muant en un infâme plaisir.

D'elle même elle reprit le mouvement de va et vient, accélérant son rythme.

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