Ella aime ça Ch. 01

En résumé, avec Ella nous sommes rencontrés et puis nous avons baisé.

Le jour, l'heure, je ne m'en souviens plus. Je me souviens que ce fut une pulsion dès le premier coup d'oeil. Elle était au milieu de ces candidates que je devais voir pour le poste de secrétaire. Toutes ces candidates étaient charmantes, les dents longues comme les jambes, le décolleté bien pigeonnant, mais Ella se distinguait de la masse de ces chattes en chaleur et en quête de boulot. Tout dans son regard, son attitude m'indiquait la Salope qu'elle pouvait être. Elle aimait le sexe pour le sexe et non pour un moyen d'accéder à une situation. Je pensais déjà à sa bouche me suçant le gland, ses lèvre m'aspirant la bite.

Cela arriva très exactement une heure plus tard, juste après l'entretien purement informel que nous avions eu. J'étais assis à mon bureau, elle à genoux, pressant ses lèvres avides sur ma queue, me suçant divinement bien. Elle m'avalait goulument la bite, léchant de temps en temps mes couilles, allant et venant, frottant de sa main mon sexe tendu. Ce fut si bon, si soudain, si chaud que je jouis rapidement. Mon sperme éclata dans sa bouche, se répandit sur ces lèvres et sur son visage. Confus, je balbutiais quelques excuses et eu la surprise de constater qu'Elle se pourléchait les babines. J'enfonçais alors ma queue ramolli entre ses lèvres pour lui permettre d'y gouter pleinement. Elle se régala, mais en retirant sa bouche, elle regretta que je ne fut pas un peu plus résistant.

Cette façon de me séduire et me rabrouer me mis en fureur. Je la posais sur le bureau lui écartait les jambes et commençais avidement à lui lécher la chatte. Rageusement je déchirais tous les tissus qui se présentaient à moi, jupe, collant, string jusqu'à arriver à son délicieux minou que je bouffais littéralement. Sa chatte était déjà pleinement humide et j'avalais sons jus à pleine lampées. Elle pencha la tête en arrière, ouvrit son corsage et se malaxa les seins. Elle bougeait ses deux globes magnifiques et ses tétons bien durs sous mon regard lubrique. Cette salope commença à miauler de plaisir, elle prenait un pied. Je m'activais donc de plus en plus vite, ma langue fourrait sa chatte complètement et parfaitement épilée, s'insinuait dans son con, léchait ses deux lèvres rougissantes. Elle se redressa, fit tomber son corsage et caressa ma tête.

Son corps presque nu et offre, ses râles de plaisir me remirent la trique très rapidement. Ma queue était à nouveau tendue, prête à servir. J'avais maintenant envie de la baisé, sur mon bureau, directement et de la façon la plus rude que je connaisse. En plus bouffer sa chatte m'avait donné envie de son cul. Je la retournais contre mon bureau, remontait ce qu'il restait de sa jupe pour explorer de mes doigts sont petit trou. Elle se mit à gémir doucement et m'invitait à aller plus loin. Je poussais alors ma queue entre ses fesses puis dans son anus, lentement pour lui laisser le temps d'aspirer ma belle et grosse bite. Je m'aperçus alors qu'elle jouissait par le cul cette Salope, appréciant avec bonheur mon entreprise. J'allais et venais ensuite de plus en plus fort, ses cuisses tapant contre le rebord de mon bureau, ses seins écrasés sur les piles de mes dossiers. Je prenais ses cheveux, cambrais son dos en l'insultant "ha tu aimes ça grosse pute, salope" et elle me répondait d'une voix grave et hachée "oui allez y enculez moi bien profond".

J'obtempérais, il était rare que les salopes que je baise m'en réclame autant au premier coup de bite. J'aggrippait ses hanches pour la pénétrer bien plus profondément. Elle salua cette initiative par un murmure de chienne en chaleur et une ondulation de la croupe. Mes boules tapaient sur sa chatte humide, j'allais de plus en plus vite jusqu'à qu'un frisson orgasmique me parcours. Je rentrait encore plus loin en elle et lâchait là sauce dans son cul. Un peu de sperme s'écoula de son petit trou quand je me retirais, j'en prie un peu sur mon doigt et lui fit lécher mon jus. En haletant elle me gratifia d'un "bien patron". Je savais alors que nous avions encore plein de choses à nous dire elle et moi.

C'est bon Ella, tu avais eu le poste, et j'avais hâte de te voir à l'œuvre, que tu commences ton travail, que tu me montre ce dont quoi tu étais capable et dont j'avais eu un bon aperçu ce matin là.