Elle

Informations sur Récit
Une révélation avec ma belle-fille Christine.
4k mots
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Partie 1 de la série de 2 pièces

Actualisé 06/07/2023
Créé 03/30/2015
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ELLE le Déménagement

A l'occasion d'un voyage chez ma belle-fille, et quand je dis belle, Christine est vraiment très jolie, toujours en train de sourire, comme si la vie était une partie de plaisir continuelle.

Mais ce genre de comportement est tellement positif que l'on ne peut qu'être attiré, elle est élancée brune et ressemble à Inès de la Fressange aussi bien dans sa façon de se déplacer que dans le charme qu'elle dégage

A cette occasion Christine, ma belle-fille, me demande si je pourrais aider une de ses amie qui souhaite déménager quelques meubles pour les stocker chez ses parents qui ont une maison à une cinquantaine de kilomètres de leur petit village.

Pas trop emballé de passer mon temps sur les routes je lui dis, malgré tout, que je participerais à cette expédition. Son amie, Martine, possède un pick-up qui devrait permettre d'emporter tous les meubles et cartons qu'elle souhaite stocker chez ses parents. Aussi rendez vous est pris pour le lendemain matin.

Le lendemain après un bon petit déjeuner, la température extérieure menaçant d'être élevée je décide de me préparer, short et tee-shirt doivent suffire compte tenu de la chaleur. Christine opte pour le même choix vestimentaire, ce qui laisse apparaître ses longues jambes et ses jolis seins. Elle a certainement un soutien gorge mais la version légère qui laisse se dessiner ses tétons au travers du tissu.

Sans être érotique son apparition ne me laisse pas indifférent, il est décidé d'aller rejoindre Martine en voiture, ensuite nous chargerons le pick-up, puis départ pour la campagne.

Après un petit trajet, au cours duquel nous plaisantons comme deux adolescents un peu attardé, petites blagues et sous entendus. Depuis que Christine a quitté l'apparence d'une petite fille pour devenir la jolie femme épanouie d'aujourd'hui, notre relation a toujours laissé place a des petites équivoques, mais rien d'anormal entre deux personnes de sexes opposés.

Nous arrivons chez Martine une maison très accueillante avec un garage attenant dans lequel se trouve les différents meubles et cartons à déménager.

En regardant tout ce qu'il y a je ne pense pas que nous pourront faire ce déménagement en un seul voyage mais au moins deux et probablement trois voyage seront nécessaires. Martine est elle aussi vêtue short et tee shirt, c'est sur elle ne porte pas de soutien gorge, je ne peux m'empêcher de la regarder discrètement, un petit gabarit avec de jolis yeux et un visage souriant.

La quarantaine passé avec une silhouette bien proportionné et surtout des seins menus avec des tétons qui se dessinent sous son tee shirt, ils sont là et vous sollicitent, l'envie de les toucher est forte et quand Martine me prend dans ses bras pour m'embrasser je sens ses seins s'écraser contre ma poitrine, la chaleur de son corp me trouble et j'aimerais que ce contact dure un peu plus longtemps, mais il faut charger le pick-up.

Parmi ce que nous devons chargé se trouve une bibliothèque démonté, et les étagères ne tiendront pas à l'arrière du pick-up, nous dégageons l'ouverture se trouvant derrière le siège central pour passer les étagères, et chargeons les cartons de chaque coté, le problème il n'y a plus que deux places disponibles.

Je suggère que seulement deux d'entre nous s'occupent d'aller à la maison de campagne, Christine et Martine ne sont pas d'accord le voyage n'est pas très long l'une d'entre elle voyagera assise sur mes genoux, l'idée n'est pas pour me déplaire avec nos tenues légères les contacts seront intéressants. Martine explique que pour des questions d'assurance elle conduira le pick-up.

Les étagères étant stockées verticalement cela isole le siège passager de celui du conducteur, nous essayons plusieurs position avec Christine afin d'être le plus à l'aise possible et nous optons pour la position assise en travers des mes genoux lui permettant de parler avec Martine.

Nous nous installons et départ pour une petite heure de route, dès les premières minutes le contact des jambes de Christine avec mes cuisses crée une chaleur diffuse qui a des conséquences, je commence à bander, malgré toute ma volonté pour l'éviter rien y fait.

Je pense que rapidement Christine va réaliser qu'il se passe quelque chose d'inhabituelle....Je suis même sur qu'elle sent déjà ce qui se passe mais continue de discuter avec Martine. La transpiration commence à rendre notre contact un peu inconfortable, Christine se relève légèrement ce qui amène un petit courant d'air frais, et se repositionne plus haut sur mes cuisses, je sens mon pénis se coincer entre ses fesses et devenir dur. Elle ne peut pas ne pas le sentir!

Leur conversation s'arrête et Christine me demande comment je me sens. Je lui répond que ce n'est pas la position idéale mais que pour l'instant je m'en contente et je lui souris. Elle me fait un clin d'oeil et me dis que cette position est plus qu'agréable. Les dés sont jetés que va t il se passer?

Pour se soutenir Christine s'appuyait au dossier du siège ce qui laissait l'ouverture de son tee shirt juste dans l'axe de mon regard, son bras effleurant constamment ma joue, l'odeur musquée de son aisselle et la vision de son sein emprisonné dans son léger soutien gorge et la vision de son aréole légèrement brune avec le téton qui aspirait à s'échapper du balconnet. Cette vision, le poids de son corps sur mon pénis, la situation devenait difficilement contrôlable. Christine qui avait besoin de se repositionner régulièrement massait mon pénis, j'en venais à pensé qu'elle essayait de me provoquer.

J'avais toujours rêvé de sucé ses seins quand je la voyait allaiter ses enfants, et là ma bouche se trouvait à 15cm de ce mamelon dont la douceur apparente était plus qu'une invitation, mon excitation me faisait perdre mon contrôle et je commençais à bouger mon bassin, ma surprise Christine répondait et bougeait le sien avec de petit mouvements qui s'amplifiaient, ses seins qui sont dans mon axe de vision accompagnent ses mouvements, j'avais envie d'approcher ma bouche doucement et d'embrasser son mamelon.

Comme Martine était occupé à conduire j'avançais ma bouche vers la jointure du mamelon et de l'aisselle, j'embrassais la douceur de cet endroit privilégié, Christine sursauta, en lâchant un Ho de surprise mais loin de se retirer elle se laissa aller contre mon visage, l'envie de toucher son têton était trop forte je sortais ma langue et léchais le petit bout qui dépassais, je voyais son téton se durcir, et elle se frottait de plus en plus fort sur mon sexe j'étais dans un état comateux et je pensais que je ne pourrait pas me retenir de jouir, j'en avais envie et besoin.

Christine avait accélérer son mouvement qui n'était pas visible par Martine, et elle se raidit en silence sur mon sexe et écrasa son sein sur mon visage, elle se tut et ferma les yeux, Christine venait de jouir et moi j'étais prêt à en faire autant quand Martine annonça que nous étions pratiquement arrivés, Christine se leva légèrement en se dégageant de sur mon sexe.

Je repris mes esprits et espérais que mon érection ne se verrait pas, avec un short difficile qu'elle ne soit pas apparente, aussi en sortant du pick-up, avant que Martine ne puisse déceler quoique ce soit je m'emparais d'un carton et attendais les instructions, Martine s'approcha et me dis que j'étais vraiment très enthousiaste à l'idée de décharger le pick-up, elle avait un sourire en coin et je me demandais si elle avait pu voir quelque chose, j'étais affreusement gêné.

Christine s'approcha en disant que j'avais raison compte tenu de la chaleur c'était mieux de se débarrasser de cette corvée le plus vite possible, je n'étais pas le seul à noter que ses tétons étaient visibles et que son short était rentré entre ses fesses, Martine avait du voir l'excitation de Christine c'est pourquoi elle avait ce petit sourire entendu.

J'avais du mal à me remettre des émotions de ce petit voyage et en même temps j'étais frustré car le retour se passerais chacun sur son siège, j'avais vraiment envie de terminer ce qui avait été commencé. Le déchargement du pick-up se passa rapidement, Martine nous proposa de boire un grand verre d'eau bien fraîche et nous demanda si nous étions prêt pour une deuxième voyage. A ma surprise Christine montra un grand enthousiasme en disant qu'elle espérait qu'il restait des étagère ce qui lui permettrait de voyager sur mes genoux, Martine éclata de rire en disant qu'elle essaierait bien de voyager sur mes genoux car cela avait l'air très agréable.

Si nous voulions finir dans la journée nous devions retourner pour un deuxième chargement, Christine proposa que nous nous arrêtions chez elle pour manger un petit morceau avant de reprendre notre déménagement.

A peine arrivé Christine nous laissa pour aller prendre une douche au prétexte qu'avec la chaleur elle se sentait trop moite. Martine s'approcha de moi pour me dire en me regardant droit dans les yeux avec un petit sourire : j'aimerais bien faire un voyage sur tes genoux!

Pourquoi?

Martine. Si je regarde l'état dans lequel vous êtes arrivé à la campagne et le regard de Christine, le voyage a du être tendu. Et elle éclata de rire.

La gêne que je ressentis devait juste confirmer ses soupçons.

A ce moment Christine arriva fraîche et rhabiller de propre, par contre l'emmanchement de son tee shirt était encore plus dégagé et je notais qu'elle avait oublié de remettre son soutien gorge, le deuxième voyage allait être chaud dans le pick-up et aussi dehors, je décidais d'aller me rafraîchir.

A mon retour un petit repas à base de sandwich et bière était prêt, nous mangeâmes de bon cœur, après un café direction la maison de Martine.

ELLE le deuxième voyage

Nous nous dirigions vers le Pick-up, je regardais Christine, elle était rayonnante, les larges emmanchures laissaient voir ses seins, les aréoles et ses tétons dressés appellaient les caresses. Avant même de monter dans le Pickup j'étais déjà tout émoustillé et prêt à lui demander de s'asseoir sur mes genoux , malheureusement le siège du milieu était disponible.

Arrivé chez Martine, celle-ci nous demanda si nous voyons un inconvénient à emmener d'autres planches dont ils n'avaient plus besoin, Christine se proposa de suite de m'aider à les charger et Martine éclata de rire en lui disant : Tu pourras me remercier plus tard! Christine piqua un fard, pour calmer la situation je pris les étagères et les amenais au pick-up.

Une fois les étagères installées, cartons et petits meubles prirent leur place sur les cotés...Quand le pick-up fut plein je dis à Martine que nous devrions faire un autre voyage. Elle me répondit en riant que si je voulais elle pouvait trouver de quoi faire un quatrième voyage, pour l'instant elle voulait prendre une petite douche pour se rafraichir. En s'éclipsant elle nous dit profitez en je ne serais pas longue.

Un silence chargé d'émotions s'installa entre Christine et moi, j'allais m'asseoir sur un banc et elle vint me rejoindre, en se serrant contre moi, nous sommes resté sans rien dire pendant un long moment concentré sur le bien être qui se dégageait de ce moment. Ma main caressait son dos, glissant sous son teeshirt le contact avec la douceur de sa peau, ajoutait une autre dimension à ce moment.

Soudain, elle releva la tête et nous nous sommes regardé sans bougé, nos lèvres étaient si près que le moindre mouvement de l'un ou de l'autre, enclancherait un baiser que nous désirions tous les deux , son regard était un peu trouble, ajoutant au désir de franchir le pas sans se préoccuper des conséquences.

Continuant à nous regarder nos têtes se sont rapprochées et nos lèvres se sont jointes doucement, elles s'effleuraient jusqu'au moment ou nos langues se sont trouvées, toutes les émotions de cette matinée se concentrèrent sur ce baiser qui nous faisait perdre la notion du temps et de l'endroit oùu nous trouvions. Pour reprendre nos esprits nos bouches se séparèrent et ensemble nous nous sommes dis : je t'aime, ce qui nous a entrainé dans un nouveau baiser dans lequel nous voulions faire passer tout ce ressenti à l'autre.

Martine, en arrivant, rafraichi nous ramena sur terre : j'avais donc bien vu ce qui s'est passé entre vous ce matin, on y va mais vous êtes autorisés à faire comme si je n'étais pas là.

Martine alla prendre ses fonctions de chauffeur et nous main dans la main nous sommes installés le plus confortablement possible, Christine décidant qu'elle préférait me faire face, de façon naturelle nous nous embrassions nos mains commençant à découvrir nos corps réciproque. j'avais envie de toucher ses seins et prendre ses tétons dans ma bouche ma concentration était intégralement fixé sur cette objectif je voulais les toucher les caresser les lécher.

La main de Christine caressait mon sexe au travers de mon short je sentait que l'excitation faisait couler du liquide séminale qui mouillait le tissu, Christine laissait ses doigts jouer avec cette humidité.

Mes mains remontaient vers ses seins, j'allais enfin caresser ses mamelons et jouer avec leurs tètons, plus rien ne comptait autour de nous nous étions plongé dans cette quête de découvrir nos deux corps et nous donner ce plaisir réciproque. Nous n'avions même plus conscience de la présence de Martine à coté de nous, nous étions deux corps tendus vers le seul plaisir que nous pouvions ressentir à être là tous les deux. Christine émettait de petits sons qui m'excitait et nos caresse devenait de plus en plus précise sa main avait saisi mon sexe et le caressait avec le désir de me faire jouir et je me concentrait sur ce plaisir, et soulevant son teeshirt je saisissais son téton dressé dans ma bouche.

Cette seule action déclencha mon plaisir que je sentit monté dans mes bourses, je susurrais dans l'oreille de Christine que j'allais jouir, elle me dit oui joui je veux voir ton sperm sortir de ton sexe, jouis insista t elle.

Ces seuls mots eurent l'effet désiré j'éjaculais et Christine dont la main était couverte de sperme faisait un va et vient lent sur mon sexe, plongé dans un plaisir total je ne savais plus où je me trouvais, ma bouche s'emparait de la bouche de Christine en lui disant que je l'aimais. Ce premier orgasme était vraiment trop fort nous restions dans cette position pendant un moment, jusqu'à ce que Martine nous annonce que nous étions arrivés. Nous réalisions que nous étions dans son pickup, Christine se penchant sur mon oreille en la mordillant me glissa qu'elle aussi m'aimait.

Martine était descendu et commençait à décharger le pickup, nous restions dans les bras l'un de l'autre et nous carressions mutuellement, avec l'espoir que ce moment ne s'arrête pas. Après nous être nettoyé avec mon teeshirtnous sommes descendu du pickup.

Martine nous appela pour l'aider à descendre les planches qui étaient très lourdes, nous désengageant l'un de l'autre avec un dernier baiser, Christine j'ai trop envie de toi! elle me répondit moi aussi j'ai envie de sentir ton corp contre le mien, que nos bouches découvrent tous les endroits cachés de nos corps.

Dans un état second nous avons finis de déménager, Martine nous demanda si nous avions le temps pour un dernier voyage. Le retour à la réalité nous devions prévenir que nous ne rentrerions que d'ici deux bonne heures. En effet, notre situation allait se compliquer avec notre retour dans le monde réelle, mais nous voulions profiter de cette fin de journée qui nous avait permis de découvrir nos sentiments réciproques.

Martine nous glissa qu'elle était troublé de nous avoir observé dans le pickup, elle nous saisit tous les deux et nous sommes restés enlacer sans rien dire pendant quelques minutes, chacun plongé dans sa nouvelle réalité. Martine nous expliqua que de nous voir comme cela lui avait donné envie de s'arrêter pour nous regarder, pour nous embrasser car elle était fasciné : je n'ai jamais vu faire l'amour devant moi, c'était très perturbant, j'avais envie d'être aussi avec vous et participer, je sais c'est un peu bizarre mais vous étiez tellement beau que je voulais faire partie de ce moment. Vous ne m'en voulez pas de vous dire cela.

Non c'est un beau compliment, nous ne faisons pas vraiment dans la discrétion, lui dis Christine, allons y j'appelle la maison et nous faisons ce dernier voyage.

Christine prit son téléphone pour appeler chez elle et prévenir de notre retard, j'étais plutot content de la tournure des évènements, je glissais discrètement à Martine si elle accepterait de nous aider à trouver un endroit où nous pourrions nous rencontrer avec Christine.

Pas de problème demain vous pouvez vous retrouver chez mes parents à la campagne je te laisserait les cles, ils ne reviennent pas avant plusieurs semaines, tu me les rapporteras demain soir. Veux tu un teeshirt pour le retour?

Merci, j'en parle avec Christine. Tu sais ce que tu as dis tout à l'heure, je pense comme toi que tu fais partie de notre relation et sans toi rien ne se serait passé, encore merci. Oui pour le teeshirt.

Christine nous expliqua que tout allait bien chez elle, nous avions le temps de faire ce dernier voyage, aussi nous embarquons dans le pickup.

ELLE le troisième voyage

Le voyage retour s'est effectué dans le silence chacun d'entre nous plongé dans ses pensées, Christine et moi pensant à la suite des évènements qu'allions nous faire vis à vis de nos couples respectifs et surtout quand et comment nous pourrions nous revoir.

Martine quand à elle était perturbé par ce qu'elle avait vu, au travers de ses commentaires je pensais qu'elle était excitée, j'ai même eu l'impression que lors de notre dernier passage à la campagne elle aurait été réceptive à être incluse dans nos découvertes, malheureusement pour elle nous étions trop absorbés par ce qui nous arrivait pour être réceptif aux désirs de Martine.

Nous sommes arrivés chez Martine, nous avons chargé le pickup en silence, il n'y avait pas de planche ou étagères à charger, nous sommes remontés dans le pickup, Christine s'est installée sur mes genoux comme pour le précédent voyage et m'as sussurré qu'elle voulait jouir à nouveau sur ce voyage. Nos caresses n'avaient plus de retenues elles se sont faites directes, je soulevais son teeshirt et ma bouche trouva tout de suite le chemin de son tétons qui s'était durci par anticipation.

Mes mains se sont glissées dans son short pour caresser ses fesses en insérant un doigt entre elles à la recherche de son anus, j'avais envie qu'elle jouisse vite et fort, mon autre main est venue se glisser par les ouvertures le long de ses cuisses à la rechercher de son clitoris. Elle était déjà toute mouillée et je ne résistais pas enfonçant un doigt, pendant que mon pouce commençait à caresser son clitoris, Christine gémissait de plus en plus. Martine nous regardait en conduisant, son regard se remplissait de désir les gémissements de Christine la perturbait et depuis ce matin nos ébats commençaient vraiment à l'exciter.

Le va et vient des mains de Christine sur mon sexe commençait aussi à être extrêmement perturbant je me demandais lequel de nous deux allait jouir le premier, j'essayais de me controler alors que Christine voulait jouir avant d'arriver à la campagne, j'accélérais ma caresse sur son clitoris tout en lui disant que je voulais la pénétrer avec mon sexe, elle arrêta de me masturber se raidi avec un petit cri elle joui, son vagin se contractant sur mon doigt.

J'avais envie de la déshabiller et de la prendre la sur le siège du pickup. Martine nous dit : désolé mais je suis obligé de m'arrêter. Je la regardais elle avait les oreilles toutes rouges et le regard dans le vague, elle s'arrêta, mis sa main entre ses cuisses, nous la regardions avec Christine allait elle se masturber devant nous? Pour ma part si elle le faisait je l'accompagnerais, je bandais au point d'avoir mal aux bourses, il fallait que quelque chose se passe.

Christine prit l'initiative, s'agenouillant devant moi elle dégagea mon pénis et le prit dans sa bouche, après avoir dis à Martine : touche toi tu as comme nous besoin de jouir. Martine baissa son short pour se caresser, nos regards se sont accrochés, elle a accélérer son mouvement tout en s'enfonçant un doigt, Christine s'activait sur mon pénis caressant avec sa langue le gland, avec une de ses mains mes bourses, avec l'autre son clitoris.

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