Évolution de Carrière 02

Informations sur Récit
Le phantasme devient réalité.
2.3k mots
4.32
7.8k
2

Partie 2 de la série de 13 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 03/11/2021
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Les vestiaires

Je suis sur le pas de la porte, je survole d'un regard d'envie, de désir, d'excitation le trésor que m'offre mes collègues. Je suis certain que c'est une sorte de test. Cette mise en scène est trop parfaite. Jamais elles n'avaient laissé les vestiaires dans un tel états.

je vais réaliser enfin mon phantasme. Je ne réfléchis pas longtemps. Je retourne dans la salle commune, je me déshabille entièrement. Je ne peux pas le vivre sans en parler à mon Épouse, je veux partager mon rêve avec STÉPHANIE. C'est donc à poils que je traverse tout l'entrepôt, je vais dans nos bureaux, je téléphone à mon Épouse.

_J_ Allo! Mon Amour, je vais être en retard.

_S_ Pourquoi mon chéri?

_J_ Les collègues sont toutes allées courir, elles ont débauché, elles ont laissé toutes leurs affaires en vrac dans les vestiaires.

_S_ Tu es comment?

_J_ Je suis très excité, je bande, je suis nu, c'est trop fou.

_S_ Amuse toi bien mon chéri, vas y à fond. Tu es seul, vis ton phantasme. Tu as ma bénédiction, n'oublie pas, tu dois tout me raconter.

_J_ Oui mon Amour, je te dirais tout, je t'aime.

Je me balade alors nu dans tout l'entrepôt, la sensation est sacrément excitante. Je vais d'un bureau à l'autre, je déambule d'un poste de travail à un autre, je prends mon temps pour arriver devant les vestiaires.

Je rentre alors dans cette pièce, temple de mes convoitises.

Je commence par ramasser les objets qui trainent, bouteilles, shampoings, papiers,...puis les serviettes de toilettes.

Je trie ensuite les habits, ils sont éparpillés dans toute la pièce, tout est dépareillé. Un short, un soutien-gorge, une chaussettes, un tee-shirt, une culotte,...Je porte tout sur la table pour les associer. Elles ont du s'amuser, tout est mélangé, c'est un jeu de piste, une vraie chasse aux trésors. Je retrouve avec plaisir les tenues de chacune de mes collègues.

CÉLINE porte toujours le même style de short avec un haut court et moulant.

Le bermuda et le lycra noir sont à PATRICIA.

Le petit short rose et le body bleu sont à VANESSA.

Le plus grand short et le débardeur blanc sont à LAETITIA.

Tous les sous-vêtements sont des ensembles assortis. Il vont par paires, une culotte ou un string, avec un soutien-gorge pour chaque collègue.

L'ensemble crème est à CÉLINE, je reconnais immédiatement le parfum.

Le noir est Celui de PATRICIA, son parfum est le plus ''femme'' de toutes.

L'ensemble rose est à VANESSA, son parfum est acidulé. Le dernier, le blanc est à LAETITIA. Son odeur est la plus sucrée.

J'aligne chaque ensemble sur la table.

Je rassemble toutes les autres affaires, je les portes à la buanderie, et lance une machine. Je reviens dans les vestiaires, un oeil à l'horloge il est déjà 18 heures vingt. Tient! Ce n'est pas la même pendule, elle a été changée? Je ne l'avais pas remarqué.

Pris par une grande et folle excitation, je m'approche de la table. Les sous-vêtements semblent m'attendendre.

Ce ne sont pas du tout des dessous adaptés pour le sport, curieux, mais tellement plus sexy. Le plus fou c'est de découvrir des traces sans équivoque dans le fond de chaque culotte, je ne rêve pas, elles ont mouillé pour moi?

Le premier ensemble devant moi est le crème, Je prends le soutien-gorge, je reconnais l'odeur du parfum de CÉLINE , je le caresse, je sent ce petit bout de tissus qui était en contact avec sa peaux il y a quelques heures, je me frotte le torse avec. Sa culotte est encore plus odorante et plus humide que la dernière fois. Je suis sur que ce parfum n'est pas que sa transpiration, c'est le goût de son plaisir. Elle a mouillé sa culotte de sa jouissance. Ça ne peut pas être autre chose. C'est magnifique, inespéré, inouï. je la frotte de ma tête à mon ventre.

Je passe alors à l'ensemble noir de PATRICIA, pareil son parfum si ''femme'' embaume, les bonnets de ce tissus, je suis sur que c'est le numéro 5 de Chanel. Sa culotte est trempée aussi, le parfum est plus fort, plus entêtant, le goût est un délicieux mélange d'épices et de musq.

Je passe à l'ensemble rose de VANESSA, le soutien-gorge sent tellement elle. La culotte aussi est très humide, son odeur est un délicieux mélange d'acidité et de sucrée.

Le dernier ensemble le blanc est à LAETITIA, c'est La plus grande taille des quatre, le soutien-gorge sent son parfum si floral, sa culotte est très très humide. Se sont des effluves si troublantes, un mélange de miel de bruyère avec une touche de fleurs de lys, et un soupson d'acidité.

Je réalise à se moment la que ce n'est pas du hasard tout ça. Elles doivent se douter de quelque chose, elles doivent savoir. Elles m'ont fait un sacré cadeau. Je me mets à parler tout fort, comme si elles étaient devant moi.

_J_ Merci MESDAMES pour votre magnifique cadeau, je suis votre dévoué serviteur.

Je monte au milieu de la grande table de ferme, je me mets à genoux, entouré de la lingerie fine de mes quatre collègues. Religieusement, je prends la culote de CÉLINE, je la porte à mon nez, à ma bouche, ma langue effleure le bout de tissus, quelques secondes avant de la laper comme un chien, puis je la suce, j'avale ce divin breuvage, j'aspire la moindre goûte. Quand j'estime avoir tout nettoyé, je passe à une autre culotte.

VANESSA, LAETITIA et enfin PATRICIA. Ce nectar m'excite plus que les autres, sa culotte est la plus trempées de toutes. Respirer, boire sa saveur intime fait dégouliner ma queue de plus belle. Je bande depuis que je suis nu.

La culotte de PATRICIA en bouche, je me frotte le visage, le torse, les cuisses, les fesses, je me caresse tout le corps avec les trois autres. Je veux en être entièrement couvert, imprégné. Je me parfume de leurs sucs, de leurs parfums si intimes. Elles ont joui pour moi.

J'évite soigneusement de toucher mon sexe tendu, mon gland suinte d'excitation, il est luisant, mes couilles sont prêtes à exploser.

J'ai bu chaque goûte de leurs nectar, je suis allongé sur le dos, le visage couvert de leurs culottes et de leurs soutien-gorge, je m'imagine devant Elles.

Je me caresse le corps avec le plus de sensualité possible, je n'ai plus aucune limite, ni inhibition. J'ouvre les jambes, jʼecarte les cuisses, je leur offre tout mon corps sans pudeur. je ferme les yeux. Elles sont devant moi, le spectacle doit être le plus toride possible, d'un érotisme fabuleux. Je ne suis plus leur collègue mais un strip-teaseur chaud comme les flammes de l'enfer. Les positions que je prends sont carrément pornographiques. L'excitation me donne des ailles.

Je caresse mes fesses, mon cul, titille mon œillet avec mes doigts, joue un peu avec mes couilles. Je sais que si je touche trop mon sexe, je vais jouir très vite. je donne juste quelques aller-retour à ma bite. Je me mets à quatre pattes, la tête enfouie dans leurs dessous. je caresse mon cul, l'ouvre à deux mains, j'enfonce un doigt, je le ressort, je le suce, je le lèche, je le lubrifie pour l'enfoncer dans mon cul. La position est obscène, si humiliante, mais si bandante. J'adore me faire fouiller le cul, si elles savaient!!!

Je me redresse à genoux toujours avec un doigt dans le cul, la stimulation de ma prostate me fait couiner de plaisir.

Je prends ma queue et commence à me branler. Je vais très lentement, je veux jouir pour mes collègues. Leur crier mon admiration, ma fascination, ma dévotion.

Mes mains s'activent plus rapidement. Mon plaisir est presque la, je le sent, je vais jouir. Je vais éjaculer.

Dans un dernier mouvement synchronisé de mes deux mains, l'une dans mon cul et l'autre autour de ma queue, je hurle mon plaisir.

_J_ Mon orgasme est pour vous MESDAMES, je jouis pour vous, je suis tout à vous, merciiiiiiii!!!

Mon éjaculation est une explosion de sensations tellement puissantes.

J'émerge quelques minutes plus tard, l'orgasme m'a retourné, j'ai été loin. Je réalise que je suis toujours sur la table, mon sperme est partout devant moi et sur moi. Ma première pensée consciente est de remercier encore tout fort mes splendides collègues, et pour continuer dans mon délire, je lèche le sperme qui a atterrit sur la table. Quand elle est nettoyée, je récupère ce qui est sur mon corps et l'avale. Une fois tout propre je descends de la table, je marche autour de la pièce. Je savoure cet instant magique, ma démarche est fière, mon sexe se redresse, la situation m'excite tellement que je rebande à nouveau.

je récupère toute leur lingerie, et porte religieusement tous ses délicats dessous féminins dans un lavabo. Après avoir récupéré une lessive pour laver le linge à la main, c'est très pratique de travailler avec des femmes, elles pensent à tout. je lave avec beaucoup d'attention et de minutie ces délicieux petits bouts de tissus. Ils doivent être parfaitement propres. Je les pose délicatement sur l'étendoir.

La première machine est finie je sort le linge, le met au sèche-linge et lance la dernière machine de serviettes. Il est presque 20 heures. Je finis le ménage des douches, je passe la serpillière à quatre pattes dans toute la salle, quand j'entends du bruit à l'extérieur, une porte de voiture claque, j'ai juste le temps de courir, d'attraper mon caleçon dans les mains que PATRICIA rentre dans la pièce.

_P_ Mais!! Que fais-tu encore là Julien? Mais tu es à poils en plus?

_ J_ Euh...Je viens juste de finir le ménage, j'allais partir.

_P_ Tu fais le ménage à poil?

_J_ Euh oui, c'est plus pratique pour ne pas salir mes vêtements.

_P_ Sérieusement? Tu me cache quelque chose juju?

_J_ Non non, je suis sur le départ, je m'en vais.

_P_ Bien sur! T'es à poils quand même dans la cuisine.

_J_ Désolé tu n'aurais pas du me voir.

_P_ Tu as de la chance, je suis pressée. rajoute t'elle en se dirigeant vers nos bureaux.

J'enfile à la hâte mon caleçon, elle rajoute en s'éloignant.

_P_ Je fermerai mon petit juju tu peux partir.

Je ne sais pas pourquoi mais j'ai répondu.

_J_ Merci Madame PATRICIA

Elle s'est arrêté net, se retourne, se rapproche de moi, elle me regarde longuement, de la tête aux pieds. je me sent tellement nu.

_P_ Mais tu deviens de plus en plus intéressant mon petit juju.

Je ne sais pas quoi dire ni quoi faire, je suis en caleçon, le pantalon, la chemise, les chaussures posés sur une chaise à quelques mètres. Les mains de chaque côté de mon corps je reste immobile.

PATRICIA se rapproche, ses talons raisonnent sur le parquet , elle porte un tailleur noir en cuir , elle est très impressionnante, c'est la première fois que je l'a voit habillée ainsi. Je me sens si intimidé, plus elle s'approche plus j'ai l'impression qu'elle est plus grande que moi avec ses talons. Je veux m'habiller mais je me sent paralysé.

Elle s'arrête à un peu moins d'un mètre, elle me toise de toute sa hauteur, je n'ose soutenir son regard.

_P_ Je ne sais pas ce qui t'arrive mon petit juju, mais tu deviens vraiment intéressant, comment m'as tu appelé?

Je bredouille un '' Mme TRICIA '' incompréhensible.

_P_ Quoi?

_J_ Pardon, excusez-moi . Je vous ai appelé Madame PATRICIA.

_P_ Mais c'est très bien mon petit juju. Tu as enfin compris comment tu dois t'adresser à une femme.

_J_ Je ne sais pas c'est sortit tout seul

_P_ Quoi!

_J_je ne sais pourquoi j'ai dit ça.

_P_ Comment m'as tu appelé?

_J_ je vous ait appelé '' Madame PATRICIA ''.

_J_ J'ai bien entendu la première fois, je voulais que tu le répète, car dorénavant tu m'appellera comme ça à chaque fois que tu t'adresse à moi. Compris?

_J_ Oui Madame PATRICIA.

_P_ Ce n'est pas tout, tu m'as vouvoyé tout à l'heure.

_J_ Oui Madame PATRICIA.

_P_ C'est parfait donc à partir de maintenant tu devras me vouvoyer. Entendu?

_J_ Oui Madame PATRICIA, j'ai bien compris, je vous vouvoie quand je m'adresse à vous.

_P_ Parfait juju! Tu es absolument parfait.

La tête baissée je sent son regard me scruter. Je commence à bander, elle ne peut pas ne pas le voir. Elle tourne autour de moi, se rapproche à quelques centimètres de moi, je sens son souffle sur ma peau, elle inspire plusieurs fois. Ma queue est maintenant au garde à vous.

_P_ C'est très très bien, juju tu as la bonne attitude et encore mieux, je vois même que ça te fait de l'effet, on dirait.

C'est la première fois que je bande devant elle sans pouvoir le cacher. Je ne sais pas quoi dire.

_P_ Bon maintenant file, lundi on va avoir beaucoup de choses à se dire mon petit juju.

_J_ Oui oui merci, Madame PATRICIA.

Ce sont les seuls mots que j'ai pu dire. J'ai mis ma chemise, mon pantalon. je me suis agenouillé pour mettre mes chaussettes et mes chaussures.

Elle n'a pas bougé, elle n'a pas dit un mot, elle m'a juste regardé à ses pieds. Je me lève enfin, je l'a regarde dans les yeux et lui dit.

_J_ Je vous souhaite un très bon week-end Madame PATRICIA.

_P_ Merci, mon petit juju, grâce à toi je suis sur qu'il va être génial.

Je suis sorti sans un mot la tête baissée, si elle savait!

Assis dans ma voiture je me demande si j'ai rêvé. Puis je réalise le parfum que je porte. Toutes ces saveurs, si FÉMININE. Elle était si proche de moi, elle a dû le sentir, c'est sûr. Le trajet de retour me permet de me ressaisir un peu. Je n'ai pas trop compris tout ce qui s'est passé avec PATRICIA, est-ce que j'ai vraiment vécu un pur moment de domination féminine ou est-ce que c'est dans ma tête? d'ailleurs que faisait elle là? Qu'est-ce qu'elle m'a dit? On verra lundi.

Mon Épouse m'accueille avec le regard très coquin. Mon coup de téléphone l'a bien émoustillé. Elle a remarqué tout de suite mon odeur.

_S_ Tu sens la ''femelle en rut'' mon chéri. Raconte moi tout.

C'est nu à genou, la tête entre ses jambes que j'ai ai commencé mon compte rendu très détaillé.

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Anonymous
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3 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 3 ans

J'adore quand la perversité pointe son nez dans la quotidien c'est tellement excitant ! Julien est peut-être un peu trop consentant mais ce fantasme me fait b... eaucoup d'effet ! Vivement lundi ! Aurailiens

AnonymousAnonymeil y a environ 3 ans
Génial

Vraiment vraiment génial et évidemment : Vivement lundi ! ! !

Rudy

AnonymousAnonymeil y a environ 3 ans
TB ! et lundi

il est pieds nus devant Madame Patricia… Et mardi ??

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