Évolution de Carrière 03

La révélation

Le week-end nous a encore plus rapproché avec mon Épouse. Elle est fière de moi, elle est contente que je puisse réaliser mes désirs, mes phantasmes. Elle m'encourage dans cette quête d'absolu. L'expérience de vendredi soir m'a libéré dit-elle.

Elle me trouve beaucoup plus serin, plus apaisé, plus épanoui. Je deviens son '' super mari '' son homme '' parfait''. Je suis encore plus amoureux trouve t'elle. Elle m'encourage à continuer mes jeux, de savourer chaque instant avec mes collègues, et qui sait dit-elle.

_S_ Peut qu'un jour, il se passera quelque chose avec tes collègues. Elles te rêve toutes et toi tu phantasmes qu'elles te dominent, mais tu m'appartient. Tu es mon dieu grec, ton corps et ton âme sont à moi. Je t'adore mon chéri.

Mon Épouse connaît toutes mes collègues. Elles se sont rencontrées plusieurs fois lors de soirées de l'entreprise et de fêtes. Elle sait que je ne les désire pas, où du moins je n'ai pas le désir de les baiser, c'est plutôt le contraire. La seule règle qu'elle m'impose est de tout lui dire, de ne rien lui cacher.

Toutes mes actions, les situations les gênantes, les plus humiliantes, mes paroles, mes actes, absolument tout, je lui avoue tout. Mais le plus important à ses yeux, c'est notre confiance mutuelle. Elle sait que j'ai une très forte libido, c'est pour cela qu'elle veut connaître aussi toutes mes envies, mes impressions, mes ressentis, mes pensées, mes frustrations, mes désirs les plus intimes... Tout, elle veut tout savoir, et moi j'adore tout partager avec elle.

Sur sa demande, j'ai passé une partie de mon dimanche après-midi à tout noter sur un grand cahier qu'elle m'a offert pour mon anniversaire. Elle a même écrit le titre.

" Journal intime de juju".

Le surnom que m'ont donné mes collègues lui plaît beaucoup, ça la fait rire, ça me va trop bien dit elle.

J'ai noirci plusieurs pages, j'ai écrit, sans me censurer, sans pudeur. J'aime me dévoiler pour elle. N'avoir aucun secret est une sorte de soumission, d'obéissance, ça lui donne du pouvoir, enfin c'est ce que je pense, je lui ai même écrit tout ça. Je ne sais pas ce qu'elle va penser en me lisant, je suis juste honnête avec elle et avec moi-même.

Lundi matin, durant tout le trajet jusqu'à mon travail je n'ai pas arrêté de penser à PATRICIA. Que peut elle penser de moi? Est-ce que je dois l'appeler Madame, et les autres collègues,....

J'arrive le premier, ouf! elles ne sont pas encore arrivées.

Je m'empresse de plier et de ranger le linge propre et sec dans les placards respectifs. Les tenues de chacune sont bien rangées sur les cintres dans leur casier. La pièce na jamais été aussi nickel, aucune trace de mon forfait. Je pars en cuisine préparer le petit déjeuner.

8h30 personne, 9 heures je suis toujours seul. Je commence à m'inquiéter. Où sont elles? Que font elles? 9h15 je reçois un appel de la secrétaire qui me convoque immédiatement pour une réunion exceptionnelle, je lui fais part de mon inquiétude pour l'absence de mes collègues. Elle me rassure m'expliquant qu'elles m'attendent toutes ici.

Durant le quart d'heure du trajet, je me pose mille questions. Quand j'arrive dans la salle de réunion elles sont toutes là, même la secrétaire est présente. Elle s'appelle MANON, c'est une superbe rousse d'une trentaine d'années.

_J_ Bonjour Mesdames.

_P_ Tient voilà notre petit juju.

C'est PATRICIA qui a parlé la première. Je m'approche d'elle pour lui faire la bise, comme d'habitude.

_P_ As-tu déjà oublié, ce que l'on s'est dit vendredi soir?

Que faire? Accéder à sa demande et ainsi me dévoiler devant les autres? Je n'ai pas trop le choix, enfin si, mais j'ai envie d'obéir à PATRICIA.

_J_ Euh! Bonjour Madame PATRICIA.

Elle s'approche alors avec un grand sourire, l'on se fait la bise comme d'habitude. Je suis rassuré, personne ne fait de remarque. Je n'ai pas le temps de réfléchir plus longtemps, CÉLINE est juste à côté, elle semble impatiente.

_J_ Bonjour Madame CÉLINE.

_C_ Bonjour mon petit juju.

_J_ Bonjour Madame VANESSA.

_V_ Bonjour mon petit juju.

_J_ Bonjour Madame LAETITIA.

_L_bonjour mon petit juju

_J_Bonjour Madame MANON.

_M_Bonjour mon petit juju

J'ai dit tout cela sans me poser de questions, ça me semble si évident, si naturel. C'est la bonne façon de les saluer. C'est plus qu'une formulation respectueuse, c'est clairement le signe que je les considère comme "supérieures". Je les appelle Madame, elle m'appelle juju. Je suis en train de leur montrer ma place. J'ai dépassé la demande de PATRICIA.

_J_ Mesdames, vous êtes magnifiques ce matin, toutes plus belles les unes que les autres.

En effet elles sont toutes en robe ou en jupe, pas les tenues habituelles de travail. Elles sont très joyeuses, elles me regardent bizarrement ce matin, quelque chose à changé dans leur regard, c'est troublant, je sens une forme de désir, de désir sexuel, c'est même gênant, elles me déshabillent du regard. Je suis scruté de la tête aux pieds. Je suis seul devant cinq femmes magnifiques, je suis de plus en plus mal à l'aise.

C'est à ce moment la, que notre directeur entre. Il est accompagné d'une femme. Notre directeur rapidement la parole.

_D_ Bonjour, je vous présente Madame R. Votre nouvelle directrice, je vous souhaite de très bonnes continuations... Je vous laisse pour faire plus amples connaissance.

Ouf! je suis soulagé, je ne suis pas concerné directement, voilà l'explication de cette réunion, mais en même temps je suis un peu agacé de n'avoir pas été mis au courant.

La réunion commence, tour de table, présentation du projet, nouveaux objectifs,...

Notre nouvelle directrice dégage une autorité naturelle qui m'impressionne. Elle doit avoir une cinquantaine d'année, sa tenue est très classique, tailleur de grande marque, d'après VANESSA qui l'a fait remarquer assez fort pour que je l'entende.

Madame R, s'est adressée à nous avec fermeté et bienveillance. Elle semble sincère quand elle nous complimente pour notre travail, elle souhaite venir nous rencontrer personnellement, elle viendra dans les jours prochains à l'entrepôt. Cette femme me subjugue par son charisme.

Plusieurs fois en regardant ou écoutant mes collègues, je suis parcouru de frissons, de pensées furtives, d'images, d'odeurs, tout me ramène à vendredi soir. J'imagine toutes mes collègues dans leurs petites tenues. Je bande comme un fou. Heureusement que je suis assis, je ne suis entouré que de femmes. Cela comble mon phantasme . Mon excitation ne fléchie pas. Si elles savais!

11 heures la réunion se termine. Notre nouvelle directrice nous a donné l'après-midi, pour nous retrouver tous ensemble et réfléchir au nouveau projet. L'on se retrouve donc tous les six à l'entrepôt, MANON nous a rejoint. Mes impressions de tout à l'heure ont disparu, elles sont comme d'habitude.

Les discussions vont bon train, chaqu'une parle de ses impressions, de la nouvelle directrice, du nouveau projet, etc...

Je suis en train de mettre la table et préparer le repas quand PATRICIA m'interpelle.

_P_ Alors comment va tu juju?

_J_ Je vais très bien, merci Madame PATRICIA.

_J_ Tant mieux, je dois vous dire les filles qu'il fait de drôles de choses quand nous ne sommes pas là. Vous ne devinerez jamais, je l'ai vu pratiquement nu.

_L_ Quoi?

_P_ Si si, il était à poils, ici même, vendredi soir quand je suis passée à l'entrepôt.

je suis paralysé, incapable de parler. De penser, d'agir. Je suis comme un petit garçon qui a fait une bêtise et qui se fait gronder. Je ne suis plus le bel homme viril et sur de lui.

_L_ Tu es sérieuse?

_V_ Il était à poil ici notre petit juju? ironise VANESSA.

_P_ Si je t'assure, il était juste à l'endroit où tu te trouves LAETICIA.

_L_ Non! T'as vu notre beau collègue sans vêtements?

_P_ Oui, il tenait juste son caleçon devant lui. Il m'a même donné une excuse bidon, demandez lui répond PATRICIA.

_L_ Alors c'est vrai? Tu te ballade à poils quand tu es seul à l'entrepôt?

_J_ Non pas tout le temps LAETITIA, enfin si parfois quand je suis tout seul, c'est surtout pour ne pas salir mes vêtements quand je fais le ménage, tu comprends?

_P_ Et c'est tout?

C'est PATRICIA qui a parlé d'un ton sec.

_J_ Euh... Euh, oui ...

Je ne sais pas quoi dire, je suis paniqué.

_P_Tu as déjà oublié les bonnes manières? Ponctue PATRICIA d'un ton encore plus sévère.

_J_ Pardon excusez moi Madame PATRICIA.

_P_ Ce n'est pas qu'à moi que tu dois répondre correctement, refait ta phrase sans rien oublier .

Le ton est sec. La phrase est directe. Je suis rassuré c'est juste la forme qui ne va pas.

Ma réponse va déterminer mon avenir. Je le sais. Je sent cinq paires d'oeils me dévisager. Je sais qu'il n'y aura pas de marche arrière possible. Ce que je désire secrètement est à ma porté. Je pose l'assiette sur la table regarde chaque femme pour m'arrêter sur LAETITIA.

_J_ Je vous demande de bien vouloir m'excuser Mme LAETITIA, oui j'aime bien être nu, ça me plaît d'être à poils dans l'entrepôt.

Il y a un grand silence, je prends conscience du sens de mes paroles. Je viens encore plus de m'enfoncer.

LAETITIA se lève s'approche de moi.

_L_ Alors ça c'est trop génial, notre petit juju aime se promener à poils à l'entrepôt et on n'est pas au courant. Comment ça se fait?

_J_ Euh Madame LAETITIA, c'est un peu délicat.

_L_ Et en plus je suis sûre que tu fais plein de cochonneries rajoute t'elle.

Je suis terrifié, si elles apprennent ce que j'ai fait, je suis perdu. Une grande angoisse commence à m'envahir. Les larmes me montent aux yeux. Je ne peux pas leur dire. J'ai trop honte, trop peur.

PATRICIA me pose alors la question qui me sauve de l'effondrement.

_P_ Pourquoi tu ne nous l'a jamais dit?

_J_ Dit quoi Madame PATRICIA?

_P_ Tu sais bien que l'on partage tout à l'entrepôt, personne n'a de secret pour personne , c'est comme ça que l'on fonctionnent depuis des années. Même la nouvelle directrice nous a perçu comme ça. Honnêtes et très soudées. Tu ne dois rien nous cacher, as tu compris mon petit juju?

C'est notre travail à toutes que tu veux discréditer par tes cachotteries et tes mensonges?

Tu réalise ce que tu as fait?

Tu as commis une faute grave, c'est de l'exhibitionnisme, on peut même parler de harcellement sexuel, tu es le seul homme et tu étale ta nudité sur notre lieu de travail.

Je suis accusé, montré du doigt. Je ne veux pas tout gâcher, j'ai peur. Peur de tout perdre.

_J_ Oui, c'est vrai Madame PATRICIA, souvent après votre départ je me met nu, je n'en ai jamais parlé car jai trop peur de vos réactions, je ne veux pas vous effrayer. Je ne veux pas vous perdre, j'ai peur d'être rejeté, d'être viré. Je veux continuer à travailler avec vous toutes.

Quand je lève les yeux à la fin de ma tirade. Je n'arrive pas à comprendre ce que je vois. Elles se sont rapprochées, elles sont toutes autour de moi. Elles me regardent vicieusement.

_P_ Personne ne pense une chose pareille, nous n'avons pas envie de te jeter ou te faire virer. Nous avons toutes confiance en toi. Tu dois savoir que je t'apprécie vraiment mon petit juju et je ne suis pas la seule.

Cette déclaration de PATRICIA me fait pleurer, toute la pression se libére dans un grand flot de larmes. Je ne m'arrête plus. Elles viennent alors tout contre moi Elles me prennent dans leur bras, me console, me cajole comme un tout petit enfant, leurs mains me touchent la tête, les bras, le dos, le torse, le ventre.

Entre deux sanglots j'arrive à bredouiller quelques mots.

_J_ J'ai si honte. J'ai peur, j'ai peur de vous dégoûter, j'ai peur que vous puissiez penser que je suis un gros pervers si je vous avoue que j'aime être nu.

Je vous respecte tellement, je ne veux que vous faire plaisir. Vous êtes toutes si fabuleuses et si fascinantes. Pardon Mesdames. Je ne veux pas vous effrayer, ni vous perdre....

C'est PATRICIA qui prend la parole, en essuyant les larmes qui coulent sur mon visage. Elles se sont reculées.

_J_ Mon petit juju on t'aime beaucoup tu sais. Ici on t'apprécie toutes, on ne veut pas que tu sois triste, on ne veut pas te faire du mal, bien au contraire. On a toutes perçues chez toi des qualités hors pair, tu as un corps de rêve, et des apttitudes exceptionnelles qui ne demandent qu'à s'épanouir. Tu nous fais confiance?

Alors écoute nous, obéit nous, et tu pourras t'épanouir comme tu n'as même pas idée. Vous êtes d'accord les filles.

C'est un oui collectif et enthousiaste qui a raisonné à mes oreilles et réchauffé mon coeur.

_P_ Juju est-ce que tu nous fais confiance?

_J_ Oui Madame PATRICIA je vous fais totalement confiance. Que voulez-vous que je fasse?

_P_ Tout d'abord sèche tes larmes. La première chose que tu dois comprendre et assimiler. C'est le respect que tu nous dois. Tu ne dois plus jamais nous mentir, tu dois toujours t'adresser à nous avec respect. As-tu compris?

_J_ Oui Madame PATRICIA, j'ai bien compris.

_P_ juju tu semble vouloir nous faire plaisir, tu es adorable quand tu nous sert, veux tu nous faire plaisir?

_J_ Oui Madame PATRICIA.

_P_ Très bien tu vas voir c'est très simple. Reprend ton service nous commençons toutes à avoir très faim. Le reste on va te l'expliquer, te l'apprendre au fur et à mesure. Je suis sûre que tu veux nous satisfaire.

Je suis maintenant calme, je ne pleure plus, je termine la préparation du repas, je fait le service. L'ambiance est beaucoup plus légère. Elles sont même très joyeuses, elles rient et moi aussi, même si elles ont des regards carnassiers.

Après les avoir toutes servies, J'ai voulu m'asseoir à table. PATRICIA m'a arrêté,

_P_ Quand on a l'honneur de faire le service des Dames on doit être disponible. Tu mangera après, restes debout, soit vigilant à nos besoins, nos envie. Tu vois VANESSA à le verre vide et CÉLINE n'a plus de pain.

Comme dans un rêve, je me redresse, incline légèrement la tête et d'une voix tremblante, mais très respectueuse.

_J_ Oui Madame PATRICIA, veuillez m'excuser Madame CÉLINE voilà du pain et je vous demande pardon pour le verre d'eau Madame VANESSA.

_P_ Tu vois ce n'est pas compliqué d'être à notre service. Tu es à ta place juju. C'est très bien, nous voulons toutes que le temps que l'on passe ensemble soit agréable pour tout le monde.

Le repas s'est terminé dans cette drôle d'ambiance, elles parlent de tout et de rien, je ne suis pas convié à leur discussion. Pourtant je suis tout le temps sollicité pour les servir, apporter tel ou tel plats, débarrasser,... Après le café, rangement, nettoyage, vaisselle,... j'ai pu manger un peu. Je venais de finir mon café et ma cigarette quand LAETITIA m'a demandé de les rejoindre dans les vestiaires.

Elles sont assises en demi cercle au milieu de la pièce, la grande table est sur le côté.

_P_ Avance toi Julien. Pour commencer on te remercie, on te félicite pour ton application, pour le zèle que tu as montré dans cette tâche si délicate laver notre linge sale. Merci d'avoir nettoyer nos dessous si fragile à la main et d'avoir si bien ranger nos affaires. Tu es très compétent, je pense que tu vas devoir nous montrer plus souvent tes talents à l'avenir. Ce serait dommage de te priver de ce plaisir.

_J_ Mais de rien Mada...

_P_ juju tu ne parles que lorsque l'on te donne la parole. C'est du respect. As-tu compris?

_J_ Oui oui Madame PATRICIA.

_P_ Bien alors continuons, mon petit juju aujourd'hui c'est un grand jour pour toi. C'est le premier jour de ta nouvelle vie à l'entrepôt.

Un long silence, je suis debout immobile les mains derrière le dos à quelques pas devant toutes mes collègues. J'ai l'impression d'être devant un tribunal. Elles lancent des regards furtifs entre elles avant de toutes se focaliser sur moi.

_P_ Il y a des choses que tu dois savoir juju.

Nous savons toutes ce que tu as fait ici dans cette pièce vendredi soir.

Le ciel vient de me tomber sur la tête. Mon coeur s'est arrêté puis s'est emballé, je ne peux pas croire ce qu'elles me disent. Comment elles savent? Qu'est qu'elles ont vu? Je veux parler, m'expliquer mais quoi leur dire?

PATRICIA m'observe, Elle ne m'a pas questionné ni donné la parole, donc je me tait. Curieusement je bande. Etre devant mes collègues qui savent m'excite. Mais que savent elles vraiment?

PATRICIA reprend la parole.

_J_ juju vois tu la nouvelle horloge?

_J_ Euh, euh oui Madame PATRICIA.

_P_ Vois tu, elle est équipée d'une caméra, et il y en a d'autres, dans l'entrepôt, tu verras plus tard.

C'est CÉLINE qui en a eu l'idée. Une idée géniale. Je suis sûre que tu sais pourquoi elle a eu cette idée.

Tu comprends ce que cela signifie mon petit juju?

_J_ Eeeeeeeeuh!!!! oui Madame PATRICIA. Je suis désolé, Je vous demande pardon, pardon pardon à vous toutes Mesdames.

_P_ Mais tu es tout excusé mon petit juju, au contraire nous voulons toutes te remercier pour ton magnifique spectacle. Tu es un homme très beau, un régal pour beaucoup de femmes. D'ailleurs il y a même une copie de tes exploits pour toi sur la table.

Je regarde la table, un DVD est posé dessus, je ne peux plus les regarder dans les yeux, j'ai trop honte. J'ai la tête baissée. Je pars dans mes pensées, je suis ailleurs, loin, très loin , plus rien n'existe. La voix de PATRICIA me sort de ma torpeur.

_P_ juju, es tu avec nous? juju? Juju?

_J_ Euh oui Madame PATRICIA.

_P_ Bien, tu es avec nous, alors écoute bien juju, sais tu ce que cela signifie si ces images arrivent à la direction ou ailleurs?

_J_ Oui oui Madame PATRICIA je suis finit. Terminé.

C'est l'humiliation totale. Le monde m'est tombé sur la tête.

Je ne sais pas encore pourquoi mais je suis tombé à genoux devant mes collègues, pour plaider ma cause.

_J_ Je ferais tout ce que vous voulez Mesdames, s'il vous plaît ne le montrez pas à la direction ou à qui que soit d'autre , s'il vous plaît. S'il vous plaît Mesdames.

_J_ Ça ne dépend que toi mon petit juju.

dit PATRICIA en s'approchant de moi, un sourire illumine son visage sévère.

_J_ Comment ça Madame PATRICIA?

_J_ Si tu es obéissant, si tu fais tout ce que l'on te demande, tout ça reste entre nous. N'est-ce pas les filles.

Oui bien sur répondirent elles toutes en coeur, tout en s'approchant de moi. Je suis à genou la tête baissée, elles m'entourent.

_P_ Déshabille toi.

_J_ Quoi?

Sans aucun avertissement PATRICIA me gifle violemment.

_P_ Quand on te donne un ordre tu dois obéir immédiatement. As-tu compris?

_J_ Oui Madame PATRICIA, pardon mais pourquoi?

_P_ juju, simplement parce que je te le demande, ne fait pas ton timide, on t'a toutes déjà vu nu.

J'ai alors enlevé ma chemise, défait ma ceinture, ma joue me chauffe, je suis en pilotage automatique ...

_P_ Debout!

En une fraction de seconde je suis debout. Mes chaussures,mes chaussettes, mon pantalon suivirent. Mon caleçon ne cache rien de mon érection, je bande depuis que je suis rentré dans la pièce.

Sans hésitation je baisse ce dernier rempart. Ça y est, je suis nu devant mes collègues.

_P_ Les mains sur la tête, écarte les jambes, un peu plus, redresse toi, lève la tête. Parfait. C'est la bonne position. Tu dois toujours te présenter ainsi quand on dit position une . As-tu compris?

_P_ Oui Madame PATRICIA.

Les commentaires fusent, chacune y va de ses remarques, je ne sais même plus qui dit quoi. Elles tournent autour de moi.

_ Et en plus il bande notre petit juju il aime vraiment ça, c'est incroyable .

_ Belle bite, quand même, elle est plus grande que sur la vidéo,

_ Mais il y a trop de poils.

_C'est vrai qu'il a les couilles toute lissent comme son cul.

_ Il n'est pas trop mal son petit cul, il est bien ferme et bien ouvert.

_ Trop beau son ventre, abdos très très dur.

_ Quel pecs!

_ Épaules bien larges, il est super bien foutu,....

En même temps qu'elles parlent, elles passent leurs mains sur tout mon corps. Elles me palpe, me pince, me touche partout, je sent même des doigt sur mon trou du cul, ma queue est branlée.