Évolution de Carrière 07

BÊTA PUBLIQUE

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_S_ Merci mon Amour, tu sais, je te trouve encore meilleur depuis que tu portes ta petite cage. Tu es encore plus attentionné, merci, je t'aime mon juju.

_J_ Moi aussi je t'aime mon Amour.

_S_ Allez laisse moi, maintenant, tu as sûrement beaucoup de choses à faire, je dois appeler PATRICIA.

_J_ Merci mon Amour, oui oui il reste une machine à étendre et je dois écrire un peu, mais on recommence quand tu veux.

_S_ Ne t'inquiète pas mon juju, je saurai faire appel à ta langue magique, CHLOÉ est même jalouse.

Je remplis mon cahier de quelques lignes, est-ce que CHLOÉ sait pour ma cage? Je suis très frustré, j'ai envie de d'éjaculer. Une petite heure plus tard, je part me coucher. Je suis très fatigué, il est 22 heures. STÉPHANIE est toujours au téléphone, je la laisse, je m'endors en quelques secondes. Je ne l'ai même pas entendu se coucher, pourtant, 23h30, 1h00, 2h15, 3h45, 4h50, 6h00, 7h00. Ma nuit est comme la précédente un enfer.

Je reste longtemps sous la douche, j'en profite pour me raser partout. Mon cul est sensible, j'apprécie de plus en plus de me chatouiller la prostate. Je me fais un lavement qui ne calme en rien mon érection impossible, bien au contraire.

J'hydrate ma peau, la repousse des poils sera moins douloureuse et anarchique.

Ce vendredi j'ai l'impression en arrivant au travail que la journée va être particulière. La nudité est un réel plaisir. Je suis toujours autant excité, je prépare le petit déjeuner.

Les collègues arrivent contentes, c'est le week-end. Elles rient, parlent de leurs projets alléchants, fêtes, sorties, rendez-vous.... PATRICIA m'interroge sur mon état de fatigue très perceptible.

_J_ Madame PATRICIA, je porte toujours la cage, la nuit a été encore hachée, je dors par intermittence, je suis très fatigué. Je ne sais pas si je vais pouvoir la garder, excusez-moi, c'est très difficile à supporter.

_P_ juju si je peux te rassurer tu vas t'y habituer. Montre moi ta cage.

Elle m'examine sous toutes les coutures. Ma peaux sous les couilles est un peu irritée, elle sort de son sac une pommade. Avec beaucoup de douceur elle me badigeonne les couilles, je me sent comme un tout petit garçon. Curieusement je ne bande pas. PATRICIA semble ravie de ce moment, les filles se sont rapprochées, elles regardent attentives et silencieuses.

_P_ La pommade est pour toi, tu peux l'utiliser aussi souvent que nécessaire, il ne faut pas que "cela s'abîme", ça serait dommage.

Cette dernière phrase fait rire mes collègues.

_J_ Je vous remercie Madame PATRICIA.

Je lui embrasse les pieds.

9 heures, je suis devant l'évier je termine la vaisselle. PATRICIA s'approche de moi, sans aucun avertissement, elle me donne une immense claque sur la fesse droite puis une autre aussi forte sur la gauche. Le son raisonne dans la pièce, les discussions se sont arrêtées. Je n'ai pas bougé, juste un petit cri de surprise.

_S_ Alors! qu'est-ce que tu dois dire?

Je me retourne, les larmes au bord des yeux. Toutes mes collègues me regarde. L'instant est solennel. Le temps est suspendu. Le regard de PATRICIA est sévère et dur. Je ne comprends pas pourquoi elle a fait ça.

_J_ Je ne sais pas Madame PATRICIA, excusez-moi, je ne comprends pas.

_P_ A genoux!

Je baisse la tête, je tombe à genoux.

_P_ Tu n'as pas à comprendre ni à chercher pourquoi. Quand une femme te fait l'honneur de te toucher tu dois juste la remercier. As-tu compris?

J'embrasse ses pieds. Je lève le regard rempli de larmes et de fascination.

_J_ Je vous prie de bien vouloir m'excuser, j'ai compris, Merci Madame PATRICIA.

Son visage s'éclaire, un grand sourire l'illumine.

_P_ C'est très bien mon petit juju. Tu as la bonne réaction.

Aucune explication, juste la manifestation de son pouvoir, de son désir. Mes fesses me brûle. Je bande dans ma cage.

_P_ Lève toi, tourne toi. Position une.

Mon cul est offert aux regards de mes collègues. Les remarques fusent.

_L_ Adorable.

_V_ Magnifique.

_C_ Tu ne la pas loupé, on voit bien la marque de ta main.

_L_ Tu as frappé plus fort sur la fesse droite, on voit mieux les traces de tes doigts.

_V_ Il réagit vite, son cul est tout rouge.

_L_ Et en plus il s'excuse et nous remercie.

_C_ C'est ça le pouvoir.

Elles se sont rapprochées, plusieurs mains frottent mon cul, je ne sais pas qui me touche. Je suis devant l'évier, les mains sur la tête, les jambes écartées. Leurs phrases, leurs caresses ont l'effet de bombes dans mon cerveau. Ma queue tente désespèrement de durcir. Je ressens une petite brûlure sourde associée à une grande excitation. Ma tête est baissée je vois ma queue couler, une goutte de pré-sperme sort de la cage.

_P_ Retourne toi juju.

Je fais face à mes collègues elles sont toutes autour de moi. Je ressens un plaisir inconnu jusqu'à présent. J'ai tellement envie de leur dire. Mon corps parle pour moi.

_L_ Regardez sa bite coule, il essaie même de bander.

C'est LAETICIA qui fait cette remarque en se collant à moi, elle me caresse partout, mon corps frissonne de plaisir.

_L_ Ça t'excite?

_J_ Oui Madame LAETITIA.

_L_ Tant mieux, moi aussi.

Elle touche ma cage du bout du doigt, recueille mon jus, le porte à ma bouche. J'avale, je suce son doigt. Son regard brille de désirs.

_P_ Bon les filles assez jouée, au boulot.

La matinée ne pouvait pas mieux commencer.

Je découvre le délicieux supplice de la chasteté associée à la fessée. Mon sexe est enfermé dans cette petite cage en plastique, sans aucune érection possible. Je suis excité comme un fou. J'ai très envie de jouir, ma queue coule toute seule. Elles sont passées à une autre étape on dirait.

La sensation de chaleur venant de mes fesses irradie dans tout mon corps. C'est la première fois que je ressens ça.

Même si ce n'est que deux grandes claques sur mon cul, je suis sur que les marques visibles vont rester quelques temps.

Je suis très très troublé, très excité. Pourtant il n'y avait pas de raison pour recevoir une punition. Je n'ai pas été autorisé à utiliser les glaçons pour calmer mon érection.

Les filles me demande comment vont mes fesses, chaque fois que je passe à côté d'elles.

La nouveauté c'est qu'elles ne se gênent plus pour me toucher. Elles me caressent partout, les bras, les épaules, mon ventre, mon torse, elles pincent mes tetons, elles caressent mon cul, jouent avec mes couilles, parfois je sens même un doigt qui force mon petit trou.

Mon excitation ne faiblit pas, je crois que je n'ai pas débandé de la matinée, enfin ma queue essaie toujours de se tendre désespérément dans sa prison de plastique.

Malgré tout, le travail avance bien, nous sommes efficace, les quotas sont atteints.

Midi je suis dans la cuisine, la préparation du repas arrive presque à son terme quand VANESSA me demande de rajouter deux couverts.

_V_ Nous avons des invitées, ce midi.

Panique, angoisse, qui peut venir? MANON est au courant de ma situation mais qui d'autre? Je m'active, augmente les quantités, prépare la table.

L'angoisse ne disparaît pas. Elles se sont engagées à ne pas mettre ma vie professionnelle en danger, elles me l'ont promis.

La nouvelle directrice doit normalement passer à l'entrepôt. Est-ce que c'est elle qui vient? Donc si elle vient elle va tout savoir? J'angoisse vraiment.

Midi et quart, elles sont toutes installées à table. C'est le moment que choisi LAETITIA pour me demander de lui lécher les pieds.

_L_ J'ai envie de sentir ta langue entre mes doigts de pieds juju. Je sais que tu n'es pas très fétichiste des pieds, mais j'ai trop aimé l'autre jour. J'ai beaucoup transpirée ce matin, tu vas te régaler.

Et puis surtout,j'adore te voir ramper à quatre pattes à poils devant moi, tu m'excite trop.

Elle a choisi sa place bien sur. Je suis de dos à la porte d'entrée, à quatres pattes. Je me sens piégé. Elles aiment jouer avec mes nerfs. LAETITIA porte une jupe, qui s'arrête au dessus du genou.

Je m'applique, je lui lèche les pieds comme elle aime, je suce les orteils, je passe ma langue partout, j'avale le bout de son pieds presque en entier. Un moment, elle écarte les jambes, je lève les yeux, non je n'y crois pas, elle n'a pas de culotte. La coquine. J'ai une vue directe sur sa chatte luisante. Elle est toute lisse, pas un poils, elle écarte les jambes, sa chatte est d'un rosé foncé. Ses grandes lèvres sont toutes petites par rapport à ses petites lèvres qui dépassent de chaque côté, je vois même son petit clitoris érigé. Ma queue fait des bonds dans son carcans, la douleur est sublimement violente. Depuis ce matin elles font tout pour m'exciter, cette vision est inespérée, je n'en peux plus.

Ma position est sacrément humiliante je trouve. Je suis à quatre pattes, la tête au ras du sol, le cul bien relevé, mon trou du cul tout ouvert, les jambes écartées, mes couilles encerclées, ma bite encagée. Je suis totalement offert. Je montre tout. Elles parlent tranquillement en mangeant, elles discutent de tout et de rien, parlent du week-end qui vient... curieusement personne ne réclame mes services à table.

Une voiture arrive, la porte d'entrée est grande ouverte, j'entends des pas s'approcher. Elles sont deux, elles portent des talons. D'un pied LAETICIA appuie sur ma tête, de l'autre elle enfonce son pouce dans ma bouche.

_L_ Suce moi bien juju. Montre moi comment tu taillerais une pipe. Imagine une belle bite.

Les autres filles se lèvent pour saluer nos invités. Je reconnais MANON au son de sa voix. L'autre ne dit rien, je ne sais pas qui est la. MANON, s'acroupie à côté de moi, pose une main sur mes fesses.

_M_ Comment ça va, mon petit juju, non ne répond pas, c'est mal élevé de parler la bouche pleine.

Sa plaisanterie l'amuse et fait rire les filles. Elle les félicite ensuite pour la mise en scène.

_M_ Là, vous avez fait fort, les filles. La vue du chemin, quand on arrive, avec juju dans l'encadrement de la porte, c'est splendide. De jolies fesses, un mignon petit trou du cul plus sombre, des couilles qui pendent et se balancent dans un mouvement très suggestif, tout cela est terriblement érotique, dommage que je n'ai pas de caméra.

_L_ Ne t'arrête pas, Continu de me sucer, oui comme ça, si c'était une bite, tu m'aurais déjà fait jouir. Tu es vraiment doué. C'est très bien.

_P_ Tend plus ton cul. Cambre toi bien, décale toi un peu, c'est parfait.

Je sens un liquide froid couler le long de ma raie. Des doigts me caressent le cul, on force mon oeillet, un doigt me pénétre, des mains écartent mes fesses. Un deuxième doigts me fouille, un troisième m'ouvre délicieusement le cul. Un liquide coule à l'intérieur. Les doigts me fouillent. Ils me laisse tout ouvert. Un objet force le passage de mon cul. C'est froid, dur, assez gros. Une voix alors si familiaire chuchote à mes oreilles.

_S_ Détend toi mon chéri, ouvre toi bien, je suis contente que tu sois tout propre, ne contracte pas ton cul, ouvre toi. Voilà tu l'a tout avalé, tu as une jolie décoration maintenant.

_J_ STÉPHANIE tu...

Je n'ai pas terminé ma phrase qu'une énorme claque s'abat sur mon cul.

_S_ Qui t'a autorisé à parler? Tu as oublié le peu de règle qu'on t'a enseigné?

Une deuxième, puis une troisième et une quatrième claque encore plus forte s'abattent sur mon cul.

_P_ Sort de la.

Je recule à quatre pattes.

_P_ Lève la tête.

Elles sont toutes la debout autour de moi. Je ne sais pas qui m'a fessé.

_P_ Alors! M'interroge PATRICIA que dois tu dire et faire?

Je m'approche de ses pieds dépose un baiser.

_J_ Merci Madame PATRICIA.

Une autre claque tombe sur mon cul pendant que j'embrasse ses pieds. Je suis sans défense.

_P_ Ce n'est pas moi, tu t'es trompé, recommence.

Je me décale devant VANESSA, je la remercie en embrassant ces pieds. Une autre claque tombe.

_P_ Perdu, recommence.

Je suis devant STÉPHANIE. Je sais que n'est pas mon Épouse qui m'a fessé, ses mains étaient posées sur mon dos. Je lui embrasse quand même les pieds en la remerciant. Une autre claque tombe.

_P_ Tu le fais exprès, tu t'es encore trompé, on va finir par croire que tu aimes recevoir la fessée juju.

LAETITIA est la suivante. Pareil ce n'est pas elle, une autre claque tombe. Je suis devant MANON, je la remercie, une autre claque. Mon cul commence vraiment à me chauffer. Je suis devant CELINE je la remercie en embrassant ces pieds. Une autre claque arrive, plus forte que toutes les autres, puis une autre, je n'ai aucune idée du nombre de claque que j'ai reçu. Je sais juste qu'elles m'en ont donné plusieurs chacune, elles se sont même plainte de la douleur sur leur main.

_P_ La prochaine fois tu feras plus attention mon petit juju.

Je me retourne vers PATRICIA, embrasse ses pieds, je me redresse.

_J_ Oui Je ferais plus attention, je vous remercie Madame PATRICIA .

_P_ Pourquoi tu remercie?

_J_ Madame, Mesdames, je vous remercie de m'avoir donné la fessée.

C'est clairement une nouvelle étape dans mon humiliation. Elles se regardent, sourient. Il y a une grande connivence entre elles. Je sens qu'elles sont satisfaites de leur mise en scène. J'ai l'impression que ce scénario à été écrit à l'avance, de n'être que le jouet de leurs jeux pervers. C'est malgré tout très jouissif.

_P_ Debout position une. Tourne sur place, tout doucement, que l'on puisse toutes admirer ton joli petit cul tout rouge.

Les commentaires fusent, des plus salaces au plus soft. Mon Épouse est la première à me caresser les fesses, sa main est douce et fraîche. Sans avertir elle appuie sur le gode, le sort, le rentre, le sort. Elle me branle le cul.

Je couïne, je crie mon plaisir, je n'ai absolument plus aucun contrôle de mon plaisir, ni aucune retenue.

On m'appuie sur les épaules. Mon torse est à plat sur la table, le cul offert, mes jambes sont écartées, mes pieds à plat sur le sol, mes bras sont tendus, les mains posées sur la table. STÉPHANIE est devant moi, elle me tient les mains, elle me regarde, nous sommes les yeux dans les yeux, plus rien n'existe.

_S_ Je t'aime Julien, soit fort.

_P_ Ne bouge plus juju, tu vas prendre ta fessée comme un homme, garde cette position.

Une avalanche de claques arrive alors sur mon cul, sur mes cuisses. Je reçois une vraie fessée. Elles utilisent des sortes de larges spatules en cuir.

Mes jambes sont écartées encore plus, les claques pleuvent partout. Même mes couilles sont visées, la douleur devient importante. Mes larmes coulent toutes seules. J'essaie de ne pas bouger.

Mon cul est toujours fouillé, le gode est différent, il semble plus long et plus gros. Il rentre et sort de mon cul, il frotte ma prostate sans discontinuité.

Je suis enculé et fessé en même temps, c'est nouveau, terriblement excitant. Les sensations sont si contradictoires. Le plaisir bouillonne dans mon corps comme un volcan en ébullition.

Mon sexe dans sa cage, est petit et mou. Je ne bande plus. Mes couilles sont brûlantes, elles vont exploser.

Je ne sais pas se qui se passe dans mon corps et dans ma tête. Je perds tout contrôle.

Je me sens flotter, je suis sur une autre planète, je ne ressens plus de douleur, au contraire. Je me suis dans une plénitude proche de l'orgasme.

Je ne cri pas de douleur, je gémis de plaisir, je réclame, j'implore de continuer, d'aller plus vite, de taper plus fort, de me défoncer plus profondément. Je suis un mâle en rut. C'est tellement bon. Je hurle mon plaisir. Je perds conscience de tout, seules les sensations de plaisir me submergent, ça m'entraînent dans une forme d'irréelle de conscience. Mon sexe coule, je sens le sperme couler dans ma queue sans la jouissance de l'orgasme que je connais que je souhaitais.

Dans un brouillard des sens, J'entends toutes les femmes autour de moi parler sans rien comprendre à ce qu'elles disent. Je perds totalement la notion du temps, de l'espace. Je ressens juste ma jouissance foudroyante, l'orgasme m'a transporté ailleurs, même STÉPHANIE à disparu.

C'est PATRICIA qui me sort de ma léthargie, elle me parle a l'oreille, sa voix s'insinue dans mon cerveau, elle me flatte, me rassure, me complimente, elle me ramène peu à peu sur terre.

C'est le silence qui me réveille. Je lève les yeux, elles sont toutes là, elles me regardent avec le sourire, et une sorte de fascination. Mon torse est encore sur la table.

_P_ juju, mon petit juju, tu es là? Tu te souviens ou tu es? Allez, relève toi, nous avons toutes très faim.

Peux tu faire le service allez dépêches toi, et rapidement. S'il te plaît.

Je me redresse en m'appuyant sur les bras. Je suis debout mais lorsque je veux faire un pas, tout se dérobe. Je me retrouve assis sur le sol, mon corps ne m'obéi plus. Je tremble, je frémis encore de plaisir, mon orgasme semble continuer. Le gode c'est enfoncé profondément dans mon cul, les sensations sont si puissantes.

Mon Épouse et LAETITIA m'aide à me relever, je suis assit sur une chaise. Je bois l'eau qui m'est donné , je suis encore sous le choc.

Mes fesses, mes cuisses, mon cul est tres douloureux. Et pourtant, je suis juste très très bien, une pure extase.

PATRICIA s'installe à table, invite les filles à en faire de même.

_P_ Je vous explique, juju écoute bien toi aussi.

Notre petit juju à découvert le "sous-espace". On va lui laisser un peu de temps pour récupérer.

_S_ Quoi? De quoi tu parles PATRICIA.

_P_ Je vais vous expliquer les filles, tu va comprendre STÉPHANIE. Il n'a rien de grave bien au contraire, regardez le, il a l'air bien non?

Je dois être un peu bizarre car elles rient toutes de bon coeur. PATRICIA continue.

_P_ Lors de séances de domination le soumis ou la soumise, confronté à une multitude de stimulations peut atteindre un état de conscience modifié. Pour faire simple, face à une grande douleur, une humiliation importante, ou autres, le corps secrète des substances particulières, des hormones comme l'endorphine. En clair la chimie de son cerveau lui fait atteindre une sorte de transe.

_S_ Tu veux dire que mon juju est shooté?

_P_ Oui STÉPHANIE on peut dire qu'il était drogué au plaisir, totalement défoncé à l'orgasme.

_S_ Ça tu peux le dire, bien bien défoncé, mon petit juju. C'est la première fois qu'il est dans cet état, et pourtant je l'ai déjà enculé un sacré nombre de fois.

Qu'est ce qui lui est arrivé?

_P_ Une autre façon de jouir. Une sorte d'orgasme physiologique, psychologique et physique. D'ailleurs il a éjaculé, regarde, son sexe coule depuis tout à l'heure.

Tous les regards sont sur ma queue en cage, je baisse la tête et en effet j'ai éjaculé et ça continu de couler. Je ne l'avais pas senti. Je me sens encore sur un nuage. Mon Épouse est à la fois surprise et inquiète.

_S_ Tu as vraiment aimé te faire fesser et te faire enculer mon juju d'amour?

_J_ Oui mon amour, c'est incroyable, c'est la première fois que je ressens ça. Je suis vraiment parti très très loin. C'est très très puissant comme orgasme. Merci.

_S_ Ça s'est vu mon juju, tu étais magnifique.

_J_ Merci mon Amour, merci à vous toutes. Je ne sais pas comment vous remercier.

_P_ Mais en faisant le service mon petit juju. Nous avons toutes très très faim.

_P_ Avant de commencer tu n'oublies pas de nettoyer tes cochonneries.

Je me lève, mon corps m'obei enfin, je ressens une douleur sourde dans mes fesses, mes cuisses et mes fesses me brûle. C'est très chaud au contact de mes mains. Je me penche, tourne la tête, en vain je ne vois pas mon cul, juste mes mollets, et mes cuisses qui sont toutes rouges. J'ai vraiment pris cher.

A l'endroit où j'ai été fessé, une grande quantité de sperme forme une petite flaque sous la table. Je viens d'éjaculer, je suis toujours autant excité, les filles me regarde.

PATRICIA se lève, s'approche de moi.

_P_ Mon petit juju, veux tu nous faire plaisir?

_J_ Oui, bien sur Madame PATRICIA

_P_ Alors tu va te mettre à quatre pattes et tu vas lécher ton sperme et Tu sais pourquoi?