Évolution de Carrière 08

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Elle fixe de gros bracelets en cuir sur mes poignets et mes chevilles. Je frissonne, je n'ai pourtant pas froid. Je suis simplement nu, devant une femme que je n'avais jamais vu un quart d'heure plus tôt. Il y a quelques choses irréel et pourtant tout cela semble si naturel.

Je n'ai plus peur. J'arrive enfin à parler.

_J_ Excusez-moi Madame, mais où sommes nous?

Elle me répond avec une voix suave.

_A_ Dans la salle de jeux de Maîtresse M.

_J_ Mais moi, qu'est-ce que je fais ici?

_A_ Tu es la pour prendre du plaisir et satisfaire Maîtresse M.

La réponse n'a aucun sens pour moi, je ne connais pas cette Maîtresse M.

J'accompagne quand même la femme qui m'amène quelques mètres plus loin devant une sorte de petit banc en cuir mais un peu plus haut.

_A_ C'est un cheval d'arçon. Allonge toi sur le ventre au milieu.

Je fais ce qu'elle me dit, elle attache mes bracelets de chevilles au sol par des mousquetons, mes jambes sont grandements écartées. Elle fixe mes poignets à des attaches devant moi.

Je me suis laissé faire sans résister.

Je suis à présent attaché, je ne peux pas bouger. Je suis plié en deux, la position est assez confortable, mais je dévoile toute mon anatomie. Le Rose Bud doit briller avec cette lumière dirigée sur moi. Je ne bande pas du tout. La femme reviens vers mon visage, elle me remercie et me félicite pour mon aide, mon obéissance.

Elle me demande d'ouvrir grand la bouche, elle enfonce un objet en plastique qui me rempli la bouche, le fixe avec des lanières derrière ma tête.

_A_ Tu peux le mordre très fort, c'est fait exprès, c'est très résistant, parfois ça fait du bien.

Elle m'enfile ensuite sur la tête un bandeau en cuir qui me couvre les yeux. Je ne vois plus rien. Je sens qu'elle attrape mes tétons, elle les enserre, les pince, elle y fixe quelque chose. Ce n'est pas douloureux au départ mais elle les resserre peu à peu, la pression est à la limite de la douleur, ça fait même assez mal. Elle me touche le visage, caresse mon crâne lisse, descend jusqu'à mes cuisses, appuie légèrement sur le plug.

_A_ Tu as été très obéissant Julien, c'est très bien, tu es un très bel homme, docile comme Maîtresse M les apprécie. A tout de suite, ne bouge pas.

J'entends alors ses talons s'éloigner. La porte s'ouvre et se ferme, la clef tourne dans la serrure.

Qu'est ce que je fais la?

Je suis dans la même position que dans le film de Tarentino "Pulp Fiction" sauf que ce n'est pas un film. Je ne rêve pas.

Je n'essaie même pas de forcer pour me détacher, je sais que c'est impossible.

La position n'est pas désagréable. Seuls mes tétons pincés sont un peu douloureux. Je suis juste très vulnérable, sans aucune possibilité de bouger ou de cacher mon anatomie.

C'est la première fois que je suis attaché avec des vraies fixations. On avait déjà joué avec mon épouse, mais là ce ne sont plus des foulards.

Combien de temps je suis resté seul, dans le silence et dans le noir?

Ma vue a disparu, je suis focalisé sur le seul sens qui reste, l'ouïe.

Les seuls bruits viennent d'une lointaine ventilation. Ma bouche me tire, je bave, elle a dit que je pouvais modre dans ce bout de plastique, pourquoi?

Soudain un bruit sourd mécanique, une porte s'ouvre. Des pas s'approchent. Des voix féminines, je reconnais mon Épouse, il y a une autre voix en plus de Maîtresse M.

Je les entends parler des installations, des différents objets des instruments. Maîtresse M explique l'utilisation de ses objets de torture avec enthousiasme. Elles sont passées devant et derrière moi, j'ai reconnu le parfum de STÉPHANIE, elles se sont installées au salon, elles papotent, je les entends mais je ne comprends pas ce qu'elles dise.

L'attente est si cruelle, si excitante en même temps.

De là ou elles sont, elles ont une vue imprenable sur mon cul et mon sexe.

Qu'ont elles prévu?

Mon Épouse est complice, elle m'a entraîné ici. Pourquoi?

Soudain un bruit sec, je reconnais un bouchon de champagne, des rires, des verres qui tintent.

L'angoisse revient, je n'arrive plus à calmer les battements de mon coeur. J'ai vraiment très peur, je suis dans une cave, immobilisé dans une position impudique, je suis entouré des pires objets de torture, sans savoir ce qui m'attend.

Je n'ai même pas entendu les pas se rapprocher.

Une main me caresse les fesses, on me retire le plug, j'ai l'impression que mon cul reste grand ouvert.

Des mains me caresse tout le corps, s'arrête sur mes fesses, des doigts rentrent à l'intérieur de mon petit trou. On m'ouvre le cul. Je me sent écarté, fouillé. Un liquide un peu froid coule sur mon trou. Un objet rentre, c'est sûrement un gode, il est long, fin, il rentre facilement.

Pas un son, pas une parole n'a été prononcé.

Soudain le gode prend du volume, je le sent grossir, il me rempli. Je suis écarté, ouvert, dilaté de l'intérieur comme jamais. Il appui fort sur ma prostate. C'est douloureux, mon corps va exploser de l'intérieur. Je commence à gémir, les sons qui sortent de ma bouche sont des gargouillis informes.

Mon cul est dilaté, je hurle, la douleur est sourde, lancinante, crecendo. Je ne peux rien faire, j'ai l'impression d'être déchiré, écartelé, empalé. Mon ventre se gonfle, il est rempli à l'extrême, curieusement je sens ma queue durcir, je bande.

Une main, puis deux saisissent ma queue et mes couilles. On me branle, puis ça devient chaud et humide, des lèvres, une bouche, ma queue est aspirée. On me suce! En même temps, on tire aussi sur mes tétons, ils deviennent douloureux à la limite du supportable.

Je transpire à grosse goutes, mon coeur s'emballe. La douleur dans mon cul devient insupportable, en même temps associée au plaisir de la felation les sensations sont exceptionnelles.

Je ne pense plus. Je ressens simplement tout ce qui se passe dans mon corps, je m'abandonne totalement.

Les sensations sont si contradictoires, si diamétralement opposées, si puissantes.

Le gode à arrêté de grossir. Tout mon corps se détend, mon coeur ne s'emballe plus, ma respiration reprend un rtyme plus lent. J'ai dans mon cul un objet énorme, ma queue ne m'a jamais semblée si dure et si grande. Mes tétons m'envoie des milliers de décharges électriques dans tout le corps. Des mains me caresse partout. Le temps c'est arrêté, je respire difficilement, je transpire à grosses goûtes.

Toutes mes sensations, à présent sont focalisées sur un pieux brûlant qui me déchire au plus profond de mon corps, sur mes tétons qui vont s'arracher, et ma queue qui est aspirée. Jamais je n'ai eu aussi mal. Je ne comprends pas pourquoi? Qu'est-ce que j'ai fais? Pourquoi on me fait subir cette torture et en même temps ce plaisir immense. Ma queue est aspirée, mes couilles sont malaxées, étirées, caressées, mon cul est dilaté à l'extrême.

Deux mains me caresse les fesses, elles se posent sur mes hanches, me saisissent fermement, puis tout doucement, le gode diminue de volume. Il se met alors à bouger, il sort un peu, puis re-rentre, ça n'arrête pas. C'est un mouvement très doux, qui s'amplifie, je ne peux pas bouger, les mouvements sont de plus en plus grands. Le gode sort presque en entier et rentre au plus profond. Ça me paraît gigantesque, tant le diamètre que la longueur, ma prostate est frottée sans interruption .

Le contact des cuisses qui me touchent me fait frissonner. Les mains qui me touche sont très douces, tout mon corps est caressé. La bouche qui aspire ma queue semble vouloir m'avaler en entier, et aspirer la moindre goûte. Ma prostate est stimulée d'une façon inimaginable.

Je ressens mon corps de l'intérieur. L'objet m'envoie une explosion de sensationsn plaisir monte comme une vague sur le rivage. C'est un sunami qui me submerge qui part et reviens sans interruption, rien ne peut l'arrêter. J'ai l'impression que cela dure des heures, je suis baisé, défoncé, enculé, pincé, branlé, sucé, caressé. Le plaisir atteint des sommets, plusieurs fois je pense arriver à l'orgasme, mais toutes les stimulations s'arrêtent avant le point de non retour pour reprendre lentement.

Elles jouent avec moi, je suis leur instrument, elles jouent une partition faite de plaisirs et de déni. Parfois rapides, parfois longues, parfois douces parfois rugueuses et brutales, jamais je n'ai vécu une stimulation pareille. C'est une torture sans nom. Je hurle, j'implore, je supplie, je réclame la libération de mon plaisir. La frustration de mon plaisir est immense. Je mord très fort le bout de plastique.

Puis, au bout d'un siècle de torture et de plaisir, je sens que ma volonté à disparu. Je ne réclame plus, j'ai accepté mon supplice. Je suis juste offert, j'apprécie sans réfléchir le plaisir qu'elles me donnent. Je ne ressens plus aucune douleur, c'e nest que du plaisir, juste du plaisir. Les pinces sur mes seins sont retirées, une douleur intense soudaine me submerge, l'impression d'une brûlure électrique, associée au gode qui me pilonne sans discontinuité m'arrache des râles de jouissance d'une infinie puissance.

L'orgasme, la jouissance arrive alors, inexorablement je le sens monter, c'est d'une force, d'une puissance sans nom. Tout mon corps joui. Les stimulations ne s'arrêtent pas. Je ne comprends plus rien, ma conscience s'envole, je délire, je tremble, je hurle, je crie, j'éjacule, je joui encore et encore, je vie l'orgasme le plus puissant de ma vie puis plus rien...

J'ai du perdre connaissance...

Un instant je sens mon Épouse m'embrasser, je suis allongé.

Suis je au paradis? Une sensation de plénitude, un bonheur absolu. Je retombe inconscient. Je ne sais combien de fois, je me suis réveillé puis rendormi.

La lumière est tamisée, une musique classique raisonne. Une couverture me recouvre. Mon Épouse, Maîtresse M et PATRICIA discutent à côté de moi, une coupe de champagne à la main. Tient, PATRICIA est là. J'essaie de parler, ma bouche est douloureuse, aucun son ne sort. Je tente de bouger, mes mains, mes bras mes jambes. Oui , mes membres m'obeissent enfin, ils sont libres aucune entrave. Mes seins sont douloureux, mon cul me fait mal, une douleur profonde et sourde vient de l'intérieur de mon ventre. Je me sens si bien pourtant.

Mes mouvements ont attiré mes voisines, j'arrive à bouger, je m'assois sur le lit, les jambes dans le vide. Mon Épouse s'approche, elle me serre fort dans ses bras. Elle pleure, elle n'arrête pas de me dire qu'elle m'aime. PATRICIA s'approche à son tour. Elle semble heureuse, elle me sourit. La femme en combinaison noire, ANNA est à côté, elle me propose un verre d'eau.

Je reprends petit à petit pieds avec la réalité. Peut à peut la conscience de ce qui m'entoure reviens.

Je suis toujours dans la grande salle en Pierres. Il y a 4 femmes autour de moi.

Je suis toujours nu, mon corps est lourd et douloureux. Je ne sais pas ce qui s'est passé.

_S_ Ça va mon Amour? Comment te sens tu?

_J_ Je vais bien mon Amour, ça va. Qu'est-ce qui c'est passé? Pourquoi je suis sur un lit?

Bonjour Madame PATRICIA.

Merci Madame pour le verre d'eau, puis je en avoir un peu plus s'il vous plaît?

Les mots sortent tout seul, je pense à voix haute. Mon Épouse pleure, elle me serre dans ses bras, m'embrasse. Je la rassure lui rend ses baisers, je la serre fort à mon tour contre moi.

_J _ Je vais bien mon Amour même très très bien.

_P_Mon petit juju, tu es surprenant, je n'avais jamais vu un homme jouir aussi intensément avant toi.

Je regarde PATRICIA, elle a le sourire.

_J_ Je ne comprends pas, je ne sais pas de quoi vous parlez Madame PATRICIA.

C'est Maîtresse M qui prend la parole.

_M_ Mon petit juju, tu viens de vivre l'expérience de la petite mort. Pour être un peu plus claire, tu as eu un orgasme d'une violence peu commune.

Je ne sais pas quoi dire. Je me sens si apaisé, si bien. La vie est belle.

_J_ Merci. Je ne sais pas comment le dire autrement. Merci Mesdames.

_P_ Merci à toi juju, tu as été absolument fabuleux. Tu m'a encore surprise. STÉPHANIE a vraiment beaucoup de chance.

Ses paroles me touche mais je ne comprends pas vraiment pourquoi elle me trouve fabuleux.

_J_ Madame PATRICIA, merci pour votre compliment mais je ne comprends pas, je n'ai rien fais.

_P_ Mon petit juju tu comprendras mieux quand tu verras les images.

_Mt_ Mesdames, Julien, il commence à se faire tard je vais devoir vous laisser, je vous remercie pour cette soirée délicieuse, STÉPHANIE, ce fut un régal de vous rencontrer.

Votre Amour à tous les deux fait plaisir à voir. Juju savoure bien ta soumission, tu es un diamant encore un peu brut, tu as encore beaucoup à offrir aux femmes qui t'entourent, qui t'aime et qui te le rendront au centuple.

PATRICIA on se voit très bientôt.

ANNA raccompagne nos invités.

Avec une classe infinie Maîtresse M, s'est éloignée, elle a disparu derrière une immense armoire.

ANNA comme par magie me présente une grande cape noire qu'elle installe sur mes épaules, c'est la couverture. Je me lève, mes jambes trembles, STÉPHANIE et PATRICIA me soutiennent. Je suis épuisé, tout mon corps n'est que courbature, douleur et en même temps une plénitude extrême. Le chemin de retour est différent, des couloirs, des escaliers, un parking, la voiture de PATRICIA est là.

Elle m'installe à l'arrière. En quelques secondes, je m'endors enroulé par un cocon de douceur, de légèreté, et de chaleur, c'est une deuxième peau. Cette cape est fabuleuse.

je suis réveillé d'un baiser, les lèvres sont chaudes, elles me chantent qu'elles m'aime.

J'ouvre les yeux STÉPHANIE me regarde, elle est heureuse.

_S_ Bienvenue chez nous mon Amour.

La voiture est devant la maison, le soleil est déjà levé, je suis encore à moitié endormi, la cape est vraiment une seconde peau, elle est chaude, douce, en même temps si légère sur ma peaux. Je suis enroulé dedans comme un "rouleau de printemps". STÉPHANIE et PATRICIA m'aident pour sortir de la voiture, mes jambes ont du mal à me porter, elles m'accompagnent jusque dans la chambre, je tombe de sommeil...

Je me réveille, je suis dans mon lit seul, je me rappelle vaguement m'être couché ce matin, les volets sont entrouverts, le soleil est haut dans le ciel.

Que m'arrive t'il?

Je viens de fêter mes 30 ans il y a quelques semaines. Je suis marié à plus fabuleuse des femmes, que j'aime et qui m'aime. Je travaille entouré de femmes, qui ont découvert mes penchants de soumission. Elles ont réussi à me dévoiler entièrement. Mon corps, mes désirs n'ont plus aucun secret pour elles. Elles ont un pouvoir immense sur moi.

Le plus troublant, c'est que je me suis volontairement offert, j'ai dévoilé mes phantasmes, mes désirs, sans aucune crainte, avec une confiance aveugle.

Cette nuit, j'ai vécu l'expérience sexuelle la plus ultime de ma vie. J'ai beaucoup de phantasmes, de désirs, certains ordinaires, d'autres moins conventionnels. Mais là, ce que je viens de vivre dépasse tout. Je n'avais jamais imaginé quelque chose d'aussi intense, d'aussi Hard. J'ai vécu une expérience absolument folle, dans un abandon total.

Mon corps, mon cerveau, mon "être entier" à été livré, offert à des mains féminines sans retenue. Je me suis volontairement donné sans pudeur ni honte, sans aucune limite.

Comment c'est possible? Comment j'en suis arrivé là si vite?

Mon corps est parcouru de frissons à cette évocation. Je ressens encore l'extase divine de cette nuit, cette jouissance si extraordinaire qui m'a fait décoller et voyager au delà de la conscience. Je suis partit très très loin dans le plaisir.

Quelques semaines, seulement, viennent de s'écouler depuis que mes collègues ont découvert mes côtés de mâle soumis. Comment les femmes qui m'entourent ont pu réaliser mes phantasmes de soumission, aussi facilement? Sont elles trop fortes, ou suis-je si soumis? Sûrement les deux.

J'aime tellement ça pour être honnête. Forcément beaucoup de choses vont être différentes maintenant.

J'étais julien, je suis devenu juju.

Je me lève, mon corps va bien, le passage aux toilettes m'indique que je n'ai pas rêvé. La douche chaude détend mon corps tendu et éprouvé. Mon anus est douloureux, très ouvert. L'eau tiède qui me nettoie l'intérieur apaise les muqueuses et les muscles durements mis à l'épreuve. Mon cul est quand même devenu très souple, mes doigts lubrifiés par le savon, glissent très profondément, avec une facilité et un plaisir déconcertant. Une bonne dose de pommade " magique " mes tourments de la nuit vont vite disparaître.

je me sens si bien, propre de partout, rasé de près, détendu, apaisé. Je reste nu à la sortie de la douche, juste une serviette autour de la taille.

Je repasse par la chambre, non je n'ai vraiment pas rêvé, la cape noire est posée sur le fauteuil. Je n'avais jamais vu un vêtement en cuir de cette qualité. Elle est si douce, si légère. Merci Maitresse M. Passage par la cuisine, j'ai faim. Mon Épouse doit être au jardin. Je dois d'abord manger pour reprendre des forces. Il y deux assiettes dans l'évier et plusieurs verres qui traînent. Des restes de pizza, du fromage...

Rassasié, la cuisine rangée, un grand verre d'eau dans la main, je sort dans le jardin. Mon Épouse est allongée avec CHLOÉ sur les transats. Elles prennent le soleil, à demi nue, à côté de la piscine. Dès qu'elle me voit, STÉPHANIE cour se jeter dans mes bras.

_S_ Je t'aime mon Amour, merci, merci.

_J_ Je t'aime aussi mon Amour mais merci pour quoi?

_S_ Pour tout ce que tu m'as donné. Cette nuit à été magique, merci mon juju d'amour.

_J_ Merci surtout à toi mon Amour, la surprise était géniale, c'était vraiment divin, tu m'as fait vivre tellement de sensations nouvelles, troublantes et si jouissives. J'ai pris beaucoup beaucoup de plaisir.

_S_ Si tu savais comme tu m'as donné beaucoup de plaisir toi aussi. Tu es magnifique.

Vient dire bonjour à CHLOÉ, et enlève la serviette, mon juju tu n'as plus rien à cacher, tu es à la maison.

_J_ Bien sûr, mon Amour.

C'est nu que je m'approche de CHLOÉ. Je ne suis pas en érection. Tout est naturellement facile et simple. Je n'ai pas honte de ma nudité, bien au contraire.

CHLOÉ me regarde approcher, elle me détaille de la tête aux pieds, un sourire carnassier éclaire son visage, elle respire le sexe, le désir. Je ne me pose même pas de question, c'est avec humilité, que je mets les genoux à terre devant son transat, j'embrasse ses pieds pour la saluer.

_J_ Bonjour CHLOÉ.

_C_ Bonjour juju, mon petit juju. Non ne bouge pas reste à genoux. STÉPHANIE m'a tout expliqué. Tu sais j'en ai vu pas mal de choses, mais la, tu m'as bluffé juju. STÉPHANIE m'avait avertit que c'était un peu chaud, mais c'est plus que torride, c'est carrément hard. Ta vidéo est hallucinante. Tu m'as sacrément excité mon salaud. J'ai jouie plusieurs fois devant tes exploits.

_J_ Merci CHLOÉ.

_C_ Oh! Mais de rien, mon juju, tu es un sacré beau mec. Mais je ne te savais pas aussi salope. Je mouille rien qu'en repensant à certaines images. Tu savais que tu étais filmé?

_J_ Non CHLOÉ.

_C_ C'est trop fort, j'avais l'impression que tu prenais du plaisir pour moi. Il y a pleins d'images où tu regardes la caméra avec ce regard tellement chaud. Mon salop quand on te regarde on a envie à la fois de te baiser et de se faire baiser par toi.

_J_ Merci CHLOÉ, c'est très flatteur mais c'est le montage qui fait tout ça.

_C_ Arrête tes conneries, tu es un putain de beau mec, tu donnes envie de baiser. Bon j'arrête là, j'ai plein de questions, je veux comprendre un peu mieux. Tu es un nouveau homme pour moi. Je ne te reconnais plus.

_J_ Madame CHLOÉ, si STÉPHANIE est d'accord, je me fais un plaisir de tout vous dire, tout ce que vous voulez savoir, tout ce que STÉPHANIE ne vous a pas déjà raconté. Vous pouvez tout me demander, je n'ai plus rien à vous cacher.

_C_ Et en plus tu m'appelle Madame et tu vouvoie maintenant? Trop cool! Sinon, sérieux, tu vas répondre à toutes mes questions?