Florence Change De Vie 02

Informations sur Récit
Florence s'abandonne.
3.5k mots
4.28
4.1k
2
Récit n'a pas de balises

Partie 2 de la série de 5 pièces

Actualisé 04/28/2024
Créé 04/03/2024
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici
GKCD
GKCD
48 Admirateurs

Le lendemain matin Florence médite en essuyant la vaisselle du petit déjeuner : Même, si je me suis fait prendre par le frisson du moment ? J'ai du mal à croire ce qui m'est arrivé ? D'avoir été aussi excité par Richard. Mais, pourquoi ? Je n'ai jamais eu aucune attirance pour les hommes noirs de surcroît et encore moins avec des vieux de l'âge de mon père. Mais, pourquoi je l'ai laissé me faire ça ? Pourtant, je n'ai jamais rien ressenti quoi que ce soit d'aussi puissant et d'aussi fort de toute ma vie de femme mariée ? En plus, je n'arrive pas à chasser de mon esprit la grosse queue noire de Richard qui m'a donné autant de plaisir ? Je dois me concentrer sur quelque chose d'autre, sinon je vais encore vouloir en moi sa grosse bite noire.

Elle continue son ménage en constatant que : Rien que de penser à lui, elle a déjà la moule toute baveuse, elle mouille à l'idée de recommencer. Quand soudain ? Richard vient derrière elle, il passe ses deux mains par-devant Florence et empoigne ses seins en les pressant.

- Bonjour Florence ! - OUUAAS ! Richard ? On devait le faire qu'hier soir ? Vous m'avez promis ? - OOH! OOH ? Tes seins sont tout gonflés et tes tétons sont déjà tout durs ? Tu pensais au plaisir que tu as eu hier soir ? - Richard ? Arrêtez ça s'il vous plaît ? Je suis mariée ! Vous aviez promis ? - Les promesses sont faites pour être rompues. Et tu en as encore envie, c'est pour ça que tes tétons sont si durs ?

- Ne sois pas si rébarbative ? Hier soir, tu me suppliais de te remplir la chatte de Ma semence. Richard emprisonne le poignet droit de Florence et dirige la main de Florence qu'il pose sur sa braguette. - Tu sens comme ma vielle queue bande pour toi ? Elle désire se mettre au chaud dans ton ventre. Ensuite, son autre main libre passe sous la jupe de Florence. Il passe ses doigts dans son string. - OOOH ! NON ! Regarde-moi ça ? Tu es déjà toute trempée ! Tu as envie de ma grosse queue ? - OOOHHRR ! Pitié ! Ne fais pas ÇAAAA  ! - C'est ce que dit ta bouche, mais ta moule me dit autre chose ? Elle me demande d'y lui mettre ma grosse queue ? Alors, dis-le que tu veux ma grosse queue dans ton ventre ? - OOH ! OUII ! Je ? Je ? Je la veux Richard ? Oui, je la veux dans mon minou ?

- Tu es une bonne fille ! Aller, au lit avant que le petit se réveille ? Les deux amants se retrouvent nu sur le lit conjugal. Florence, la bouche garnit de la queue de Richard, pousse des MMMFFF ! GGNNNFFF ! - Très bien ma belle. Suce ma queue de vieux ? Avale-la plus profondément ? Tu sais que tu es très belle avec ma queue noire dans ta bouche.

Pendant que Florence suce la queue de son amant, celui-ci lui branle son clitoris frénétiquement. Richard retire sa queue de la gorge de Florence qui pousse un gémissement de frustration.

- Arrête ! Je veux t'entendre réclamer ma grosse queue dans ta moule ? - S'il vous plaît Richard ne me fait pas demander ça ?

- Je tiens à t'entendre me réclamer ? Dis-moi, que tu me veux dans ton ventre où que tu souhaites que je parte ?

- OH ! Non ! Je ? Je ? Oui ! Je veux que vous mettiez, votre grosse queue noire au fond de mon ventre ?

Richard se met entre les cuisses ouvertes de Florence. - OH ! Oui, je vais te la mettre dans le ventre. Après ça, tu aimeras te faire encore baiser par ma grosse queue de vieux noir ? Hein ? Tu la voudras encore et encore ? - OH ! Oui ? Oui, je veux me faire baiser par votre grosse queue noire de vieux. Il présente son gland à l'entrée de sa grotte d'amour ruisselante de désir. -Tu es une bonne fille. Prend là ? Elle est à toi à présent. Florence prend sa bite en main et l'enfonce dans son puits d'amour offert.

- Vous saviez que tout ça arriverait ? N'est-ce pas Richard ? Vous saviez que j'allais devenir accro à votre grosse queue noire ? Vous êtes mon gentil pervers ! - Je ne suis pas un pervers. Je suis juste un vieux noir, très excité par une jeune et jolie blanche. Richard baise allègrement la chatte de Florence, qui le ceinture autour de sa taille, de ses jambes. Après son deuxième orgasme, elle lui roule une pelle d'amoureuse. - Je vais décharger ma liqueur dans ton ventre Florence ! - OOH ! OOUUIII ! Richard, remplissez-moi de toute votre semence.

Il passe ses cuisses sur ses épaules pour mieux atteindre le fond de sa grotte. - Tiens prend ça ! Tu es à moi ? - OOH ! OOUUIII ! Envoyer votre sperme au fond de mon ventre ! Oui, je suis à vous Richard ! Ils jouissent ensemble, Florence est terrassée par un autre orgasme. Ils émergent tranquillement l'un à côté de l'autre. Florence se lâche.

- Je suis une mauvaise épouse. J'aime le sexe avec un vieil homme noir et qui n'est même pas mon mari.

- C'est votre destin, Florence. J'ai réveillé en toi la vraie femme qui sommeillait.

- Mon mari ne m'a même pas fait ressentir le dixième de ce plaisir que vous m'avez donné. Je culpabilise moins de l'avoir fait avec vous, Richard. Il se rapproche de Florence, il lui prend le menton pour lui répondre. - Ce sont nos instincts qui nous gouvernent, bon ou mauvais ? Le naturel y gagne toujours. Il embrasse Florence qui ouvre la bouche et accueille sa langue. Le baiser d'amour dure un bon moment, Florence fond littéralement, elle prolonge le mélange de salive et de langue dans sa bouche avec Richard.

A partir de cet instant, Florence se donne délibérément à son vieux Richard. Elle baise avec lui, jour et nuit, pendant que son mari est absent. Elle est même heureuse de recevoir au fond de son ventre le sperme de son vieux voisin. Un matin dans la chambre conjugale, Florence s'interroge :

Que dois-je faire ? Cette nuit, j'ai bien essayé d'arrêter Richard. Cependant, pour, je ne sais quelle raison, le désire de mon corps a pris le dessus. Et, en plus, je laisse Richard partager avec moi, le même lit que je partage avec mon Luc. Mes sens veulent toujours jouir de la grosse bite noire de Richard.

Richard se réveille et embrasse Florence, leur langue se mélange. - Richard ? Ce que nous faisons est mal, vous profitez de moi et de mon besoin de gros sexe en moi ? - Mais, non, Florence ! C'est dans ta nature. Tu dois accepter d'être devenue accro ma grosse queue. Je comble le vide en toi qu'a laissé ton mari. - Que voulez-vous au petit déjeuner ? - Toi ! Ma belle.

Il unit sa bouche à la sienne en lui pelotant les seins. Elle fond une nouvelle fois, lorsqu'il lui masse le clitoris de ses doigts. Il descend son visage entre les cuisses de Florence. Il lui mange la moule à grands coups de langue et en aspirant ses lèvres intimes. - AAARRGG ! Vous savez vraiment de quoi j'ai besoin ! OOH ! OUIII ! N'arrêtez pas ? Encore, oui encore !

- Oui, ma belle, laisse-toi contrôler par ton désir ? Donne-toi à moi ! Tu m'appartiens à présent. Hein ? Tu as déjà la moule ouverte et humide Florence. Allez, dis-moi ce que tu désires ?

- Je veux votre grosse bite ! Je désire que votre queue me défonce la moule, parce que je vous appartiens.

- Tu es en train de devenir ma salope blanche, tu le sais ça ? - Oh oui, je le sais que je suis à présent votre salope à qui vous pouvez tout faire pour la faire jouir. - Ah ! Oui, ta grotte est si serrée que c'est si bon. - OOOOH ! OOUUUII ! Poussez-la moi fort au fond de mon ventre ? - OOUUAAIS ! Tu l'as toute entière au fond de ton ventre. - OOH ! OOUUII ! Plus fort, je vais jouir ?

- OOH ! OOUUII ! On jouit ensemble mon Richard ! RROOOH ! Je peux sentir tout votre sperme giclé dans mon utérus. Vous m'avez fécondée, c'est ça sûr. - Il y a toujours une première fois, ma belle. Tu es ma première femme blanche. Maintenant embrasse-moi. Ce qu'elle fait de plaisir, le baiser dure très longtemps.

Luc, le mari, est rentré depuis quatre jours. Mais à chaque fois qu'ils font l'amour, Florence n'a plus de plaisir, même si elle se branle en même temps. Elle aime portant son mari, mais ce feu entre ses cuisses est insupportable. Surtout qu'elle sait que dans cette maison, une seule personne peut s'en occuper.

Luc ronfle bruyamment, Florence se lève et quitte la chambre pour aller dans celle de Richard. Elle ne peut plus supporter se désire qui lui ronge la moule. Elle ouvre la porte, vêtue seulement de sa petite nuisette transparente.

- Félicitation, d'avoir tenu aussi longtemps avant de venir me voir ici. - Vous êtes un salaud ! Vous saviez que j'allais venir vous voir ? - Oh oui, depuis qu'il est revenu, ma grosse queue vous manque ? Vous la voulez ? - Oui, je la veux. Devenir ici, je suis toute trempée et déjà prête. - Viens prendre ce que tu désires, comme tu es ma salope. Ils ont baisé toute la nuit. A chaque fois, il a joui en elle et elle a adoré sentir son sperme chaud au fond de son ventre.

Trois semaines plus tard, ils sont tous les trois à table à la fin du déjeuner. Luc prend la parole. - Je regrette de vous voir partir Richard. La reconstruction de votre maison a été rapide ? - Avec les nouveaux matériaux, ça va plus vite à présent. Je ne peux pas vous dire à quel point je vous suis reconnaissant de m'avoir aidé en m'hébergeant après l'incendie. - Ce n'est rien Richard. Nous sommes voisins et de plus, ça m'a rassuré de savoir qu'un homme veille vous encore veiller sur eux pendant trois semaines. Je dois repartir pour mon travail. J'aurais l'esprit tranquille ?

- Mais, bien sûr Luc, je le ferais avec grand plaisir.

Florence sait exactement ce que Richard veut dire. Une semaine plus tard, Luc part pour son déplacement professionnel. Mais, au bout de trois jours, elle n'a pas de nouvelle de Richard, qui n'a rien fait pour tenter de la revoir ? Le troisième soir, elle se demande pourquoi elle est tellement excitée, et qu'elle ne souhaite rien de plus que la venue de Richard. Elle a besoin de se faire baiser par sa grosse queue noire. Elle n'arrive pas à sortir de sa tête, lui et sa grosse queue noire. Hier, elle s'est baisée avec une courgette en s'imaginant qu'il était dans sa chambre pour la défoncée. Mais, elle n'a pas atteint l'orgasme escompté. Alors, pourquoi lutter contre ça, elle cède à ses pulsions et s'en va en nuisette jusqu'à la maison de Richard.

Richard ouvre sa porte et sourit sans dire un mot. Florence marque une pause. Ensuite, elle rentre lentement chez Richard. A ce point, ils savent exactement de quoi ils ont besoin tous les deux. Tous les mots sont inutiles. Florence se dit que son cœur et toujours pour son Luc, mais son corps est à Richard pour le plaisir que lui donne. - Nous avons quinze jours pour nous aimer. Que veux-tu faire ? - Tout ce que vous voulez Richard, je suis à vous. - Alors, je vais en profiter pour te baiser, ma salope, encore et encore ?

Ils unissent leur bouche dans un baiser terrible. Florence s'abandonne dans les bras de Richard. Elle se dit qu'il peut faire tout ce qu'il veut avec elle. Son corps lui appartient, elle lui en fait cadeau. Car, jamais, elle n'a eu autant de plaisir qu'avec lui de toute sa vie.

A partir de ce jour, pendant la sieste de son fils et toutes les nuits, après qu'elle a couché son fils. Elle va chez Richard, pour lui offrir son corps, sa moule étroite pour qu'il la baise bien. A chaque fois qu'il la baise, il déverse sa semence au fond de son puits d'amour. C'est elle qui l'implore de lui noyer l'utérus de son sperme.

Huit jours après le départ de Luc, Florence entre comme d'habitude chez Richard. Elle est très excitée à l'idée de prendre au fond de son puits d'amour, sa grosse bite noire et peu importe si elle était blanche, dû moment qu'elle en jouit énormément. - Richard ? Je suis là ! - Florence ? Prête à te faire défoncer comme jamais ? - OH ! Oui, je suis prête pour être baisée et profondément rempli de votre semence. - Très bien ! Va dans la chambre et met toi à quatre pattes sur le bord du lit.

Florence obéit, elle enlève sa nuisette et se met en position demandée. Richard entre dans la chambre. - Florence, ma salope ? Tu as un cul blanc magnifique, que de nombreux blacks voudraient bien baiser. Écarte tes fesses pour que je vois ton étoile ? La tête sur le lit, florence écarte ses fesses, avec ses deux mains. - Oui, comme ça, il est appétissant.

Avant que Florence ne puisse réaliser, Richard commence à lui lécher le trou de balle. - OH ? Mon Ddieu ! Richard ? Mais, que faite vous ? - Il est temps que le fasse connaissance avec ce trou que tu m'offres. - Mais ? C'est mon anus ? Vous voulez me sodomiser ? - Oui ! C'est ça Florence. Je veux t'enculer ? Maintenant, si tu ne veux pas ? Retourne chez toi. OK ?

Florence ne désire pas que Richard soit en colère contre elle et qui ne la baise plus du tout ? Alors ?

- Je ? Je suis désolée Richard. Bien-sûr, vous pouvez m'enculer. Mon cul vierge est aussi à vous comme le reste. Je vous en prie, ne soyez pas fâché contre moi pour ça ? - C'est bien ce que je pensais ? Richard insère lentement son majeur dans l'anus de Florence pour le desserrer. - AAAIIE ! AAARRGG ! Il sort son doigt de son cul et le présente à sa bouche, qu'elle garde fermée, mais il la force et l'oblige à sucer. - Qu'est-ce que ton cul est serré Florence. La seule solution et de le relaxer avec ça.

Proclame Richard en lui écartant les fesses et lui enfonce sa langue dans l'anus. Sa langue pénètre son cul, le détend, le lubrifie de sa salive, sa langue le pénètre de plus en plus loin, il lui détend son anus, et lui rentre un doigt, puis deux.

- Mais ? C'est dégoûtant ce que vous faites. Ça fait bizarre et ? C'est un peu bon. Richard vient se placer à côté du flan de Florence et lui fait sucer sa queue. Il fait jouer un doigt dans son anus pendant un certain temps. Ensuite, il en rajoute un deuxième, jusqu'à ce qu'elle commence a relâché son sphincter. Il repasse entre les cuisses de Florence qui est à présent sur le dos. Il mouille abondamment sa queue et l'étoile de Florence. Il présente le gland de sa queue sur l'étoile de sa Florence.

Il le pousse et pénètre enfin l'anus de Florence. - AAAAARRRRGGG ! C'est trop gros ! RRRUUUFFRR ! Il s'enfonce encore dans son boyau. - Ouais ! Ton cul est extrêmement bon, Florence ! - AAAAARRR ! Ça fait mal Richard ! RRRUUURRAA ! - Ne t'inquiète pas ma belle, la douleur sera bientôt partie ?

En effet, peu de temps après la douleur fait place au plaisir et florence le crie. - AAAAARRRFF ! Mon Dieu Richard ? Je jouis avec votre bite dans mon cul ? C'est si merveilleux ! OOUUUUIII ! - Tu vois Florence, je te l'avais dit que tu aimerais ma queue dans ton fion ! Maintenant retourne-toi ? Je veux t'enculer en levrette. OORRR ! Ton cul m'appartient et toi aussi, tu es à moi toute entière ! - OORROO ! OOUUII ! Mon cul est à vous Richard ! AAAAARRRFF ! Baisez-le ! Défoncez-le ! OOOUUUIIII !

- RRRAAARR ! Je pars ! Je décharge dans ton ventre de salope blanche ! - OOOORRRRFF ! JEEE jouis encore ? Je jouis avec votre grosse queue dans mon cul ? OOORR ! OOUUII ! Remplissez-moi les intestins ? OOUU ! Je sens ? C'est chaud ? C'est bon ! Florence n'aurait jamais cru qu'une femme pouvait se faire défoncer comme ça e d'en jouir. Elle se dit que Richard connaît vraiment tous les trucs qui la font jouir. Elle croit bien, qu'elle est devenue amoureuse de Richard et de sa grosse bite noire. Elle sait, qu'elle ne pourra plus s'en passer.

Elle est en train de se transformer en une femme totalement différente. Elle ne pense plus qu'à Richard. Pendant la journée, elle guette Richard qui vaque à ses occupations pour le voir simplement. Elle pense qu'à l'instant où il la prendra pour remplir ses puits d'amour de sa grosse queue et de sa semence épaisse. A chaque fois qu'elle prend une douche ? Elle imagine sa grosse queue qui gicle sa semence au fond de son ventre et ça la rend folle. En sortant de la douche, elle entend le carillon de l'entrée ? Elle espère Richard ?

Elle ouvre la porte d'entrée et découvre un paquet sur le sol ? Qu'est-ce que c'est, elle le prend et l'ouvre dans la cuisine. Il y a un mot qui vient de Richard : C'est mon anniversaire. Mets ceci et vient chez moi à vingt et une heures précisent. Ne sois pas en retard ou il n'y aura plus de queue noire pour toi ? Cependant, si tu désires plein de queues noires soit à l'heure ?

Florence est à l'heure devant la porte de Richard. Elle est revêtue de la cape et aussi du collier d'esclave, qu'ils y avaient dans le paquet.

- Je ne savais pas que c'était votre anniversaire Richard. Lui dit elle lorsqu'il ouvre la porte.

- J'aime t'entendre le dire, parce que s'est toi qui vas distraire mes amis ? - Mais de quoi parlez-vous ? Richard. - Tu aimes te faire baiser ? - Oh ! Oui, depuis que c'est vous qui me pénétrez ! - Et tu m'obéis pour tout et à jamais ? - Mais, bien-sûr que oui Richard. - Alors, comme tu m'appartiens, je désire te partager avec tous mes amis ? Et, ils pénètrent dans le salon dans lequel Florence voit qu'il y a des 'hommes qui sont tous noirs de peau.

Elle écarquille les yeux de stupéfaction. - Écoute Florence ? Tu sais quel effet que ça te fait, quand je te baise, pas vrai ? - Oh ? Oui, je le sais. - Alors, là ? Ça sera dix fois plus fort. C'est pour ça que je t'ai préparé la moule et le cul. Parce que tu aimes ça et que tu en veux toujours plus ? N'est-ce pas ? - Oui, je comprends ! - Je leur ai dit que ça ne te dérange pas qu'ils se déchargent en toi ? - NO ? Non ? Ça ne me gêne pas.

Richard la pousse à entrer en lui ouvrant la cape qui la recouvre. Elle apparaît nue avec juste au cou son collier d'esclave.

- Vous êtes un pervers Richard ? Et, vous savez très bien ce qu'il me faut. C'est pour ça que je vous aime.

- Je vous offre ma belle voisine, marier et mère d'un enfant. Dis-leur ce que tu veux ma salope ? - Je m'appelle Florence. J'appartiens à Richard et je dois faire tout ce que vous me demanderez pour votre plaisir et pour le mien aussi ? Je suis votre salope pour cette nuit. Prenez-moi comme vous voulez, videz votre sperme dans mes puits d'amour autant que vous le pouvez. J'aime ça, donc je le veux au fond de mon ventre.

A présent Florence qui est devenu accro à la grosse bite noire de son voisin et de plus totalement dépendante de son addiction. Elle va être, son entière et vraie salope blanche, dont les trois orifices vont servir qu'à leur instinct les plus bestiaux.

Elle se retrouve vite accroupit à sucer des queues noires plus ou moins grosses. A présent, il n'y a rien au monde que Florence n'aurait pas fait pour pouvoir satisfaire la moindre exigence de Richard.

Plus elle en suce des bites, plus elle s'aperçoit qu'elle aime ça.

Florence est prise par tous ses trous. Elle découvre pour la première fois ce que veut dire : être prise en sandwich. Florence, pense qu'elle aime à présent être prise par ses trois trous, surtout quand ils sont bien remplis par des grosses queues noires. OORRH ! Je vais encore jouir de mes deux puits d'amour et aussi en avalant du sperme, en même temps.

Après plusieurs heures à se faire défoncer tous les trous. Florence a perdu le compte des puissants orgasmes que tous ses hommes ont réussi à lui faire prendre. Son être tout entier n'a plus soif que de ça.

L'une des choses que les amis de Richard préfèrent chez Florence ? C'est l'étroitesse de sa chatte et de son trou du cul. Et peu importe pour elle, s'ils lui déchirent les parois à chaque fois qu'ils pénètrent vicieusement ses orifices avec leurs grosses bites de noirs.

Ils veulent toujours pousser plus loin, les limites de leur cadeau. Cette nuit sera, pour Florence, la première ou sa petite étoile de jeune femme mariée se fait défoncer par deux grosses queues noires en même temps, et cela, violemment et jusqu'aux couilles. Elle adore ça. La preuve en est que, quand ils l'ont fait jouir, elle a carrément giclée comme une fontaine.

GKCD
GKCD
48 Admirateurs
Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 2 jours

Magnifique comme d’habitude…

Partagez cette Récit

LIRE LA SUITE DE CETTE SÉRIE

Histoires SIMILAIRES

Recession Les factures.
La Punition J'ai bien mérité ma punition.
Directrice d Agence 01 Histoire d une directrice d agence bien trop sûr d elle.
Gang-bang d'une Femme Riche Une femme riche et mature subit un gang-bang contre son gré.,,
Plus d'histoires