Florence Change De Vie 05

Informations sur Récit
Un acte de charité.
4.2k mots
4.33
2.5k
1
Récit n'a pas de balises

Partie 5 de la série de 6 pièces

Actualisé 05/01/2024
Créé 04/03/2024
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Quinze jours plus tard?

En faisant le ménage, Florence gamberge :

Il y a deux semaines que j'ai passé la nuit avec Patrick. Depuis Richard ne m'a pas touché? Pourquoi? Est-ce qu'il n'a plus envie de moi? Oh, mon Dieu, j'espère que ce n'est pas le cas? A présent, je suis si excitée. Mais, pourquoi il repousse mes avances, en me disant d'attendre? Pourquoi veut-il que j'attende? Que j'attende quoi? Je désire sa bite noire, et cela, à présent.

Richard est de retour à la maison. - Vous avez dû travailler dur ce matin? Voulez-vous prendre un bain? - Non! Flo, nous avons des choses à faire. - Qu'elle chose à faire? Nous allons dans le foyer des vieux travailleurs. Nous allons aider bénévolement certain de mes vieux copains. En prendre soin et s'occuper un peu d'eux. - Très bien Richard! On y va pour leur rendre le goût de vivre et de s'occuper de leurs envies? - C'est exactement ça! On va leur redonner la joie de vivre ma salope.

Richard, donne un paquet à Florence? - Voilà l'uniforme qu'ils demandent que tu portes? - Un uniforme? Bon d'accord. Elle va se changer et revient dans le salon.

Nue sous une petite robe noire d'été à très fines bretelles? qui ne lui autorise pas le port de soutien- gorge, elle se sent sexy. Le tissu fait sur elle, comme une seconde peau, mettant à son avantage son opulente poitrine. Arrivant juste au-dessus du genou, Florence sent de petites brides de vents lui chatouiller les cuisses, elle en frissonne.

Perchée sur ses escarpins à talons, son cœur bat fort, elle n'arrive pas à savoir si c'est de l'angoisse, de l'envie ou les deux.

Une chose est certaine, elle sait que tout le monde va voir qu'elle est en tenue d'Ève.

Au bout d'une heure de route, ils arrivent à destination.

Richard se gare à côté d'un bâtiment collé à un grand chalet.

- Reste là, je reviens?

Il descend et entre dans le chalet. Ensuite, il rejoint la voiture, ouvre la porte côté passager.

- Aller, sort?

Florence se lève et le suit jusque dans le chalet.

Elle entre dans le chalet et qu'elle n'est pas sa surprise de voir des photos d'elle nue, placardées sur un mur.

- Mais, Richard? Qu'est-ce que ça veut dire?

- Je t'ai exposée à la vue de mes copains. Je peux te dire qu'ils aiment beaucoup.

Florence ne sait plus que penser, elle a honte et pourtant elle se sent fière de plaire.

- Pourquoi m'avez-vous emmenée ici?

- Je t'ai parlé de mes copains? Eh, bien, ils arrivent. Avec ton aide, je vais pouvoir enfin réaliser leur tout dernier souhait?

- Ah? Et, que souhait il? - Tous n'ont jamais baisé une femme blanche, et c'est là que tu les aides! - Voulez dire qu'ils n'ont jamais fait l'amour avec une femme blanche? - OUI! C'est ça et je leur ai dit que tu es volontaire pour exaucer leur souhait?

Elle a à peine terminé sa phrase que la porte du chalet s'ouvre et des vieux travailleurs noirs remplissent la pièce.

Elle se retrouve face à une bonne vingtaine d'hommes.

Ils parlent fort, certains sifflent, d'autres font des gestes sans équivoques.

Florence les regarde affoler. Il y a que des noirs, ils ont tous entre soixante-huit et soixante dix-huit ans.

- Messieurs? Du calme!

Tous se taisent.

- Vous la reconnaissez tous, elle est sur le mur. Vous l'avez observé, vous en avez beaucoup parlé, certains se sont certainement branlés, mais ce qui est sûr, elle va donc exaucer votre souhait.

Richard chuchote à l'oreille de Florence : - Dis-leur, que tu vas payer de ta personne en t'offrant à eux.

Elle est tétanisée, elle ne s'attendait pas à cela, elle tremble de peur et d'envie. Elle prend une grande respiration.

- Messieurs, je suis volontaire pour vous aider à exaucer votre ultime désir. Je suis une femme blanche et prête à vous satisfaire.

- Vous l'avez entendu, elle s'offre à vous, mais il est hors de question de sauter dessus tous ensemble? Elle a l'impression que son cœur va exploser. Les copains de Richard sont ravis.

Richard parle en aparté avec deux hommes, ils quittent rapidement la baraque.

Il y a juste les deux tables qui trônent en son centre du chalet? Pas de lit ou de canapé? Les copains sont tous côte à côte.

- Qu'est-ce que vous attendez?

Demande Florence.

- On attend Jef et Didou?

Silence.

Une très longue minute passe, les deux hommes arrivent avec un sac de toile.

- Voilà, tout est prêt. Mais, avant que vous ne commenciez? je vais vous présenter notre hôtesse.

Richard se place derrière elle et place ses mains sous la poitrine de sa femme, il les soupèse et les fait ballotter. Autant dire que l'assistance n'en perd pas une miette. Il les prend, les caresse, les malaxe.

Florence sent monter le désir en elle.

-Bouba, amène deux bouteilles, une deux litres de cola et une petite à côté.

Le grand black ramène l'ensemble

- Relève sa robe?

Avec ses grandes mains, il prend le tissu et le relève. Il le fait rouler et le coince entre ses deux seins, de telle façon qu'il ne retombera pas.

Un tonnerre de sifflement inonde la pièce, tous voient qu'elle ne porte pas de sous-vêtement.

-Bouba prend la petite bouteille et vide en une bonne partie sur la grande puis place celle-ci entre les jambes de Florence.

C'est une grande bouteille de quarante-cinq cm de haut? Elle écarte légèrement ses cuisses. Le bouchon frotte contre ses lèvres.

- Retourne avec les autres, je vais vous montrer ce que sait faire ma belle salope?

Richard murmure à l'oreille de sa femme. - Vas-y, empale-toi, comme sur Patrick, montre-leur.

Tandis que Richard joue avec sa poitrine, Florence fait descendre et monter son bassin.

A chaque descente, elle va toujours un peu plus bas, se sentant toujours un peu plus écartée.

Richard lui pince les tétons, il les roule, puis fait remonter ses seins en tirant dessus.

Elle a mal, mais en même temps, elle prend du plaisir, ce qui la fait s'enfoncer encore plus sur la bouteille.

La douleur se transforme, elle se transcende en bonheur, elle descend encore, doucement sans remonter, elle ne sait pas jusqu'où elle est allée, cependant elle sait que c'est plus que ce qu'elle n'a jamais encore fait, elle sent le plastique l'écarteler et la posséder.

Une bonne moitié a déjà sorti leurs sexes et se caresse.

Florence voit ces mandrins de chaire noire gonfler, il y en a de toutes tailles, de toutes largeurs, et ils sont tous rien que pour elle. Cette simple idée lui provoque un orgasme.

Richard, la libère de toute entrave.

- Aller, à présent, tu vas bien nettoyer quelques queues.

Les copains qui n'ont pas encore sorti leurs engins le font, ils sont tous devant elle. Les yeux de Florence pétillent d'envie, elle n'aurait jamais imaginé qu'un jour Richard l'offrirait à autant d'hommes à la fois.

Avec lenteur et délicatesse, elle se met nue devant eux, et d'une démarche féline s'approche du groupe. Elle s'accroupit devant un colosse d'ébène, elle n'en revient pas, son sexe fait bien vingt- cinq cm pour six de large. Elle prend sans ménagement le gland en bouche, et le pompe. De sa main droite, elle branle la longue hampe tout en pensant que tout à l'heure, elle l'aura certainement en elle. Elle gobe littéralement cette queue.

Les autres râles un peu. Une queue plus petite se présente, elle la prend, elle sent des mains lui caresser les fesses, le dos, les cuisses.

Elle suce, passant de sexe en sexe, elle a un peu mal à la mâchoire. Pourtant, elle prend goût à cette pluralité massive. Ses mains masturbent tout ce qu'elles peuvent attraper.

On lui malaxe les seins et ses tétons sont en feu. Des doigts lui fouillent la moule et l'anus.

Tous sont corps n'est qu'attouchement, palpations d'envies, de tous et d'elle. Car oui, elle est active et envieuse, elle réalise leur ultime souhait.

Un vieux s'impose dans sa bouche, il est large, mais pas trop long. L'homme prend sa tête dans ses mains et par coups de reins lui laboure la bouche jusqu'à s'épancher abondamment. C'est le premier , mais pas le dernier.

Elle se relève, tous y sont passés et elle a besoin de souffler un peu, elle avale leur semence qui n'est pas abondante, alors elle l'a fait couler sensuellement dans sa bouche.

Elle est entourée par cette troupe, ils sont tous nus. Certains avec leurs téléphones, elle sait qu'elle va faire la une des foyers pendant de longs mois.

Les membres en érections se frottent contre ses cuisses, ses fesses.

-laissez-la respirer un peu messieurs. Table haute ou table basse?

Elle choisit la table haute, elle pourra se reposer un peu.

Richard, l'aide à s'allonger sur la table, les fesses au bord, les jambes pendantes.

Bouba, avec ses vingt-cinq cm, s'approche, il place les pieds de Florence sur ses épaules et fait glisser son membre le long de la fente humide. Deux hommes se mettent à lui sucer les seins, le peu sperme non-avaler, qui est dessus ne semble pas ralentir leurs ardeurs. Elle sent sa poitrine se faire aspirer tandis qu'une main anonyme lui caresse le clitoris.

Bouba présente son gland lubrifié de mouille contre sa petite porte de derrière. Il pousse lentement, elle s'ouvre.

Son anus se dilate de plus en plus, elle se souvient qu'avant les autres n'étaient pas si gros.

Le gland passe entièrement, puis il continue, il s'enfonce progressivement sans s'arrêter.

Elle se sent remplie de plus en plus, comme jamais, et ça continue. Elle a peur que la longueur ne pose un problème, cependant cette inquiétude disparaît, quand deux ou trois doigts lui écartent les lèvres de sa moule, entrent et sortent rapidement.

Tout cela la fait mouiller abondamment et de petits floc floc se font entendre. Elle ne maîtrise plus rien et décide de prendre tout pour du plaisir.

Les couilles de Bouba se collent contre ses fesses, elle en est contente.

Il commence un lent va-et-vient, qui progressivement se fait de plus en plus rapides. L'homme lui maintient les hanches avec ses mains, les autres se sont reculés.

Ses coups de boutoirs sont si forts, que la poitrine s'affole dans tous les sens, elle se sent bien prise.

Des queues se présentent contre ses mains, elle les prend et les branle, un plus jeune s'approche de sa tête, il la fait pivoter vers lui et fourre sa bite dans la bouche de Florence.

Comme elle a du mal à le sucer, il lui prend la tête et fait lui-même les va-et-vient. Le rondin de Bouba lui labourent le fondement, il est si long et si gros, qu'elle a l'impression qu'il va la transpercer,? Cependant, il glisse en elle avec virtuosité.

Il ne la ménage pas, on pourrait même dire, qu'il y va comme un jeune mâle. Tout le corps de la femme bouge à chaque coup, le spectacle doit plaire, car elle sent deux petites giclées chaudes se répandre sur sa poitrine en mouvement.

Momo qui s'occupe de sa bouche lui éjacule de sa gorge. Il en bouge très peu? Donc, elle est obligée d'avaler sa maigre semence pour ne pas étouffer. Elle a à peine le temps de reprendre sa respiration qu'un autre vieux copain se présente.

Il est ventripotent, sa queue marron et épaisse passe entre ses lèvres entre-ouvertes. Il lui attrape les cheveux et lentement prend possession de sa bouche. Elle fait tourner sa langue autour du gland.

Bouba se fige entièrement en elle et pousse un grognement, une onde chaude déferle dans ses intestins. Ensuit, il ressort son braquemart, elle sent que son anus ne se referme pas complètement.

Un autre pas très vieux vient s'occuper d'elle, il se glisse entre ses jambes et d'un coup sec. Il fait entrer son calibre, il va vite et fort, il n'est pas large, mais long et son gland tape le fond contre son utérus?

Tout son corps est parcouru par des décharges de plaisir et de chaleur, elle crie son plaisir. Cet orgasme lui fait contracter ses muscles vaginaux, ce qui lui fait beaucoup plus sentir la bite en elle.

Un jeune vieux se met à califourchon sur elle, une jambe de chaque côté, il met son sexe entre les gros seins de Florence, il lui attrape les tétons et avec les seins de Florence, il fait recouvrir sa verge.

Le vaillant vieillard joue du marteau-pilon entre ses seins, et il pince à chaque coup les tétons. Un homme dans sa bouche, un entre les seins, un entre ses cuisses.

Les trois viennent l'un à la suite de l'autre, d'abord dans la bouche, puis dans le vagin et enfin entre ses seins.

- Bon, on va un peu changer.

Richard aide sa belle salope à descendre de la table, les jambes flagellantes.

- Ça va ma belle?

- OH! Oui, on va dire ça?

Il lui tend un verre d'eau. Elle prend quelques gorgées bien rafraîchissantes.

Du sperme s'échappe en petits filets du coin de ses lèvres et son cul.

- Assied-toi sur le rebord, jambes bien écartées.

Florence s'exécute sans souci, c'est bien la première fois que son mari prend en main les opérations.

- Mike, allonge-toi sur la table basse.

Un autre vieux géant d'ébène s'avance, tout aussi bien monté que l'autre, il s'allonge.

- Allez ma salope, empale-toi sur lui.

Elle s'approche, et monte sur la table basse, il y a juste la place pour qu'elle s'accroupisse au-dessus de l'homme.

Elle prend sa grande queue large en main. Elle fait frotter le gland contre les lèvres de sa moule baveuse et la fait entrer, quel bonheur, elle est dure comme la pierre.

Lentement, elle s'empale jusqu'à la faire complètement disparaître. Elle ne bouge plus et profite de cette sensation d'avoir son vagin bien remplit. De ses grandes mains, Mike lui masse les seins, il les malaxe e les caresse, il en joue, au plaisir de la dame.

Un moment de grande douceur puis il donne des coups de reins qui soulève Florence, elle a l'impression de s'envoler. Un autre copain battit comme une armoire à glace se place dans son dos? Il passe ses bras sous ses siens et les attrape. Alors, que Mike vient de les lâcher pour plus de stabilité.

Elle râle de bonheur, elle se sent assailli par un marteau-piqueur et dans la position où elle se trouve, les sensations lui semblent décuplées.

Elle se sent telle une balle que l'on fait rebondir sur une raquette.

Elle accompagne les mouvements de Mike, après elle n'en peut plus, c'est trop, elle veut descendre. Cependant l'autre la pousse en avant.

Pour ne pas s'effondrer sur Mike, elle a le réflexe de placer ses mains de chaque côté de la tête de l'homme.

Il s'empresse de la prendre dans ses bras, autant pour la protéger que pour l'empêcher de se relever.

Elle plonge ses yeux dans ceux de son sauveur, une passion sauvage passe en eux quand elle sent les mains de l'autre lui écarter les fesses et entrer son sexe dans son anus. Visiblement, il est long et fin avec un gland assez gros, un changement de sensation bien agréable.

Mike suit le rythme, quand il pousse l'autre se retire et ainsi de suite.

Cette doublette la rend folle et ses cris couvrent le flot de remarques de tous les copains.

De temps en temps L'un de ses assaillants s'arrête, alors là le deuxième lui défonce l'orifice, ils alternent régulièrement.

Florence jouit, elle voudrait faire une pause, mais ils en ont décidé autrement, ils ne pensent qu'à eux. L'enculeur jouit en elle, il se retire, un autre vieux copain prend sa place. Il est monté comme un cheval, il prend la même place que le précédent. Elle se sent prise, soumise et désirée.

Au bout de quelques va-et-vient, il se retire.

Elle ne comprend pas? Jusqu'à ce qu'elle sente les lèvres de sa moule, déjà prise par Mike s'écarter.

- RRROOOO! RRAAAAAA! RROOUUUUUUIIIIIII!

Gibi à glisser son mandrin contre celui de Mike, ils ont à peu près le même calibre, mais pas la même longueur, ce dernier est plus court.

Les deux hommes vont et viennent en même temps, elle ne peut plus bouger, c'est trop gros, trop fort, trop tout. Elle se sent écartelée, défoncée. Elle adore ça.

Ils accélèrent

- RRROOOUUUH! NNNNOOOOOONN! BBBOONNN!

Richard inquiet s'approche et il fait couler du gel dans la raie de ses fesses. Sur les lèvres de la moule de sa salope et la queue de GIbi. Ça glisse plus facilement, la respiration de Florence s'accélère, elle halète, elle n'est plus elle-même? Elle se sent comme un trou que l'on utilise, mais un trou extraordinaire, qui lui donne énormément encore de sensations nouvelles et fantastiques.

Mike prend un sein et suce un téton, puis l'autre. Ensuite, il s'y agrippe fortement quand la montée de sève jaillit, ce qui fait jaillir aussi celle de Gibi.

Le trio reste immobile quelques instants, ensuite, chacun se retrouve libéré.

Richard est allé chercher une chaise, il y fait asseoir sa belle, il lui offre de nouveau un verre d'eau.

- Alors? Tu prends ton pied à leur offrir l'ultime plaisir de baiser une jeune femme blanche.

- Oh! Oui, j'adore leur rendre ce service avant qu'il tombe dans l'oubli.

Richard écarte les cuisses de Florence, son vagin est très dilaté, une petite rivière visqueuse s'en échappe. Bader s'agenouille au pied de la belle, il lui fait avancer ses fesses vers le bord de la chaise. Il lui lèche sa moule baveuse.

Un homme trapu lui présente son sexe, elle le prend, elle le suce, l'aspire, le pompe, elle donne le meilleur qu'elle puisse faire, une verge d'aussi petite taille, ça change.

Bader ferme son poing et le fait entrer dans la chatte béante, fortement lubrifier de foutre et de gel.

Il le fait sortir complètement et ensuite, entrer de nouveau, il y va doucement, mais avec fermeté. Florence sent une chaleur envahir son bas ventre, le désir la reprend, et la douleur du poing se transforme en de puissantes décharges de plaisir.

Plus, il joue du poing en elle, plus elle le pompe, elle le pompe si fort qu'il éjacule.

Elle a besoin de se lever, elle se redresse, mais Bader ne veut pas sortir son poing.

Elle marche comme elle peut jusqu'à la table basse et s'y met à quatre pattes.

Bader sort son poing et l'encule comme un diable déchaîné, il grogne à chaque coup de butée. Les derniers hommes font la queue soit près de sa bouche, soit derrière Bader.

Elle suce comme une diablesse, elle veut vider les couilles de ces vieux messieurs.

Les décharges s'accumulent, elle bave et rote du sperme.

Bader donne de si grand coup de reins que sa poitrine tape de temps en temps dans son cou.

Il se vide et laisse sa place, ils sont tellement chauds, qu'ils ne prennent plus leur temps. Ils y vont à fond et se vident rapidement dans son cul et sa chatte. Tout n'est plus que pilonnages successifs et éjaculations, et pour Florence, c'est comme une fin de marathon dans lequel tout s'accélère et où chacun donne tout ce qu'il a.

Elle ne peut plus sucer, elle ne fait que prendre et recevoir, elle jouit à répétition en râle de plaisir.

Elle tourne la tête, il n'y en a plus que trois, un vieux décrépi qui est en train de jouir et Bouba et Mike.

L'homme se retire, Bouba la fait se lever, des flots visqueux sortent de ses orifices et coulent le long de ses cuisses. Bouba s'allonge sur la grande table. Mike, avec ses bras musclés, fait monter Florence, elle chevauche le vieux géant noir et s'empale, ça passe beaucoup plus facilement à présent. Elle est assise, monte et descend le corps luisant et dégoulinant de sueur.

Mike se présente derrière elle, elle se penche, il la sodomise lentement.

- RRROOOUUIII! AAARRRFFF! RRROOUUU! AARRAARRAARRAA!

C'est la sensation la plus forte de la partie. Elle a l'impression que les deux hommes ont l'habitude de faire ça ensemble tant qu'ils la pilonnent parfaitement.

Deux fois vingt-cinq cm de longueur, deux fois six cm de diamètre, c'est tellement fort et bon.

Elle, la jeune femme blanche mariée, se fait prendre en sandwich par deux vieux noirs.

Quand elle se sent vider de l'anus, c'est sa chatte qui se remplit et ceci en alternance. De temps en temps, ils se reculent ensemble pour d'un coup sec rentré en elle jusqu'aux couilles.

C'est ce que préfère Florence, à ce moment-là, elle entre dans une extase puissante.

Le duo a bien comprit et il en joue habilement jusqu'à accélérer leur cadence pour un sprint finale explosif. Ils jouissent tous les trois de concert.

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