Harcèlement 07

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Les vacances se terminent en apothéose.
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Après cette nuit de folie, la journée a commencé très tranquillement. Un petit déjeuner dans la chambre, une balade en bord de mer, un retour à l'hôtel en début d'après-midi pour une séance de soins au spa.

Nous étions allongés au bord de la piscine, on dégustait un cocktail, Karla m'a posé une question.

_ Alors Charles, ça te fait quoi d'être un petit enculé?

Je me suis presque étouffé avec la gorgée de vodka aux fruits.

Comment peut-elle me parler de ça, alors que nous sommes entourés de plein de gens?

_ Je.... je....

_ Tu semble gêné Charles! Ne le soit pas. Nous ne connaissons personne ici. De plus ce ne sont que des étrangers. Personne ne parle français.

_ Euhhh... Oui. D'accord. Je suis juste très surpris par ta question. Je ne m'y attendais pas.

_ Charles alors? Dis moi. Ça fait quoi de se faire enculer par une vraie bite?

_ Je...

_ Regarde, tu as semblé beaucoup aimer.

Elle me montre l'écran de son téléphone. Mon visage est en gros plan, j'ai la bouche grande ouverte, Giovanni est derrière moi, il me tient par la taille.

_ Tu veux que je mette le son?

_ Euhhh!... Non s'il te plaît pas ici.

_ Pourquoi? Il n'y a que des adultes autour de nous. Je suis sûre en plus que cela te plairait de faire entendre tes petits cris de salope à tout le monde.

_ Karla, s'il te plaît pas ici. Je vais tout te dire mais s'il te plaît. Pas ici.

_ Charles, tu es si mignon quand tu panique. Ne t'inquiètes pas. J'adore te taquiner.

Commandes d'autres cocktails. Tu les feras monter dans notre chambre. Rejoins moi vite. Et range un peu ton outil, on voit ton joli percing qui veut sortir de ton short. Toi qui veut être discret. C'est un peu loupé.

_ Oui tout de suite mon amour.

Karla se lève, s'entoure d'un paréo, m'embrasse sur la bouche, se dirige d'un pas très sensuel vers l'entrée de l'hôtel, se retourne après avoir fait quelques pas.

_ Charles, mon petit encu.... Dépêche toi j'ai soif.

J'ai l'impression que tout le monde me regarde. Je baisse la tête, mon sexe tend en effet mon caleçon de bain. L'image de la toile de tente n'est pas usurpée. Tout le monde a dû le voir. D'un geste rapide j'attrape ma serviette, l'entoure autour de ma taille. Je n'ose pas regarder les gens. Je me dirige vers le bar. Passe rapidement la commande, pour rentrer au plus vite dans notre chambre.

Karla est installée sur le balcon de notre terrasse. Elle est appuyée sur la rambarde, face à la mer, dos à moi.

_ Déshabille toi mon chéri. Viens. J'ai très envie que tu me lèche. La vue est magnifique.

Elle a toujours son paréo mais son maillot de bain a disparu. Son cul est absolument magnifique. Je me glisse dessous le fin tissu. J'embrasse ses fesses. Son parfum intime est très présent. Elle est excitée. Elle écarte les jambes. Son sexe est luisant. Des gouttes, de son excitation, perlent le long de ses lèvres gonflées. Délicatement je recueille, du bout de la langue, ses délicieuses gouttes.

_ Ohhhh... Ouiiiiiii... C'est parfait... Continue,.... Lentement.... C'est très bon ce que tu me fais...

Quelques minutes plus tard, alors que j'ai la langue enfoncée dans son petit trou du cul, quelqu'un frappe à la porte.

_ Vas ouvrir Charles.

_ Mais je suis nu!

_ Ne discute pas. Vas ouvrir.

_ Mais...

_ Va ouvrir.

Caché derrière la porte, seule ma tête est visible. Je l'ouvre pour la laisser rentrer. C'est la femme de chambre que nous voyons tous les jours depuis notre arrivée. Elle pousse un petit chariot. Nos cocktails sont posés dessus ainsi qu'une bouteille de champagne, accompagnée de fruits et de petits gâteaux.

Mon épouse, lui demande de tout poser sur la petite table devant elle. Karla est installée sur une chaise. Son paréo est transparent. Il ne cache pas grand-chose. Ses jambes sont croisées, mais ses tétons pointent insolemment. Je suis resté debout près de la porte. Je n'ose pas bouger.

La femme de chambre dépose tout sur la table, se retourne. Elle me voit, son regard se pose tout de suite sur mon sexe. Elle pousse son chariot. Elle a un petit sourire. J'ai les bras le long de mon corps. Je ne fais rien pour cacher ma queue en érection. Elle marque un temps d'arrêt quand elle passe devant moi. Je ne sais plus où me mettre. J'ai honte. Elle me fait un grand sourire avant de sortir. Je me sens humilié.

_ Charles, ne reste pas planté devant la porte. Viens trinquer avec moi.

Je suis vraiment troublé. Je suis très gêné. J'ai très honte. Je ne ressens aucune excitation de m'être montré nu devant cette femme. C'est une sorte d'humiliation, mais ce n'est absolument pas sexuel pour moi. Mon érection s'est flétrie en quelques secondes.

Je m'approche de Karla. Je suis très en colère. Je dois arriver à parler à la femme que j'aime sans m'énerver. Je m'agenouille devant elle. Me mettre dans cette position va m'aider à me calmer.

_ Charles qu'est ce qui ne va pas?

_ Karla ce n'est pas bien du tout ce que je viens de faire.

_ Arrête, tu n'as rien fait de mal. On s'est juste amusé un peu.

_ Non! Je ne suis pas d'accord.

_ Arrête de faire ta prude. Tu es un très bel homme, tu aimes t'exhiber. Ça me plaît de te montrer.

_ Oui! Mais là ce n'est pas pareil. Je veux bien jouer avec toi mais cette femme n'avait rien demandé. Je lui ai imposé ma nudité.

_ Arrête Charles, elle a vu sûrement pire. Et puis tu es mon mari. Tu obéis. Point!

_ Non je ne suis pas d'accord avec toi sur ce point.

Oui! Je suis ton mari. Je te suis soumis. Mais je refuse d'impliquer qui que ce soit par la force. Je lui ai imposé ma nudité. Elle n'avait rien demandé. C'est une forme de harcèlement.

_ Ah! Ah! C'est toi qui dis ça!

_ Justement. Je le dis car j'ai beaucoup réfléchi. Si aujourd'hui je suis à genoux devant toi c'est à cause de ce que j'ai fait.

_ Expliques toi.

_ Karla, regarde moi. Si je n'avais pas envoyé tous ses messages à mon ancienne je ne serais pas à genoux devant toi, le gland percé.

_ Vu comme ça. Tu as raison.

_ Oui j'ai raison.

Karla mon Amour. Tu dois comprendre que je suis ravi de notre dynamique de couple, quoique tu puisses penser.

Mais il y a une chose que je regrette plus que tout.

_ Quoi? Charles dis moi?

_ C'est,... C'est de lui avoir fait du mal. Laetitia s'est sentie harcelée.

_ Ce n'est qu'une salope.

_ Peut être. D'accord, c'est une femme frustrée, une mal baisée, voire pas du tout baisée. Elle n'a pas de mec. Elle est complexée par ses trente kilos en trop. Ce n'est pas du tout une femme épanouie.

_ Comment tu sais ça?

_ Je l'ai vu sur toutes les photos qu'elle a posté. Je sais qu'elle est toujours célibataire.

J'ai échangé avec une autre collègue qui l'a voit toujours. Elle m'a raconté plein de choses sur Laetitia.

_ Alors c'est pour ça que tu l'a contacté?

_ Oui, c'est en partie pour ça. J'ai cru qu'elle pourrait apprécier un homme obéissant. Mais en fait, je lui ai imposé ma soumission. Elle n'avait rien demandé. Elle a utilisé la justice pour se venger. Je suis un pervers à ses yeux...

Mon Amour, je t'aime.

Je ne veux plus jamais qu'une telle chose se reproduise.

Ma sexualité, notre sexualité n'a rien de conventionnelle, je le reconnais. Nous ne sommes pas dans la norme, et j'en ai rien à foutre de ce que peuvent penser les autres.

Je n'ai qu'une chose à te demander. Respecte moi. Respecte mes limites, et respecte les autres.

Karla, je suis très sérieux.

Je ne veux pas imposer notre sexualité, mes phantasmes, nos phantasmes à d'autres...

_ Pardon mon Chéri. Pardon! Je ne savais pas. Je comprends que tu culpabilises, que tu t'en veux. Je t'aime. Je te promets de respecter tes limites à l'avenir.

_ Merci mon Amour.

C'est la première fois que je m'oppose à mon Épouse, que je pose une limite, depuis qu'elle m'a demandé de mettre ma cage de chasteté.

Je sens montrer une terrible angoisse. Mon cœur s'emballe. Je lève la tête. Ses yeux me fixe. Son regard est incandescent.

Elle me tend la main. Me relève, me serre dans ses bras. La façon dont elle me tient fort contre elle me fait fondre. Toutes mes inquiétudes disparaissent. J'ai pleuré un long moment là tête posée dans le creux de son cou. Elle m'a beaucoup parlé, elle m'a rassuré avec des mots d'une grande tendresse et d'amour.

Je sais maintenant que ce n'est pas grave d'être en désaccord. J'avais si peur. Si peur de la perdre.

Ce moment fort en émotions nous a libéré. Après, ce fut tellement plus facile de lui parler de la soirée avec Giovanni.

Je lui ai livré toutes mes pensées, tous mes ressentis, à la fois physiques et émotionnels.

Elle a elle aussi été d'une grande franchise.

Quelque chose avait fondamentalement changé. Je n'étais plus le même.

J'étais devenu son petit " Enculé ".

J'avais franchi la barrière des phantasmes. J'avais volontairement sucé une bite. Je m'étais offert à un homme. Il m'avait défoncé le cul sous les yeux de mon épouse...

Elle m'a avoué qu'elle avait tout organisé. Elle m'a dévoilé toute la machination, organisée avec Giovanni. Je n'avais rien vu venir.

J'y avais pris beaucoup beaucoup de plaisir malgré tout.

Cet après-midi, Karla a définitivement pris les commandes de notre couple.

Elle a pu exprimer sa surprise de ressentir le plaisir du pouvoir qu'elle a maintenant sur moi.

Elle adore cette sensation de puissance.

La nuit passée avec Giovanni lui a permis de se révéler.

Par ma soumission volontaire, j'avais réveillé la "maîtresse femme " qu'elle ne pensais pas être.

Cette facette ne lui fait plus peur. Elle l'accepte, le revendique totalement.

Karla n'est pas comme " Maîtresse Patricia " Karla est simplement Karla. Une femme puissante, une épouse amoureuse de son mari dévoué.

Cette franche discussion nous a libéré.

Nous avons fait l'amour dans toute la suite, expérimenté beaucoup de positions sur presque tous les meubles, dans toutes les pièces, comme au début de notre relation.

Karla insatiable a joui de nombreuses fois. Mon sexe, mes doigts, mes mains, ma bouche, ma langue, mon corps ont été offert, sans limite, à la disposition de toutes ses demandes.

Elle n'a pas voulu que je jouisse.

J'ai pris beaucoup de plaisir malgré l'interdiction d'éjaculer.

Je ne sais pas comment j'ai fait pour ne pas éjaculer. Elle m'a poussé tant de fois à la limite. Je suis frustré mais en même temps tellement heureux de la voir épanouie.

Je ne fais pas qu'accepter cette position de mari dévoué, je l'ai totalement adoptée.

Pendant tant d'années, j'ai fantasmé, d'être un mâle soumis.

Aujourd'hui, j'ai compris le vrai sens de la soumission. Je n'impose pas mes désirs, même si j'ai posé mes limites. Je réponds simplement aux désirs de mon épouse. J'aime obéir à toutes ses envies.

La voir prendre du plaisir sous mes caresses, sentir son corps frissonner d'extase sous ma langue, entendre ses cris de jouissance sous les coups de butoir virils, violent (à sa demande), de ma queue qui la pénètre, sont devenus ma raison de vivre.

J'aime Karla. C'est la plus belle femme du monde. Je suis si heureux d'être son époux.

Le lendemain matin, le soleil est à peine levé, qu'un message sur le téléphone de Karla nous demande de nous tenir prêt. Une voiture nous attend en bas de l'hôtel. Vingt minutes plus tard on nous dépose à la marina d'un petit village.

Giovanni nous attend debout, fier sur la proue de son bateau. Il nous enlace très chaleureusement quand nous montons sur le voilier.

Deux femmes et un homme sont avec lui sur le pont. Ils ont dans la vingtaine. L'une est une blonde plantureuse avec de très gros seins, une bimbo sortie d'une télé réalité, l'autre châtain clair, une jeune femme longiligne, discrète, un peu introvertie. L'homme ressemble à un play-boy tout droit sorti d'un péplum. Il est très musclé. Sa chemise et son pantalon contiennent difficilement une musculature impressionnante.

Les présentations sont rapides, Enzo "le gladiateur" et Claudia "la bimbo" sont en couple, Lisa est la soumise de Giovanni.

Karla parle la première, elle nous présente. Je suis son mari, son soumis. En deux phases tout est dit. Les statuts, les rôles de chacun sont clairement définis.

Les amarres sont détachées, Il y a trois hommes d'équipage qui pilote le navire. Giovanni nous invite à nous détendre autour d'une bouteille de champagne.

La beauté de la côte est absolument à couper le souffle. Lisa n'a pas passé beaucoup de temps assise, elle n'a toujours pas dit un mot.

D'un claquement de doigts de Giovanni, elle est nue à genoux sa bite dans la bouche. Celui-ci nous explique tranquillement, qu'elle est à notre disposition pour la journée.

Enzo et Claudia nous explique qu'il sont les vainqueurs d'une télé réalité italienne classé X.

Je ne m'étais pas beaucoup trompé. Nous échangeons en anglais tous ensemble.

Karla me demande au milieu d'une discussion avec Giovanni de me dénuder et de venir la lécher.

La situation est cocasse, même pas un quart d'heure que nous avons levé l'ancre, je me retrouve nu, cul à cul avec Lisa, sur le pont d'un bateau, la langue occupée entre les cuisses de mon épouse pendant qu'elle discute et trinque avec de parfait inconnus. Ça promet pour la journée.

En effet, après un orgasme rapide, Karla m'invite à lécher sa voisine. Claudia a les jambes écartées. Elle ne porte pas de culotte. Elle a juste relevé sa robe. Elle appuie légèrement sur ma tête. Ma langue trouve sa chatte directement. Elle est toute lisse, sa saveur est sucrée.

Ses grandes lèvres sont toutes gonflées, son clitoris est très long. Presque aussi grand que la phalange de mon petit doigt. Je ne résiste pas. À peine effleuré du bout de la langue. Je sens tout son corps frémir. C'est la première fois que je vois un appendice pareil. La texture est surprenante. Je le titille, l'effleure, le suçote. Ses réactions m'encourage à continuer. Son sexe coule. Je descends, pour déguster ce délicieux breuvage, j'enfonce la langue au plus profond de sa chatte. Elle aussi mouille beaucoup. Je remonte de quelques centimètre pour avaler, aspirer son clitoris démesuré. Il est tout tendu, elle " bande ". Mes caresses semblent lui plaire. Son orgasme me surprend. Elle pousse soudain de grands petits cris aigus. Tout son corps se tend. Elle m'emprisonne la tête entre ses deux cuisses musclées avant de me repousser la tête.

_ Grazie mólto Charles. tua bocca è magica. Enzo, provalo. Lui ha molto talento.

Je ne comprends pas ce qu'elle dit mais en levant les yeux, son sourire m'indique qu'elle a bien apprécié.

_ Charles suce la bite d'Enzo. Tu es très doué d'après Claudia. Je suis fière de toi.

_ Merci mon Amour.

_ Aller dépêche toi.

_ Oui bien sûr. Tout de suite, mais je dois dire que c'était un régal pour moi.

Thanks you Madame Claudia. You are délicious.

_ Thanks Charles, show your skills to Enzo. He is impatient.

Je me décale sur le côté. Je suis toujours à genoux. Je peux voir que Lisa est toujours affairée sur la queue de Giovanni. Elle l'avale en entier avec beaucoup de facilité. Les grognements qu'il pousse indique clairement qu'il apprécie beaucoup.

Je me retourne vers Enzo, il s'est avachi sur son fauteuil. Il a les jambes écartées. La bosse qui déforme son entre-jambes semble très grosse. Il me regarde. Il me sourit. Les bras posés sur les accoudoirs, son attitude me fait penser à un guerrier. Le mâle Alpha dans toute sa puissance. Il est beau. Je ne suis pas attiré par les hommes mais je dois reconnaître qu'il est splendide.

Je m'approche, il ne bouge pas. Je pose les mains sur ces cuisses. C'est de l'acier. Son regard n'est pas du tout hostile, bien au contraire. Je remonte mes mains, déboutonne son pantalon. Sous son caleçon blanc se dessine une énorme grosse queue.

Il relève ses fesses, il ne parle pas. Je remonte mes mains jusqu'à sa taille. J'attrape son caleçon et son pantalon en même temps. Je les descends jusqu'à ses pieds. Il se rassoit. Lève une jambe après l'autre. Il s'en débarrasse d'un petit geste du pied. Sa copine en même temps lui déboutonne la chemise. Son corps est sculpté de partout. Il ressemble à une statue grecque. Il n'a pas une once de graisse, ses muscles sont saillants, surdéveloppés. Mon regard est fixé sur son sexe lisse.

Sa bite est gigantesque. Je n'en ai jamais vu de si longue, de si large. Il ne bande pas pourtant. Son sexe pend entre ses jambes, à quelques centimètres de mon visage.

Autour de moi le silence est total. J'ai l'impression que tout le monde me regarde.

J'approche ma bouche de son énorme gland circoncis. Je tends la langue pour recueillir une goutte de son excitation qui sort de son méat.

Son gland est vraiment immense, je le prends entre les lèvres, il me remplit toute la bouche. J'essaie de le lécher en même temps. Mais je ne passe ma langue que sur le dessous, je ne peux pas en faire le tour, il touche mon palais.

J'ouvre la bouche au maximum, j'arrive juste à avaler ce bout turgescent et quelques centimètres de sa hampe. Il est vraiment trop gros. Même le plus gros de nos godes est plus petit.

Ses couilles sont aussi très grosses. C'est comme deux mandarines. Je les soupèse, les prends dans mes mains. Mes caresses semblent lui plaire. Je l'entends parler en italien, je ne comprends pas ce qu'il dit, mais je sens son gland durcir dans ma bouche. Je l'aspire encore plus fort. Sa bite grandit. Elle se tend dans ma bouche.

Mes deux grandes mains sont sur sa hampe. Il y a encore de la place pour une troisième. Je le branle lentement sans lâcher son gland.

En levant la tête je peux voir qu'ils s'embrassent avec sa femme. Il s'occupe des gros seins de Claudia. Même si je devine qu'ils ne sont pas naturel. L'image de ses deux tétons qui pointent entre ses doigts est très excitante.

Comme son clito, ils sont très longs.

En fait chez ce couple tout est hors catégorie.

Au bout d'un certain temps ma bouche, ma mâchoire commence à être douloureuse. Comme si il le savait il repousse doucement ma tête.

Et là! Ma surprise est totale.

Mon épouse prend ma place.

Elle est nue. Je vois sa bouche, ses lèvres se distendre sur ce gigantesque chibre.

C'est la première fois que je vois Karla sucer une autre queue. La situation est surréaliste.

Elle lâche ce mandrin, me regarde.

_ Mon chéri prend moi en même temps que je suce cette magnifique bite.

Mais surtout tu ne jouis pas!

Dire que la situation m'excite est un euphémisme. Je bande. Ma queue est tendue, le percing brille. Je suis fier de mon sexe. Malgré tout, je me sens ridicule à côté de lui.

Je me positionne derrière mon épouse. Elle est à quatre pattes. Je ne peux m'empêcher de renifler et lécher son cul et sa chatte avant de la pénétrer.

Elle est littéralement trempée. Je l'attrape par les hanches. Je la prends par derrière en levrette. Ma queue rentre très facilement. Elle est si mouillée. Je suis sûr qu'elle a déjà jouie. Ses cuisses sont trempées.

Je suis rentré d'une seule traite jusqu'au fond de sa chatte. Elle a poussé plusieurs grognements malgré sa bouche pleine. A chaque coup de rein que je donne, la bite d'Enzo s'enfonce plus profondément dans sa gorge.

Je n'y crois pas. Mon épouse se fait remplir par les deux bouts.

Je suis obligé de ralentir le rythme de mes vas et viens. Je suis proche de l'éjaculation.

Karla arrive à avaler une grande partie de sa bite. Je ne sais pas comment elle fait. Je n'ai pas le temps de l'observer plus longtemps. Giovanni m'a attrapé la tête, il me tient fermement. Il me fourre sa bite dans la bouche. Il se sert de moi pendant que je baise mon épouse. Des mains me touchent les fesses. Un liquide coule le long de ma raie. Un doigt puis deux me pénètrent. Ils bougent au fond de mon cul. Deux autres les rejoignent. On m'écarte le trou du cul. Puis les doigts sont remplacés par un gode. On me pistonne le cul.

Enzo parle, je ne sais pas ce qu'il dit mais le rythme du gode qui m'est imposé s'accélère. La fellation que procure mon épouse suit le mouvement de ma sodomie.

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