Hatefuck

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Sexe agressif avec une collègue agaçante.
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L'histoire suivante est traduite et adaptée de l'anglais. Il s'agit d'une histoire en grande partie réelle, tirée d'une aventure de jeunesse de l'auteur.

*

A l'époque où j'étais à la fac, je travaillais à mi-temps dans un petit magasin de quartier. On y vendait un peu de tout, mais en fin de journée, on y louait surtout des films.

Mes premiers mois de boulot là-bas furent sans grand intérêt. Je n'aimais pas particulièrement le job et j'avais l'impression de ne pas être à ma place. Le temps passa, et avec le renouvellement des employés, je devins rapidement un vétéran de l'équipe du soir.

Une fois mon diplôme décroché, peu d'opportunités s'offrirent à moi. Je restai donc bosser là-bas, et le patron me proposa un post de manager de nuit récemment créé. En l'état, c'était une proposition plus intéressante que tout ce qui s'était présenté jusque là. J'acceptai donc.

Le patron semblait pourvoir la plupart des postes avec de jeunes filles de terminale très mignonnes.

Celle dont je vais vous parler s'appelait Jennifer, ou Jenny. La première fois que je la rencontrai, je me fis la réflexion qu'elle était vraiment très jolie.

Puis elle ouvrit la bouche.

C'était une vraie connasse. Une petite pétasse imbue d'elle-même qui se croyait au-dessus du reste du monde, et n'avait pas peur d'en faire étalage. J'espérais qu'elle se lasserait rapidement du taff et qu'elle finirait par partir, mais je n'eus pas cette chance. Elle resta bosser au magasin un bon bout de temps, et forcé de travailler avec elle, je me mis à la détester profondément.

Un pote à moi qui passait me voir de temps en temps au boulot me fit une fois la réflexion qu'elle était super mignonne. Il ajouta qu'elle se comportait comme une vraie petite garce et qu'il adorerait la "hatefuck".

Si je n'étais pas très familier du terme, je compris très bien ce qu'il voulait dire, bien que forcé de composer avec elle plusieurs fois par semaine, je fusse plutôt du côté "haine" de l'équation.

Un mois après Jenny, une autre employée arriva au magasin. Quand j'appris que c'était une pote à elle, je m'attendis au pire. Au lieu de quoi, je fus plaisamment surpris de rencontrer Jill, une fille ravissante aux cheveux blonds et bouclés. Elle était absolument magnifique, et plutôt sympa, pour ne rien gâcher.

Pendant longtemps, Jill et Jenny furent les deux collègues avec qui je travaillai le plus, en semaine comme en weekend.

Tout commença un soir que Jenny et moi étions aux caisses. C'était une soirée chargée pour les locations de films, et la file de clients ne désemplissait pas.

Nous utilisions un système d'étiquettes pour les locations, pour que les clients ne volent par les films sur les étagères. Si un film était disponible, une étiquette était placée sur la jaquette. Le client nous apportait l'étiquette en caisse, et nous allions chercher le DVD dans la réserve à l'arrière.

Il n'y avait pas beaucoup de place dans la réserve, mais quand les clients s'impatientaient, il n'était pas rare que deux d'entre nous se serrent dans la même allée pour répondre à la demande. Comme toutes les nouveautés étaient rangées dans la même section, c'était généralement là que nous allions chercher la plupart des DVD.

Je me rappelle encore parfaitement de ce moment. Jenny et moi étions partis dans la réserve chercher des films. D'ordinaire, je faisais un peu de bruit ou je prévenais de ma présence pour qu'on ne se marche pas dessus. Pourtant, malgré ces précautions, en se retournant, Jenny me rentra dedans. Dans son mouvement, l'un de ses seins s'écrasa contre moi. Je dus sûrement écarquiller les yeux, parce qu'elle sourit immédiatement et passa son chemin.

Jenny n'était pas très grande. Elle devait mesurer dans les 1,60 m et n'était pas bien épaisse non plus. Sa poitrine, cependant, devait bien faire une petite taille C. Ajoutez à ça qu'elle portait souvent des soutiens-gorges pigeonnants, et vous aurez une idée d'à quel point ses seins saillaient de sa silhouette.

Elle avait de longs cheveux châtains qui lui descendaient jusqu'au milieu du dos, et des yeux bleu perçants. En raison du code vestimentaire du boulot, elle portait généralement un chemisier et une jupe de longueur décente, ou parfois une robe.

Ce soir-là, alors que ce genre d'incident ne s'était jamais produit auparavant, Jenny me rentra dedans plusieurs fois de la même manière. Il était évident qu'elle le faisait exprès, et qu'elle s'amusait à m'exciter. Je dus d'ailleurs m'absenter plusieurs fois pour calmer une érection naissante alors que mon esprit dérivait vers des pensées qui n'avaient rien à voir avec le boulot.

Ce petit jeu devint récurrent entre Jenny et moi. Dès que nous travaillions seuls, elle se frottait à moi autant que possible.

Je savais que je ne l'intéressais pas. Je lui déplaisais autant qu'elle à moi. Elle cherchait seulement à m'allumer. Parfois, elle jetait un œil amusé à ma braguette avec un sourire narquois. Elle était manifestement très consciente de la facilité avec laquelle elle parvenait à jeter le trouble en moi.

Un samedi soir en particulier, alors que je travaillais avec Jill et Jenny, il devint rapidement évident que cette dernière avait parlé à sa pote de sa nouvelle façon de me taquiner. A partir de là, les deux filles se mirent à se frotter à moi presque continuellement.

Je perdais complètement le contrôle. Jill, en particulier, m'obligea à courir à l'arrière pour cacher mon érection à de multiples reprises. Je pris même l'habitude de me branler dans les toilettes du magasin pendant le service pour me calmer.

Ce scénario se produisit bien des fois en l'espace de plusieurs mois. Je crois cependant qu'elles finirent par se lasser de jouer avec moi, car le rythme de leurs attouchements ralentit considérablement, même si ces derniers ne cessèrent jamais complètement.

Jill et Jenny, qui avaient toutes les deux eu leur bac, approchaient de leur première année de fac. Nous formions donc une nouvelle au magasin, Ashley, pour effectuer leurs remplacements. Comme Ashley n'avait pas encore de voiture, sa mère passait la chercher à l'heure de la fermeture. Elle l'attendait généralement dans la voiture sur le parking.

Ce soir-là, alors que nous nous préparions à faire la fermeture, je dis à Ashley qu'elle pouvait y aller pour ne pas faire attendre sa mère, et que Jenny et moi nous occuperions du reste. Je faisais parfois ce genre de choses quand un employé était pressé, même si ça créait souvent des problèmes avec celui qui devait rester.

Jenny m'aida à vider les poubelles et à faire la caisse, puis nous nous dirigeâmes vers la réserve. A un moment donné, quand je me retournai, Jenny se retrouva collée à moi et mon bras glissa contre sa poitrine. Elle resta plantée là, à me regarder.

- Qu'est-ce que tu fous, dégage du milieu, aboyai-je.

Elle continua à me dévisager pendant quelques secondes avant de répondre :

- Je vérifiais juste que tu avais tout bien rangé.

Elle finit par bouger. Mais le même scénario se reproduisit quand j'allai au compteur éteindre les lumières.

Cette fois-ci, cependant, elle ne s'écarta pas. Elle s'approcha jusqu'à être si proche de moi que ses seins touchaient mon torse.

- Ok, on arrête de jouer maintenant. Bouge de là, et sortons d'ici.

Jenny se mit à rire.

- Ou quoi? Hein? Tu vas faire quoi? Bander?

Elle braqua son regard sur mon entrejambe. Même si mon érection n'était pas complète, il était évident que la situation ne me laissait pas de marbre.

- Peut-être que tu devrais aller te cacher aux toilettes pour...

Elle mima le geste de la branlette.

J'étais vraiment embarrassé. Je savais qu'elle était consciente de l'effet qu'elle me faisait, mais je n'avais aucune idée qu'elle était au courant que je me masturbais pendant le service.

Mes joues s'empourprèrent. Je ne savais vraiment pas quoi dire. Je me rappelle avoir gueulé.

- Tais-toi, Jen! Ca suffit!

Elle pouffa une nouvelle fois. Puis elle posa sa main sur ma demie molle pour me repousser.

- T'es vraiment pathétique.

Ce fut la goutte d'eau. J'avais eu ma dose de provoc'. Là, c'en était trop.

J'appuyai brutalement sur ses épaules pour la mettre à genoux, la faisant presque tomber, et dézippai mon pantalon.

- Je sais comment te faire fermer ta putain de grande gueule.

Ma bite se fraya un chemin à travers ma braguette pendant qu'elle attendait, bouche ouverte. Quand je la lui fourrai en bouche, elle commença à me sucer, mais j'attrapai rapidement sa tête pour forcer ma pine dans le fond de sa gorge.

Je lui arrachai plusieurs haut-le-cœur avant de cracher :

- T'es vraiment nulle à chier.

Ce n'était pas un mensonge, elle n'était vraiment pas très douée.

Je tirai Jenny sur pied et la dirigeai contre le mur. Elle s'y appuya des deux mains pendant que je débouclais ma ceinture et baissais mon pantalon aux chevilles. Je m'approchai ensuite d'elle et retroussai brutalement sa jupe, dévoilant une culotte string en coton rose.

Je tentai de la lui arracher mais les coutures étaient trop solides, et je dus tirer un grand coup en arrière pour que le tissu finisse par craquer. Je tirai sa culotte déchirée jusqu'entre ses genoux et sans un soupçon d'hésitation, poussai ma bite dans son petit vagin remarquablement mouillé.

Elle bloqua sa respiration et se crispa tandis que je m'introduisais en elle. De toute évidence, je devais être plus gros que son copain.

Jenny avait le même mec depuis qu'on bossait ensemble. Je l'avais déjà croisé quelquefois, quand il passait la prendre au magasin. Un parfait connard. Décidément, ils formaient vraiment un couple de rêve.

- Alors, c'est plus gros que ce à quoi ton copain t'a habituée? la provoquai-je.

- Nan tocard, la sienne est vachement plus grosse, grogna-t-elle en réponse.

Il était évident qu'elle mentait. J'aurais laissé le temps de s'habituer à n'importe qui d'autre. Au lieu de quoi, j'attrapai ses hanches et commençai à la pilonner vite et fort. Elle essaya de se la jouer cool, mais ses gémissements et la crispation de ses doigts sur le mur la trahissaient.

J'adorerais prétendre que je lui offris le marathon de sa vie, mais l'excitation du moment et la petite chatte étroite et trempée de Jenny eurent vite raison de moi.

Ce fut un grand flou. La seule chose dont je me souviens, c'est que je jouis en elle. J'eus une seconde de panique avant de me rappeler de la boîte de pilules qu'elle laissait toujours traîner sur le comptoir. C'était quand même inconsidéré de ma part, mais j'étais confiant qu'elle ne me refilerait rien non plus.

Je me retirai lentement.

- Ton copain nettoiera le chantier plus tard, lui balançai-je en me rhabillant.

Jenny resta dos à moi pendant qu'elle remettait sa culotte déchirée et qu'elle essayait de rajuster sa jupe. Aucun de nous ne dit un mot de plus ni ne regarda l'autre tout le temps que nous finîmes de fermer le magasin. Je crois que nous regrettions tous les deux ce qui venait de se passer.

Les jours suivants furent stressants pour moi. J'avais peur qu'elle ne regrette notre petite incartade et qu'elle ne la signale à notre patron, ou pire. Il faut dire que c'était de loin l'expérience sexuelle la plus agressive que j'avais eue jusque là.

Je travaillai avec elle un soir, la semaine suivante. Elle ne se montra pas distante avec moi, mais pas taquine non plus.

Deux semaines plus tard, un samedi que je bossais avec Jill et Jenny, je fus soulagé de voir que les filles étaient revenues à leurs vieilles habitudes. Même si cela me tourmentait, je ne pouvais décemment pas me plaindre que de jolies jeunes femmes frottent leurs corps au mien.

Alors que nous approchions de l'heure de la fermeture, Jenny sourit à Jill et lui dit :

- Tu peux y aller, Rob et moi, on fermera.

En sortant, Jill nous sourit.

- Amusez-vous bien tous les deux!

Il était clair que Jenny lui avait raconté nos ébats, et qu'elle ne les regrettait pas autant que j'avais pu le craindre.

Je ne pus réprimer un grand sourire quand nous nous dirigeâmes vers la réserve. Une fois les lumières éteintes, Jenny me décocha une gifle.

- Qu'est-ce qui te fait sourire? s'écria-t-elle avec un rictus.

Je frottai un peu ma joue avant de répondre.

- J'arrive pas à croire qu'il t'ait fallu deux semaines pour revenir mendier.

- Mendier? Dis plutôt faire la charité, persifla-t-elle.

- Remarque, je te jette pas la pierre. Tu dois à peine pouvoir sentir la petite bite de ton mec, maintenant.

Elle me gifla à nouveau, plus fort cette fois. C'est à ce moment-là que je compris ce qu'elle essayait de me faire faire.

Je ne pouvais pas gifler une femme, mais il était clair qu'elle voulait que je sois brutal. Je glissai donc une main derrière sa tête et l'attrapai par les cheveux. Je n'eus pas besoin de beaucoup d'effort pour l'amener à quatre pattes. Je me positionnai derrière elle tandis que j'affermissais ma prise sur ses cheveux pour lui faire relever la tête.

- Supplie-moi de te baiser.

- Va te faire foutre! gronda-t-elle en crachant sur le mur.

Je la tenais toujours par sa tignasse d'une main, tandis que de l'autre, je libérai ma bite. Je continuai à lui ordonner de me supplier de la baiser pendant que je retroussais sa jupe et faisais glisser sa culotte sur ses fesses. Je commençai à frotter mon chibre contre sa chatte et lui administrai une bonne claque sur son cul de garce.

Je continuai de la provoquer, mais elle refusait d'obtempérer. J'aurais pu croire qu'elle n'appréciait pas ce traitement si ma bite n'était déjà trempée de sa mouille.

Sans crier gare, j'enfonçai soudain mon membre entier à l'intérieur d'elle. Je la vis ouvrir grand la bouche.

Elle gronda.

- Fils de pute.

- Elle est aussi grosse que dans tes souvenirs?

- Nan, je sais même pas pourquoi je t'ai accordé une seconde chance, parvint-elle à haleter.

Nous le fîmes de manière encore plus agressive que la première fois, en nous invectivant tout du long. Par chance, cette fois, je l'honorai d'une meilleure performance. Le temps que je décharge en elle, j'avais claqué sa fesse droite jusqu'à ce qu'elle soit écarlate.

- Ton copain va se demander qui t'a mis une fessée, ris-je en me relevant.

Nous nous rhabillâmes en continuant de nous provoquer l'un l'autre. Avant de partir, je lui administrai une dernière grande claque sur le cul, histoire de lui rappeler comment je l'avais marquée.

Ce genre d'attentions allait devenir habituel dans mes rapports avec Jenny. A chaque fois que nous baisions ensemble, je me faisais une fierté de laisser toutes sortes de marques sur elle qui l'empêchaient de batifoler avec son copain pendant quelques jours.

Nous continuâmes de baiser en moyenne une fois toutes les deux semaines. C'était toujours au travail, et nous n'avions aucun contact en dehors du magasin. Notre relation personnelle demeura largement inchangée. J'étais confiant qu'aucun de nous n'aimait l'autre le moins du monde.

***

C'était à peu près notre huitième fois ensemble, et je décidai d'essayer quelque chose de nouveau. J'attrapai Jenny par les cheveux et je lui ordonnai d'enlever ses vêtements. La plupart du temps, je n'appliquais même pas de tension sur sa chevelure. Malgré ses rebuffades habituelles, elle se déshabilla complètement sans vraiment d'hésitation.

C'était la première fois que je la voyais nue. En fait, c'était même la première fois que je voyais distinctement ses seins. Je les avais palpés plusieurs fois jusque là dans la pénombre, quand il m'arrivait de les libérer de son corsage pendant l'acte.

Je la poussai vers un endroit où il y avait de la place, le long du mur, et lui ordonnai de se mettre dos à ce dernier. J'enlevai rapidement mes propres vêtements. De son côté aussi, c'était la première fois qu'elle me voyait nu, ou même sans t-shirt.

Elle s'appuya sur le côté pour me regarder me déshabiller. Je me ruai ensuite sur elle et plaçai ma main autour de sa gorge.

- Je croyais t'avoir dit de te mettre au mur! aboyai-je.

Je la touchais à peine mais elle obtempéra immédiatement à mon contact.

- Je vais te faire ce que je veux, aussi longtemps que je veux, pigé?

- Sauf si tu jouis avant, répliqua-t-elle, venimeuse.

Je raffermis ma prise sur sa gorge, et en me penchant vers elle, frottai mes lèvres contre les siennes.

- Qu'est-ce qu'il te faut pour que tu t'arrêtes de jacasser, petite salope?

Ma main gauche restait lovée autour de sa gorge tandis que de la droite, j'explorai son petit corps de femme.

- Tu sais que t'es pas mal, à poil, Jenny? Probablement un bon 5/10.

Jennifer bondit en avant, révélant le peu de pression que j'exerçais sur elle.

- Va te faire foutre! Un 5?! T'es un putain de 2!

Bien sûr, je mentais. C'était facilement un 8/10.

Accentuant la pression, je lui rappelai que j'avais toujours mes doigts autour de son cou et son corps se soumit à nouveau rapidement. Je continuai à la caresser de mon autre main jusqu'à arriver entre ses jambes.

Je me penchai à nouveau vers elle.

- Jennifer, pourquoi est-ce qu'à chaque fois qu'on joue, je trouve ta petite chatte trempée?

- Certainement pas à cause de ce que tu me fais, cracha-t-elle.

Je lâchai son cou et me mis à genoux. Je commençai à la lécher. Je pouvais sentir son corps frissonner à chaque coup de langue. C'était la première fois que je goûtais Jenny. Cela ne fit que jeter de l'huile sur le feu, et j'aspirai alors à amener les choses un peu plus loin.

- Mets tes bras autour de mon cou, commandai-je, autoritaire.

Elle s'exécuta d'une manière désinvolte. J'attrapai alors ses cuisses et me redressai en la soulevant de terre. Je n'eus qu'à lui jeter un regard pour qu'elle comprenne immédiatement ce que j'attendais d'elle. De manière surprenante, nous avions une très forte alchimie sexuelle, tous les deux, malgré le fait que nous étions si différents l'un de l'autre.

S'agrippant à moi de son bras gauche, Jenny alla chercher mon sexe de son autre main. Tandis que je la maintenais à la bonne hauteur, elle me guida en elle.

C'était notre premier moment d'intimité face à face. Je m'attendais au même genre de détresse que lors de nos premiers ébats, mais au contraire, l'expression sur son visage était une moue de pur plaisir.

Il semblait que Jenny s'était adaptée à ma taille plus vite que je ne l'aurais imaginé. Nous prîmes un moment pour ajuster notre position. Ses bras noués autour de mon cou, elle enroulait ses jambes autour de mes hanches. J'utilisai le mur pour m'aider à soutenir son dos pendant que j'empoignais ses fesses à pleines mains.

Je me penchai vers elle une fois encore.

- Dis-moi à quel point tu aimes ma bite.

Bien sûr, elle n'en fit rien.

- J'aimerais tellement qu'elle soit plus grosse, couina-t-elle.

Je commençai à rouler lentement des hanches. Il fut immédiatement évident que nous travaillions excellemment bien de concert.

J'avais l'impression que c'était notre première fois ensemble. Je pouvais enfin voir ses expressions, sentir sa respiration, entendre chacun de ses soupirs et de ses petits gémissements.

Les jambes de Jenny étaient serrées étroitement autour de moi, et elle s'accrochait à moi presque sans aide. Je décidai qu'une main serait suffisante pour soutenir son cul, et plaçai l'autre à nouveau sur sa gorge. Là encore, elle se soumit au plus léger contact. Je dirigeai sa tête en arrière jusqu'à ce qu'elle regarde en direction du plafond et que son crâne repose contre le mur.

Je me penchai alors en avant et la léchai lentement depuis la base de son cou jusqu'au lobe de son oreille, au creux de laquelle je chuchotai :

- Tu m'appartiens maintenant. Tu es ma petite vide-couilles à moi.

Je la sentis frissonner à ces mots. Je n'étais pas sûr si sa réaction était positive ou négative. J'attendais l'une de ses répliques enflammées en réponse, mais non, rien. Je commençais à croire que j'avais dépassé les bornes quand Jenny grogna "Oh mon dieu", d'une voix grave et tendue.

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