Hobie se venge de sa défenderesse

BÊTA PUBLIQUE

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Il fit son chemin jusqu'à la fourche de ses cuisses, cette stimulation éveil-la la beauté apeurée. Hobie pesait de tout son poids sur la jeune femme effarouchée.

-"Ahhhh ..... Nonnnnn ...... Nonnnnnnnn .... Laissez moi .... Relevez vous .... Relevez vous ... Je vous en prie .... " grommelait Hélène éperdue.

La jeune femme effrayée se voyait à nouveau clouée sur sa couche par cet homme qui venait de la violer si brutalement dans son lit conjugal.

Hélène regardait incrédule, son violeur s'agenouiller au-dessus de sa tête masturbant sa grosse bite à quelques centimètres de son visage horrifiée.

Elle réalisa tout de suite ses intentions, haletante, en plein désarroi, elle respira profondément, mais son corps réagissait à l'odeur immonde se dégageant de sa bite, elle sentait son estomac soulevé par des hauts le coeur.

-"Tu vas goûter ma semence de noire madame Mills!..." grinça Hobie lui immobilisant les bras sous ses jambes.

Il sourit en voyant en voyant une horreur folle s'inscrire sur son visage, ses yeux tournaient dans leurs orbites alors qu'elle fixait les 18 mena-çants centimètres de chair noire.

Hélène pleurnicha sourdement :

-"Oh mon Dieu .... S'il vous plait ..... Nonnnnnnn .... Mon Dieu .....ça pue!...."

Sur ces commentaires, Hobie entreprit de frotter sa bite sur le visage de la beauté qui se remit à sangloter frissonnante.

-"Oh, s'il vous plait ..... Je vous en prie laissez moi ..... Je vous en prie, Je ..... Je n'ai jamais sucé personne, c'est trop sale!.... Je vous en prie ..... je n'ai jamais fait ça, même pas à mon mari!......" implorait Hélène ses longs volant en vain de gauche à droite.

-"Ma chère madame Mills, je vais te faire goûter un peu de jus noir ..... Es tu contente de pouvoir goûter à la semence d'un noir, ma-dame Mills? ..... " ironisait Hobie sacarstique.

Hélène se remit à sangloter agitant la tête de droite à gauche en guise de réponse.

-"Ouvre ta jolie bouche pour moi madame Mills ..... Tu vas goûter la bite d'un nègre ....." ricana à nouveau Hobie se moquant de ses plaintes.

Puis pour l'humilier d'avantage, il promena son gland turgescent sur son visage crispé.

-"Ouvre les yeux ma salope de chienne!.... Je veux voir tes yeux bleus si innocents quand tu vas me sucer la bite ..... Ouvre les yeux ou je descends m'occuper de tes fils!...." la menaça-t-il fati-gué de la voir hésiter.

Comme il se relevait, Hélène soudainement empoigna les hanches de son violeur noir, voulant l'empêcher de descendre s'en prendre aux en-fants.

Elle frémit, révulsée par ce qu'il lui demandait de faire, cherchant à se détourner de la puanteur émanant de sa bite.

Mais elle se devait de protéger ses deux fils, peu importe ce qu'elle devrait faire pour cela. Il pressait maintenant son bourgeon puant contre ses lèvres.

-"Ouvre ta délicieuse petite bouche madame Mills!..... Ou préfères-tu que je m'occupe de tes chers petits ....." menaça-t-il à nouveau.

Hélène sanglota de désespoir, de grosses larmes roulèrent sur ses joues alors qu'elle entrouvrait avec hésitation ses lèvres. Quelques gouttes de sperme suintaient déjà de son méat il enduisit ses douces lèvres de cet infecte mixture.

Les épais doigts noirs profondément enfoncés dans sa chevelure, la menace pesant sur la tête de ses deux enfants, convainquirent Hélène d'ouvrir la bouche à contre pour avaler la grosse bite noire.

Son corps se mit à trembler, jamais elle n'aurait pu penser que quelque chose puisse sentir si mauvais et avoir si mauvais goût, elle saliva pour diluer les souillures polluant sa bite sale.

Ses mâchoires fortement distendues lui faisaient mal, elle tremblait de honte à l'idée de se livrer à un acte aussi dégradant, un acte qu'en dépit de ses supplications elle ne s'était jamais livrée jamais même sur son mari.

Et voilà que maintenant, sous la menace, elle faisait une fellation à ce méprisable colosse noir.

Elle ne pouvait échapper à la bite de son agresseur noir, son mari ne l'embrasserait plus jamais s'il venait à savoir qu'elle s'était soumise à cet acte dégradant.

-"Mon Dieu ..... Comme tu as les lèvres douces, madame Mills .....Ahhhh, si seulement votre époux pouvait vous voir à cet instant!... Que dirait-il s'il voyait sa femme sucer la bite d'un nègre?...... " gémit Hobie enchanté pensant ainsi accroître l'humiliation de la naïve jeune femme.

Il savait qu'elle aurait préféré mourir plutôt que de devoir sucer la queue d'un nègre, mais la menace planant sur la tête de ses enfants l'obligeait à lui complaire servilement. Voir une jeune femme blanche dans cette situation infâmante le ravissait.

-"Ahhhhhhhhhh .... Oui comme ça ...... bouffe moi la queue madame Mills ...... Régale toi de ma jouissance de nègre ..... Ahhhhhhhhhh, ouiiiiiiiiiiii ........ " grogna-t-il sourdement serrant fortement la tête de madame Mills alors qu'il jutait dans sa bouche soumise.

L'épaisse queue du noir était bourrée au fond de sa gorge paniquant la jeune femme incapable de respirer.

Lentement la grosse bite perdit de son volume et glissa doucement hors de sa bouche.

Elle était horrifiée à l'idée d'avoir sucé une grosse bite noire dont elle ve-nait d'avaler la semence. Hobie rit à gorge déployée tout en ôtant sa bite de sa bouche, un filet de foutre s'étira entre ses lèvres et la grosse prune.

Il regardait la prude jeune femme frissonner de dégoût de ce qu'elle ve-nait de subir.

Il se marra à nouveau alors que la fragile beauté empoignait son esto-mac et courait dans la salle de bain, vomissant dans le bassin, l'épaisse semence qu'elle venait d'ingurgiter.

Se relevant, il rejoignit la malheureuse jeune femme dans la salle de bain, fermant la porte dans son dos.

Il savait que personne ne pourrait entendre de cris émanant de la salle de bain insérée dans la chambre.

Une grosse main caressa les hanches d'Hélène toujours penché sur le bassin, tousser crachotant l'immonde substance ingérée.

Elle comprit alors qu'il avait l'intention de la prendre bestialement. Se raidissant pour résister à cet infâme assaut elle se dit que ça ne pourrait pas être pire que son viol initial.

Ce n'est qu'en sentant son gland peser sur son délicat petit anus affolé qu'elle comprit les véritables intentions de son sauvage agresseur.

Elle frémit figée peur, elle se rappelait que Sam avait tenté de lui faire l'amour par l'anus ce qui s'était terminé en pugilat.

-"sOh s'il vous plait ...... Non .... Pas ça ..... Peronne ne m'a jamais .... Je vous en prie!..." sanglotait t-elle implorant miséricorde.

Hobie avait bien du mal à croire en sa bonne fortune, une petite pucelle du cul rien que pour lui!

Empoignant les tendres hanches, il se positionna en bonne place, et s'élança de toutes ses forces.

-"Aaeeiiiieeeeeeeee ..... Nonnnnnnnnnn ....Nonnnnnnn .... Arg-ggggggggghhhhhhhhhh ...... Ohhhhhhhhhhh, mon Dieuuuuuuuuuu .... Ca fait malllllllllll ..... Si mallllllllllll ..... hurlait Hélène se déchirant la voix alors qu'il lui labourait impitoyablement l'anus, ses mains enserrant fermement son bassin.

Il ne lui avait fourré que 6 cm dans le trou du cul, dans ce coup de bou-toir initial, Hobie se releva, banda ses forces et l'embrocha encore et en-core ......

-"Aarrrgggggghhhhhhhhh ...... Ohhhhhhhhhhh!.... " s'époumonait-elle alors que la queue s'enfouissait jusqu'à la garde dans son trou du cul meurtri.

Hélène pensait mourir de cette douleur déchirante.

Elle vagit honteuse et humiliée alors qu'il la pilonnait sans pitié.

Elle n'aurait jamais imaginé quelque chose d'aussi douloureux que cette sodomisation sauvage puise exister!

Elle vagit alors que les mains enserrant sa taille se dirigeaient vers sa fente, il se mit à doigter sa fente engorgée de foutre chaud.

-"Ohhh ..... Ohhhhhh ..... Ohhhhhh .... Ohhhhhhhhhhhh ..... " s'époumona-t-elle éperdue sous l'effet de cette stimulation indési-rable.

Hobie avait du mal à se pénétrer de sa chance de casser le cul vierge de cette beauté, son stupide mari ne savait pas ce qu'il avait manqué.

Cette adorable salope se rappellerait toujours celui qui la avait cassé le trou du cul le premier, et c'était la grosse bite noire d'Hobie!

-"Oh, chérie .... je vais juter dans ton trou du cul ..... Je vais te rem-plir les entrailles de mon jus de nègre!..... " mugit-il lourdement.

Sa bite se mit alors à palpiter dans le fourreau étroit, lui projetant des tor-rents de sperme dans ses entrailles meurtries.

Hélène vagit, son corps tremblait sous les caresses de son clito et le flot de foutre lui engorgeant le colon.

Hobie retira lentement sa bite de son trou du cul, et Hélène s'effondra sur le sol.

Une heure plus tard, Hélène se réveilla en entendant des coups frappés à la porte de la salle de bain, allongée sur le carrelage froid, elle entendit la voix de Sam lui demandant si tout allait bien.

Elle savait déjà qu'elle ne pourrait pas lui parler de l'infamant viol et de cette brutale sodomisation qu'elle venait de subir.

Elle ne voulait pas risquer de le voir se détourner d'elle souillée par ce nègre qui voulait ruiner sa vie. Elle lui répondit que tout était parfait, qu'elle n'allait pas tarder à sortir de la salle de bain.

Quand la porte de la salle de bains s'ouvrit, Sam s'étonna de voir sa ra-vissante femme mettre si difficilement un pied devant l'autre. Il s'avança pour l'aider lui demandant ce qui lui arrivait, il l'aida à gagner son lit où elle put récupérer de sa "chute"

Il la prévint qu'il allait commander une pizza pour dîner, ainsi elle pourrait rester au lit.

L'idée qu'en fait de chute elle avait été agressée n'effleura même pas Sam

Une semaine plus tard, soucieuse de complaire à son mari, Hélène se mettait en quatre pour lui faire plaisir. Dans le secret de leur chambre, elle le surprit en adoptant un comportement bien plus agressif sexuelle-ment parlant, elle prit sa bite entre ses mains et se pencha sur lui embrassant d'une langue mouillée son gland palpitant. Le branlant ten-drement, elle flattait son gland turgescent, de surprise il lâcha quelques jets gluants dans les airs.

Mais il s'endormit tout de suite sa bite mollissant doucement dans la paume de la main de sa femme frustrée.

Le lendemain soir, Hélène se positionna à quatre pattes empoigna la bite de son mari et le pressa à l'entrée de son anus.

Craignant souffrir de sa pénétration, elle fut choquée de la facilité avec laquelle son mari la pénétra, l'obligeant à feindre une certaine douleur qu'elle ne ressentait pas.

Elle était totalement abasourdie lorsqu'il grogna après quelques coups de boutoir jaillissant dans ses entrailles alors qu'il était ravi d'enfin pou-voir lui "casser" le cul!

Elle était encore folle d'excitation lorsque épuisé il se mit à ronfler à son coté.

Le samedi suivant, Hélène et Sam ouvrirent la porte de devant, les gar-çons foncèrent dehors. Un match de football était programmé, suivi d'un buffet froid, la journée allait être longue.

Hélène empoigna son estomac, leur disant que ce devait être quelque chose qu'elle avait mangé.

Comme le match allait commencer incessamment sous peu, elle leur dit qu'elle les rejoindrait plus tard si elle sentait mieux, elle les embrassa tous leur intimant de partir pour le match.

Elle retourna à la porte d'entrée et rentra chez elle, et les regarda partir par la fenêtre.

Tournant les yeux vers la voiture garée dans le virage, Hélène se mordit les lèvres alors que la portière s'ouvrait sur un visage familier, l'homme se dirigeait vers son domicile.

Entendant des pas sur le seuil, puis la sonnette tinter, Hélène ouvrit len-tement la porte permettant à l'ex détenu de rentrer.

Une demi heure plus tard, Sam et las autres parents sur le terrain de football sauter de joie et tapaient des pieds en hurlant alors que l'aîné des Mills marquait un but.

A l'instant même où son fils scorait, Hélène était aussi emportée par une vague de plaisir, elle gémissait sourdement alors que son visiteur la le-vait dans les airs la clouant au mur.

Elle avait verrouillé fermement ses jambes sur sa taille, puis il la trans-porta ainsi, empalée sur sa bite turgescente jusqu'au lit conjugal.

A chaque pas, elle sentait sa grosse bite palpiter dans sa foufoune em-brasée.

A la fin du match, l'entraîneur de l'équipe offrit un coca cola au cadet des Mills pour la qualité de sa prestation, le gamin étancha sa soif.

C'était malheureux que sa mère n'ait pu voir le match pour assister à ses exploits, mais à cet instant même elle avalait un bon bol de foutre, un toast en l'honneur d'Hobie le meilleur baiseur qu'elle ait jamais connu.

Alors que Sam et ses fils rentraient à la maison, un couinement de pneus malmenés retentit derrière eux, une voiture les percuta violem-ment, ils grognèrent de douleur sous l'impact.

Au même instant, dans le lit des Mills, madame Hélène Mills couinait alors que la grosse bite raide d'Hobie s'engouffrait brutalement dans sa chatte la faisant grogner de douleur sous l'impact.

Peu après son accident Sam téléphona à sa femme qu'ils seraient un peu en retard, il s'inquiéta de l'entendre haleter au bout du fil, mais Sam n'avait pas à se tracasser, sa jolie femme cherchait seulement à repren-dre haleine alors qu'une grosse bite noire coulissait frénétiquement dans sa chatte embrasée.

Quand Sam Mills atteignit la maison avec ses fils, il les envoya jouer dans l'arrière cour.

Puis il monta retrouver son adorable femme espérant qu'elle irait mieux. Il faisait froid dans la chambre, Les fenêtres étaient grandes ouvertes, pourtant Hélène gisait en position foetale au milieu du lit, le visage écar-late et suant à grosses gouttes. Il posa sa main sur son front en la voya-nt haleter, lui demandant où elle avait mal.

Elle fit un signe de tête à son époux, tremblant sous l'effort qu'elle faisait pour resserrer les muscles de son vagin et de son cul qu'Hobie avait été violemment distendu pour les adapter à ses mensurations. Elle était heu-reuse de voir que l'air frais avait rapidement chassé l'odeur de rut qui embaumait la chambre quelques minutes plus tôt.

Alors que Sam ouvrait la porte du garage Hobie ouvrait la porte de der-rière pour quitter l'adorable jeune femme agenouillée qui s'efforçait d'avaler les derniers gorgées de foutre qu'elle avait en bouche.

Hélène était toute congestionnée à la suite de la course effectuée pour se ruer dans la chambre ouvrir les fenêtres et s'allonger dans le lit avant l'arrivée de son mari.

FIN DE L'HISTOIRE.

Coulybaca

Avec l'aimable autorisation de l'auteur :

Black Demon

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