Hypnose Mécanique 03

Informations sur Récit
La vengeance de Jonas se poursuit.
7.5k mots
4.51
24.8k
1

Partie 3 de la série de 19 pièces

Actualisé 06/16/2023
Créé 12/04/2016
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Jonas : Jeune inventeur de dix-huit ans. Il a inventé une nouvelle pilule dix fois plus efficace que le petit médicament bleu qui aide à bander. Il a également inventé un petit appareil, qui met les gens en transe, comme sous hypnose, lui permettant de prendre le contrôle de leurs cerveau. Il va s'en servir pour se venger de sa famille, ainsi que d'autres personnes de son entourages. Tous l'ayant maltraité physiquement ou psychologiquement.

Hugues : Quarante-et-un an, le père de Jonas. Si lui même n'a jamais maltraité son fils, il n'a rien vu de ses tourments. Son fils l'aime, il le fera participer à sa vengeance.

Martha : Jolie rousse de trente ans. La belle-mère de Jonas. L'une des principales instigatrice des souffrances du jeune hommes. Ce sera l'une de ses principale victime.

Léa : Superbe jeune femme de dix-neuf ans. Un vrai canon blond. La sœur de Jonas. C'était la pire de toutes avec lui. C'est la première victime de son frère.

Radiu : Maquereau roumain, indic des flics. Il Est le nouveau patron de Martha et de Léa. Il va les faire prostituer dans son bar « La chatte sauvage ».

Siobanne : 23 ans, superbe métisse d'origine indienne d'Amérique et Suédoise. C'est la meilleure amie de Léa, ainsi que l'amour déviant, mais secret de Jonas. Son corps parfait, sa peau mat, ses superbes yeux verts émeraude, en font une des plus belles femmes du monde. D'ailleurs son titre de Miss Univers en a fait, pour l'année précédente, la plus parfaite humaine sur terre.

Lin : Jeune japonaise de vingt ans. Une vraie femme-enfant. Lesbienne, elle fait pourtant tourner la tête de beaucoup d'hommes, par sa beauté, ainsi que son aspect si frêle.

Je les regardent, les deux plus belle fille de la ville sont sous mon emprise. Je bande immédiatement, j'ai une envie folle de me faire Siobanne, de la voir nue, de la toucher. Mais je résiste, je me viderais dans ma sœur. Je suis amoureux de la belle métisse, mais c'est un amour déviant, malsain, je vais faire durer le plaisir. Faire un truc qui me rendra célèbre chez les jeunes de la ville. Je réfléchis rapidement. Mais j'entends du bruit en haut, provenant de la salle de bain. Je regarde l'heure, il est dix-sept heures dix. Je me demande qui c'est. Je crie :

- Martha, c'est toi?

- Oui.

- Tu fais quoi?

- Ben je vais bosser chez Radiu.

La fin de la phrase de ma belle-mère se termine dans un sanglot.

- Tu ne commence qu'à dix-huit heures, tu vas être en avance.

- C'est ton ami, il m'a dit de venir un quart d'heure plus tôt, pour qu'il se vide dans mon cul.

Je rigole en moi même. Mon nouveau pote n'en perd pas une pour pouvoir se vider.

- D'accord.

Je reviens à mes deux amies.

- Siobanne, tu as connu beaucoup d'hommes? On ne t'a jamais vu avec un seul gars.

- Non, aucun.

- Pourquoi?

- Je suis lesbienne, je n'aime que les femmes. D'ailleurs je suis amoureuse de Léa.

Si Léa avait put réagir, elle aurait été vraiment surprise. Mais je pensais à un truc.

- Tu as déjà pris un gode dans la chatte ou le cul?

- Jamais, je ne veux que rien d'humain ou de plastique ne rentre dans mon corps. Ça me dégoûte au plus haut point!

Je ne sais pas si je vous l'ai précisé, mais on ne peut mentir sous l'emprise de ma machine.

- Parfait. Tu penses quoi de moi?

- Tu es un homme, donc automatiquement tu m'écœure.

- Oui, sexuellement. Mais autrement?

- Ben c'est encore pire, tu me révulse vraiment. Tu es tellement laid. Puis ta façon de me regarder, comme de la viande. Beurk, tu n'es qu'un pervers.

Je suis a la fois vexé de ces mots, mais heureux de mon idée. J'ai moins de scrupules à lui faire faire ce que j'ai prévu.

- Bien, parfait. Rien d'autre?

- Seul ton intelligence me plaît, mais ce n'est pas suffisant pour que je t'apprécie. Ou même que je t'estime, ne serait-ce qu'un minimum.

- D'accord, mais ça va changer.

- Comment ça?

- Tu vas devenir amoureuse de moi. Pas la petite amourette, la grosse. Celle de toute une vie. A partir de maintenant je suis ton dieu, ta vie. Seul moi compte pour toi. Tu vie pour être avec moi, tu ne pense qu'a moi, tu ne respire que pour moi. Quand tu ne me vois pas, tu es mal, très mal, au bord de la dépression. Ton mal-être s'aggrave à chaque minute loin de moi. Je suis ton obsession, ton désir, ton rêve. Tu es prête à tout pour que je sorte avec toi. Même si tu reste lesbienne. Compris?

- Oui.

- Tu accepteras tout mes fantasmes, toutes mes humiliations, tu subiras tout ce que je voudrais que tu subisse. Ton amour est tellement fort, que je pourrais baiser n'importe qui devant toi, sans que tu ne m'aimes moins. Tu coucheras avec qui je veux, accepteras n'importe quelle bassesse. Tu m'obéira comme une esclave, en m'aimant de plus en plus. Tu es d'accord?

- Oui.

- Pour l'instant seule ma sœur est au courant de ton amour pour moi. Mais à partir de demain, tu vas en parler à tout le monde autour de toi. Tu ne parlera plus que de moi, je serais ton unique sujet de conversation.

- Bien.

- L'idée d'avoir un pénis dans ton corps te dégoûteras toujours autant, sauf le mien. Tu parleras de moi avec passion, avec envie, avec le plus profond respect. Bien sur je ne te céderais pas facilement. Alors tu me feras une déclaration public. Je te laisse réfléchir à la façon dont tu le feras, mais je veux un truc qui soit fantastique, un discours de rêve. Une déclaration dont on parlera pendant des années. Je veux que ce soit la chose la plus belle que l'on puisse faire. Tu as tout compris?

- Oui.

- Bien, tu vas attendre dehors, tu entreras quand ma belle-mère partira. Je serais au lit avec ma sœur, elle va devenir ta plus grande ennemie. Tu ne diras pas que je la baise, mais je veux la guerre entre-vous. Je veux la vraie haine. Toi, Léa, tu feras tout pour me garder. Compris toutes les deux?

- Oui.

Ce fut une réponse en chœur.

- Bien oubliez cette conversation. Revenez à vous.

Elles revinrent à elle. Siobanne sortit, elle se mit derrière la porte, attendant de pouvoir rentrer. Moi, je suis monter avec Léa dans sa chambre.

J'ai vérifié par la fenêtre, Siobanne attend sagement devant la porte que ma belle-mère sorte. Elle trouve ça normal. Ne se pose pas de question. Moi je regarde Léa, j'appuie de nouveau su la machine.

- Je vais t'enculer, quand tu verras Siobanne, je veux que tu es l'orgasme le plus puissant jamais atteint. Je veux que tu lui disent ce que tu veux, mais un truc pour me garder pour toi seule. Tu as également une incroyable envie de mon pénis. Compris?

- Oui.

- Parfait, reviens à toi, oublie cette conversation.

Ma sœur m'a regardée, attendant mes ordres.

- Va te mettre à quatre pattes sur le lit, je vais voir Martha, je reviens.

Je suis sortis de la chambre de Léa, j'ai refermé la porte. J'ai pris une pilule dans ma poche. Je l'ai avalée, je me suis dirigé vers la salle d'eau. La porte était close, je l'ai ouverte. Martha finissait de se maquiller. Elle avait mis une tenue similaire à celle de la veille, mais en blanc. C'était très bandant. Avec son maquillage elle faisait vraiment pute.

- Jonas, je t'en supplie, ne m'oblige pas à retourner là-bas.

- Ta gueule, tu n'as pas droits a la parole. Penche toi en avant.

- Pourquoi?

- Je veux ta chatte. Obéis.

La femelle s'exécute. Je soulève sa jupe, elle ne porte pas de dessous. Je sors mon chibre, il est dur, déjà bander. Je la pénètre d'un coup, à sec. Je laboure rapidement sa chatte, avant de jouir en elle. Une fois finis, sans ressortir, je lui caresse les cheveux.

- T'es une bonne chienne. Tu ne t'essuieras pas, je veux que tu ailles bosser en aillant tes cuisses tachée par mon sperme.

- Mais je prends le bus...

- Je m'en fou. Tout le monde verra la putain que tu es.

Je me retire, rentre ma bite dans mon caleçon. Je mets ma mains sur la poignée.

- Une dernière chose, en partant, laisse entrer Siobanne.

Je n'attends pas sa réponse, je retourne dans la chambre de ma sœurette.

Grâce à ma petite pilule magique, je bande encore comme un taureau. Je retourne dans la chambre de Léa. Cette dernière est toujours à quatre pattes, visage tournée vers la porte. Elle sourit en me voyant rentrer.

- S'il te plaît, Jonas, baise-moi vite!

- Attends un peu. Je vais t'enculer.

- Par le trou que tu veux, mais vite, j'ai envie de ta grosse bite dans mon corps.

J'ai souris. Si j'avais un sexe dans la moyenne haute, je n'avais pas non plus une grosse bite. J'ai attendu encore dix minutes. Quand j'ai entendu ma belle-mère descendre les escaliers, puis ouvrir la porte, je me suis mis à genoux derrière ma frangine. Je l'ai enfilée par la porte de derrière d'un seul coup. Léa a poussé un long feulement de plaisir quand je suis rentré en elle. Accompagnant mes coups de reins avec son corps.

Quand Martha a ouvert la porte, Siobanne lui a sourit. Avant de ne pas pouvoir contenir une grimace d'écœurement. La jeune fille venait de voir les filets de mon sperme tachant les cuisse de ma belle-maman. Martha, honteuse, l'a bien vue, mais elle a fait comme si de rien n'était.

- Bonjour Siobanne, tu veux rentrer?

- Oui, madame.

- Referme derrière-toi. Léa est dans sa chambre avec son frère. Moi, je vais travailler.

- Vous travaillez?

- Oui, à la « Chatte Sauvage », c'est mon deuxième jour.

- Je ne savais pas que vous étiez serveuse.

- Je ne suis pas serveuse...

Un silence gêné se fit. Siobanne sait très bien, que dans ce bar, soit on est serveuse, soit on est pute. Jamais elle n'aurait crut que la belle-mère de Léa soit ce type de femmes. Les deux se sont quittés dans un silence lourd. Siobanne est monté au premier. En se disant qu'avec un peu de chance elle verrait Jonas, son grand amour, l'homme de sa vie. Malgré qu'elle soit lesbienne, la jeune miss était parfaitement consciente de sa beauté, de son charme terrible, de son irrésistible attrait sur les hommes. Siobanne était sûr d'elle. Jamais aucune des femmes qu'elle avait désirée ne lui avait échappée. La jeune métisse n'avait aucune timidité, aucun doute sur la force de sa beauté. Mais avec Jonas, elle ne savait pas pourquoi, elle était bloquée. Peut-être parce que c'était le premier homme dont elle avait envie.Quand elle arriva devant la porte de sa meilleure amie, elle décida de l'ouvrir d'un seul coup. Pour faire une surprise à la seule fille qui connaisse son amour fou pour le jeune homme. Quand ce fut fait, malgré sa peau mate, Siobanne devint blanche.

- Léa? Jonas?

Siobanne sentit les larmes lui monter aux yeux. Son grand amour est en train de prendre sa propre sœur en levrette. Par elle ne sait quel trou. Aux feulements, aux gémissements de plaisirs de Léa, elle comprend que son amie y trouve un énorme plaisir. La jeune métisse de vingt trois ans se dit qu'elle donnerait n'importe quoi pour être à la place de la putain qu'est devenue sa désormais ex-meilleure amie. Léa, quand à elle, est prise d'un violent orgasme. Une jouissance dévastatrice qui la fait hurler de plaisir, comme une folle. Une sensation tellement puissante qu'elle en pleure de joie. Elle se met à crier, au beau milieu de son orgasme.

- Vas-y Jonas, défonce moi le cul. Ta bite est trop bonne, vas-y, massacre-moi.

Siobanne est choquée, non seulement ils s'accouple ensemble, mais en plus il la sodomise. La colère, la jalousie et la haine de son ex-amie emplisse la métisse. Tandis, que, aussi incroyable soit-il, son amour pour Jonas augmente encore.

- Léa, sale pute, tu sais que je suis folle amoureuse de ton frère, pourtant toi, ma soit-disant meilleure amie, tu te fais prendre par lui? Par derrière en plus?

Tout en feulant de plaisir, Léa répond à leur spectatrice involontaire.

- Tu croyais quoi? Que j'allais te le laisser pour toi? J'adore sa bite dans chacun de mes trous! C'est moi qu'il baise, pas toi!Mon frère est fou de mon corps, il ne me laissera jamais!

La jeune femme aimerais parler à Jonas, lui dire qu'elle aime plus que sa vie, qu'elle est prête à tout pour lui. Mais elle n'en trouve pas la force, elle espère juste qu'il n'ai pas entendu, occupé qu'il est à enculer Léa, qu'elle est amoureuse de lui. Siobanne font en larmes.

- T'es qu'une chienne, une grosse pute. A partir de maintenant c'est la guerre entre nous! Je vais te détruire.

La jeune miss se retourne, n'attend pas la réponse de Léa. Pourtant en descendant les escaliers, elle est obligée de l'entendre. Tandis que je la sodomise encore, Léa crie :

- Je m'en fou de toi, de ton amitié. La bite de Jonas est à moi, rien qu'à moi. Tu peux tout faire, tant que je l'ai, rien ne me toucheras.

Quand j'entends la porte d'entrée claquer, je jouis comme jamais dans les reins de ma sœur, déclenchant de sa part, un nouvel orgasme.

Siobanne à pleurée comme une folle tout le long de la route la ramenant chez elle, ayant du mal à conduire. Quand elle a ouvert la porte de sa maison, elle fut heureuse de voir que sa mère et sa sœur ne s'y trouve pas. La jeune femme est montée dans sa chambre, se couchant immédiatement. Elle n'a pas dormit de la nuit. Ressassant sa haine pour Léa, ainsi que son amour, chaque minute plus fort, pour Jonas. Ma sœur quand à elle, n'a pas dormit non plus, terrorisée à l'idée, que malgré l'horreur que cela lui procure, je ne la baise plus.

Le lendemain je me suis assis à ma place habituelle dans l'amphi. Au dernier rang en haut, tout a fait à gauche, seul deux sièges vide me sépare du couloir menant à la sortie. Si j'ai choisis cet emplacement, c'est que c'est celui qui me permet le mieux de voir Siobanne. Elle est toujours avec sa coure, cinq ou si filles qui traîne toujours avec elle à l'université. Seule manque Léa, qui ne suit pas le même cursus, mais qui retrouve le groupe à chaque interclasse. Je cherche la superbe métisse du regard, mais ne la vois pas. Il y aurait-il un problème? Les incidents de la veille étaient-ils trop fort pour elle? Perdu dans mes pensée, j'attends à peine une personne poser ses affaire à côté de moi. Ce n'est que quand j'entends une voix cristalline, que je me tourne vers le bruit. Je reste abasourdi, c'est Siobanne. Je bande comme un fou en la voyant. Sa tenue est parfaite, le summum de la tenue sexy. Juste ce qu'il faut pour vous faire bander comme un fou, sans être habiller vulgairement, ou comme une pute. Un décolleté remarquable, ne dévoilant que ce qu'il faut de sa plantureuse poitrine. Une longueur de jupe s'arrêtant à la limite parfaite de la cuisse. Quand aux maquillage, il décuple par dix la beauté du visage de la Siobanne. Elle me parle d'un air timide.

- Je peux m'asseoir à côté de toi?

- Oui, bien sur.

La jeune femme s'assoit, a ce moment, sa main frôle la mienne, m'électrisant. On ne se parle pas pendant le cours, mais je vois, du coin de l'œil, les innombrables coup d'œil que me jette ma belle. A la fin, alors que l'on se lève pour sortir, Siobanne prends son courage à deux mains pour me parler. D'une petite voix, elle m'aborde.

- Jonas, désolé pour hier. Je ne voulais pas te gêner.

- Ce n'est pas grave.

- Tu voudrais venir boire un verre avec moi?

- Tu ne vas pas avec tes amies?

- Si tu es disponible, je n'irais pas. Je préfère largement ta compagnie.

- Malheureusement ce n'est pas possible.

Je vois que ma réponse l'attriste.

- Tu vas voir Léa?

- Non.

- D'accord, ça me rassure alors. On iras boire un verre une autre fois alors?

- Peut-être, je ne te promets rien.

Je lui passe devant, la laissant pantoise. En sortant, je jette un coup d'œil derrière moi. Ses amies ont rejoint Siobanne. Mais cette dernière ne m'a pas quitté des yeux, me faisant un sourire triste quand elle voit que je la regarde. Mon plan fonctionne à succès.

Je n'ai pas mentis à Siobanne. En rentrant chez moi, ce n'est pas Léa que je suis allé voir, mais Martha. Ma sœur en effet, se fait prendre dans sa chambre par notre père. Et à entendre les cris de douleur de ma sœurette, elle n'y prend vraiment aucun plaisir. Remarquez, les gémissements de Martha, ne sont pas fait de jouissance non plus. Décidément cette putain n'aime pas la sodomie. Une fois mon plaisir pris, je m'allonge. Ma belle-maman me nettoie le sexe avec sa langue. Une fois propre, elle s'allonge contre moi. Je sens son corps chaud, humide de la transpiration dut à nos ébats. J'entends qu'elle renifle. Elle n'aime vraiment pas ce qu'elle subit.

- C'était bien hier soir?

- Comment tu veux que le fait de se faire violer par des dizaines de bites soient bien?

Je rigole de sa réponse.

- Pourtant tu as un orgasme à chaque fois.

- Je ne sais pas pourquoi mon corps réagit comme ça. Mais cela reste des viols.

- Tu t'es bien fait prendre sans capote?

- Malheureusement.

- Tu as bien arrêtée la pilule?

- Oui.

- Parfait, combien de clients tu as eus chez Radiu?

- Soixante-dix.

- - Tu baises où? J'ai pas pensé à faire le tour du bar.

En face la porte des toilettes, il y en a une autre. Tu vois où c'est?

- Parfaitement, c'est pas un débarras?

- Non, c'est un couloir, qui mène à douze petite piécette. Dans chacune il y a un petit lit, ainsi qu'un petit lavabo, c'est là que l'on va pour se faire prendre.

- Il y avait beaucoup de monde, c'est bien.

- Ben les types de la veille sont revenus, avec des amis à eux. Radiu m'a dit qu'il a eut deux fois plus de monde qu'un dimanche ordinaire.

- Bien, les autres filles ont eus combien de clients?

- Cinq ou six chacune, grand maximum.

- Sur le chantier, combien de gars?

- C'était horrible, cent trente deux, pas plus de cinq minutes chacun, parfois à plusieurs. Heureusement eux ont mis des capotes.

- Je sais, je ne voudrais pas que tu attrapes des maladies non plus. Parfait, allez suce-moi.

Martha s'est penché sur moi,elle a avalée mon pieu.

Une fois que ma belle-mère soit partie travailler, je suis allé dans la chambre de Léa. Mon père n'y était déjà plus. Ma sœur était en position fœtale, je voyais du sperme s'écoulait de sa chatte et de son cul. Mon père c'était bien servit d'elle. J'ai appuyé sur le bouton de mon invention.

- Reste couchée, mais regarde moi.

Ma sœurette m'a obéit. Me fixant de son regard vide.

- Je préfère assurer. Alors tu vas obéir, malgré toi aux ordres que je vais te donner. Compris?

- Oui.

- Parfait, reviens à toi, oublie cette conversation.

Je vis la vie revenir dans les yeux de ma sœur. J'y lis la plus profonde humiliation, suite aux viols de mon père.

- Tu viens me réconforter?

- Comment tu veux que je te réconforte?

Baise-moi.

Ma sœur, d'un sourire triste, à écartée ses jambes, me dévoilant son sexe suintant du sperme paternel. Cette vision m'excita, je me suis jeté sur elle pour la baisée.

Une fois notre accouplement fini, mon sperme se mélangeant à celui encore frais de mon père, ma sœur me tenant dans ses bras, je me suis lancé.

- Léa a partir de demain, tu coucheras avec tout ce qu'il ce fait de pire à l'université. Tu iras les voir, te feras payer, deux euros la passe.

- Non, s'il te plaît, pas ça.

- C'est un ordre.

- D'accord. Tu appelles quoi le pire?

- Les concierges, les hommes de ménages, les profs que tout le monde déteste ou que personne ne respecte.

- D'accord.

Il y aura aussi tout les geeks, les boloss, les gros, les laids, les détestés, les laissés pour compte de l'université. Les solitaires, les méchants, les sales, les puants. Je veux que tu te prostitue avec tout ça. Plusieurs à la fois si il faut.

- Mon dieu.

- Tu le feras?

- Oui. Je le ferais, mais où?

- Dans ta voiture, sur le parking de l'université.

- Mais l'on va me voir?

- Je m'en fous, tu proposera tes services a ceux qui te voient.

- Mais ça va se savoir...

- J'espère. Si un gars te propose de l'argent pour te baiser, tu accepteras, peu-importe qui c'est, même si il n'entre pas dans les critères. Compris?

- Oui, je le fais de quelle heure à quelle heure?

- A ta coupure du midi, jusque à ce que tu reprennes. Le soir après tes cours, jusque à ce que je t'appelle sur ton portable. Pendant les vacances, c'est pareil, mais là, tu les fais venir ici, dans ta chambre. Tu te feras prendre sur ton lit. Bien sur tu accepteras tout d'eux. Tu ne peux rien refuser.