Hypnose Mécanique 09

BÊTA PUBLIQUE

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Simone est à quatre pattes, au milieu de son propre lit. Hervé et Jack, les deux hommes resté chez elle, la viole sans répit depuis le départ de Jonas, c'est à dire mon départ. Là elle est est sodomisée en levrette par Hervé, tandis que Jack l'oblige à le sucer. Ils se sont gavé des pilules que je leurs aient laissé. Simone, n'a plus la force de hurlée, se contentant de prendre les positions que les deux hommes lui demandent. Jack lui défonce la bouche et la gorge comme si c'était un sexe. Puis au bout d'un temps interminable pour elle, ils se vident enfin dans son corps. Simone avale tout tandis que le sperme de l'autre lui inonde les entrailles. Quand il se retire, elle nettoie le sexe de Hervé avec la bouche. Elle reste ensuite à genoux sur le lit, attendant les prochains ordres de ses monstres. Jack parle le premier.

- Va nous faire à bouffer. Nous on va prendre une douche. Toi, tu reste comme ça, je trouve trop classe le sperme qui coule de ta chatte et de ton cul. Tu fais également de la bouffe pour toi. Pour le service, je m'en occuperais.

Simone ne répond pas. Elle descend à la cuisine. Consciente d'une seule chose, ces deux bâtards ne vont pas tarder à la violer de nouveau. Ils viennent tout deux de gober une nouvelle pilule.

Je suis dans mon bureau quand mon téléphone sonne. L'appel est masqué, je décroche, c'est Aurélie.

- Jonas, je voulais m'excuser de mon comportement.

Je me demande si c'est un de ses mauvais plans.

- Ce n'est pas grave, cela arrive.

- Non, cela ne dois pas arriver, pas d'une prof en tout cas. Je me demande, si tu accepterais de venir boire un verre chez moi ce soir, pour me faire pardonner. On discuteras, et on enterreras la hache de guerre.

Je me demande si c'est un piège, puis je juge que non, je demeure néanmoins méfiant.

- D'accord, quelle heure?

- Dix-neuf heures, ce serait parfait.

- D'accord, à ce soir.

- A ce soir.

Aurélie coupe la communication. Il est seize heures, encore trois heures à souffrir et tout sera enfin terminé.

Simone prépare une grosse salade, tandis que deux steaks cuisent doucement sur le grill de sa cuisinière. Un des deux hommes vient de rentrer dans la cuisine, la femme ne se retourne pas. Elle sursaute quand on l'embrasse dans le cou.

- Pitié.

- Ta gueule, j'ai envie de ton cul, appuie toi au plan de travail.

Elle n'a pas d'autres choix que d'obéir, tout plutôt que d'être de nouveau battue. Le plan de travail est haut, Simone est obligée de se mettre sur les orteils pour pouvoir bien tendre son cul à Hervé. Pour qu'il soit le plus confortable possible. Elle gémit de douleur quand il rentre en elle. Gémissement qui deviennent des cris quand il se met à la sodomiser debout, comme un soudard. Faisant taper son ventre contre le bois à chacun de ses coups de reins. Quand il a fini, Simone se croit tranquille, mais Jack vient prendre sa place en elle.

J'ai hésité longtemps, puis je me décide à aller voir mon ennemi juré, après tout, faire la paix, peut être bien. Je sais qu'Aurélie est amatrice de vin, j'emmène donc un cru classé, à deux mille balle la bouteille. Je sonne à la porte, je reste estomaqué. Je savais que bien habillée, la demoiselle devait être jolie, mais jamais je n'aurais penser qu'elle était aussi canon. Elle pourrait presque faire de l'ombre à Siobanne. En robe moulante et courte, Aurélie révèle un corps de rêve. Elle est super bien foutue, avec un visage magnifique quand elle est coiffée et maquillée. Ma collègue a préparée un fantastique ragoût. Le dîner est délicieux, le vin merveilleux. On parle de tout et de rien. Le dessert est magique. Aurélie se révèle être une cuisinière très douée, sa cuisine est digne d'un chef étoilé.

Pour Simone l'enfer sexuel continue. Ils l'obligent à manger à quatre patte, à se déplacer comme cela dans la maison. Elle devient aussi leurs WC vivant. Devant ouvrir la bouche quand ils urinent, devant tout avaler. Et encore, quand ils ne lui pissent pas dans l'anus ou dans le sexe.

Après le dessert, elle me fait asseoir dans le canapé. Elle éteint la lumière, seuel la pénombre éclaire la pièce.

- Ce seras plus facile pour moi, je suis maladivement pudique.

Je me demande ce qu'elle veut dire. J'entends plus que je ne vois Aurélie revenir vers moi. Je me demande ce qu'elle veut, mais l'instant d'après elle est agenouillée devant moi, mon sexe dans sa bouche. Je me laisse faire, je n'enlève même pas mes lunettes, je ne sais pas où cela va me mener, mais la fille est belle. Certes je sorts avec Siobanne, mais je ne lui ai pas promis la fidélité, au contraire. En plus Aurélie est au courant de ma relation, donc tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes.

Une fois que je suis bien dur, Aurélie cesse sa fellation. Ma collègue m'enlève le pantalon,le caleçon, rapidement je suis tout nu. Elle se relève, s'assoit sur moi. J'entends le bruissement de sa jupe qu'elle relève sur son ventre. L'instant d'après elle a écartée sa culotte, et je suis en elle. Rarement j'ai sentit une fille autant trempée, pas au début quand je suis entré en elle, mais au fur et à mesure de notre copulation je sens son vagin qui ruisselle pratiquement de cyprine, dégoulinant de mouille. La fille est un peu large par rapport à celles que je baise d'habitude. Mais elle est quand même bien serrée de la chatte. Je prend du plaisir à baiser avec elle. Mon ex-ennemi apprécie également, je le constate en entendant ses couinements de plaisirs, rapidement suivit d'un hurlement de jouissance. Quand j'éjacule en elle, Aurélie à un second orgasme, elle crie, une nouvelle fois, son plaisir.

La jeune femme reste assise sur moi. Elle me roule un patin. Elle me murmure à l'oreille :

- Ne t'en fais pas, je prends la pilule.

Je ne m'en fais pas. Je suis toujours dans la chatte trempée de ma maîtresse. De nouveau elle murmure :

- Je sens que tu bande encore, cela te dirais de visiter mon cul?

- Avec plaisir.

Aurélie se redresse faisant sortir mon membre dur de son vagin. Elle redescend pour s'empaler de nouveau, me faisant pénétrer un anus que je sens plus vierge, mais encore délicieusement étroit. Décidément, je ne pensais pas qu'elle était une telle amatrice de sexe. De nouveau ses halètements de plaisirs reprennent. La sodomie est parfaite, le fille est douée, c'est une des meilleures sodomie de ma vie.

Aurélie à un orgasme quand je jouis dans son rectum. Je me déverse longuement, tandis que je sens son anus palpitait contre mon pieu. Aurélie est vraiment une jouisseuse bruyante, elle hurle ses orgasmes. Je pense que cela en est fini, mais il n'en ai rien. Une nouvelle fois, la jeune prof se relève, mais cette fois, elle ne redescend pas sur ma bite, elle s'agenouille sur le sol. De nouveau elle me fait une fellation fantastique. Me prenant dans sa gorge, entièrement, jouant habillement avec sa langue. Elle ira jusque au bout. Avalant une grosse partie de mon liquide séminale, liquide que je lui envois, tandis que les derniers jets atterrissent sur son visage.

Ma belle collègue s'assoit prés de moi, mais dans la pénombre je vois à peine son visage. C'est merveilleux de baiser en étant presque aveugle. On est pas totalement dans le noir, mais on y voit à peine.

- Jonas, c'était génial, tu es le meilleur amant que je n'ai eus.

- Merci, j'ai vraiment apprécié moi aussi. En plus d'être belle, tu es vraiment un super coup.

- Je sais que tu es en couple, mais on pourrait commencer une relation secrète?

Je pourrais lui répondre que Siobanne n'a rien à dire, qu'elle est juste ma pute et mon esclave, mais je me retiens.

- Tu es une amante tellement merveilleuse que c'est d'accord.

- Super. On se verra de temps en temps chez moi. Par contre je ne t'enverrais pas de SMS, je ne t'appellerais pas, au boulot on n'auras pas de geste doux, ni de baisers voler.

- D'accord, ça marche pour moi.

- Parfait, ça te dérange de ne pas dormir ici?

Je suis un peu déçu, j'aurais aimé dormir avec elle pour la prendre de nouveau demain matin. Mais bon, ce n'est que partie remise. Je devine plus que je ne vois mes habits par terre, je me rhabille.

- Bien sur, aucun souci Aurélie.

- Parfait.

La jeune femme se lève, pour allumer la lumière. Elle connaît son appartement par cœur, je l'attends se déplacer avec aisance. Quand la lumière fut, Aurélie est impeccablement habillé, on ne dirais pas que je l'ai prise trois fois. Je n'ai même pas vu son corps nu, tant pis la prochaine fois. Je me lève, dépose un baiser chaste sur ses lèvres et je m'en vais. Je rentre chez moi. La maison est vide, je me couche et m'endors aussitôt, pour me vider demain, il y aura Léa ou Martha.

A peine seule, Aurélie se rends dans la salle d'eau après un court passage dans le salon. Nue, la jeune femme regarde son corps dans le miroir, les traces fraîches du viol qu'elle a subit de la part de ses élèves sont impressionnante. Le sperme de Jonas coule de son vagin et de son anus, elle le sent sécher sur son visage. Il y a du sang aussi, il a été doux, mais il a réveillé les blessures faîtes par les cinq étudiants. Aurélie retourne dans le salon, elle décroche le téléphone heureuse comme jamais.

J'ai dormis comme un loir, Aurélie m'a complètement vider. Je me réveille le lendemain vers neuf heures. Je regarde mon tel, j'ai un message de Paolo me prévenant que le film de ma sœur et ses nouveaux amis est prêt. Par contre il l'a gardée avec lui pour la nuit, il trouve cette chienne trop bonne. Il me la renverra dans la journée. Du coup je me rends dans la chambre de Martha, cette conne dort, nue sur les draps. Je me couche contre elle, Martha se réveille aussitôt.

- S'il te plaît Jonas, je n'en peux plus, j'ai fait cinquante clients cette nuit.

Je suis déçu, tout comme Léa, on ne voit pas qu'elle est enceinte de presque trois mois. Que de chemin parcourut depuis la première fois que j'ai pris Léa sous mon contrôle, six mois plus tôt.

- Ta gueule, je veux ton cul.

Ma belle-mère sait qu'il est vain de parlementer. Aussi, elle se met sur le ventre, fesses tendues pour me facilité la pénétration. Plus vite prise, plus vite fini. Je la pénètre et l'encule violemment. A chaque fois, c'est avec elle que je suis le plus méchant. Bien sur, j'en ai baisée beaucoup plus durement, mais avec elle, c'est à chaque fois qu'elle morfle, ses cris le prouvent. Je la prends de partout pendant une heure, avant d'aller me doucher. Il faut que j'aille à mon bureau à l'université, j'ai des dossiers en retard. La faute à toutes ces chiennes que je dois baiser, je suis insatiable.

J'arrive en sifflotant, je ne suis pas pressé, je n'ai cours que dans trois heures. Je suis un peu déçu, je ne croise pas Aurélie. Tant pis, j'espère pouvoir la voir ce soir. J'ai passé une heure à mettre à jour mes notes. Quand ma porte s'ouvre. Je lève la tête. Un homme d'une cinquantaine d'année, accompagnée d'une splendide brune originaire d'Afrique du Nord, âgée d'environs vingt-cinq ans, environs un mètre soixante pour une cinquantaine de kilos. La peau mat des maghrébines. Je ne m'en suis jamais vraiment fait une, ce sera l'occasion. Un corps que l'on devine bandant. Des yeux verts hypnotisant. Celle-là, il faut vraiment que je me la fasse. Elle est belle, le genre de beauté que l'on croise rarement, pas une Siobanne, mais vraiment pas loin, plus belle encore que Maja ou Romina. Le genre de fille qui peut vous faire vous retourner qu'elle soit habillée sexy ou pas. Le genre que l'on oublie pas, à la prochaine belle fille que l'on croise. Par contre son air fragile vous donne immédiatement des envies de la prendre, de la violer, de lui faire mal. C'est ça qui la rend importante à mes yeux. Encore plus que Simone, on dirait réellement un petit moineau fragile. Des tas d'idées me viennent pour elle.

Je regarde le couple. Je n'ai pas le temps de parler.

- Je suis le commandant Eric Dubois, voici le lieutenant Aziza Qumicha.

- Enchanté, que puis-je faire pour vous?

- Veuillez vous lever, mais derrière le dos, vous êtes en état d'arrestation.

Je reste interloqué, c'est quoi ce délire?.

- Pour quel motif, je n'ai rien fait d'illégal!

- Nous vous donnerons les motifs de votre inculpation arrivés au poste. En attendant, levez-vous.

Je n'ai pas fais le mariole. J'ai obtempéré. J'aurais pus les mettre sous contrôle, mais je trouve le jeu amusant. Il me tarde de savoir pourquoi les flics m'arrêtent. C'est la femme qui m'a passé les menottes. Elle l'a fait avec méchanceté, serrant fort, pourtant je sens qu'elle tremble, elle a voulut se donner une contenance. Je sens immédiatement qu'elle n'est pas faite pour ce job. Mais je m'occuperais de ça aussi plus tard.

J'ai croisé quelques personnes en traversant l'université menotté. Certaine que je connaissais, je savais qu'ils préviendraient Siobanne. Ils m'ont fait monter dans leur véhicule banalisé. Le commandant s'est mis au volant, il a traversé la ville sirène hurlante.

Au commissariat il m'a mit dans une pièce, avec un policier en tenue pour me surveiller. J'ai patienter au moins trente minutes avant qu'il n'arrive pour m'interroger. Je pense que c'est une de ses techniques, mais je garde mon calme, je n'ai rien à me reprocher. J'ai ma conscience pour moi. Finalement ils entrent tout les deux. Ils s'assoient en face de moi. Le regard de la policière est fuyant, on dirait vraiment un moineau brisé, cette pute m'excite. Mais il faut que je me consacre. Je fixe mon regard dans celui du commandant. Il prend enfin la parole.

- Bon, vous êtes dans de beaux draps.

- Je n'ai rien à me reprocher.

- Ils disent tous ça.

- Peut-être, mais moi c'est vrai. On m'accuse de quoi.

- De plusieurs viols. Assortie de tortures et de traitement inhumain.

- Je n'ai violé personne. Qui m'accuse?

- Aurélie Dumont.

- Quoi?

- Vous avez entendu, votre jeune collègue vous accuse de viol. De plusieurs viols, pendant tout le week-end férié. De jeudi soir à lundi matin.

- C'est impossible, elle ment. J'ai couché avec elle hier soir, mais elle était consentante.

- Justement, elle vous accuse aussi de l'avoir violée hier soir.

- C'est absurde, je l'aurais violée pendant trois jours, là elle n'aurait pas porter pas plainte. Elle attends le lundi soir, que je retourne chez elle pour le faire?

- La peur, l'en a empêchée. Mais quand vous êtes retourné la voir lundi soir, elle a compris qu'elle ne s'en sortirais pas, que vous reviendrez souvent.

- C'est du n'importe quoi. Il y aurait des traces de viols, là j'ai été vraiment doux.

- Et ça, c'est quoi?

Je vois des photos du corps d'Aurélie, prise par le légiste. Son corps est couvert de bleu, de traces de coups, de morsures. Celui qui lui a fait ça ; à même joué avec une clope, j'en vois les stigmates. Je comprends enfin la pénombre, cette pute ne voulait pas que je la vois, enfin pas que je vois les marques de son atroce viol. Bizarrement, cela me fait grave bander. Heureusement je suis en jeans, les flics ne le voient pas.

- Actuellement elle est opérée en urgence, reconstruction vaginale et anal. Vous y êtes allé tellement fort, que vous lui avez aussi fait de grave blessure interne.

- Mais je suis innocent!

- On a votre ADN, prélevé hier soir sur sa culotte, dans son vagin, dans son rectum, sur le canapé, sur son visage même.

Elle m'avait piégée, elle ne mouillée pas hier soir, elle saignée, j'avais réveillée ses blessures internes non cicatrisée. C'est pour cela qu'elle m'a sucée en dernier, pour enlever toutes traces de sang.

- Vous avez un alibi peut-être, pour hier soir ou ce week-end férié?

Pour le lundi, j'étais bien avec Aurélie, donc rien a redire. Pour le week-end férié, je ne peux rien dire. Si ils interrogent Simone, ils verront bien ce qu'elle a subit. On l'a violée au moins aussi sauvagement qu'Aurélie. Je n'ai pas le choix.

- J'étais seul chez moi.

- Ou plutôt, avec Aurélie, à l'université et chez elle, en train de la violer sauvagement.

- Je ne dirais plus rien, je veux mon avocat.

- Soit, je n'y vois pas d'inconvénients. On a toutes les preuves contre vous. Vos aveux ne servent à rien.

Cette pute à été très maligne, je suis piégé. Je n'ai aucun alibi présentable, mais ça elle ne le savait pas. Cette conne s'en tire avec un coup de chance.

- Votre compagne à contacté un avocat, vous allez pouvoir vous entretenir avec lui. Je vous accorde une demi-heure. Après nous reviendrons vous interrogez en sa présence.

- Bien.

- En attendant, il est midi précise, vous êtes en garde à vue.

Je ne réponds rien. Le duo de flics se lèvent, je n'ai toujours pas entendu la voix de la fliquette. Ils sortent, aussitôt un homme d'une cinquantaine d'année rentre. Je le reconnais, c'est maître Durand-Morettault, le meilleur avocat de France. Siobanne n'a pas fait les choses à moitié.

J'ai discuté avec mon avocat. On a passé mon affaire au crible. Je lui ai expliqué ma stratégie de défense. A la fin il me regarde.

- C'est risqué.

- C'est mon choix.

- D'accord, c'est comme vous voulez.

- Parfait.

Mon avocat est ressorti chercher le policier, notre entretien étant fini. Il est resté avec moi le temps de l'interrogatoire. Le commandant m'a interrogé toute la journée, j'ai inlassablement répété la même chose. Mon avocat empêchant le flic d'aller trop loin. J'ai dormi au commissariat, en cellule de garde à vue. Le lendemain, j'ai été envoyé devant le juge d'instruction chargé de l'affaire. C'est la seule fois où j'ai utilisé ma machine, pour qu'il ne m'envoie pas en préventive. Je serais donc libre pour le reste de l'instruction. Je voulais aller au procès d'assises, je suis confiant dans la justice de mon pays.

J'ai cherché à contacter Aurélie, mais cette chienne est partie à l'étranger, jusque au procès. Les flics peuvent la contacter, mais je me doute qu'ils ne me donneront pas son numéro. Je pourrais me servir de mon invention, mais je ne compte pas le faire, ni pour savoir où est Aurélie, ni pour influencer le jury pendant le procès. Au lieu de ça, je me rends chez Romina. Siobanne se jette dans mes bras quand elle me voit. J'ai envie de lui faire mal, mais je me retiens, ce sera pour plus tard, quand elle sera vraiment heureuse, histoire de la briser complètement.

- Mon amour, j'ai eus si peur.

- Je sais mon cœur, ce n'est rien, une nuit au poste n'a jamais fait de mal à personnes.

- Je sais, mais bon, je t'aime tellement. Ce monstre mérite d'être punie pour avoir osez t'accuser d'un acte aussi odieux.

- Tu ne doutes pas de moi?

- Jonas, comment peux-tu dire cela? Tu es un sex-symbol, je vois bien que toutes les filles te tombent dans les bras. Même si tu l'aurais frappée comme elle l'a été, même si tu avais été violent avec elle comme on l'a été, elle n'aurais jamais portée plainte, elle aurait été consentante.

Sa confiance me touche, elle vise juste, Aurélie aurait fait comme Simone, je l'aurais mise en mon pouvoir après son viol. Mais je ne pourrais pas me servir de ça pour ma défense. Bien sur, Siobanne ne connais pas l'existence de mon invention. Pour elle, c'est mon charme ravageur qui fait succomber les filles, comme elle a succombé pour moi.

Aurélie a demandée à être mise au repos par l'université, jusque à son procès. Le président, l'a accordé, lui maintenant même son salaire, contrairement a moi, j'ai été juste suspendu, mais en congé sans solde. Si je n'ai pas été licencié, c'est en raison de la présomption d'innocence. Aurélie est partie chez un ami de ses parents qui vit en Australie. L'homme qui possède une importante société immobilière, à mis à la disposition de la jeune femme une villa en bord de mer. Mais Aurélie ne bouge pas de son lit, elle est traumatisée par le viol qu'elle a subit de la part de ses élèves. Puis aussi par le fait d'avoir couchée avec moi, un viol par obligation pour elle. Bien sur les deux étaient des idées à elle, son plan pour se venger de ma personne. Mais le prix à payer est très cher, trop cher. Si elle pouvait recommencer, elle ne ferait rien. Ou autre chose. Pas ce viol abject, qui à duré des jours. Toutes cette violence, elle n'imaginait pas subir cela. L'opération de son anus, de son sexe, à été faites en urgence, à quelques heures près elle aurait put mourir. Son vagin à été gravement déchiré, sur plusieurs centimètres. Son anus et son rectum ont été fissuré gravement, eux aussi sur plusieurs centimètres. Mais le pire c'est l'humiliation, tout le monde sait maintenant ce qu'elle à subit. Même si au procès, je suis lourdement condamné, ce qu'il sera le cas, elle en est sur, elle restera la salope qu'il a violé deux fois, sur plusieurs jours. En plus il y a le risque de grossesse. Elle n'avait pas pensé à ça. Sauf une fois pendant son viol, mais la tournure des événements lui ont fait sortir de la tête ce risque. Depuis une semaine qu'elle est en Australie, la jeune femme ne fait que pleurer.