Hypnose Mécanique 15

Informations sur Récit
Attention texte violent.
3.9k mots
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Partie 15 de la série de 19 pièces

Actualisé 06/16/2023
Créé 12/04/2016
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Ceci est une fiction, aucun des personnages de ce texte n'est réel. Les personnages irréel de ce texte sont tous consentant pour y apparaître. Une fois le texte terminé, ils sont tous retournés à leurs vie inexistantes sans aucune séquelles, ni blessures. Un peu comme n'importe quel personnage imaginaire d'un livre.

Ce texte étant quand même d'une certaine façon assez violent, je ne le recommande qu'aux amateurs du genre. Pour les non amateurs, vous pouvez bien entendu le lire, mais prenez alors vos responsabilités. Après si c'est pour commentez que ce texte est choquant, violent, voir très ou trop violent, que c'est mal ou des trucs du genre, ben oui, je viens de vous le dire. En cas de doute relise cet avertissement jusque à bien le comprendre. En tout cas, à tous, bonne lecture.

Jonas : Moi, le héros de ce texte et des chapitres précédents. Après m'être amusé avec ma sœur et Siobanne mon premier amour, je décide de passer à d'autres.

Linda: Magnifique brune. Ma nouvelle cible principale.

Le train arrive cinq minutes plus tard. Je laisse descendre les passagers, je laisse un homme seul entre le couple et moi. Ils s'assoient sur les premiers sièges de quatre places qu'ils trouvent. Ils sont tous libre. Je m'assois donc en face d'eux. Ils me regardent, puis se roulent une pelle. De près, la fille est vraiment belle. Le haut de sa combi colle vraiment à ses seins. Dès que le train démarre, je les mets en mon pouvoir. Ils répondent en cœur :

- Qui je suis?

- Le maître.

- Et vous?

- Les esclaves.

Bien, j'adore quand tout ce passe bien. Remarquez ma machine m'a jamais déçu. Encore moins maintenant que la puce se trouve dans mon corps.

- Répondez chacun votre tour. Origine, prénoms et âge.

- Ruiz, vingt ans. D'origine portugaise.

- Emma, vingt ans aussi. D'origine italienne.

- Le mec tu as eus beaucoup de copine avec qui tu as couché?

- Non, Emma est la seule.

- Bien, tu étais puceau, et elle?

- Non.

- Tu l'aimes?

- Plus que tout au monde.

- Plus maintenant. Pour toi, c'est juste un vide-couilles. Tu t'es mise avec elle que pour cela: la baiser.

- D'accord.

- Combien de temps que vous êtes ensemble?

- Un an.

- Vous vivez ensemble?

- Non, j'ai mon studio, mais Emma vit chez son père, avec son frère, ils ont besoin d'elle, donc elle part pas encore.

- OK, maintenant la pute, c'est toi qui répond.

- Je ne suis pas une pute.

- On va voir. Tu as eus beaucoup de copain?

- Cela dépend.

Sa réponse me laisse perplexe.

- Cela dépend de quoi?

- Des copains avec qui j'ai été en couple, ou avec qui j'ai couchée?

- Le nombre des deux. Soit précise dans tes explications. Commence par les gars avec qui tu as été en couple.

- J'ai été en couple avec un seul gars avant Ruiz, pendant six mois. J'avais seize ans. C'est lui qui m'a dépucelée.

- Dépucelée de quel orifice?

- Les trois. Le vagin, l'anus et la bouche.

- Tu l'as quittée pour quel raison?

- C'est lui qui m'a quittée. Il avait trente ans, il était en couple. Sa femme à été mutée, il l'a suivit. je l'ai très mal vécu.

- On t'a sodomisée souvent?

- Oh oui, on me l'a beaucoup fait. Les mecs adorent ça. Surtout à sec, quand ça fait mal et que la fille pleure ou crie.

- Ruiz t'encule aussi?

- Une seule fois. Il n'aime pas cela.

- Et toi, tu aimes?

- Non, mais je me laisses faire. J'apprécie pas, je déteste même mais je n'ai rien contre me laisser faire. Quand on couche avec un gars, faut bien lui donner du plaisir, mais aussi ce qu'il veut.

- D'accord. Des copains avec qui tu n'as pas été en couple, c'est quoi pour toi?

- Des coups d'un soir ou d'un week-end maximum.

- Beaucoup?

- Une soixantaine je pense. J'ai pas le nombre exact.

- Certains en même temps que tes périodes en couple?

- Non. Enfin, si un. Le père de Ruiz.

- Tu as trompée ton mec avec son père?

- Pas vraiment. Ruiz est allé faire des courses avec sa mère. Je suis allé prendre une douche. Il est entré, m'a plaquée contre le mur, il m'a sodomisée. Puis une fois qu'il a jouit dans mon anus, il a forcé mon sexe, pour finir dans ma bouche.

- Un viol?

- Non, je ne crois pas que ce soit un viol. Une fois plaqué contre le mur, j'ai dus subir ses choix de pénétration. J'ai criée quand il me l'a mise dans le cul, mais j'ai jouis deux fois dans la chatte. Si je prends du plaisir, ce n'est pas un viol. C'est comme pour certain mecs d'un soir, qui m'encule de force, après m'avoir baisé alors que je suis consentante, mais seulement pour mon vagin ou ma bouche. Si je donne ma chatte, ben je dois pas l'ouvrir si il m'encule, même de force.

Là, elle me laisse stupéfait. J'en ai eus des meufs sous mon contrôle, mais là, c'est le pompon.

- C'est quoi pour toi un viol?

- Ben quand des mecs que tu connais pas te frappe puis couchent avec toi en te faisant mal. Généralement dans des caves, mais des fois dans des cages d'escaliers aussi.

- Quand tu connais le mec, ce n'est pas un viol?

- Ben non. Mon père et mon frère, ils me violent pas. Mes potes, les leurs ou mes voisins non plus.

Je manque m'étrangler.

- Quoi?

- Ben mon père et mon frère, c'est pas des violeurs. Certes, ils me forcent, c'est pas que c'est normal, mais c'est la famille. Mon père n'a plus de copine, mon frère est célibataire. Faut bien que je serve à quelque chose. Puis une sœur qui se donne à son frère, c'est courant.

C'est quoi cette meuf, d'où elle sort? C'est une extra-terrestre ou quoi?

- Explique?

Emma ne réfléchit pas, elle se remémore.

- Ben c'était la soirée de mon anniversaire. Je n'ai pas d'amies filles. Il y avait donc cinq potes à mon frère, mon frère, plus six amis à moi. Ils ont loués une petite maison dans l'arrière-pays du vendredi midi, au lundi matin.

Elle revit ce qu'il s'est passé.

- J'avais mis un chemisier transparent sans soutien-gorge, une mini-jupe ras la moule et un string. Je voulais que Loïc, un pote à mon frère se mettent avec moi. Je m'étais donc armée pour le séduire. Mais il est pas venu. On est arrivé à midi pile, et on a but de suite. Enfin eux, pas moi. Vers quinze heures, après avoir bien mangée, mais pas bu car je n'aime pas cela, je suis allé au WC. Mon frère m'a rejointe.

Perso, j'ai du mal à croire ce que j'entends.

- Je ne ferme jamais la porte des WC, quand Loris est entré...

- Loris?

- Mon frère. J'avais la culotte sur les chevilles, j'allais la remonter. Quand je le vois entrer et refermer la porte, je me redresse. Il a une vue plongeante sur mon sexe épilé.

Par souci de compréhension, je passe de dialogue à histoire à la première personne pour le témoignage de Emma. Ce n'est plus moi qui raconte, mais elle.

- Tu fais quoi Loris? Tu vois bien que je pisse!

Je mets une main sur mon sexe.

- Je suis pas ici pour cela.

- OK, tu viens ici pourquoi alors?

- Ben, ta tenue m'excite, pourquoi tu t'es habillée comme une pute?

- Je suis sexy, je suis pas vêtu comme une pute. C'est pour Loïc que je suis comme ça.

- Mais il n'est pas là!

Je parle beaucoup avec les mains, donc sans m'en rendre compte, ma chatte apparaît de nouveau sans protection à l'œil pervers de mon frère. Mais bon, si on omet nos liens de sang, je suis une très belle fille et lui un mec, c'est normal qu'il me mate.

- Oui, mais il devait venir, je peux pas me changer, je n'ai rien pris d'autres comme affaires...

- Je peux le remplacer. Je peux t'avoir à sa place.

- Comment ça?

Que mon frère me dise cela me choque presque. Je crois que j'ai mal compris.

- Ben tu voulais que Loïc te saute. Je peux le faire à sa place. Puis moi c'est Loris, les prénoms se ressemble.

- Oui, mais toi tu es mon frère.

- Ben oui, mais je suis un mec, j'ai une bite et tu aimes la bite! Je le sais très bien!

- Pas tant que ça. Je donne pas ma chatte à tout le monde. J'ai eus qu'un mec, à seize ans et que pendant six mois. J'ai dix-huit ans, cela fait un an que personne ne m'a touchée...

- Et demi.

- Quoi?

- Si tu as couchée à seize ans, pendant six mois, et que à dix-huit ans personne d'autres t'a sautée, cela fais donc un an et demi que tu n'as pas couchée.

- Fais pas ton intelligent, je suis nulle en math, tu le sais.

- C'est pour ça, laisse moi voir si tu es meilleure en cul.

- Arrête, c'est pas possible, tu es mon frère. C'est de le zeste.

- Inceste. Le zeste c'est pour le citron, ou la chanson.

- C'est pareil, tu m'as compris.

- Comprise.

- OK, arrête de faire ton intelligent, je suis nulle en français aussi.

Mon frère me regarde. J'ai ma mini-jupe enroulée sur mon ventre, mon string sur les chevilles. Je vais pour baisser ma jupe, mais il attrape mon bras. Je le regarde, interrogative. De son pied, il me fait un balayage, me faisant tomber au sol, mais en douceur.

- Tu fais quoi Loris?

Il se couche sur moi. Je n'essaie pas de me débattre, c'est mon frère, il ne va pas me faire de mal. Quand j'entends sa braguette descendre et que je sens ensuite son sexe contre le mien je bougonne.

- Tu ne vas pas me baiser quand même?

- Si, je fais quoi à ton avis avec ma bite à l'air?

- Cela ne se fait pas trop entre frère et sœur.

- Tu crois quoi? À la cité, la plupart des gars baisent leurs sœurs.

Je ne sais pas si c'est vrai, mais c'est fortement possible. Les gars où j'habite ne sont pas des tendres, ils sont aussi bien pervers. Alors baiser avec leurs sœurs, pourquoi pas. Moi, ça me dérange pas dans l'idée, mais il aurait put demander quand même. Je gémis de douleur, le con, il me pénètre comme ça, sans me préparer. Je le lui dis d'ailleurs.

- Tu fais chier Loris, tu aurais pus me doigter ou me lécher un peu avant. Là, ça brûle, tu me fais mal.

- Pardon, je le ferais la prochaine fois.

Maintenant qu'il est en moi, autant me laisser faire. Cela ne changera rien au résultat. Je ne suis pas bégueule, mais je pleure, se faire prendre comme ça, sans préparation, ça fait mal quand même. Je pousse de petits gémissements, tout le temps où il me baise. Pas que j'aime, mais ça me dérange pas qu'il me baise. Puis il est doué le frangin. Si il avait fait ça mieux, j'aurais peut-être pris du plaisir. Quitte à se faire baiser, autant que ça plaise. Bon, après, au bout de cinq minutes, je le sens jouir en moi. C'est pas grave, je prends toujours la pilule, on m'a dis qu'il ne faut jamais la stopper, même sans mec. Alors je me la suis faites prescrire régulièrement depuis ma première fois.

Il se retire, se couche à côté de moi. On reste comme ça, quelques secondes, reprenant notre respiration.

- Tu m'en veux?

- Pour m'avoir baiser, pas trop, vu que ça se fait, je vais pas faire la bolloss par rapport aux autres filles. Je t'en veux juste pour pas m'avoir préparer un peu avant afin que je mouille. Là, tu m'as fais un peu mal.

- On recommencera?

- Si tu veux, mais à la condition que la prochaine fois, tu doigte ou tu lèche avant.

- D'accord.

Il se relève et se rhabille. Il me tend la main pour m'aider à me relever. Je prends du PQ pour m'essuyer la chatte. Je remonte mon string et descend ma jupe. Mon frère me sourit :

- Je crois que les autres aussi veulent te baiser.

- Tous?

- Ben oui.

- Ils sont nombreux quand même, je l'ai fais qu'avec un seul gars jusque à présent. Enfin, deux avec toi.

- Arrête, je sais très bien qu'ils te connaissent autrement.

- Oui, mais je les aient juste sucer pour cinq euros la pipe. Je suis pas allée plus loin.

- Ben c'est l'occasion, tu sais ce qui arrive aux filles récalcitrantes... Même moi je ne pourrais pas te protéger.

Oui, ça je le sais, la fille fini dans une cave, où elle se fait violer et frapper. Mon frère n'a pas tort, autant que je sois consentante.

- Bon, d'accord. Tu vas participer aussi?

- Ben oui, tu es ma sœur, j'ai la priorité même.

- Vous allez faire quoi?

- Ben on va te baiser, se faire sucer, t'enculer. Le classique quoi.

- La sodomie c'est obligatoire? Je déteste ça, j'ai mal, c'est sale, je peux pas m'asseoir pendant une semaine après.

- Non, pas le choix.

- Ils vont passer à plusieurs?

Je crois. Mais seulement si tu veux.

- D'accord pour un dans la chatte ou le cul et un autre dans la bouche. Par contre c'est non pour un dans la chatte et un dans le cul.

- OK, c'est cool. Déshabille toi complètement, on y va.

Je lui obéis, c'est mon grand frère, il a un an de plus que moi, je lui dois le respect et l'écoute.

Je me déshabille donc.

- Loris, qui va commencer avec moi?

- Ben moi, je vais t'enculer.

- D'accord. Pour les autres, vu que je vais me laisser faire, mais que je suis pas vraiment d'accord, tu crois que ce sera un viol?

- Ben non, t'es conne. On ne va pas te frapper, et tu ne vas pas aller dans les caves ensuite. Donc non, ce n'est pas un viol.

- Donc si je jouis, ce ne sera pas la honte?

- Ben non. On diras que tu es un bon coup.

- Pas que je suis une pute ou une salope?

- Ben tu es les deux, quand tu te fais payer pour sucer dans les chiottes du lycée, c'est ce que l'on est. Là, tu sera comme je viens de te le dire un bon coup. Faudra juste assurer ensuite.

- Assurer?

- Ben oui, te laisser baiser quand ils te le demanderont. Tu sera juste une fille facile. Après tu connais la règle, une fille qui dis jamais non et qui se laisse prendre sans moufter, ben quand elle est en couple, on la laisse en paix. Une sorte de remerciement.

- Cool ça.

Je suis donc sortis nue, en tenant la main de mon frère. En me voyant tout le monde se tait. Certains siffle, d'autres me félicitent pour mon putain de corps d'actrice X. Je prends ça comme des compliments. Mon frère me fais mettre à quatre patte. Je crie quand il pénètre mon anus, je gémis de douleur en pleurant quand il se met à bouger. Je gagne leurs respects, je suis pas une salope vu que je pleure quand on m'encule. Mon trou-du-cul n'a donc pas vu passé beaucoup de bites. Voilà, pendant tout le temps où on est resté à la villa, j'ai été baisée, ne dormant que cinq heures par nuit. Après, suivant les demandes, j'ai passé une nuit ou un week-end avec l'un ou l'autre ou d'autres.

En rentrant j'avais mal partout, je marchais difficilement. Mon père à demandé à mon frère ce qui c'était passé. Il lui a tout raconté, il a même montré des vidéo de moi et d'autres. J'ai dus passer la nuit avec mon père. Il m'a baisé jusque au matin, pour son âge, il a la forme. Mais après j'avais encore plus mal à la chatte et au cul. Sans parler de la bouche. Depuis que je suis en couple, je dors avec mon père ou mon frère suivant les nuits à chaque fois que je suis chez moi. Les autres respectent leurs paroles, personne ne me touche ou ne me propose quoique ce soit depuis que je suis avec Ruiz.

Voilà, c'est Jonas, je reprends mon récit. Inutile de vous dire que ce petit canon m'ébahit. Elle se fait violer mais ne le sait même pas. Je veux en savoir quand même un peu plus. Mais avant tout je regarde Ruiz, cette fille me plaît :

- J'annule mon ordre de ne plus aimer Emma.

- Bien maître.

- Emma tu prends du plaisir quand tu te fais prendre par ton père, ton frère ou ton beau-père?

- Des fois je jouis, mais je dirais une fois sur vingt.

- Je ne te parles pas d'orgasmes, je veux savoir si tu en prends quand ils te prennent. Par exemple, tu prends bien du plaisir à faire l'amour avec Ruiz, même si tu ne jouis pas?

- Oui, j'ai beaucoup de plaisir avec Ruiz. Ce plaisir là, non, je n'en ai aucun avec eux. Je dois le faire, c'est tout. C'est comme quand je dois coucher trois heures avec le dealer de Ruiz pour qu'il est ses trente euros d'herbes gratos. Mais j'aime pas du tout ça. Je ne suis qu'un morceau de viande à mettre pour eux. Après, je me laisse faire, c'est mon père, mon frère ou mon beau-père. Je peux pas dire non.

Ben moi qui voulais la baiser, et ensuite que Ruiz la batte et la fasse violer, je me rends compte que cela ne sers à rien, même si elle ne met pas le mot viol dessus, même si elle le vie relativement bien, c'est ce qu'il lui arrive.

- Bon, on va aller chez moi. Enfin un des studios que j'ai pas loin de la gare. Emma tu es d'accord pour que Ruiz et moi on te baise ensemble. On te prendras par la chatte et le cul. En même temps.

- J'ai horreur de ça, mais c'est vous le maître.

- Tu accepteras comme tu acceptes pour ton père.

- Bien maître.

- Pareil pour le fait que je te baise seul, par devant ou derrière.

- Bien maître.

- Ensuite tu va te créer un profil sur un site d'escort. Tu vas te prostituer pour cent cinquante euros de l'heure. Sans tabous.

- C'est à dire?

- Tu accepte la sodomie, la fellation nature. La baise normale. Tu es d'accord pour que l'on jouisse sur tes seins, ton corps, ton visage. On peux jouir dans ta bouche. Tu avaleras tout. Au fait tu avales déjà?

- Oui, bien sur. On peux même jouir sur mon visage. Quand il jouit pas en moi, c'est ce que préfère Ruiz.

- Tu aimes?

- Avaler non. Qu'on jouisse sur mon visage non plus. Sauf quand c'est Ruiz, lui je l'aime.

- Bien. Tu accepteras aussi jusque à trois hommes payant en même temps. Ils pourront te prendre ensemble. Mais pas plus de un par orifice.

- Bien maître.

- Tu bosseras de huit heures du matin à dix-neuf heures. Après tu iras avec Ruiz, chez ton père ou où tu veux.

- Bien maître.

- Si tu n'as pas de clients, Ruiz peux venir te baiser, lui ou la personne que tu veux. Ou même une de tes connaissance qui a envie de toi. Tu te prostitueras dans le studio où l'on va. En loyer, vous m'envoyez chaque mois la moitié de vos gains.

- Bien maître.

Je ne le sais pas au moment où je parle à Emma, mais je le sais au moment où j'écris le texte. Le premier mois, je reçois cinq mille euros. Puis sept mille le deuxième. Le troisième c'est dix mille euros que je reçois. Il n'y a pas à dire Emma est douée. Faut dire qu'elle est très belle et bien foutue. Cela aide pour une pute.

Avec Ruiz et Emma on a baisés toute la nuit. D'abord moi, seul avec elle. Je lui ai fais la chatte, le cul, j'ai jouis dans sa bouche et sur son visage. Elle n'a pas menti, elle avale tout. J'ai pris une de mes pilules, j'en ai filé une à Ruiz. On l'a baisée toute la nuit, et une partie de la matinée. Toujours à deux. Moi dans son cul, lui dans sa bouche pour commencer. Puis on a inversé. Ensuite lui dans sa chatte, moi dans son cul. Là encore on a inversé. Après cela à été suivant les envies. Comme je ne suis pas un monstre, j'ai donné à Emma un de mes comprimés pour orgasmes. Je peux vous dire qu'elle n'a jamais jouis autant et d'aussi nombreuses fois. Je les aient quittés à onze heures trente. Repus mais crevé, en me disant que des fois, ne pas violer des meufs, c'est sympa aussi. Mais malheureusement, ma part sombre à pris le dessus. Le changement, c'est cool, mais je préfère quand même quand ça gueule, supplie et pleure.

Si je suis partie, c'est que j'ai reçu un SMS de Linda, m'informant qu'elle à trente minutes de pause à midi, puis qu'elle remet les articles en rayon. Je retourne au supermarché en VTC, c'est bien plus rapide. Le temps que le véhicule arrive et que l'on fasse le trajet, j'arrive pile quand elle finit sa pause. En descendant du véhicule je la vois partir avec un caddy vers les rayons. Heureusement, Linda ne me voit pas. Cela évite un orgasme juste à l'entrée du magasin. Par contre rien que la vue de son cul me fait bander. Je lui laisse prendre un peu d'avance. Je la retrouve cinq minutes plus tard, dans l'allée des yaourts. Je suis à un bout, elle à l'autre. Je la vois se figer, je vois ses yeux s'arrondirent, sa bouche formés un grand « O ». Puis elle pousse un petit cri de plaisir. Linda se retrouve à genoux sur le sol. Tandis que le tissu de son jeans s'humidifie. Pas assez pour s'être urinée dessus de plaisir, j'en conclus que c'est de la cyprine.

Je quitte le rayon rapidement, tandis que deux ou trois clients demande à Linda si cela va. Je vais faire mes achats en prenant soins de l'éviter. Je prends un plat cuisiné, un paquet de chips, deux de bonbons. Je vais pour aller dans l'allée des boissons. Je regarde si je ne la vois pas. Parfait, la voie est dégagée. J'attrape deux bouteilles de soda. Je me dis que je vais speedé pour aller en caisse. Soudain, j'entends un cri assez fort. Je me retourne, c'est Linda qui se retrouve de nouveau à genoux sur le sol. Je prends mes bouteilles et cours presque vers les caisses. Je n'ai pas envie que l'on comprenne que c'est moi qui la met dans cet état. Je ne sais pas pourquoi je suis autant parano, personne ne peut le savoir...

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