Hypnose Mécanique 16

Informations sur Récit
Attention texte violent.
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Partie 16 de la série de 19 pièces

Actualisé 06/16/2023
Créé 12/04/2016
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Ceci est une fiction, aucun des personnages de ce texte n'est réel. Les personnages irréel de ce texte sont tous consentant pour y apparaître. Une fois le texte terminé, ils sont tous retournés à leurs vie inexistantes sans aucune séquelles, ni blessures. Un peu comme n'importe quel personnage imaginaire d'un livre.

Ce texte étant quand même d'une certaine façon assez violent, je ne le recommande qu'aux amateurs du genre. Pour les non amateurs, vous pouvez bien entendu le lire, mais prenez alors vos responsabilités. Après si c'est pour commentez que ce texte est choquant, violent, voir très ou trop violent, que c'est mal ou des trucs du genre, ben oui, je viens de vous le dire. En cas de doute relise cet avertissement jusque à bien le comprendre. En tout cas, à tous, bonne lecture.

Jonas : Moi, le héros de ce texte et des chapitres précédents. Après m'être amusé avec ma sœur et Siobanne mon premier amour, je décide de passer à d'autres.

Linda: Magnifique brune. Ma nouvelle cible principale.

Mais je n'arrive pas chez moi, je ne quitte même pas le parking. Juste après être sortit du supermarché, alors que je traverse le parking, je vois une jeune femme dans la trentaine descendre de sa voiture. Brune, cheveux courts, yeux verts, elle à un très beau visage. Elle porte une robe et un pull, le tout assez large pour cacher ses formes. Mais ce qui m'attire chez elle, c'est son air apeurée. Cette femme me plaît vraiment, je décide de me la faire, après tout, les deux victimes des dossiers de Aziza peuvent attendre.

Quand je la croise, après que je l'ai ordonné mentalement puis que j'ai pressé les boutons de ma montre pour émettre l'ordre, elle s'immobilise, mon invention la mettant sous mon pouvoir. Si il y a du monde sur le parking, il n'y a personne à portée de voix.

- Qui je suis?

- Le maître.

- Et toi?

- L'esclave.

Putain j'adore cette phase. Je ne sais pas pourquoi, mais à chaque fois cet échange m'excite grave. C'est une promesse voluptueuse pour moi, qui dit que je vais pouvoir faire ce que je veux de mon nouveau jouet.

- Remonte dans ta voiture, ouvre la portière passager et attends moi.

Aussitôt elle m'obéit, elle fait les quelques pas la séparant de son véhicule. J'essaie de mater son cul, mais là encore sa robe informe et longue cache cet atout. Tant mieux, j'aurais la surprise de son corps quand je la verrais nue. De toutes les façons, même si son corps n'est pas top, son visage est suffisamment beau pour que je prenne du plaisir à la baiser.

J'avance vers sa voiture, en fait le tour, j'ouvre la portière passager, m'assoit sur le siège, referme la portière. En regardant droit devant elle, la jeune trentenaire me demande :

- On va où?

- On reste là, on va discuter un peu.

- Bien.

- Moi c'est Jonas, et toi?

- Liliane, mais tout le monde m'appelle Lili.

- Tu as quel âge?

- Vingt-huit ans.

Bon, elle fait un peu plus vieille que son âge, mais pas de beaucoup, simplement deux ou trois ans.

- Tu es en couple?

- Non.

- Depuis longtemps?

- Dix jours.

- Donc tu vie seule?

- Oui, j'ai gardé l'appartement, il est à moi, c'est un héritage de ma grand-mère.

- Des enfants?

- Non, aucun.

Parfait, on iras chez elle pour baiser. Mais je veux d'abord en savoir un peu plus.

- Tu travailles?

- Oui, chez moi.

- Tu fais quoi?

- Je suis traductrice chinois/français.

Encore mieux, si elle bosse de chez elle, je vais pouvoir prendre mon temps.

- Tu avais l'air apeurée en sortant de ta voiture. J'ai rêvé ou pas?

- Oui, c'est la première fois que je sors depuis une semaine, depuis que c'est arrivé...

- Depuis quoi?

- Mon viol...

Bingo. Je pense que nous les prédateurs, on sent les victimes. C'est pour cela que souvent une femme violée se refait violer. L'odeur du sang nous attire.

- Par qui?

- Mon ex... Il est revenu chercher ses affaires après notre séparation. Il était avec son frère, on s'est engueulé, ça a dérapé. Alors, ils m'ont violée tout les deux. Plusieurs fois. Toute la journée et toute la nuit.

- Analement?

- Non, heureusement non. Je suis vierge de là.

- Parfait ça.

- Ils t'ont violée où?

- Dans la bouche... le vagin...

- Non, je veux dire dans quel endroit?

Bon, je sais que c'est chez elle, mais cela me permet d'avoir un peu plus de détail.

- Chez moi... sur le canapé... tout le temps...

- L'un après l'autre?

- Les premières fois... oui... puis par deux... un dans mon sexe, l'autre dans ma bouche...

- Combien de temps?

- Je vous l'ai dis... une après-midi et une nuit...

- En heures, ça fais quoi?

J'aime quand les choses sont précise.

- Ils sont arrivés à midi, m'ont violée à quatorze heures... jusque à dix heures le lendemain matin...

- Ils t'ont violées pendant vingt heures, ils sont résistant.

Ils ont pris des pilules bleus pour bander... Trois fois... Quand ils avaient plus d'envies, ils en reprenaient une...

Je souris, mes pilules sont beaucoup plus efficaces que celle-Là. Ce sera une bonne chose pour les hommes qui ont du mal à bander. Pour les violeurs aussi. Cela sera beaucoup mieux que les existantes. Il ne me reste plus qu'à les commercialiser.

- Ils t'ont battus?

- Un peu au début... Après juste des fessées... Ils m'ont aussi fait mal aux seins...

- Tu as aimée?

- Mon dieu non, c'est un viol!

- Tu as portée plainte?

- Non, je ne veux pas que cela ce sache. J'ai trop honte.

- Tu n'as même pas aimée un peu?

Je connais la réponse, mais j'aime l'entendre.

- C'est un viol. On n'aime jamais un viol... J'ai mal... Si mal...

- Tu veux qu'ils recommencent?

- Non, je préfère mourir... D'ailleurs, je pense de plus en plus au suicide...

Et bien ma belle, ce n'est que le début. Je vais achever ce qu'ils ont fais, et moi, je vais te prendre ton pucelage anal.

- D'accord, bon démarre, on va chez toi.

- Pour quoi faire?

- Baiser.

- Pas ça... S'il-vous-plaît...

- C'est un ordre, je suis le maître!

- Je suis l'esclave. Je vais vous obéir.

- Bien. Je vais vraiment te défoncer.

- D'accord.

Bon, là elle ne tique pas car elle est sous le pouvoir de la machine. Cela va me laisser le temps de voir sous quel angle je vais présenter la chose. En tout cas Lili me plaît vraiment bien, mon sexe est tendu dans mon pantalon. Je sens que je vais m'éclater et vraiment apprécier ce moment. Par contre, elle, la pauvre... Violée pour la deuxième fois en une semaine... Je ne suis quand même pas un gars sympa, je pourrais lui faire vivre un moment de bonheur inoubliable en ma compagnie, lui faire oublier son agression, au lieu de cela, je vais en rajouter une couche dans son cauchemar. Pour mon plus grand plaisir. Il n'y a pas à dire, c'est vraiment jouissif d'être mauvais. Je suis un monstre, je le sais et j'en suis fier!

On roule un quart-d'heure, avant qu'elle n'entre dans le parking souterrain d'un immeuble bourgeois. Elle n'a pas de box, juste une place de parking. On descend de voiture, elle ferme les porte avec son bip une fois que je suis descendu. Je la laisse passer devant, elle a cette démarche robotique des gens sous le pouvoir de la machine, de mon invention. On prend l'ascenseur, on monte au sixième et dernier étage. Il n'y a qu'une porte. Elle l'ouvre, on entre, elle referme la porte. Lili se tient alors droite dans le patio, L'ordre a été exécuté, on est chez elle, maintenant son cerveau toujours sous influence attend l'ordre suivant. Tant que je ne l'aurais pas libéré du pouvoir de mon invention, elle ne pourra prendre aucune décision par elle-même.

- Attends moi, je vais visiter.

- Bien, faîtes ce que vous voulez, vous êtes le maître.

J'adore cette invention... Le salon est immense, meublé avec goût. La pièce doit faire au moins soixante-dix mètres carrés. La cuisine est intégré à la pièce. Il y a deux couloirs qui partent de chaque côté. Celui de gauche n'a qu'une porte, je pars vers lui. Il y a une grande chambre, avec un lit king-size surmontés, au dessus de la tête de lit par un grand miroir. Je vois déjà ce que je vais pouvoir faire avec. Il y a trois porte. La première donne sur un WC. La seconde sur un dressing plein de vêtements de femmes. Une partie est vide, je me dis que c'est là que devait se trouver ceux de son ex. La troisième est une salle-de-bain avec une grande baignoire et une douche à l'italienne.

Je ressors de la chambre de Lili. Je traverse la pièce de vie, je vais dans le couloir de droite. Il y a quatre portes : un WC indépendant, une jolie salle de bain, et deux chambres d'amis. Parfait, cet appartement me plaît bien. J'ai encore besoin de savoir deux ou trois trucs, puis je vais libérer Lili du pouvoir de la machine, mais pas de son influence. Je pense vraiment que je vais bien m'amuser avec elle.

Je décide de lui donner d'autres directive, qu'elle suivra obligatoirement.

- Quand tu me suces, je veux que tu me regarde dans les yeux. Hormis pour ton viol que tu ne compte pas dans tes réponses. Est-ce que tu avales quand tu couches avec un homme?

- Jamais.

- On a déjà jouit dans ta bouche?

- Jamais. Si c'est juste une pipe, je le finis à la main.

- Tu fais des gorges profondes?

- Jamais.

- Tu prends la pilule?

- Pas depuis mon agression. Plus personne ne couchera avec moi.

- Bien, tu as couchés avec beaucoup d'hommes?

- Trois.

- Lesquels?

- Mon premier grand amour. C'est lui qui à prit mon pucelage, à quinze ans. On s'est séparés à dix-sept ans. Puis j'ai eus une autre liaison de mes dix-huit à mes vingt ans. Puis, Pierre, mon dernier compagnon. Je suis resté avec lui de mes vingt-et-un an à mes vingt-huit ans. C'est lui qui m'a...

Elle ne fini pas sa phrase.

Même sous hypnose, elle a du mal à dire le mot viol. Comme beaucoup de victimes.

- Combien de temps entre votre séparation et ton viol?

- Trois jours.

- Rapide, il a bien dut s'amuser avec toi.

Lili ne me répond pas. Je reprends :

- Pourquoi la séparation?

- Il a une liaison avec ma meilleure amie. Depuis six mois.

Je souris, cela arrive souvent.

- OK. Quand tu verras mon sexe, tu auras l'impression qu'il fait trente centimètres pour dix de diamètre. Qu'il est bien trop gros pour toi. Compris?

- Oui, maître.

Je ne me fais pas de soucis, son cerveau fait la conversion. J'ai un sexe de belle taille, mais pas trop énorme non plus. J'aime quand ma victime à l'impression que je la déchire en la violant. Ensuite je prendrais une pilule qui, momentanément agrandira réellement mon sexe.

- Quand je serais dans ton corps, tu auras l'impression que ma bite est trois fois trop grande pour ta chatte, et quatre fois pour ton cul. Compris?

- Oui, maître.

- Tu auras l'impression que je te déchire, que je te fais saigner, que je mets tes orifices en bouillis. Que je te blesse gravement. Ce ne sera qu'une impression, mais tu ressentira la douleur comme si cela arrive réellement. Compris?

- Oui, maître.

- Par contre pour la pipe, ça ce passera bien. Compris?

- Oui, maître.

Bon, il est temps de passer au chose sérieuse.

- Voilà de quoi tu vas te souvenir. Tu oublies tout de notre rencontre, tu n'es pas encore sortie de chez toi pour aller aux courses. J'ai sonné, tu as ouvert la porte. Je t'ai cogné. Au ventre, aux côtes. Tu as mal, je te terrifie tellement, que tu obéiras à chacun de mes ordres pour ne pas être de nouveau battue. Tu ne tentera à aucun moment de t'enfuir ou de me faire le moindre mal. Tu pourras te débattre aux moments que tu juge opportun, mais que légèrement, pas suffisamment pour m'empêcher d'arriver à ce que je veux faire. Si je te l'ordonne tu arrêteras de te débattre. Compris?

- Oui maître.

- Pour le reste, tu réagis normalement, comme tu le ferais normalement en cas de viol. Un truc que maintenant tu connais bien, tu réagiras comme tu l'as fais avec ton ex et son frère. Par contre je t'interdis de mouiller, à aucun moment. Si je t'ordonne de me sucer, tu le feras, mais de la meilleure des façons. Je veux que tu me fasse la meilleure pipe de ta vie.

Je donne cet ordre, bien que pas qu'une seule fois une des femelles que j'ai violé n'ai mouillée d'envie. Mais au bout d'un moment, pour que la douleur n'aille pas trop loin, que le viol n'occasionne pas de blessure à l'orifice forcé, le corps se lubrifie automatiquement, sans aucun plaisir. Elle, je la veux sèche, pour que son viol soit le plus douloureux possible. Certains trouvent cela peu agréable pour eux, moi j'adore prendre les femelles quand elles sont bien sèche.

Avant de la libérer de son hypnose totale, je m'occupe des habitants de son immeuble. Mon invention leurs envois l'ordre que personne n'entendent les hurlements provenant de l'appartement de Lili. L'endroit me paraît bien insonorisé, mais on ne sait jamais. Pas que je risque quoi que ce soit, une petite prise de contrôle des flics qui interviennent et le tour est joué. Mais bon, c'est emmerdant d'interrompre un coït, pour une situation que l'on peut éviter.

- Allez ma petite pute, place au jeu. Redevient normale, oublie cette conversation.

Aussitôt la vie revient dans les yeux de Lili. Pour être aussitôt habité par la terreur pure. La belle se met à pleurer, elle se colle contre le mur en face la porte d'entrée. J'aime ça.

- Pitié, ne me frappez plus...

- Tu seras sage et obéissante?

- Oui... oui...

- Tu as intérêt.

- J'ai de l'argent... des bijoux... prenez tout!

- Tu crois que je suis venu pour ça?

- Oui...

Je vois que c'est ce qu'elle espère.

- Je suis venu pour te baiser!

Lili fait une grimace de terreur absolue, elle pleure plus fort.

- Pitié... je viens de me faire violer...

- Et bien, si cela arrive deux fois, pose toi les bonnes questions sur ton comportement, ta tenue.

Elle ne me répond pas.

- Tu seras une bonne pute?

Je vois qu'elle panique, Lili comprend qu'elle va de nouveau se faire violer, que je ne vais pas changer d'avis. La belle jeune femme pense au suicide, s'est jurée de mourir plutôt que de revivre un viol. Mais la peur l'emporte.

- Oui...

- Dis le!

- Je serais une bonne pute...

- Déshabille toi. Un truc rapide, j'ai les couilles pleines, il faut que je me vide vite.

Lili hésite deux secondes, puis entreprend de m'obéir.

Rapidement chaussures et pull quitte son corps, suivit par sa robe. Elle porte un ensemble culotte soutien-gorge très sage, limite grand-mère. Lili tremble et pleure fort, mais obéit aux injonctions que mon invention lui a donnée. Elle retire son soutien-gorge, me dévoilant une paire de seins bien rond, avec des aréoles et des tétons bien gonflés. Elle a des seins moyens, gros comme une belle orange. Ils ont l'air bien fermes, la taille est parfaite, ils sont fais pour bien tenir dans la main. J'aime.

La culotte suit rapidement. Lili me dévoile un mont-de-vénus, qui devait être parfaitement épilé avant son viol, mais où, maintenant, des poils noirs commencent à pousser.

- Tourne toi.

Sans un mot, elle obéit. Me dévoilant un petit cul splendide, bien rond, pommé, avec une jolie chute de reins. Je comprends pourquoi son ex copain et son ex beau-frère l'ont violée. Cette pute à un corps fait pour le sexe.

- Viens me sucer!

- Pitié...

- Tu veux que je te cogne encore?

Une grimace de pure terreur apparaît sur son visage.

- Non! Non! Ne me frappez plus!

Elle s'avance alors vers moi, pleurant plus fort, elle s'agenouille et entreprend de sortir mon sexe de mon pantalon.

Tandis que la belle, dont les mains tremblent beaucoup, se bat avec ma braguette, je sort de ma poche de pantalon une tablette de pilule. J'en sors une et l'avale. Avec ça, je vais pouvoir la violer pendant plusieurs heures. Pauvre fille, elle ne le sait pas encore, mais notre rencontre vient de l'envoyer au fin fond de l'enfer.

Finalement, Lili arrive à déboutonner ma braguette, elle descend alors mon jeans, avant de faire pareil pour mon caleçon. Elle gémit quand mon sexe dur jaillit. Son cerveau interprète parfaitement les ordres que je lui ai donné lors de la mise sous emprise.

- Mon dieu... C'est énorme...

- Ta gueule, suce ou je te tape!

Je souris quand elle ouvre démesurément la bite pour avaler mon sexe. La suggestion que je lui ai donné marche très bien. Elle croit que mon chibre fait trente centimètres. Ses lèvres se referment doucement sur ma queue, tandis que sa main en attrape la base.

- Sans les mains!

Sa main se retire. En me regardant dans les yeux, Lili commence alors à me sucer.

Je dois dire que la salope est douée, même forcée... Je me dis qu'il faudra que je la teste en tant que maîtresse consentante. En attendant, ses lèvres de velours serrent délicieusement ma bite. Sa langue caresse mon sexe sur toute sa longueur tandis qu'elle fait aller-et-venir sa bouche le long de mon membre. Sa pipe est baveuse à souhait, j'adore ça! Ses splendides yeux verts sont rivés dans les miens. Le fait qu'ils soient rougis par ses larmes, qui coulent de plus en plus drus, en rajoute encore à mon plaisir sadique. Je sens que je ne vais pas tenir longtemps et je ne vais pas me retenir, avec la pilule, je vais pouvoir la baiser à volonté pendant les prochaines heures.

Je la laisse faire en savourant simplement. Sans lui tenir la tête ou lui caresser les cheveux. Je m'occuperais de sa gorge plus tard, pour l'instant le simple bonheur de ce qu'elle me fait, me suffit. Même si elle ne suce que la moitié de ma bite. Pendant une dizaine de minutes, il n'y a plus qu'elle et ma bite. Puis quand le plaisir monte, je le laisse venir. Je lui dis simplement :

- Je vais jouir. Avale!

Elle se crispe, mais continue à me sucer sans quitter mon regard des yeux. Quand j'éjacule, elle avale aussi vite qu'elle le peut, avec une grimace de dégoût qui me rend fou de luxure.

Après avoir éjaculer, je la laisse continuer à me sucer pendant quelques secondes. Quand je me retire, Lili reste agenouillée, sonnée. Un peu de sperme coule de la commissure gauche de sa bouche. Elle pousse un petit cri de douleur quand je la remet debout en la soulevant par les cheveux. Elle gémit quand je lui donne une petite claque sur son cul splendide :

- Allez, on va dans ta chambre. J'ai envie de plus!

Sans un mot, en baissant la tête, ma belle victime se met en marcher. Je la suis, en matant ses fesses qui se balancent au rythme de ses pas. Je l'entends pleurer, renifler, ça m'excite grave.

Quand on arrive devant la porte de sa chambre, elle pose la main sur la poignée, se retourne vers moi. Je plonge mon regard dans ses magnifique yeux verts rougis par les larmes. Larmes qui coulent de plus en plus abondamment.

- S'il-vous-plaît...

- Ta gueule, ouvre cette putain de porte et entre!

Lili m'obéit. On entre dans la pièce.

- Va t'asseoir sur le lit pendant que je me déshabille.

Sans un mot, elle s'assoit sur le bord de son lit. Lili est tout blanche, elle baisse la tête. La chienne pose les mains sur ses jambes, elle tremble tellement que ses mains tressautent.

- Regarde moi pendant que je me déshabille. Comme cela tu verras la belle bite que tu va prendre dans ta chatte de chienne.

Lili ne me répond pas, mais la grimace sur son visage parle pour elle. La chienne a déjà vu ma bite quand elle m'a sucée, mais je trouve bien de dire ça.

Je me déshabille rapidement, j'ai hâte de prendre cette beauté. Sa chatte bien entendu, mais surtout son cul vierge. Même si ma bite n'est pas aussi grosse que ce qu'elle va croire voir, je sais que je vais quand même faire quelques dégâts dans son cul. J'en fais toujours quand je dépucelle une chienne par cet orifice. Même parfois avec des salopes qui l'on déjà prise dans l'anus, mais rarement. C'est de cette façon que je préfère un viol. Mais bon en attendant, je vais m'occuper de sa petite chatte que j'espère bien douillette.

Quand j'enlève mon caleçon, que mon sexe apparaît, Lili ouvre de nouveau des grands yeux horrifiés, comme si elle la voit pour la première fois. Je pense qu'elle a bien vu ma bite pour sa fellation, mais son cerveau n'a pas fait la connexion. Elle gémit :

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