Hypnose Mécanique 17

Informations sur Récit
Attention chapitre pas trop violent.
3.6k mots
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3.3k
1

Partie 17 de la série de 19 pièces

Actualisé 06/16/2023
Créé 12/04/2016
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Ceci est une fiction, aucun des personnages de ce texte n'est réel. Les personnages irréel de ce texte sont tous consentant pour y apparaître. Une fois le texte terminé, ils sont tous retournés à leurs vie inexistantes sans aucune séquelles, ni blessures. Un peu comme n'importe quel personnage imaginaire d'un livre.

Ce texte étant quand même d'une certaine façon assez violent, je ne le recommande qu'aux amateurs du genre. Pour les non amateurs, vous pouvez bien entendu le lire, mais prenez alors vos responsabilités. Après si c'est pour commentez que ce texte est violent, voir très ou trop violent, que c'est mal ou des trucs du genre, ben oui, je viens de vous le dire. En tout cas, à tous, bonne lecture.

Jonas : Moi, le héros de ce texte et des treize chapitres précédents. Après m'être amusé avec ma sœur et Siobanne mon premier amour, je décide de passer à d'autres.

Aziza : Policière tombée sous ma coupe.

Linda : Dix-huit ans, étudiante. Splendide jeune femme, légèrement métissée et brune. Ma nouvelle cible principale à la place de Siobanne. Contrairement à cette dernière, je la met rapidement au pas.

Sophie : Dix huit ans, également étudiante. Blonde aux yeux bleus, splendide voisine de Linda, que je me fais aussi, mais beaucoup plus violemment.

Le lendemain, je vais au supermarché. Je sais que Linda commence à huit heures trente, pour l'ouverture. Il est neuf heures quand j'arrive. Il n'y a pas grand monde. Elle est à la caisse huit, après seule les caisses une et deux sont occupées par d'autres caissières. Après avoir envoyé l'ordre par ma montre que personne ne fasse attention à ce que fait Linda, ni ne passe à sa caisse quand j'y serais, je prends quelques fruits. Puis je passe à chez elle. C'est incroyable comme elle me fait bandé, avec sa beauté et son air fragile. La jeune femme, assise, me tourne le dos, elle est en train de nettoyer son tapis de caisse. Quand elle se retourne, je vois ses yeux s'arrondirent, puis un « oh » puissant sort de sa bouche, tandis que son corps est parcouru d'un frisson intense. Il lui faut quelques secondes pour reprendre ses esprits. Je lui souris, elle détourne son regard de moi.

- Je vous fais de l'effet on dirais.

- Putain, oui!

Puis elle rougit, baisse les yeux en essayant de se faire petite.

- Non... je veux dire non...

Elle scanne mes fruits.

- Cela fais cinq euros trente.

Je lui donne l'appoint. Je dépose la monnaie dans sa main en effleurant sa paume de mes doigts. Elle sursaute comme si je viens de l'électrocuter. Un « oh » encore plus fort que le précédent sort de sa bouche, elle vient d'avoir un orgasme bien plus fort que quand elle me voit. Je me rends compte que son cerveau à fait une traduction bien étrange. Si la belle jouit quand elle me voit, si il y a contact cela doit être encore plus fort. Je ne m'y attendais pas, mais j'aime le truc.

- Vous allez bien, mademoiselle?

Elle met quelques secondes pour avoir suffisamment de souffle pour me répondre :

- Oui... oui... merci...

- OK. Au revoir.

Je me retourne pour partir, me mettant dos à elle, quand je l'entends dire d'une petite voix.

- Monsieur...

De nouveau je me retourne, pour lui faire face cette fois. Linda est très timide, elle ne fait jamais ça, mais ce que la belle jeune femme ressent, est beaucoup trop fort pour elle.

- Oui?

- Vous voulez mon numéro de téléphone.

Je vois qu'elle doit prendre vraiment sur elle pour me demander cela.

- Pourquoi faire?

- Ben discuter, se connaître, se donner rendez-vous...

- Pourquoi faire voulez vous un rendez-vous avec moi?

Elle hésite, regarde de l'autre côté, paraît un peu rassurée qu'il n'y est pas d'autres clients.

- Ben vous savez...

- Non, je ne sais pas.

- Ben, ce que font un homme et une femme... ensemble... consentant... au lit...

- Vous voulez dire du sexe?

Elle devient rouge écarlate, avant de me répondre d'une toute petite voix :

- Oui...

- Cela dépend.

Ma réponse l'étonne.

- Désolée, mais je ne comprends pas...

- Cela dépend de ce que tu fais. J'ai énormément de demande, je plais beaucoup aux femmes...

- J'imagine. C'est également mon cas.

- Alors je suis exigeant au lit. Il faut qu'une fille fasse beaucoup de chose pour moi.

- Je le ferais.

- Je peux être direct et hard?

- Bien entendu.

- Tu me suceras par exemple?

- Oui.

- Je pourrais jouir sur ton visage? Dans ta bouche? Tu avaleras?

- Je ne fais pas ça...

- Il le faudra si tu me veux vraiment. Je pourrais t'enculer?

- Non, je suis vierge de là...

- Donc pour moi aussi c'est non. La sodomie est obligatoire. Si je ne peux pas éclater le cul d'une fille qui couche avec moi, j'en choisis une autre.

Je vois qu'elle se retient de pleurer à mon refus. Je me penche sur sa caisse, je lui caresse la joue. Elle sursaute, crie un autre orgasme. Je vois le devant de son jeans se mouiller par sa jouissance. Je me dis pour que cela soit trempé là, cela doit être un tsunami de cyprine qu'elle vient de lâcher. J'attends qu'elle se calme un peu :

- Si un jour tu es prête à accepter tout cela, et même beaucoup plus. En fait si tu accepte tout mes désirs, même celui de coucher avec des amis à moi, alors tu pourras me donner ton numéro.

- Je ne fais pas des choses comme cela... c'est trop sale...

Je vois que cette fois, elle pleure pour mon râteau. Je la baiserais bien ici, tant elle m'excite.

- Si jamais tu changes d'avis, si jamais tu es prête à tout accepter pour moi, alors tu pourras prendre rendez-vous avec moi pour une bonne baise, voir plusieurs si tu es un bon coup. Sinon...

En partant je me dis que je vais passer à la vitesse supérieur. À chaque fois son amour pour moi et ses orgasmes vont augmenter en volume et en intensité. Je vais voir jusque où elle va résister à ma promesse de dépravation d'une part, mais aussi à son extrême envie d'une date avec moi. Je décide d'aller voir Lili, l'épisode avec Linda m'a vraiment fait bander.

Pour y aller fort, j'y suis aller fort avec Linda. Dès le lendemain, je suis passé trois fois par jours au magasin. Mon invention intimant l'ordre que personnes ne fassent attention à Linda, à ses réactions, ni ne passe à sa caisse quand j'y suis. Je lui dis systématiquement bonjour chaque fois que j'entre. Si j'y entre trois fois, je le lui dis trois fois. Je passe à sa caisse à chaque fois. Je lui touche la paume en la payant. Quand elle met en rayon, je la croise dans chaque rayon. Tant est si bien qu'au bout de mes visites, elle est à plus d'une vingtaine d'orgasmes. On dirais, quand je la quitte, qu'elle s'est pissée dessus tant son jeans est trempé de cyprine, je n'imagine même pas l'état de sa culotte.

Quand j'arrive le quatrième jour, je vais lui dire bonjour. Elle hurle son orgasme en me voyant. Heureusement, grâce à ma machine, personne n'y prête attention. Une fois que je l'ai salué, je me tourne pour aller faire mes courses, quand j'entends :

- Monsieur...

Je me retourne, je la regarde, elle me fait signe de m'approcher de sa caisse. Elle me tend un papier blanc, plié en deux.

- C'est mon numéro de téléphone. Je finis à midi.

Je ne le prends pas immédiatement, je joue un petit peu :

- Tu acceptes tout ce que je t'ai dis?

- Oui...

- Même la sodomie?

- Oui...

- Même avec d'autres hommes?

Elle fait une grimace de dégoût, mais elle me répond :

- Oui.

- Même avec un chien?

- Quoi?

- Tu as compris.

- Non, vous ne pouvez pas...

Je lui coupe la parole.

- Comme tu veux.

Je me tourne, je vais pour m'éloigner quand j'entends :

- D'accord. D'accord pour le chien aussi.

Pauvre petite conne.

- Tu seras ma pute, ma salope, ma chienne, mon esclave sexuelle?

- Oui.

- Dis-le.

- Ne m'humiliez pas en plus.

- C'est toi qui me veux. Moi, je ne suis pas venu vers toi. Tu ne me plaît pas, tu ne me fais pas bander, je te trouve laide, idiote, répugnante. Je veux bien faire un effort, mais à mes conditions!

Ce que je viens de lui dire l'horrifie, elle en pleure doucement. J'en rajoute une couche:

- Si je dois baiser une débile aussi vilaine que toi, il faut que j'y trouve un certain plaisir. Alors quand je dis une chose, tu le fais. Maintenant tu sais où tu mets les pieds. Alors dis ce que je t'ai demandé, ou alors, jamais tu ne m'auras!

Je vois que le fait de risquer de me perdre à tout jamais, ce qui bien attendu ne se fera pas, l'horrifie encore plus que ce que je viens de lui dire. Elle ne réfléchit même pas, me disant immédiatement :

- Je serais votre pute, votre salope, votre chienne, votre esclave sexuelle. Je serais tout ce que vous voulez, que cela me plaise ou pas. Mais je vous en supplie, ne me repoussez pas. Prenez mon numéro, contactez moi...

Je prends le papier, le met dans ma poche.

- Tu m'as dis que tu finis à midi?

- Oui.

- Tu es en voiture?

- Oui.

- Parfait, tu va m'attendre devant le magasin. Quand j'arrive, on iras boire un verre et manger un bout. C'est toi qui paies.

- D'accord.

- Mais avant de partir, quand on sera dans la voiture, tu me feras une pipe, puis tu avaleras tout!

- On me connaît ici. Si on nous vois?

- Moi je m'en fou, j'en ai envie. C'est ma condition pour te donner une chance de me séduire. Alors?

- Je vous ferais une pipe, j'avalerais tout.

- Bien. Alors à midi.

- À midi.

Je m'éloigne, je l'entends m'appeler encore une fois.

- Monsieur?

Je me retourne encore, je la regarde interrogatif.

- Oui?

- Merci.

- Pourquoi?

- Pour le rendez-vous avec moi, surtout que vous me trouvez répugnante.

- Ne t'en fais pas, même si la fille ne me plaît pas, un trou-du-cul bien serré est une chose que je ne refuses jamais. Tant qu'il reste serré bien entendu.

Sans attendre de réponse, je m'éloigne et sort du magasin. Lui tournant le dos, la magnifique Linda, ne voit pas le sourire éclatant sur mon visage, ni mon sexe bien bandé qui tend mon pantalon.

Volontairement, j'arrive avec quinze minutes de retard. Linda me tourne le dos, j'admire son cul, je vais me régaler, elle un peu moins, quoique ce ne sera pas un viol cette fois. Elle va m'offrir son trou-du-cul si elle veut que je me mettes avec elle. Ou tout du moi, un truc qui ressemble à un couple. Une fois que je suis près d'elle, je l'appelle :

- Linda!

Elle se retourne, me faisant un magnifique sourire. Puis je l'entends pousser un cri, elle vient d'avoir un orgasme. Je fais comme si je ne l'avais pas vu. Je remarque qu'elle a les yeux rouge.

- Tu as pleurée?

- J'ai crus que vous ne viendrez pas.

- C'est à ce point là?

- Oui, je ne devrez pas vous le dire, mais je vous aime. J'ai mal quand vous n'êtes pas là. Je ferez tout pour vous.

- Tant que ça.

- Vous allez me prendre pour une folle, mais j'ai un orgasme à chaque fois que je vous vois, à chaque fois que vous me touchez.

- Je ne t'ai jamais touchée!

- Si quand vous me donnez l'argent pour payer vos courses, vos doigts effleurent à chaque fois la paume de ma main. Là, bingo, je jouis.

- Ben qu'est ce que cela va être quand je vais te baiser.

Le terme la fait tiquer.

- J'imagine que je vais jouir comme une folle quand on fera l'amour. Je peux vous tutoyer?

- Non, tu me vouvoies, moi je te tutoies parce que je veux simplement te baiser. Après on verra.

- D'accord.

- Allez, on va à ta voiture.

On s'arrête devant le véhicule. Je la mets sous mon contrôle.

- Qui je suis?

- Le maître.

- Et toi?

- L'esclave.

- Déjà, tu va jouir à chaque fois que je vais éjaculer dans ta bouche, sur ton visage ou dessus ton corps. Compris?

- Oui.

- Des orgasmes de fou, de plus en plus fort à chaque fois. Tu jouiras aussi à chaque fois que j'éjacule dans ta chatte ou dans ton trou-du-cul. Compris?

- Oui.

- Par contre, pour la sodomie ou la baise, cela te fera mal, très mal, à chaque fois. Tu n'aimera jamais que l'on t'encule. Que ce soit avec moi ou pas. Tu ne refusera plus rien de sexuel au mec avec qui tu couches, que ce soit moi ou un autre. Compris?

- Oui.

Je réfléchis rapidement aux ordres que je peux lui donner. Perversement, plusieurs idées plutôt sympa me vienne à l'esprit.

- D'ailleurs tu ne refuseras jamais à un homme qui te veux de coucher avec lui.

- S'il-vous-plaît, je ne suis pas une salope...

- Si maintenant tu en es une.

- D'accord.

- D'ailleurs, même si ce sont plusieurs hommes qui te drague, tu ne pourras plus refuser. Que la demande soit explicite ou implicite. Compris?

- Pour explicite, oui, pour implicite, c'est vague.

- En gros dès qu'un homme te drague, en insistant un peu, tu lui propose de coucher avec toi. Si c'est possible, la totale chez lui, sinon juste un coup dans un coin, voir seulement une pipe. D'ailleurs, tu te sentiras salie chaque fois qu'ils jouiront dans ton corps. Seule l'éjaculation, buccale te fera jouir. Pour toutes autres éjaculations dans ton corps, tu sera aux portes de l'orgasme, sans jamais y arriver. Compris cette fois?

- Oui.

- À moi, et seulement moi, tu ne peux plus rien me refuser. Que ce soit sexuel ou pas. Tu le vivras et le ressentiras normalement, comme tu le ferais sans contrainte psychique, mais tu obéiras.

- D'accord.

- Si je te demande de te prostituer pour moi, tu le fais. Bien entendu, tu réagis normalement à chacun de mes ordres avant d'accepter.

- D'accord.

- Même si je te demande de baiser ou de te faire enculer par un chien. Tu y vas.

- Pas les animaux... s'il-vous-plaît...

- Qui je suis?

- Le maître.

- Et toi?

- L'esclave.

- Donc?

- Oui, j'accepte même les animaux. J'accepte tout vos ordres, même les plus horribles.

- Bien. En gros quoique je t'ordonne, tu fais. Que tu aimes ou pas. Que tu es peur ou pas. Que cela te dégoûte ou pas. Compris?

- Oui.

Allez, une petite dernière pour la route :

- Pour les autres sexes, c'est toi qui vois. Mais le mien est gros, beaucoup trop gros pour toi. Au moins trois fois trop gros pour tes orifices. Sauf pour la bouche ou la gorge, si je te fais faire des gorge profondes. Par contre me sucer ou quand je te jouirais dessus, que ce soit le visage ou toutes autres partie de ton corps, tu seras dégoûtée à l'extrême. Mais tu le feras et tu n'oublieras pas de jouir. Compris?

- Oui.

- Tu va obéir?

- Oui, à tout.

- Pourquoi?

- Vous êtes le maître, je suis votre esclave.

- Bien brave pute.

- Je ne suis pas une pute.

- Si j'ai envie que tu en sois une, tu le seras.

- OK.

- Par contre tu n'as plus d'orgasmes que je te touches ou que tu me croise. Mais cela te fais quand même mouiller comme une folle. D'ailleurs en parlant de mouiller, tu reste sèche avant que je te pénètre. Ton sexe ne peut se lubrifier qu'une fois que je suis dedans.

- Bien.

- Tu as tout compris?

- Oui.

- Parfait.

Avant de la faire revenir, je me sers de ma montre pour ordonner que personnes ne s'approche de la voiture de Linda pour le moment. Que si par hasard, une personne la voit me sucer, elle n'y fasse pas attention, comme si c'était une chose normale.

- Allez, il est temps maintenant de passer à la fellation.

- D'accord.

- Linda, reviens à toi.

La vie reviens dans les yeux de Linda. Elle me demande :

- Je conduis ou vous conduisez?

- Tu conduis, ce sera plus confortable pour moi. Surtout pour ta pipe.

- Vous voulez vraiment que je vous suce ici? Ce sera encore plus confortable chez moi.

- Je préfère ici, tu me fais vraiment bander, il faut que je me vide.

Linda rougit mais ne me répond pas. Elle sort la télécommande de la voiture de son sac, appuie sur un bouton, les portes se déverrouillent. J'ouvre ma portière et m'assois à ma place. Linda ouvre la sienne, elle attend que je sois assis, elle se penche :

- Vous préférez que je vous suce habillée ou nue?

- Habillée. Si l'on te vois me sucer, on va penser que tu es une salope, si tu es en plus à poils, la ou les personnes qui nous voient, risque de penser que tu es une putain.

Linda rougit mais ne dit rien. Elle entre dans la voiture, s'assoit et referme sa portière.

Je débraguette mon pantalon, je le baisse ainsi que mon caleçon. Quand ma bite dure surgit, Linda ouvre de grands yeux ébahis.

- Mon dieu, c'est énorme.

- Merci.

- Ça va avoir du mal à rentrer dans mon sexe... ou...

Elle ne va pas plus loin.

- Ou quoi?

- Vous savez.

- Non, dis le moi.

- Par derrière. C'est beaucoup trop gros pour ça.

- Tu veux dire que cela va te faire mal quand je vais t'enculer?

- Oui.

- Tu le feras quand même?

- Oui.

- Alors je ne vois pas où est le problème. Trop gros ou pas, tant que je t'encules, je me fou de ce que tu ressens.

Elle baisse les yeux, honteuse.

- Bon ce n'est pas tout, suce moi. Quand je jouis, tu avales. Je veux que quand mon sexe ressort de ta bouche, il soit parfaitement propre.

- D'accord.

Linda se penche vers moi, la position ne doit pas être confortable pour elle, mais je m'en moque. Tant qu'elle peut me sucer...

La conne est maladroite, il va falloir que je l'éduque. Mais j'ai tellement envie, que sa pipe me va. Elle se sert quand même un peu de sa langue. La magnifique brune me suce les yeux fermés, il va falloir que je lui précise de le faire les yeux ouverts à l'avenir. Mais pour l'instant je préfère juste profiter de sa bouche. D'une main, je lui caresse les cheveux, j'adore les cheveux frisés et long. Je ne vais pas lui faire faire une gorge profonde. Pas que je n'aime pas cela, mais je n'ai pas envie qu'elle souille mon pantalon de sa bave ou de son vomit.

Malgré son manque de pratique, je ne tarde pas à sentir mon plaisir monter. Je ne lui dis rien, quand mon sperme jaillis sur sa langue. Elle met une seconde à comprendre, puis tout en avalant, je l'entends gémir de plaisir. Son corps se tend, puis est secoué de tremblements puissants. Quand j'ai tout envoyé, elle continue quelques secondes à gémir de son orgasme, tandis que les derniers spasmes de plaisir quitte son corps. Elle me suçote encore un peu. Quand Linda se redresse, retirant mon engin à demi dur de sa cavité buccale, il est parfaitement propre. La belle me fait un splendide sourire, les yeux étincelant.

- Je n'ai jamais jouis autant.

- Tu as aimée me sucer?

- Bof, j'aime pas trop ça. Par contre, quand vous avez éjaculé dans ma bouche... ce fut un feux d'artifice. J'ai déjà eus beaucoup d'orgasmes, surtout quand je vous voyez au boulot, ou que vos doigts touchent ma main, mais là... ce fut dix fois mieux...

- Attends que je jouisse dans ta chatte, ce sera encore meilleur!

- Mon dieu... Je n'ose pas imaginer ce que je vais ressentir!

Linda paraît rêver en imaginant ce qu'elle va pouvoir ressentir. Puis elle semble revenir sur terre.

- Si ça rentre... c'est tellement énorme...

- Ne t'en fais pas, ça va rentrer, tout seul ou en force.

- Cela ne risque pas de me déchirer?

- Je ne pense pas, on verra bien.

- Vous n'en êtes pas certain?

- Non. Je peux te déchirer en effet.

- Si cela arrive, on fais quoi?

- Ben je finis de te baiser, quand j'ai finis de jouir, on appelle les pompiers ou le Samu.

- Pas dès que je suis déchirée?

- Non, si je commence, je finis.

- Cela me fait peur. Je n'ai jamais eus physiquement mal...

- Tu veux que je partes?

- Non, ce que je ressens pour vous est trop fort. Je suis prête à tout vivre pour que vous restiez auprès de moi.

Bonne chienne, je vais prendre un max de plaisir avec elle. Linda, beaucoup moins, quoique pour le moment, les orgasmes qu'elle va ressentir, effaceront tout le reste.

- Allez, on va chez toi.

- On ne va pas d'abord manger ensemble?

- Non, ta pipe m'a convaincu. Je vais te baiser directement.

Linda me sourit, démarre le moteur. La belle me regarde, pendant quelques secondes, comme un dieu, puis enfin l'on se met à avancer.

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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 12 mois

Très on chapitre.

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