Idriss 08 - L'abandon

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Idriss va faire vivre à Camille une expérience inoubliable.
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Aux lectrices et lecteurs éventuels :

Note 1 : Ceci est le huitième épisode de la série Idriss, pour une meilleure compréhension du contexte et donc une meilleure immersion, il est vivement conseillé de lire les premiers épisodes respectivement intitulés « La rencontre » ; « À trois » ; « Sexe à volonté » ; « Exigeant mais charmant » ; « Bisexualité » ; « Le mariage » et « Albert »

Note 2 : Camille est la narratrice

***

Evidemment avec le temps, même dans le genre de relation que nous entretenons tous les trois, une certaine routine s'installe. Particulièrement dans ma vie avec Ludo. Je lui reste sexuellement soumise mais, à de rares exceptions près, ses désirs sont souvent les mêmes et nous nous installons dans un train-train très confortable pour lui et pas désagréable pour moi.

Il essaye de maintenir un certain contrôle sur la fréquence de mes rencontres avec Idriss mais s'habitue au fait que je parte le voir parfois sans lui en parler et ne me demande pas forcément de raconter.

Ma relation avec Idriss, quant à elle, est beaucoup plus mouvementée. Même s'il arrive qu'il ne se passe rien d'extraordinaire, la tension sexuelle qui existe entre nous me laisse toujours extatique. Idriss profite de l'ascendant qu'il a sur moi pour me soumettre et m'humilier au maximum. Il sait que, à mon corps défendant, ça m'excite. Je crois qu'il pourrait me faire faire n'importe quoi. Je suis complètement sous son emprise et j'en suis pleinement épanouie.

Un jour, Ludo m'a prévenue de son arrivée. J'ai foncé dans la salle de bain pour me préparer. Je m'apprêtais à entrer sous la douche, qu'Idriss a ouvert la porte. Il m'a attrapée, mise à quatre-pattes (je n'ai même pas eu le temps de m'agenouiller selon son rituel) et m'a baisée, sur le carrelage, il s'est démené dans ma chatte pendant quelques minutes. Au moment où je commençais à monter dans les tours, je l'ai senti se crisper et gicler en moi. Il s'est immobilisé un instant, s'est retiré puis ma fourré sa bite dans la bouche. Je l'ai sucé et nettoyé, décontenancée. Il a remis sa queue dans son pantalon, m'a dit « Ahhh, j'en avais besoin. À plus Cam' » et s'est tiré !

J'étais à genoux, la chatte échauffée dégoulinante de son sperme, la bouche pleine de son gout mais seule et insatisfaite.

J'imagine que ce genre d'expérience pourrait en dégouter plus d'une. Mais ma nouvelle perversion ne me le fait pas voir comme ça : je suis excitée d'être son objet, qu'il puisse me considérer comme une poupée gonflable en quelque sorte. Je ne crois pas que ça me plairait s'il n'y avait que ça entre nous. Je sais qu'il le fait car il sait que ça me plait. Et je sais aussi qu'il prend toujours soin de moi. Il me fait faire n'importe quoi, mais toujours sans risque.

Aujourd'hui c'est carrément Idriss qui me conduit. Je suis toute contente, je m'imagine une sorte de week-end en amoureux mais sans Ludo. Même s'il n'est pas prévu que ça dure le week-end. On verra bien.

Je monte dans sa voiture et, déception, il m'informe qu'on retourne chez Albert ! Voyant ma réticence il me précise qu'Albert ne sera pas présent. Je me dis que, finalement, ça va être excitant de baiser avec Idriss, seuls tous les deux dans une maison presque inconnue. Pendant tout le trajet je fantasme sur les tous les endroits de cette maison dans lesquels je vais me faire prendre.

Arrivés sur place, on se rend dans la salle de bain ensemble, on prend une douche sexy et sensuelle. C'est vraiment agréable, on sent qu'on a le temps. On se caresse sans trop se chauffer. Idriss est doux et attentionné. Il m'embrasse avec passion et je sens son pénis durcir contre mon ventre.

Il m'amène alors dans la chambre. Enfin pas "la" chambre mais une autre chambre. Elle est plongée dans une forte pénombre mais je distingue qu'elle aussi ne dispose que d'un lit simple. Sur le côté du lit opposé à la porte, il y a une table de chevet avec une petite lampe et une coupelle ainsi qu'une chaise. Idriss me fait mettre à quatre pattes en travers du lit, la tête vers la chaise. Il s'installe devant la chaise, la bite au garde-à-vous devant mon visage tendu vers lui. J'ouvre la bouche pour le happer mais il me saisit la tête des deux mains, se penche vers moi et me dit : «

- Tu me fais confiance?

- Quoi? Pourquoi? Bien sûr que je te fais confiance.

- Alors pendant toute notre après-midi je veux que tu restes dans cette position quoiqu'il arrive, tu pourras te reposer les bras bien sûr mais je te veux le cul en l'air et offert tout le temps ok?

- Euh oui, d'accord mais qu'entends-tu par "quoiqu'il arrive"? Lui répond-je un brin inquiète.

- Tu verras bien, et en plus je ne veux plus t'entendre prononcer un mot. Tu peux crier, hurler, gémir, souffler. Le bruit n'est pas un problème mais je ne veux plus t'entendre parler ok?

- Oui »

Et je me prends une baffe instantanément. Elle n'est pas forte mais c'est humiliant. « J'ai dit plus un mot ! C'est compris?». J'acquiesce piteusement. Il me met un bandeau sur les yeux. Je me demande ce qu'il a en tête, je voudrais simplement qu'il me baise. Mais je ne suis pas déçue très longtemps : il se redresse, me fourre sa bite dans la bouche et, d'une petite tape à l'arrière de mon crane, m'indique qu'il attend que je me mette à l'œuvre.

C'est toujours aussi incroyable mais c'est un vrai bonheur. J'adore le sucer, je ne sais pas si c'est par plaisir de lui plaire, si c'est par anticipation de ce que cette queue va me faire mais le sucer, sentir son gout, saliver jusqu'à en baver m'amène dans l'état d'extase que j'attendais. Après cinq bonnes minutes de labeur, il se retire, m'embrasse à pleine bouche et passe de l'autre côté du lit. J'en mouille d'avance. Je me demande s'il va m'enfoncer son dard d'un coup sec ou me caresser, voire me lécher. Cette incertitude m'excite particulièrement, je me cambre un maximum pour lui offrir la plus belle vue mais aussi tous les choix. Je sens ses doigts me frotter la chatte. Et c'est bien un frottement. Sa main frotte mes lèvres et toute ma vulve, son majeur vient heurter mon clito et se retire. C'est curieux mais, comme je suis trempée, ça glisse tout seul. Ce n'est pas très sensuel mais plutôt mécanique. Excitée comme je suis je me laisse emporter par ce va-et-vient lancinant et ma respiration se saccade, de petits gémissements m'échappent. Le plaisir monte, implacablement.

Puis il s'arrête et je sens son visage contre ma vulve, sa langue qui farfouille entre mes lèvres et tente, avec succès, d'y dénicher le clito. C'est bon, c'est mouillé, c'est doux. Enfin sauf sur le haut des cuisses où ses joues mal rasées m'irritent un peu. Je n'avais pas remarqué qu'il n'était pas bien rasé. Ce n'est pas très agréable mais c'est tellement viril que je n'y prête pas attention et je m'abandonne à ses coups de langues jusqu'à ce qu'il décide de me prendre. Il m'attrape par les cheveux pour augmenter ma cambrure, positionne son pénis à l'entrée de mon vagin. Au moment où il s'enfonce en moi, je l'entends me dire avec sa voix si autoritaire : « Suce-moi Camille » et sa queue glisse dans ma bouche. Je suis perdue, j'ai un moment d'hésitation. Je sens la bite d'Idriss me baiser la bouche. Je sais que c'est lui, cette longue queue si suave et douce. Elle a son gout mais aussi le mien car je viens de le sucer. Et pendant qu'elle fait de petits aller-retours dans ma bouche et qu'il m'encourage « Allez ! Suce ! » je me fais pilonner la chatte. À l'instant où je réalise que je ne sais pas qui me baise, je resserre les cuisses, baisse les fesses et me retourne pour voir qui est derrière moi tout en lâchant la bite que j'avais en bouche. Bien sûr je ne vois rien car j'ai le bandeau et en plus je me prends une deuxième baffe. « On a dit : le cul en en l'air !»

Je me ressaisis. J'analyse la situation. Le plan d'Idriss est donc qu'un inconnu me baise. Il m'a dit de lui faire confiance. Mes choix sont simples : soit je n'accepte pas sa proposition, je sors d'ici avec le risque de ne plus le revoir, soit je lui obéis. C'est plus fort que moi, lentement, je me remets en position, offrant mes fesses à cet inconnu. Idriss m'enlève le bandeau, me soulève le menton et me fixe.

« Regarde-moi !»

Je lève les yeux vers lui. J'ai sa bite posée sur ma bouche et il me regarde intensément. Son regard et son sourire montrent le degré d'excitation qui le parcoure. J'en suis fière et un feu intérieur me dévore.

« Cambre-toi plus, sois offerte ! »

J'écarte un peu plus mes cuisses, je relève mon cul et le fixe avec la même intensité que lui. Des mains fortes s'accrochent à mes hanches, une queue inconnue se presse sur ma vulve, se fraie un chemin entre me lèvres, pénètre mon vagin pendant que nous nous regardons. J'encaisse les coups de butoir de l'inconnu, je fixe Idriss dont la queue est posée sur mon visage qui s'y frotte à chaque coup. Le moment est intense, j'en oublie la salope que je suis à me faire baiser par n'importe qui. La chaleur et la moiteur me gagnent, ma respiration s'accélère de nouveau, ma bouche s'ouvre pour laisser passer mes premiers gémissements. Me seins sont ballotés de plus en plus violement. Je suis en sueur et ils claquent l'un contre l'autre. C'est un vrai concert : les bruits de succion de ma chatte, mes seins qui battent le rythme et mes gémissement de plus en plus intenses. Idriss et moi ne nous lâchons pas du regard, il finit par remettre sa bite dans ma bouche et ça étouffe un peu mes cris. Je jouis et le gars derrière me suit de peu. Je le sens se crisper, m'agripper avec ses mains de camionneurs, me coller contre lui et m'enfoncer sa bite tressaillante au plus profond. Puis il s'effondre, sur moi. Je dois supporter son poids mort car j'ai promis de rester le cul en l'air et de toute façon Idriss est toujours dans ma bouche.

Le gars se lève, se retire un peu mou. Idriss s'assied sur la chaise devant moi. L'inconnu grimpe sur le lit à ma gauche, je m'apprête à tourner la tête pour le regarder mais Idriss m'en empêche en me maintenant la tête de sa main. Le gars dépose sous moi une capote pleine, farfouille du côté de la table de chevet et s'en va.

Sans quitter sa chaise, Idriss me libère la tête et j'en profite pour essayer de voir la table de chevet. Je distingue une sorte de papier dans la coupelle. A force d'écarquiller les yeux je comprends avec horreur ce que c'est : un billet de 20 euros !

Je laisse échapper un hoquet de stupeur en me tournant, folle de rage, vers Idriss. Mais son regard sévère m'arrête net : je ne dois pas parler.

Je n'en reviens pas ! Ce salaud vient de louer mon cul ! Et pour vingt balles seulement. Une pute de bas étage. Que cherche-t-il? J'ai le cœur qui bat la chamade et lui me fixe avec un petit sourire satisfait, sadique. Je ne comprends d'ailleurs pas pourquoi je ne peux toujours pas parler ni même pourquoi je suis encore sensée garder mon cul en ... Des mains viennent de se poser sur mes hanches ! Avant que j'ai pu réagir, je me fait encore pénétrer ! Je suis certaine que ce n'est pas le même type ! Les mains sont plus douces et la bite plus épaisse. Et sans préliminaire je me fais baiser. Je regarde Idriss, il se branle. J'ai les yeux écarquillés d'effarement, voire de sidération. Je me demande si je suis en train de me faire violer et que je ne sais pas réagir. Mais en en fait, non. Je fais ça pour lui. Il prend du plaisir à cette situation. Le voir excité comme ça, grâce à moi, son regard sur mon corps, sa main qui glisse sur sa queue, ma chatte mouille, le pilonnage me fait chauffer. En plus, ce diamètre me dilate délicieusement. Idriss glisse deux doigts dans ma bouche et simule des va-et-vient. J'en bave de bonheur. L'inconnu du moment se penche un peu sur moi, çaa limite sa pénétration mais il m'attrape un sein et me pince fortement le téton. Je pousse un cri de douleur mais ça m'irradie jusque dans le clito. Je suis au bord de la jouissance mais le gars ne tient pas. Il explose soudain, cesse tout mouvement. Comme une salope en chaleur j'essaye de jouir aussi en m'empalant moi-même sur son membre pour le plus grand plaisir d'Idriss mais il se retire avant que n'ai pu me finir. Je suis hyper frustrée. J'ai la chatte en feu qui voudrait jouir, je me dégoutte de me conduire comme une pute (au sens propre du terme) et en plus je constate que ce salopard ne dépose que 10 euros dans la coupelle. J'ai envie d'hurler de désarrois. Idriss se lève, je le suis des yeux et il ne m'en empêche pas. Il me caresse la chatte avec bienveillance. Il sait s'y prendre. Je me laisse aller. Le plaisir remonte, je mouille. Il me caresse à deux mains, l'une me massant l'anus. Je suis tellement trempée qu'il m'enfonce un puis deux doigts dans le cul sans forcer. Je sens que je vais basculer mais il s'arrête. Je suis sure qu'il prend aussi plaisir à me laisser dans cet état de dépendance et d'insatisfaction.

Il retourne sur sa chaise et, comme la mécanique est bien huilée maintenant, au moment où il s'assoit je sens des mains sur mes hanches. Elles semblent longues et fines, semblable à la bite qui s'insère en moi. J'en ai pris mon parti de toute façon. Je vais me laisser baiser par tous les mecs qui vont entrer alors autant essayer d'en profiter aussi. La baise est bonne, le gars est doux précis et je sens que, lui, va me faire jouir. J'attends ça depuis un bon moment, ça va être une explosion incroyable. A force de coup de plus en plus rapides et profond, il finit par rater son coup et sortir de ma chatte. Quand il remet sa bite je comprends qu'il va m'enculer. Il ne me laisse pas le temps de réagir. Tout le travail de lubrification et de détente qu'il a fait pendant la baise lui facilite l'entrée et je me retrouve avec sa bite dans le cul. Je crie, ça m'a fait mal car il y est allé d'un coup. Mais il ne s'arrête pas à ça et me pilonne. Une fois que j'y suis un peu habituée, la douleur au niveau de l'anus s'estompe, il essaye de lubrifier régulièrement avec sa salive ou ma mouille et les sensations à l'intérieur de mon cul ne sont pas désagréables. Je me détends. Idriss se lève, se met à côté de moi et, pendant que je me fais défoncer le cul par l'autre mec qui s'excite de plus en plus, il commence à me masser le clito. Le double traitement me fait exploser rapidement. Mon vagin se contracte dans un violent orgasme, je casse ma cambrure, et mon anus tente de se refermer autour de la bite qui l'entrave. Je jouis dans un hurlement strident et je sens, dans mon sphincter serré, les soubresauts de la queue qu'il enserre. Le mec derrière moi expulse un râle de plaisir.

Quand il nous quitte, j'ai le plaisir de voir qu'il a laissé cinquante euros. J'ai quand même sacrément revu mes standards à la baisse. Quelques heures plus tôt je n'aurais jamais imaginé vendre mon corps pour si peu !

Les mecs s'enchainent tout l'après-midi. Ils me baisent, les uns après les autres, par tous les trous (ce n'est pas vrai puisque ma bouche reste réservée à Idriss qui s'en sert à sa guise de temps en temps). Je ne suis pas excitée tout le long. Parfois j'arrive à jouir mais la plupart du temps je suis juste un (ou deux) trou(s) à disposition. On finit par avoir besoin de lubrifiant artificiel. J'ai la chatte et le cul en feu. Idriss doit avoir la bite dans le même état car il a alterné entre sa branlette et ma bouche. Le dernier inconnu sort en laissant seulement quelques pièces mais je comprends pourquoi. Il a mis des plombes à jouir car je n'étais pas vraiment avec lui et un peu sèche. Je me demande combien je vais encore devoir en subir quand je reçois une énorme giclée en pleine face. Du sperme me dégouline du visage, je suis toujours à quatre pattes, je ne peux pas me débarbouiller et Idriss me dit : « Nettoie-moi ». Je suce sa queue poisseuse, je dois m'y reprendre à plusieurs fois car du sperme tombe de mon nez sur sa queue et je sais qu'il aime que je la rendre complètement propre.

« Voilà Camille, l'après-midi est terminé. Tu peux de nouveau parler et choisir ta position. Je pense qu'on a mérité une bonne douche. J'y vais d'abord »

Je m'effondre sur le lit avant de me rendre compte que je suis en train de m'allonger sur toutes les capotes. Je m'en dégage et je savoure le fait de pouvoir détendre mes muscles. Je suis exténuée. Par curiosité, je compte les capotes : 11 ! J'en reviens pas. Je me suis fait baiser par onze mecs sans même compter Idriss. Et pour combien? Je compte l'argent : 265 euros. C'est ridicule. J'ai honte de m'être fait baiser pour si peu et j'ai honte du sentiment que j'aurais été fière si la somme avait été grosse. Une vraie pute.

Je vais me doucher après Idriss et quand je sors il me tend deux billets : « C'est ta part ». Je les prends : vingt-cinq euros.

« Tu te fous de moi?

- Pourquoi?

- J'ai compté, on a gagné plus de 250 € lui dis-je

- T'as compté? Une vraie petite femme d'affaire ! me répond-il avec un sourire narquois

- C'était juste de la curiosité.

- Tu as raison, "on" a gagné 250€ mais c'est moi qui ai trouvé la chambre, et les payeurs. 10% c'est ta part.

- Quoi? Mais c'est moi qui les ai rapportés quand même !

- J'en reviens pas comme tu t'es si vite glissé dans ce rôle de pute. J'ai comme l'impression que ça t'a plu

- ...

- Avec ma part, je t'invite au resto ce soir »

J'en suis ravie. Et, il a raison, ça m'a plu. Pas l'argent, le fait d'être offerte, de laisser aller, de perdre le contrôle. Je ne suis pas certaine que je vais avoir le courage de raconter ça à Ludo. Tous les couples ont leurs petits secrets après tout !

Aux lectrices et lecteurs éventuels :

J'ai pris beaucoup de plaisir à écrire cette série. Ses trois personnages sont un peu devenus réels dans mon esprit, j'imagine que de toute façon ils représentent une part de moi-même. Cependant mon inspiration se tarie. Il me reste quelques idées mais elles sont souvent assez peu approfondies pour en faire un épisode et je n'arrive pas forcément à les rattacher à la progression des relations.

J'y reviendrai peut-être mais pour l'instant c'est terminé.

Si néanmoins certaines ou certains d'entre vous souhaitent me soumettre des idées de poursuite, je suis preneur tout en sachant qu'il faudra néanmoins que j'arrive à me projeter pour écrire.

Merci d'avoir pris le temps de me lire.

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