Isabelle, esclave consentante

CHAPITRE 1

Bonjour. Je m'appelle Isabelle ou du moins je m'appelais Isabelle car depuis près de 12 ans maintenant je me prénomme Whore. J'ai 35 ans et je vis avec mon Maître depuis mes 23 ans. Enfin vivre, je ne dirai pas cela vraiment vivre, je lui suis soumise depuis tout ce temps.

Je me trouve actuellement dans la salle de jeu de mon Maître.

Je suis dans une posture disons délicate :

Je me vois dans le miroir qui me fait face et ce que je vois me met dans tous mes états :

Je vois une blonde, une blonde décolorée car châtain clair de part mes origines polonaise. J'ai des cheveux extrêmement long en queue de cheval car ils n'ont pas été coupés depuis que je suis au service de mon Maître. Ma queue de cheval m'arrive à mi-mollet.

Mon corps est attaché à un poteau. Maître m'a replié les jambes en hogtie. Seul mon torse est plaquée sur le poteau par 3 liens de corde, un sur l'abdomen, un autre sous mes seins et le troisième juste au-dessus des seins J'ai un plug de 10 centimètres de diamètre dans la chatte et un autre identique qui m'écartèle le cul.

Les lèvres de mon sexe sont étirées par des poids accrochés aux anneaux qui les ornent. Je ne peux pas parler car un anneau m'empêche de fermer la bouche et ma langue est tirée à l'extérieur par 2 barres en métal qui sont serrées sur mon organe juste derrière les 3 piercings qui orne ma langue et qui m'empêche de la rentrer. Mes bras sont ligotées derrière le dos, ce qui fait ressortir mes seins. Ceux-ci sont entourés de corde et prennent doucement une couleur bleue. Comme je vous l'ai dit plus haut, mes orifices sont écartelés par des plugs. Ils sont traversés par des impulsions électriques provenant d'une centrale d'électrostimulation. Je sens mes sphincters se contracter et se serrer sur le plug anal. Ma chatte se resserre à chaque stimulation. et un cri sort de mon gosier à chaque fois. Je sens ma jouissance couler sur le sol comme une fontaine.

Mon Maître entre dans la pièce et me sourit. Il prend 2 électrodes sur la table qui se trouve à côté du chevalet. Il passe ces 2 tiges de cuivre au travers des flesh tunnel qui distendent mes tétons. Toujours en me regardant dans les yeux, Maître active les 2 électrodes qu'il vient de poser. Maintenant mes seins sont traversés par le courant électrique. Je ne peux même pas fermer les yeux sous la douleur car mon Maître m'a collé les paupières juste sous l'arcade sourcilière.

« C'est pour que tu puisses te voir totalement avilie dans ce miroir Whore. » M'a-t-il dit avant cette punition.

Il me regarde souffrir quelques instants. Il peut voir mes yeux comme sortir de leur orbite lorsque les impulsions traversent mon corps. Je souffle bruyamment. Maître tourne les talons et quitte la pièce.

Je me retrouve en compagnie de mon reflet dans le miroir. Quelques minutes plus tard, qui me paraissent une éternité, Maître entre à nouveau dans la pièce. Mais il n'est pas seul car Maîtresse Nathalie le suit. Dès qu'elle me voit un sourire illumine son visage mais je connais ce sourire et il ne me dit rien qui vaille.

Maîtresse Nathalie passe derrière moi et je la vois prendre dans le miroir mes cheveux. Elle prend une brosse et, tendrement, la passe dans ma chevelure en faisant des gestes amples. Malgré la douleur qui me taraude le corps, je me sens bien dans ses mains.

Je la vois qui tire cinq mèches au sommet de ma tête et tresse celles-ci. Avec la longueur de mes cheveux, elle met plus d'un quart d'heure pour réaliser cette tresse.

Maître arrête la centrale et je peux enfin me reposer.

Puis j'entends un bruit aigu et là je vois Maîtresse Nathalie passer une tondeuse sur ma tête.

« Aaaaaaaahhhhh »

Je vois mon crâne se dégarnir doucement. De grosses touffes de cheveux tombent sur mes épaules et au sol. Lorsque Maîtresse Nathalie en a terminé avec la tondeuse, elle prend un rasoir, de la mousse à raser qu'elle étale sur mon crâne. La lame du rasoir passe sur ma peau. Mon crâne est maintenant chauve hormis la tresse au sommet de mon crâne. Maîtresse Nathalie me fait face maintenant et me rase les sourcils. Maître me transforme en une espèce d'esclave extra-terrestre....

Le rasage terminé, je baisse la tête de fatigue. Je suis exténuée.

Mais je vais vous raconter comment tout à commencer pour être l'esclave de mon Maître.

J'avais 23 ans et je me sentais mal dans ma peau. L'adolescence ne m'a pas gâté côté poids car je suis un peu boulotte, on me trouve mignonne. et j'ai une poitrine généreuse. Je me trouve au black pearl, une boîte de nuit branchée de Paris. J'attends mon petit copain à une table que j'avais réservé. Je suis habillée sexy, une mini-jupe et un chemisier transparent pour le rendre fou. Mon iphone vibre et je vois le SMS que je viens de recevoir. Je jette mon verre sur le sol et malgré la musique assourdissante, les gens de la tablée voisine se retournent en entendant le bruit du verre se brisant au sol.

Mon copain ne viendra pas!

Je prends une mine renfrognée de dépit et commande une bouteille de Jack Daniel's, que j'entame dès que le serveur la pose sur la table.

Quel salaud, rompre par SMS. Même pas la franchise de le dire en face de moi.

J'en suis à mon quatrième bourbon lorsqu'un homme m'aborde.

« Une belle jeune fille comme vous n'a pas le droit d'être aussi triste, et surtout boire seule. »

« C'est comme cela que vous draguer les jeunes filles, Monsieur? »

« Appelez-moi, Alexandre. Puis-je m'assoir? »

« Oui, personne ne viendra puisque mon mec m'a largué par SMS. Je m'habille sexy pour lui, mini-jupe, un chemisier transparent pour lui montrer mes dessous et des escarpins qui me font un mal de chien aux pieds et lui, il me plaque d'un claquement de doigt. Les hommes sont vraiment des mufles, avec leurs préjugés sur les rondes. »

« Eh bien, il loupe quelque chose! Les absents ont toujours tord. Ce que je vois devant moi, c'est une splendide femme aux formes généreuses qui ne connaît pas son pouvoir de séduction. »

Isabelle sourit à ce compliment et ses yeux s'illuminèrent de bonheur.

« Je vous remercie Monsieur Alexandre. »

L'homme pouffa de rire à ce « Monsieur Alexandre » et lui tendit sa carte.

Isabelle prit la carte en regardant négligemment ce qui y était inscrit.

« Voici ma carte, j'ai les moyens de vous transformer en femme fatale. A bientôt j'espère. »

L'homme tourna les talons et disparut dans la foule dansante. Isabelle rangea la carte dans son petit sac à main et continua à boire son bourbon. Elle sortit de la boîte de nuit lorsqu'elle eut fini sa bouteille de bourbon et rentra à son studio.

Isabelle reprit sa vie monotone, métro, boulot, dodo dans son petit studio avec pour seule compagnie un chat de gouttière qui lui coûte les yeux de la tête en croquettes et en boîtes. Ce n'est que quelques semaines plus tard lorsqu'elle prit son portable de son sac à main qu'une carte de visite tomba au sol. Isabelle la ramassa et la lut attentivement :

Alexandre De Bonnassieux,

Chirurgien Esthétique

Clinique du Champ Fleuri

69 avenue des champs-élysées

75000 PARIS

0130459818

0669696969

Après quelques secondes de réflexion, sa main était prête à écraser cette carte et à la jeter à la poubelle mais une petite voix lui dit d'appeler et machinalement elle tapa le numéro de portable indiqué au bas de la carte. Elle allait raccrocher après avoir entendu 4 sonneries mais une voix se fit entendre dans l'i-phone :

« Allo? »

Isabelle hésita à répondre.

« Allo? »

« Bonjour, euh, c'est Isabelle, la fille de la boîte de nuit. »

« Ah bonjour ma chère. Avez-vous réfléchi à ma proposition?

« Non pas vraiment mais je souhaiterais que vous m'en disiez plus. »

« Présentez-vous demain à mon cabinet, et je vous expliquerai mon plan. Disons 18h00?»

« Ok d'acc. »

Isabelle raccrocha et se demanda si elle avait bien fait d'accepter de rencontrer Monsieur Alexandre, le Chirurgien. »

Elle se fit cuire un steak et des pâtes qu'elle dégusta devant le journal télévisé. Après avoir donné encore une fois à manger à son chat, elle se coucha. Sa nuit fut assez agitée. Ses rêves l'emportèrent au Black Pearl à la rencontre d'Alexandre.

La journée de travail se passa comme d'habitude, aussi ennuyeuse que les autre. Isabelle se surprit à regarder sa montre et attendait 18h00. Elle sortit de l'agence de travail temporaire à 17h00 pétante et prit la route du cabinet d'Alexandre.

Elle arriva devant un bâtiment du 19ème siècle. Elle monta les quelques marches de l'entrée et prit la poignée de la porte. Isabelle prit une grande inspiration et poussa le battant. Elle pénétra dans le hall de réception et se dirigea vers la réceptionniste.

« Bonjour. J'ai rendez-vous à 18h00 avec le Docteur Alexandre. »

« Oui, Mademoiselle Isabelle je suppose. »

« Oui, c'est moi. »

« Appelez-moi Clara. Je vais vous accompagner dans le cabinet du Professeur. »

La réceptionniste fit le tour du comptoir et se dirigea vers un bureau se trouvant au fond du couloir. Isabelle la suivit et fut surprise par son habillement. Clara portait un ensemble en cuir noir, des collants à couture relevés par des escarpins noirs vernis.

Isabelle n'arrivait pas à détacher son regard des mollets galbés par ces escarpins. Elle qui portait un jean et un pull à col roulé avec des chaussures à talons plats. La réceptionniste frappa à la porte.

« Entrez. »

Isabelle pénétra dans le bureau. La porte se referma derrière elle.

« Bonjour Isabelle. »

« Bonjour Professeur Alexandre. »

« Alors Isabelle, raconte-moi ta vie. »

Isabelle raconte brièvement sa vie, étude, boulot, a fait un peu de défilé a même été élue miss côte d'opale quand elle était jeune. Belle, ni trop mince ni trop enrobée mais le stress des études et le passage de jeune fille à jeune femme à tout foutu en l'air...

« Et voilà le tableau. »

« Oui, je vois. Tu as perdu toute ton assurance. Mais je vais remédier à cela si tu le désires. Je te ferai la reine des bals et des soirées huppées. Tu pourras te venger de tes petits copains. Il faudra de l'entraînement, ce sera dur mais on y arrivera. »

« Où est le piège? »

« Il n'y a pas de piège, je te demanderai seulement une obéissance aveugle et une soumission totale. »

« Qu'est ce que vous appelez soumission? comme du SM? »

« Oui, c'est cela. Plus personne ne te rejettera, tu verras du beau monde de la haute mais je veux une confiance aveugle pendant tes 20 prochaines années avec une rente mensuelle de 2000€. »

« Et dans 20 ans quand je serai vieille comment je vais vivre sans avoir travailler. »

« Voilà une femme qui réfléchit et qui voit loin! »

« Alors, une rente de 2000 € par mois à vie. »

« Je désire que ce soit stipulé sur un contrat en bonne et due forme. »

le Professeur tapota sur son ordinateur et sur l'écran s'affichait un fichier word.

Il modifia quelques clauses et en imprima un exemplaire qu'il tendit à Isabelle.

Isabelle le lit attentivement.

Tatouage, piercing, esclave sexuelle, pourra être prétée, obéissance absolue sinon punie quand il y a un refus, entrainement pour modification corporelle et retrouver une forme athlétique.

Rente à vie de 2000 € par mois à vie, au jour de son anniversaire de 50 ans retrouvera sa liberté.

Sera donc à son service jusqu'à ses 50 ans

Après un moment de réflexion, Isabelle leva les yeux et se vit dans le miroir....Isabelle fit volte face et se dirigea vers le bureau. Elle prit un stylo et signa le contrat.

« Mets-toi nue. » dit-il calmement.

Isabelle se déshabilla lentement et posa délicatement ses habits sur le fauteuil. Isabelle met un bras pour cacher sa poitrine, l'autre sur son sexe.

L'homme se lève et prend un marqueur.

« Ne soit pas si pudique. »

« Je vais tout d'abord te montrer ce qu'il faut transformer sur ton corps par le sport et ce qu'il faut changer par opération. »

Il prit le bras qui cachait les seins d'Isabelle et le positionna le long de son corps.

« Tu as fait plusieurs régimes? »

« Oui, je voulais perdre du poids mais je n'ai fait que du yoyo... »

« Oui je vois ça et tes seins en ont subi les conséquences. Ils tombent et vont ressembler à des gants de toilette à force. »

Isabelle écarquilla les yeux devant la franchise de son nouveau mentor.

« On en peut pas dire que ce ne soit pas la vérité qui vous étouffe! »

« Je mets un point d'honneur à dire la vérité même si elle fait mal à entendre parfois. On sait ce que je pense, et ce que je pense je le dis. Je veux que tu aies des seins parfaits et j'ai les compétences requises pour cela. »

Il la prit par le bras et la dirigea devant un écran.

Il appuya sur l'écran et celui-ci s'illumina. Une autre touche fit apparaître l'image du buste d'une femme, qui portait la mention avant et après. Les photos défilaient et Isabelle voyait des femmes dont les seins étaient minuscules et, après opération, des seins bien galbés. Une femme dont les seins pendaient avait maintenant des seins bien formés. Isabelle porta la main à la bouche lorsqu'elle vit une femme avec des seins énormes. L'homme fixa son regard sur Isabelle afin de croiser le sien. Voulant briser ce silence oppressant, Isabelle tourna la tête et vit l'homme qui la fixait intensément. Il lui sourit.

« C'est vous qui avait opéré la poitrine de toutes ces femmes? »

« Oui, effectivement, voici toutes mes œuvres. »

Il toucha l'écran tactile et fit défiler les photos et s'arrêta sur une femme aux seins bien plus que généreux.

Le nom de cette femme était mentionné au bas de la photo.

« Mais ce ne serait pas la célèbre actrice X sur cette photo? »

« Tout à fait, Isabelle. Et grâce à moi, elle a eu une grande carrière dans l'industrie du porno. Pas seulement avec les films dans lesquels elle a tourné mais aussi dans le lancement de son site personnel, de sa boîte de production et sa notoriété lui a permis d'être à toute les soirées huppées de notre société, bien qu'elle soit une actrice X. Tout le monde voulait être shooté en sa compagnie. »

En disant cela, il se positionna derrière elle, lui fit faire volte-face et commença à la prendre par la taille et à palper son petit ventre.

« Tes petites poignées d'amour disparaîtront avec le sport. Je galberai ton corps avec une musculation bien ciblée pour enlever cette graisse! »

Isabelle fit une moue de désappointement. L'homme l'embrassa fougueusement et Isabelle répondit à ce baiser en ouvrant sa bouche. Leurs langues s'entrelacèrent. Les mains de l'homme glissèrent lentement sur sa peau.

« Je n'ai jamais senti un grain de peau aussi doux! On dirait une peau de pèche. »

« Merci. » Dit Isabelle tout en redirigeant ses lèvres vers la bouche de son Mentor pour l'embrasser sauvagement, sa main droite descendit en direction de sa verge qu'elle caressa au travers de son pantalon. Elle sentit alors un membre tendu prêt à sortir de sa cachette.

Isabelle s'agenouilla, tira sur la braguette et sortit une bite bien dure qu'elle s'empressa d'emboucher.

« Ohhhh!!! » Fit l'homme.

« Tu es une bonne bouffeuse de bite. »

Isabelle suçait le sexe du Professeur comme ces différents petits copains lui avaient appris avec les différents mouvements de langue autour du pieu de chair. L'un d'eux lui avait même demandé qu'elle se pierce la langue mais elle avait refusé catégoriquement. Le lendemain, il la quittait sans un mot. Elle sentit le vit gonfler et reçut dans sa gorge les giclées de sperme. Elle recracha la semence qui tomba sur le parquet du bureau.

« Je pensais qu'une bonne suceuse de bite comme toi aurait avalé la semence de son Maître! »

« Pardon, Maître. Je ne recommencerai plus. »

« Oh oui, ça c'est sûr et pour te le prouver, lèche ma semence et je ne veux plus voir une seule goutte! »

Isabelle se mit à quatre pattes et sortit sa langue pour lécher le sperme sur le sol.