Jade Chapitre 05

Chapitre 5

Je regarde Jade qui rougit.

« Oui, très bonne idée, ce sera plus simple si Sophie nous livre » dis-je en reposant le sac sur le comptoir. « Jade va voir là-bas, pendant que je règle les détails avec Madame ».

La Jade qui sort avec moi de la boutique n'est pas la même que celle qui m'y a entraîné, sûre d'elle même, une heure auparavant. Je la sens rêveuse et sans volonté. Elle se laisse guider et répond docilement à mes questions, je l'imagine pensionnaire d'un collège catholique, quelques années auparavant, strictement habillée en jupe plissée et chemisier, avec un collant bleu marine ou peut-être même des chaussettes montantes. Un fantasme d'écolière...

Je me prends à jouer au professeur sévère, réprimandant l'élève désobéissante.

« Alors comme ça tu t'exhibes sans gêne devant tout le monde? »

« Mais vous ne m'avez pas laissé le choix, et puis c'était le lieu, je ne savais pas... » me répond-elle d'une petite voix que je découvre.

« Allons, pas de ça avec moi, tu n'as pas fait de difficultés, je suis sûr que ça te plaît »

« ...Oui, peut-être, mais c'était des femmes »

« Justement ça ne te plaisait pas d'autant plus que c'étaient des femmes?»

« ... »

« Je sais que tu avais envie de revoir Sophie, mais attention, c'est un beau cadeau, il faudra être très obéissante pour la mériter »

Dans le taxi qui nous emmène vers le studio que je loue dans le 16eme, avec un ami qui partage mes goûts, j'ai envie de découvrir un peu plus cette Jade soumise, et tandis que la circulation s'enlise, je lui glisse à l'oreille :

« Remonte ta jupe, plus haut que je vois ta peau, c'est mieux...maintenant caresse-toi discrètement, on arrive bientôt et si tu n'as pas joui avant, tu me décevra beaucoup ».

Je suis frappé de la voir exécuter mes ordres sans rechigner les yeux fermés, la bouche légèrement ouverte...rapidement, elle pousse un petit gémissement, elle a vraiment eu peur de ne pas s'être fait jouir à temps.

« Mademoiselle s'est fait mal? » Demande le chauffeur.

« Non ne vous inquiétez pas, un léger malaise, nous sommes presque arrivés, d'ailleurs laissez nous au carrefour, nous finiront à pied, un peu d'air lui fera du bien »

« Devant le Collège Sainte-Marie? »

« Oui, parfait ça lui rappellera des souvenirs ».

Je n'ai aucune idée de la scolarité de Jade, mais cette institution austère me ramène à mon fantasme de tout à l'heure, et il y a en face, je le sais pour passer régulièrement devant, une boutique pour l'équipement des jeunes filles de bonne famille...

« Viens par là Jade, on va encore faire quelques emplettes qui iront mieux à ta nouvelle humeur de jeune fille sage et qui je suis sûr plairont beaucoup à Sophie ».

La boutique sobre, à l'enseigne du « bleu et du blanc » est entièrement consacrée aux uniformes, de l'interne au collège, au tenues de sport aux couleurs des différents institutions, jusqu'aux tenues de « louveteaux et jeannettes » et autres scouts. Une merveille anachronique.

Je demande un uniforme complet d'élève au collège Sainte Marie ce qui me vaut dans un premier temps un regard approbateur de la vendeuse au chignon gris.

« Et pour quel âge? Vous connaissez les tailles de la jeune fille? »  demande-t-elle, en se tournant vers l'élément féminin du couple.

« Justement c'est pour cette jeune femme » dis-je sans laisser Jade ouvrir la bouche.

Devant l'air interloqué de la grenouille de bénitier, j'ajoute :

« Elles se font une soirée souvenirs entre anciennes internes de l'institution, elles y ont eu tant de bons souvenirs »

« Ah, alors je vais chercher une grande taille » et elle s'éloigne vers l'arrière boutique.

« N'oubliez-pas les sous-vêtements » crié-je, et je vois Jade rougissante, retenir un fou-rire.

Confortablement installé avec un verre, dans le canapé du studio, devant la baie vitré qui surplombe la Maison de la Radio et la Seine, je regarde Jade sagement agenouillée sur la tapis dans son uniforme de pensionnaire, chemisier blanc soigneusement boutonné, jupe plissée grise et chaussettes hautes bleu marine. Sur mon ordre, elle s'est changée dans la chambre dès notre arrivée et a même, sans que je lui demande, adapté sa coiffure en la nouant serré sur la nuque. J'ai juste oublié de lui acheter des mocassins, ses jolis escarpins vernis restent donc dans la chambre.

Nous attendons Sophie.

« Sophie dis-moi, elle te plaît c'est évident.Tu aimait ses doigts sur ta peau? »

« Oui »

« Et elle a posé ses lèvres sur ta fente, non? »

« Si »

« Tu aurais aimé que ça continue »

« Oui »

« Madame Brigitte, la propriétaire du magasin, m'a prévenu qu'elle pouvait avoir des goûts particuliers... »

« ...Euh...de quel genre? »

« Elle ne m'a pas précisé mais elle pense que si tu es toujours aussi docile ça se passera bien »

Au coup de sonnette Jade tressaille mais d'un geste je l'empêche de se lever et vais moi-même ouvrir.

« Souvent femme varie » dit le proverbe et aujourd'hui c'est le jour des transformations. La Jade, femme fatale est devenue petite fille tandis que la timide Sophie s'est métamorphosée en bombe sexuelle.

Ses cheveux blond sont attachés dégageant son visage maquillé, khôl gris et lèvres carmin, elle a échangé sa tenue vaporeuse pour un gilet noir dont l'échancrure laisse apparaître un soutien gorge minimaliste. Une jupe de cuir, noir, fendue, surmonte des bas noirs, fins, et des bottines lacées.

« Bonjour Sophie, bienvenue, merci de vous êtes déplacée pour nous déposer nos achats. »

« Merci Monsieur, Je suis très contente de vous rendre ce service »

« Vous prendrez bien un verre ?»

Sophie pose ses paquets et s'assied dans un des fauteuils de cuir, étendant ses longues jambes, ce qui fait remonter sa jupe jusqu'à la lisière sombre de ses bas. Elle semble n'accorder aucune attention à Jade qui pourtant la dévore des yeux.

« Madame Brigitte m'a demandé de vous apporter quelques accessoires supplémentaires qu'elle n'a pas eu le temps de vous montrer, mais qui m'a-t-elle dit pourraient vous intéresser, pour poursuivre l'éducation de votre jeune amie» Et elle dépose sur table basse plusieurs boîtes noires de différentes dimensions.

« Vous verrez ce sont des objets délicats que l'on ne peut exposer au magasin et que l'on réserve à l'arrière boutique, certaines de nos clientes en raffolent »

« Vous m'intriguez, peut-être faut-il laisser Jade les découvrir elle même? En même temps je ne sais pas si elle mérite encore des cadeaux, j'ai plusieurs raisons d'être mécontent d'elle »

« Oh, moi qui avait l'impression qu'elle était très obéissante »

« Non seulement je trouve qu'elle s'est mal comportée à votre égard et en plus elle s'est branlée dans un taxi en venant ici, en pensant à vous, elle n'a pas pu se retenir. Et figurez-vous que l'après-midi avait très mal commencé » et je raconte à Sophie, à ma manière, le passage chez le marchand de chaussures.

« Vraiment quelle attitude inconvenante à votre égard, je vous comprends, c'est pour commencer à la punir que vous l'avez habillée en collégienne »

« Oh, c'est plutôt une crise d'adolescence de sa part, elle y tenait tant... »

Je vois Sophie rougir entre la honte et l'indignation devant mes mensonges, elle ouvre la bouche pour protester mais Sophie ne la laisse pas parler.

« Je pense que Madame Brigitte a raison, ce que je vous apporte est tout à fait adapté dans son cas, approche toi, petite dévergondée, ouvre d'abord cette boîte ci. »

Jade ouvre la première boîte avec fébrilité et en sort de très beaux accessoires en cuir : un collier de chien, des bracelets pour les poignets et les chevilles munis d'anneaux, quelques lanières...

Jade les dépose sur la table un par un, les mains un peu tremblantes.

« C'est très joli, avant de poursuivre la découverte de ses cadeaux, peut-être pourriez-vous me montrer l'usage de ces objets, je n'en suis pas très familier » dis je faussement innocent.

Celle-ci fait mettre Jade debout, lui ordonne de retirer sa jupe plissée et son chemisier, la laissant dans ses sous-vêtement d'adolescente. Puis elle lui passe, le collier et fixe les bracelets aux poignets et aux chevilles. Elle relie les poignets, par une lanière, se recule pour admirer le résultat.

« C'est un bon début, qu'en pensez-vous? Tu peux passer à la seconde boîte »

Jade s'agenouille à nouveau devant la table et ouvre le second paquet, avec un peu de difficultés, car même attachés devant les liens réduisent ses mouvements. Dedans sur de la soie blanche, reposent une collection de simulacres de sexe masculins, l'un en pierre fine, l'autre en latex, le troisième en cuir, sur le coté des objets colorés en plastique ressemblent à des petits jouets et paraissent fonctionner à l'électricité. Un quatrième, rangé à part, présente une symétrie troublante et semble pouvoir s'attacher par une ceinture.

« Tu peux les toucher, tu sais, prends celui qui t'attire le plus »

Après avoir laissé sa main caresser les différents phallus artificiels, comme dans un rêve, Jade saisit celui en cuir et le serre contre sa poitrine. Ses tétons pointent sous le débardeur de coton blanc, libres de tout soutien gorge car au collège il n'en est pas question pour les jeunes élèves.

« Elle aime vraiment le cuir » fais-je remarquer « elle a bon goût d'ailleurs, celui-ci à un très bel aspect patiné »

« En effet, ce sont des exemplaires de démonstration, je m'en sers à l'occasion mais bien sûr si vous souhaitez en acheter un je vous en procurerai un neuf, Quoique certains clientes préfèrent ceux qui ont déjà servi, et gardent le souvenir des plaisirs passés ».

Sophie a rapproché son fauteuil de Jade et du bout de sa bottine, lui fait tourner la tête vers elle.

« Montre nous comme tu sais bien t'en servir, ma chérie »

Jade timidement, porte le gode de cuir à ses lèvres, elle le lèche un peu avant de l'introduire dans sa bouche et d'entamer une fellation lente.

« Elle est vraiment douée, vous avez de la chance, Monsieur »

« N'hésitez pas, Sophie, si cela vous dit d'essayer sa langue habile...ou tout autre chose, d'ailleurs expliquez moi la présence de ces autres petits objets e

« Les petits jouets sont très amusants selon leur tailles ils s'adaptent au divers orifices, et vibrent tout seuls avec une télécommande, ou même depuis un téléphone, vous verrez c'est une source d'amusement, je me souviens d'une fois dans un dîner mondain où Madame Brigitte m'avait entraînée, elle m'avait fait mettre un de ces gadgets et pendant le repas elle pianotait sur son clavier, mon voisin était très surpris par mes sursauts intempestifs, j'ai cru mourir... mais je m'égare. »

« Et celui à deux têtes, qui complète la collection? »

«  Oh, celui-ci est d'un usage un peu spécial, si vous souhaitez transformer Jade en garçon, ou si avec une amie, elles évoquent les chevauchées de leurs amants, je vous ferai une démonstration plus tard si vous souhaitez »

Jade frissonnait, elle avait abandonné sa fellation, les yeux clos, peut-être rêvait-elle déjà à subir les assauts d'une Sophie conquérante. Elle laissait reposer sa tête sur le pied que Sophie avait abandonné sur son épaule et frottait doucement sa joue sur le cuir souple de la bottine.

« Décidément, elle aime le cuir, » remarqua Sophie « Tu pourras jouer avec mes bottines quand tu auras ouvert le dernier paquet, allez » Et elle la repoussa du bout du pied. Comme à regret, Jade se mit à ouvrir la grande boite toute en longueur. Je la vis blêmir avant d'e voir ce qu'elle contenait.

« Celui-ci est pour les filles désobéissantes » ricana Sophie.

La boîte renfermait une longue cravache souple, en jonc gainé au manche et à l'extrémité de cuir fauve. A coté sagement lové comme un serpent au soleil, reposait un petit fouet à plusieurs queux, qu'on appelle martinet et qui servait autrefois, à corriger les enfants turbulents.

Jade semblait à la fois effrayée et fascinée, elle triturait machinalement le gode de cuir, les yeux fixés sur les deux instruments de torture.

« Je crains malheureusement que tu n'aies à y goûter bientôt, les fautes dont Monsieur a fait état entraînent forcément une punition, mais tu peux quand même choisir celui que tu préfères. Allez décide toi»

Jade tremblante sortit la cravache et la présenta à Sophie.

« Allons débarrassons nous de ce mauvais moment »

«  Vous pouvez l'accrocher à ce crochet qui descend du plafond, il y avait un lustre autrefois, mais elle le remplacera avantageusement »

Et voilà la pauvre Jade, les bras en l'air ce qui faisait ressortir sa jolie poitrine, en équilibre sur la pointe des pieds. Sophie baisse sa culotte brutalement et sans prévenir zèbre ces jolies fesses.

Jade sursaute et gémit, mais au troisième coup, ses petits cris de douleur semblent changer de nature. Je veux en avoir le cœur net et je m'approche jusqu'à glisser un doigt entre les lèvres de son sexe.

« Ma Parole, mais ça la fait jouir! »

5.1

Sophie, sur le coup, réduit son geste, puis laisse tomber sa cravache, laissant apparaître son émotion. Elle s'approche de Jade, caresse ses fesses zébrées (très légèrement il faut bien dire) et décroche la pauvre enfant, qui s'écroule, portée par les bras de Sophie, jusqu'au sol, en émettant quelques gémissements, plaisir ou pleurs?

Sophie se rassied et tirant légèrement sur la laisse, accrochée au collier de Jade, l'amène jusqu'à elle. Celle-ci enlace alors les jambes de son tendre bourreau, et remerciement ou signe de soumission, embrasse ses pieds bottés de noir. Sur un geste de Sophie elle délace doucement les bottines, dégage ses jolis pieds qu'elle embrasse avec dévotion en s'enivrant du parfum de cuir de luxe.

« Vous voyez comme un petit châtiment peut rendre les filles dociles »

Un geste de plus de Sophie sur la laisse, et Jade remonte doucement le long des bas, tandis que Sophie défait sa jupe et révèle son sexe nu, que Jade atteint enfin, et lape comme une jeune chatte, sous la caresse de sa maîtresse qui masse tendrement sa nuque.

Je les regarde, le sexe dur, n'osant intervenir malgré mon indescriptible désir, paralysé par la beauté de ces jeunes femmes mettant en scène, pour moi, le plaisir qui les emporte.

Ce moment suspendu finit par s'éteindre avec la jouissance de Sophie. Elles reviennent au monde et me regardent, comme pour lire une approbation devant la beauté de leurs jouissances.

« Tu sais Jade, je crois qu'on a peu oublié Monsieur. Je m'en occuperai volontiers, mais je n'ai pas fini la présentation des articles de Madame Brigitte. Le devoir m'appelle, tu veux bien t'occuper de lui? »

Jade, toujours serviable, même un peu dans les vapes de l'orgasme, se glisse vers moi, elle a perdu ses derniers vêtements, sauf ses chaussettes de collégienne, et se glissant entre mes jambes, entreprend de descendre mon jean et remplace le simulacre de cuir de tout à l'heure par mon chibre congestionné.

«... Hhm » toussote Sophie, « il me reste à vous montrer l'usage du dernier appareil », et elle s'arnache du sexe à deux têtes, faisant glisser le plus petit à l'intérieur d'elle même, elle glisse le plus gros entre les fesses de Jade.

« Tu lui réserves ton petit cul? Ou tu me le laisses? » Demande-t-elle à Jade qui la bouche occupée, ne peut répondre. « Bon tu ne veux rien dire, alors, je commence par ta chatte, avant. Monsieur choisira» Sophie verse quelques gouttes d'un petit flacon d'huile sorti de son sac à malices et glissant son nouveau sexe entre les fesses de Jade, faisant semblant d'hésiter, finit par forcer sa chatte.

« Et vous voyez, on peut utiliser un des petits jouets pour son petit cul » Et Sophie glisse un joli petit bouchon rose entre les fesses de Jade qui cherche à s'échapper mais clouée par le va et vient de Sophie, elle abandonne vite.

« Venez ici Sophie, votre joli con de blonde me fait envie »

« Avec plaisir, Monsieur » et abandonnant le sexe de Jade elle se se dirige vers moi et je détache son simulacre pour atteindre sa jolie chatte entouré de son duvet blond. Elle se frotte sur mon visage et je la lèche tout le long de ses lèvres jusqu'à sucer son clito dur., mais elle se retourne et s'assied carrément sur mon visage, elle tire la laisse de Jade et la fait remonter puis lui ordonne de s'empaler sur moi et tandis que l'une me fait boire son sexe et que l'autre coulisse sur ma hampe, les deux déesses s'embrassent langoureusement.

5.2

En nous quittant ce jour là, Sophie avait glissé une intrigante invitation.

« Madame Brigitte réunit parfois quelques unes de ses meilleures clientes, pour des essayages particuliers, je suis sûre que Jade serait très appréciée, vu les qualités qu'elle montre.

Les hommes sont parfois invités, quelques jeunes gens aussi, mais uniquement s'ils acceptent de se prêter aux exigences de Madame »

« C'est à dire? »

« Madame aime beaucoup organiser ces soirées et vous avez remarqué peut-être qu'elle est assez autoritaire, rien ne lui plaît autant, je crois,que d'imposer...ses caprices, parfois très particuliers.

Ses clientes apprécient et je pense que Jade ne posera aucun problème, mais vous Monsieur?

Jade peut venir seule bien sûre mais je dois dire qu'avez votre membre vous seriez très apprécié, je crois que jeudi prochain... »

La porte refermée sur la jolie blonde en cuir, je me tourne vers Jade, toujours rêveuse, qui doit se demander quels peuvent bien être ces mystérieux caprices, entre frayeur et volupté.

« Qu'en penses-tu ma petite Jade? Je pourrais t'y déposer et revenir te chercher »

« Oh! Non, s'il vous plaît je veux que vous soyez là, j'aurais trop peur sans vous »

« Juste pour te protéger? Ou aussi pour me montrer jusqu'où tu es prête à aller? »

« Oui...aussi, pour que vous me regardiez »

«  Et pour me voir aux prises avec madame Brigitte peut-être aussi? »

«  Oui, c'est possible, j'avoue, j'ai un peu honte, mais... »

« Mais tu imagines déjà des choses indicibles petite perverse.»

« ... »

« Il faudra t'y préparer alors, tiens, puisque tu dois rentrer retrouver ton ennuyeux mari, si on essayait un de ces jolis jouets que nous a laissés Sophie? Le rose, là tu vois, il paraît que je peux le commander à distance...comme ça oui, glisse le bien à fond, il n'y verra que du feu. Allez rhabille toi je te raccompagne, j'ai juste le temps de programmer mon téléphone».