J'ai Offert Ma Femme à Un Inconnu

Informations sur Récit
Comment j'ai réussie à faire baisser ma femme par un inconnu.
7k mots
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Récit n'a pas de balises

Partie 1 de la série de 2 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 11/06/2022
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allan87
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Mon histoire commence quelque temps après notre mariage.

Nous nous sommes mariés très peu de temps après notre rencontre. Un peu plus de 18 mois.

Ma femme, Joëlle, 28 ans, une belle rousse, presque blonde, 1m62, 45 kg, de beaux yeux vert, une poitrine bien ferme, mais pas très grosse, des petits seins qui redressent vers le haut et de gros mamelons surmontant de larges

auréoles, une peau laiteuse laissant voir ses veines bleutées

De belles jambes qui mènent à un petit cul légèrement rond et bombé .

Moi, Allan ,33 ans, assez athlétique, 1m78, 75kg,châtain très clair, très porté sur le sexe.

Cela fait plusieurs mois, que lorsque que nous faisons l'amour, quand Joëlle est bien excitée, j'en profite pour lui susurrer que j'aimerais la voir avec un autre homme.

Mais à chaque fois, elle me répond qu'elle ne pourrait pas se montrer nue devant un autre, qu'elle m'aime, de plus elle ne veut pas passer pour une salope ou une Pute.

Elle ajoute que dans le cercle de nos amis elle aurait du mal à trouver un mec à qui faire confiance. Mon autre regret, elle n'a jamais accepté la sodomie.

Elle est pourtant très sexy, toujours habillée très court, souvent sans soutien-gorge sous ses pulls ou ses chemisiers. Je vois pas mal de mâles, mariés ou pas qui en feraient bien leurs casse-croûte dans ces soi-disant amis ,et lors de soirées, bien souvent ils lui lancent des Vannes plus ou moins graveleuses, ce qui la fait rire de toutes ces belles dents.

Ce soir, en rentrant du cinéma, ou nous avons été voir ( Emmanuelle) elle est particulièrement excitée, moi de même.

Je lui ouvre la porte de notre pavillon et la laisse entrer devant moi. Sa jupe cache à peine sa culotte. Elle monte l'escalier pour se rendre à la chambre.

Je ne peux m'empêcher d'avoir une main baladeuse et lui caresse l'entrejambe.

Elle rit, tu es si pressé que ça?, pour toutes réponses, je la plaque contre la porte de la chambre, l'embrasse, et ma main se glisse entre ses cuisses ou je sens sa culotte trempée, elle frissonne, je lui enlève son pull qu'elle porte à même la peau, délivrant ses seins qui pointent arrogants.

Je lui fait glisser sa jupe a même temps que la culotte. Elle est nue et désireuse de la suite.

Je la porte sur le lit, mais juste au bord, les jambes pendantes.

Je mets à genoux, elle a compris et écarte les cuisses, mettant sa chatte bien lisse et légèrement bombée bien en évidence.

Je la regarde, et me demande si c'est une femme ou un homme qui s'occupe d'elle quand elle me dit qu'elle va chez l'esthéticienne. Son sexe est tout lisse et brillant de sa mouille.

Je pose une main sur son sein et ma langue commence à fouiller son intimité. Elle se tortille doucement, je la lèche de bas en haut, puis pénètre de plus en plus profond, atteins son bouton qui est tout gonflé. A peine je le touche du bout de la langue qu'elle se met à gémir. Galvanisé par ses petits cris, que j'aspire et fait rouler entre mes lèvres se petit organe et je lui écrase son sein dans ma paume de main, puis je lui pince le mamelon violemment.

Normalement, pour l'amener à l'extase il me faut près de 20 minutes. Ce soir, elle est tellement exilée, qu'elle pousse un râle très rauque, presque inhumain, elle me plaque la tête contre sa vulve, monte son bassin vers ma bouche et déverse sa jouissance dans ma bouche. Je me délecte de ce jus indéfinissable. Je bois tout ce que je peux, puis la nettoie consciencieusement.

Je la remonte sur le lit, la laisse reprendre ses esprits.

J'en profite pour me dévêtir, et nu avec une belle érection je m'allonge a côté d'elle. Elle respire fort, essaye de prendre mon sexe dans sa main, je la repousse.

Ce soir, je ne veux que ton plaisir, laisse-moi faire

En disant cela, je joue avec ses seins, plus exactement avec les mamelons, que j'effleure avec mes doigts et tourne autour caressent les auréoles . Sa poitrine se gonfle de plus en plus j'ai l'impression qu'elle va éclater.

Joëlle secoue la tête, elle n'est plus qu'un Pantin, une poupée prête à tout.

Prends moi, baisse moi, vite enfonce moi!!!!

Je me couche sur elle, relève mon bassin et présente ma queue à l'entrée de sa grotte.

Je regarde mon chibre, qui rentre doucement, sans rencontrer de résistance, mais c'est sans compter l'envie de la femme en chaleur qui est sous moi, elle m'appuie sur les fesses et monte son bassin et je me retrouve au fond de sa chatte.

je commence à la pilonner, doucement, puis de plus en plus vite. Je pousse en faisant des ( han! han! )auxquels ma femme répond par des ( oui! oui plus fort ,défonce moi)

Ni tenant plus, au comble de l'excitation, je me plante en elle, et déverse mon sperme aux plus profond de ses entrailles.

je reste sur elle, elle me caresse affreusement, mais je sens qu'elle est déçue, elle n'a pas jouie.

J'en profite pour lui susurrer, tu vois avec un autre homme avec nous tu serrais comblée, quatre mains, deux bouches sur ton corps et deux bites pour ta jouissance .

Contrairement aux autres fois elle ne me répond pas,,. alors une idée me traverse l'esprit.

On s'endort, dans les bras l'un de l'autre.

Au matin, on refait l'amour comme souvent et je trouve qu'elle est bien réceptive et bien songeuse.

Je lui demande si elle a aimé le film, et elle se blottit contre moi, et me demande si il y a des femmes qui vivent de telles relations.

Je lui réponds que c'est du cinéma, mais qu'il y a une part de vérité. Elle soupire, se lève et prend son peignoir.

Je lui fais remarquer qu'elle est plus jolie nue, alors à mon étonnement, elle l'enlève, fait un tour sur elle-même, et dit, ( Pour faire plaisir à mon homme je vais passer la journée à poil, ménage et tout le reste, je vais mettre mon peignoir sur le porte manteau a l'entrée au cas où il y aurait de la Viste, un samedi, c'est possible)

Je suis aux anges. je vais pouvoir mettre mon plan en route

Pendant qu'elle vaque à ses occupations, toujours nue, je vais, nu également, dans mon bureau. Je prends mon bloc de papier et commence une lettre, ou plutôt une petite annonce.

《Homme la trentaine aimerais rencontrer un gentleman pour séduire sa femme âge en accord avec nous.............adresser courrier..........》

Je monte m'habiller, croise Joëlle qui passe l'aspirateur, toujours nu, l'embrasse, lui dit qu'elle est magnifique et en profite pour lui caresser les seins .

_Je vais chercher le pain, et poster cette lettre!j'en ai pas pour longtemps!

Elle me répond, OK, mais ferme la porte à clef.

Tout en marchant, je regarde ma lettre, elle est adressée à un magazine, Union, mensuel érotique que l'on lit ensemble et dont on se régale avec les histoires vécues ou non, et avec une rubrique rencontres.

Cela fait une bonne heure que je suis partie ,je rentre à la maison, et me rend au salon

Joelle ne m'a pas entendue, elle est sur le canapé en pleine séance de masturbation, les jambes écartées, d'une main se frotte le clitoris qui dépasse légèrement des lèvres, on croirait a un petit sexe, de l'autre elle se pince un mamelon.

Je me mets devant elle, sentant une présence elle ouvre les yeux, rougit et bafouille je ne sais quoi.

Je m'agenouille, retire sa main et la remplace par ma langue. j'aspire son bouton, et le fait rouler entre mes lèvres, l'effet est immédiat, elle pousse des gémissements, elle mouille énormément, si bien que ça lui coule entre les fesses.

J'en profite pour lui lécher son petit trou vierge, j'insère ma langue dans son cul, elle lève son bassin, je défais mon jeans, l'enlève à même temps que mon caleçon.

Elle me demande de la prendre, elle a très envie de ma bite dans sa chatte.

Je lui répond, moi j'ai très envie de te prendre par la, et je lui entre mon indexe doucement dans le cul.

_Elle gémit, NON, pas derrière, tu sais bien que j'ai peur, peur d'avoir mal

Si tu m'aimes, alors laisse-moi essayer, si tu souffres, j'arrête, mais tu m'as trop excité.

Elle ne répond pas, tout en parlant je lui masse l'anus et écarte maintenant avec trois doigts, de mon autre main, je lui frotte le clito, le fait rouler entre mes doigts.

Elle gémit de plus en plus

Tortille son cul, et son bassin.

Je la retourne, sur le ventre, la remonte la tête contre l'accoudoir, d'elle-même, elle se met à genoux m'offrant sa croupe.

Je jubile, je ne sais comment cela se fait, mais je vais réaliser un rêve .

Je prends de la salive, m'enduit la queue ,de même que son cul, puis je présente mon gland contre sa rondelle, je pousse un peu, mais elle ne s'ouvre pas alors je passe une main sous son bas-ventre et reprends a travailler le clito.

La réaction est rapide, elle écarte les jambes, je pince légèrement l'appendice, elle crie, se relâche et je rentre le bout de ma bite dans son cul.

Je reste un moment comme ça, tout en frottant sa chatte.

C'est elle qui se recule lentement sur mon ventre, elle souffle. je lui demande si elle a mal, elle me répond oui, mais elle m'aime, et veux me faire plaisir.

Elle est maintenant à fond, ses fesses touchent mon ventre, on ne bouge plus

Je réalise que j'encule ma femme, c'est un rêve, je veux qu'elle apprécie.

Comme elle ne dit rien, je coulisse doucement en arrière, puis en avant, mais sur une courte distance. Elle souffle à nouveau, mais n'essaye pas de me chasser hors de son cul

Je vais de plus en plus loin ,ses râles se font plus fort. Je pense qu'elle commence à avoir du plaisir, alors j'accélère le mouvement, je la tiens par les hanches et m'enfonce le plus loin possible, mes testicules cognent contre ses fesses, je pousse des (han han! ))Ma femme, que je ne reconnais pas me hurle ( plus fort, plus vite, fait moi mal, encule moi...c'est bon, non non!!!!puis elle s'effondre sur le ventre en poussant un grand cri.

Je la retourne, pour l'embrasser, des larmes coulent sur ses joues, je les lèche, et prend ses lèvres ,nos langues se cherchent, s'enroulent. Je lui dit que l'aime, et lui demande pardon si je lui ai fait mal.

Elle sourit, et me demande pourquoi j'ai attendu si longtemps ,que si elle avait su, avoir autant de plaisir, elle aurait demandé elle-même.

Je l'amène dans la salle de bain, lui fait couler un bon bain chaud et la lave amoureusement.

Trois semaines passent, ou nous faisons l'amour souvent, maintenant je la prends dans toutes les positions, et elle aime, et me demande de la sodomiser , je ne laisse pas sa libido retomber.

Ce matin, ma secrétaire m'apporte le courrier, une lettre manuscrite est dans la pile, je m'empresse de l'ouvrir, mais déçu je la jette à la poubelle.

Cinq fois la scène se renouvelle, mais la sixième est différente, écrite à l'encre, au stylo plume, belle écriture, pas de fautes de français et des termes simples et précis. Un numéro de téléphone, avec le créneau d'horaires pour appeler..

La journée me paraît longue.

Arrive l'heure fatidique, je compose le numéro, une voix grave me répond.

On discute, il me demande qu'elles sont mes attentes, je lui explique que je veux qu'il séduise ma femme pour l'amener à coucher avec lui, mais en ma présence. Mais avant tout je veux le rencontrer.

Bien sûr, je ne dis mot a Joëlle.

Je suis dans ce bar, avec une enveloppe jaune en reconnaissance posée à ma droite. Cela fait a peine deux minutes que je suis la, qu'un type se lève et vient s'installer à ma table. Je suis Michel, et je pense que vous êtes mon rendez-vous.

Je le dévisage, il est grand, presque une tête de plus que moi, des épaules de bûcheron, des mains énormes, très bien habillé, classe, un sourire charmeur, mais sensiblement plus âgé que je ne l'espérais. Il me dit qu'il a 37 ans

On discute, une bonne heure passe, je le trouve Ok, je lui indique ma stratégie qu'il approuve en lui expliquent qu'il doit dire qu'il a 33 ans, et que si au bout de 4 à 5 rencontres il ne se passait rien entre lui et Joëlle ,si elle ne s'intéresse pas à lui, on arrête tout.

Je rentre à la maison le cœur battant.

Comme toujours, Joëlle est entrée avant moi, elle a pris sa douche et prépare le souper nue juste avec un tablier en protection .

Je l'embrasse et lui annonce la bonne nouvelle, je viens de rencontrer un copain d'école, qui vient de s'installer dans le quartier d'à côté, et je l'ai invité à prendre un apéro, vendredi soir vers 19h.Je lui demande si ça la dérange, pour toutes réponses, elle me dit, (Il serai mieux que je m'habille) et elle rit de bon cœur.

Étant mardi soir, je me dis que la semaine va être longue, et une fois le souper terminé, je ne peux attendre d'aller au lit et je fais l'amour à Joëlle sur le canapé devant la télé ou j'ai mis une cassette porno. Elle ne s'étonne pas, depuis qu'elle a accepté la sodomie cela ce produit de plus en plus souvent.

Vendredi matin, je rentre dans mon bureau, ou Mme Martin( nom d'emprunt) , me trouve bien gai, je lui dit que pour moi c'est une bonne journée.

Et curieusement, je regarde cette femme, la quarantenaire, mère de deux bambins, en étant troublé. Habillée plus sexy, elle serait très désirable. Il faudra donc que je m'en occupe

Pour l'instant je me demande quel effet produira Michel sur ma femme, je sais que le premier regard qu'elle portera sur lui sera déterminant.

17h, je débauche, enfourche ma moto et direction la maison.

En arrivant, je trouve Joëlle, habillée d'un jeans, avec un tee-shirt à me la peau, je lui dit qu'elle est très belle, mais que j'aurais aimé qu'elle soit un peu plus sexy.

Elle monte dans la chambre, et en cinq minutes elle redescend, et pivote sur elle-même comme un mannequin.

Elle a conservé le tee-shirt, qui lui moule les seins, dessinant les mamelons même si ils ne sont pas en érection, et en bas, elle a mis un petit kilt tout mini, si elle se penche on voir la culotte, une paire d'escarpins, mais pas très haut, elle est sublime .

Une touche légère de maquillage remonte ses beaux yeux verts.

Je lui dit qu'elle est géniale très belle et que si j'avais le temps........!

Je lui dit également, fait attention, car Michel autant que je me souviens est amateur de belle filles, elle sourit et prépare un plateau pour l'apéro.

Le temps me paraît long, Joëlle s'active dans la cuisine quand enfin la sonnette retentit.

Je vais ouvrir, Michel est devant moi avec un gros bouquet de fleurs bariolées, je lui sert la main, le prend par les épaules comme de vieux potes et l'amène au salon.

Joelle sort de la cuisine, son tablier à la main.

Je fais les présentations, Joelle, ma femme, Michel le copain dont je t'ai parlé.

Michel s'avance, donne une poignée de main à ma femme ,en lui tendant le bouquet de fleurs

_Bonjour, Joëlle, vous permettez que je vous appelle Joëlle?,Allan m'a tellement parlé de vous, que j'ai l'impression de vous connaître.

Il lui tient toujours la main.

Il se tourne vers moi, puis regarde a nouveau ma femme en la détaillant de haut en bas.

_Il m'a dit que vous étiez belle, mais vous êtes très très belle.

Joelle rosie un peu, elle est assez timide .

Il se tourne .

_Je comprends tous ce que tu m'as dit-elle est ravissante

Il lui lâche la main ,elle disparaît dans la cuisine, revient avec un vase rempli d'eau

_Vos fleurs sont magnifiques, je vais les mettre sur mon bahut .

Allez-vous asseoir je vous sert l'apéritif.

J'invite Michel avenir sur le canapé, devant des amuse-gueules, et les vers qui sont en attente sur la table basse .

Joëlle nous demande, ce que l'on veut, on opte pour un whisky, ce sera un Bellet pour moi, dit -elle.

Elle vient s'installer dans le fauteuil en face de moi.

On discute depuis une bonne demi-heure, de nos soit disant souvenir. On est au troisième vers .

Ma femme pose beaucoup de questions, même sur la vie privée de notre hôte.

Il est divorcé depuis 3 ans, a un fils de 7 ans qui vit avec sa mère dans le nord de la France et il ne le voit que pour les vacances.

Tant qu'à son job, il est dans le bâtiment, conducteur de travaux, je comprenant mieux son physique de bûcheron et ses mains rugueuses.

Il est maintenant 20 heures.

Joëlle se lève, et demande ;

_Tu restes manger avec nous?

_Je ne voudrais pas déranger!

J'insiste et il accepte

Au passage, j'ai remarqué qu'elle l'avait tutoyé, ce qui est plutôt bon signe

Le repas se passe dans la bonne humeur, Michel raconte des anecdotes qui font rire ma femme, quelques histoires graveleuses qui font rougir Joëlle, mais je vois bien que quelques fois ses petits seins pointent .

La soirée se termine, Michel prend congé, me sert la main, la tend à Joelle, cette dernière a mon grand étonnement lui claque la bise.

Je suis surpris et ravi, je pense que c'est bien engagé .

Dans le lit, je caresse ma femme, et lui demande comment elle trouve mon copain. Elle me répond qu'il a l'air plus vieux que moi, et qu'il est très imposant, elle se sent petite devant lui, et elle l'aime bien, il est nature.

On fait l'amour, puis on s'endort

Michel viendra souper 3 fois en 5 semaines, et le courant passe bien entre eux, ils plaisantent, il ne manque pas une occasion de la flatter et je vois bien qu'elle aime ça, Je m'arrange pour qu'il soit à côté d'elle sur canapé et il en profite pour lui toucher les bras ou les jambes en discutant ou en riant.

Elle me fera remarquer qu'il est très tactile, je lui répond que je l'ai toujours connu comme ça.

Ce soir, en faisant la bise a Joelle, il la prend par les épaules, me regarde et nous dit:

Vendredi prochain, je viendrai vous chercher à 20h, je vous amène au restaurant et après, si vous le voulez bien on ira dans une boîte que je connais.

Il monte dans sa voiture et disparaît.

Ma femme est exilée, elle me dit que c'est sympas de sa part.

Moi, je pense que son sort est joué.

La semaine me semble interminable.

Le vendredi soir arrive enfin .

Joelle se prélasse dans la baignoire, moi je suis sous la douche avec une belle érection rien que de penser au plan que l'on a échafaudé.

Elle s'aperçoit de mon état, se lève sort de la baignoire, se met à genoux devant moi et me fait une pipe magistrale, je décharge dans sa belle bouche, elle avale tout et me nettoie la bite avec attention, je veux la prendre, mais elle se refuse me disant qu'elle ne veut pas être mouillée toute la soirée .

On vas s'habiller dans la chambre, je surveille du coin de l'œil comment elle s'habille.

Elle sort une grande robe de soirée, je lui fait remarquer que ce n'est pas très sexy .Alors elle me montre la dernière petite robe noire que je lui ai offert il y a 2 semaines. Elle est très courte, deux bretelles qui partent de la taille devant cachent a peine les seins et se nouent derrière la nuque.

Elle la jette sur le lit :

_Si je me fait violer, tu l'auras voulu,!!!!

Elle fouille dans son tiroir a sous-vêtements , enfile une culotte noire a dentelles de type brésilienne, met un porte jarretelle qui vat avec et enfile une paire de bas a résilles noirs également ,puis chausse des escarpins qui lui donnent 8 cm de plus

Elle tourne plusieurs fois sur elle-même .

_ Comment tu me trouves, pas trop court, je suis à ton goût?

Elle est magnifique, je le lui dit, elle vient m'embrasser, un long baisé passionnel.

J'ai juste le temps de passer un costume, que la sonnette retentit .

Je vais ouvrir à Michel, Joelle nous rejoint une petite étole sur les épaules et une pochette argentée a la main .

Michel émet un petit sifflement d'admiration .

Il faut dire que la robe laisse voir les jambes et même les cuisses , musclées de ma femme a la limite du raisonnable.

On prend place dans sa voiture, ma femme derrière moi et Michel au volant. je remarque qu'il a enlevé les appuis tête des sièges avant.

On roule une demi-heure, et on arrive au restaurant.

Nous sommes dirigés vers une table retenue au fond de la pièce .

Le repas se passe toujours dans la bonne humeur, on boit modérément, Michel ne manque pas de toucher les cuisses de Joëlle que j'ai fait asseoir à côté de lui, a chaque fois que l'on rit.

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