Jalousie

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Un preservatif seme le doute.
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-Je suis le dauphin de la place Dauphine

Et la place Blanche a mauvaise mine,

Les camions sont pleins de lait

Les balayeurs sont pleins de balais.

Il est cinq heures,

Paris s'eveille,

Paris s'éveille,

... » Chante Jacques Dutronc dans l'autoradio. Il n'a pas tort. Il est cinq heures, l'heure de la révèle pour l'équipe de nuit : de 21 heures hier soir à 5 heures ce matin! Je suis crevé. Mes yeux se ferment d'eux même et la route ne m'apparais par interruption, il faut absolument que j'arrive à la maison avant de tomber de sommeil. Comme le chanteur, 5 heures, c'est l'heure où je vais me coucher.

Je rentre à la maison, discrètement je monte dans mon lit. J'aperçois la forme de Marie sous la couette. Il ne faut pas la réveiller... quoique... en la réveillant par inadvertance, peut-être serait-elle d'humeur... Je réfléchi et bien que n'ayant pas bu mon cerveau est embué. Je ne sais plus où elle en est dans son cycle... Oui quant à réveiller une femme qui dort autant qu'elle soit proche du jour de son ovulation, parce que si c'est la veille de ses règles... enfin vous me comprenez. Finalement je m'effondre.

En fait, elle est d'humeur coquine cette nuit! Elle me lèche l'oreille! C'est une drôle d'idée, mais je me dit que c'est prometteur!

-Je t'aime! Il est 8h00, je file au boulot, fini bien ta nuit, Ce soir je te parlerais de quelque chose...

Je me retourne et grogne quelque chose.

Finalement je n'arrive plus à dormir, je me retourne et mon érection me gêne. Marie viens de partir, dommage. Je me retourne et jette un coup d'œil au réveil. Il est 13h15. J'ai dû me rendormir. Je me lève, et péniblement, j'arrive à la salle de bain, mes articulations sont douloureuses. J'ai du mal à soulager ma vessie. C'est la chronique d'un quadragénaire qui a du mal à supporter de faire partie de l'équipe de nuit. Finalement, je passe sous la douche. Je finis ma toilette par le coton-tige dans l'oreille. J'ouvre la poubelle pour le jeter. Et là...

Et là, sur le fond en plastique blanc, trône un emballage bleu brillant, la marque connue me porte un coup au moral. Mon ventre est vide, et je suis estomaqué! « DUREX » en lettres droite, d'un emballage carré d'environ 2cm de côté. J'ai peu de doute sur ce qu'il contenait, même s'il est vide maintenant.

En fait, Marie l'a utilisé pour le mettre sur un sex-toy, j'aurais dû la réveiller en rentrant!

Mais non, jamais elle ne fait ça... Si elle a utilisé un préservatif, c'est qu'elle n'était pas seule la veille au soir. Pendant que je travaillais, elle se faisait travailler. J'ai une boule au ventre, je ne sais pas dire si je suis furieux ou déçu. D'un autre côté je ne sais pas avec qui. Je suis frustré aussi, quitte à être cocu autant profiter du spectacle. Le mot me fait mal : cocu.

Je me retrouve seul face à mon petit déjeuner et à l'emballage qui me regarde de travers. A moins que ce soit moi qui le regarde bizarrement. Bon je n'aurais pas dû le placer face à moi, mais j'ai du mal à prendre mon petit déjeuner seul et à midi passé. Je ne peux m'empêcher de penser à l'endroit où le contenu de cette pochette a été. Je ne peux m'empêcher de me demander ce qu'il a contenu...

Je réalise que Marie a changé les draps du lit, ils sont propres, les précédent sont dans la machine à laver, propres. Elle a dû effacer toutes les traces de cette intrusion dans son corps. Je pense à chercher le préservatif, mais je suis sûr qu'elle l'a jeté. L'emballage reste le seul indice de l'enquête que je commence alors que mon café, que je n'ai pas touché, refroidi sur la table.

Je ne sais pas si je lui en veux. Ou plutôt si, je sais que je lui en veux. Je lui en veux de me pas m'en avoir parlé, de l'avoir fait comme ça seule, sans moi.

Il est 15 heures, elle rentre dans trois heures et je suis blessé dans mon amour propre. Je réalise qu'elle m'a dit que nous devions parler. Ce « j'ai quelque chose à te dire » qui annonce toujours des mauvaises nouvelles. Maintenant j'en suis sûr : elle va me quitter! Je pleure. Je pense à l'appeler au téléphone pour lui crier ma douleur! Là je lui en veux! Je me retiens. Je continue de fouiller, mais elle a bien tout fait disparaitre. Elle ferait sans doute une bonne meurtrière. Le niveau des bouteilles d'apéritifs a baissé, enfin, je crois. Les verres ont peut-être bougés, je ne suis pas sûr. Le seul indice n'est finalement que ce préservatif. En tout cas il ne provient pas d'une boite à nous, enfin je ne pense pas que nous en ayons des comme ça.

Et puis, il est la sous mes yeux. Comment n'y ai-je pas pensé plus tôt. Je me précipite sur son PC.

Je l'ouvre... son mot de passe... flute... J'essaye sa date de naissance, ça ne marche pas. Son nom de jeune fille, pas plus. J'essaye mon prénom c'est idiot. Mais ça marche. Ça donne un souffle chaud dans mon cœur, pourtant gelé depuis ce matin.

Tout s'ouvre. Son navigateur internet. Merde, la Redoute, vente privée... elle ne pense donc qu'au shopping?

La boite mail... Je trouve le mail d'un Jean... je lis en diagonale

-Il part vers 21h... j'attends » J'ai la preuve!

Jean... Nous savions qu'il était libertin, mais jamais nous ne l'avons rencontré. Et elle le fait, dans mon dos. Je suis en rage!

Je fouille encore, il faut que je trouve les réponses à mes questions, depuis quand, tous les combien!

Il y a eu quelques échanges avant. Ils ont discuté de la taille de son sexe. 28 cm... j'ai honte de mes 14 cm. Pourtant je pensais la satisfaire. Mais apparemment elle préfère cet imbécile!

Le temps passe... je fulmine, elle va m'entendre en rentrant, je regarde l'heure, 18h05, elle va être là. Un dernier mail attire mon attention.

-Bonjour,

Il me semble que vous êtes libertins. Je voudrais faire une surprise à mon mari, en organisant pour son anniversaire une rencontre entre nos deux couples. Il sait que j'aime les sexes généreux. Et je voudrais lui offrir une soirée où il me verrait être prise de la sorte » J'en suis bouche bée.

Un coup d'œil sur ma montre, je regarde la date... c'est aujourd'hui mon anniversaire... je ne comprends plus. Je reste face à l'ordi quand j'entends la voiture de Marie. Ma femme qui me fait cocu le jour de mon anniversaire. Tout se mélange dans ma tête.

-Coucou, mon grand méchant loup! Le chaperon rouge est rentré! » Je ne sais quoi lui répondre. Je cache l'emballage dans ma poche. J'avais décidé de le lui mettre sous nez dès son retour, et j'ai subitement changé d'avis.

-Oh te voilà », je me sens mal et je cache son portable dans lequel je n'aurais pas dû fouiller. Je me sens un peu comme un gamin pris sur le fait.

-Oui, nous avons des invités ce soir, je t'ai préparé une surprise pour ton anniversaire, mais... enfin si tu ne veux pas tu le dit!

-Si je ne veux pas de la soirée? »

-Non, gros malin. Ce sont Jean et Aline, ils sont libertins, j'ai pensé que ça te plairait »

-Tous... tous les deux?

-Oui bien sûr... tu n'as pas l'air bien?

-Si... si, juste le me demandais...

-Oui! Il parait qu'il a une grosse queue! » Nous y voilà!

-Tu en es sure? » Je pose les questions et elle rougit, soudainement elle est mal à l'aise.

-Oui... je... je lui ai demandé à voir hier soir pour vérifier » dit-elle visiblement embarrassée.

-Et ton verdict? »

-Il... est... long, gros... » Ses yeux tournent dans sa tête, le souvenir à l'air d'être délicieux

-Mais c'est toi que j'aime... parce que je sais que tu n'es pas jaloux, » me dit-elle en m'embrassant.

Une demi-heure plus tard, Marie est assise face à moi. Ses bas crissent alors que ses jambes se croisent et se décroisent sous sa mini-jupe jaune. Son débardeur noir laisse voir sa poitrine. Elle me sourit et je devine qu'elle est déjà humide de laisser deviner son entre jambes à notre hôte assis près de moi. A côté de lui, Aline porte une jupe longue. Elle est assise sur le côté et la fente de sa jupe me laisse voir l'intégralité de sa jambe. Je me demande si elle porte une culotte. La vue que j'ai ne me permet pas de le savoir.

Dans les verres les apéritifs aident à passer aux choses sérieuses alors que la tension monte dans mon pantalon, visiblement c'est la même chose pour Jean.

Aline se penche pour attraper son verre, et je la vois écarter ses jambes, j'ai envie de m'y glisser... et je me sens un peu coupable vis-à-vis de Marie. D'un autre côté qu'a-t-elle fait exactement la veille au soir?

-Elle en porte une. » Me dit Jean.

-Pardon?»

-Une culotte, à la façon dont vous regardez ses jambes, je pense que vous vous posez la question de savoir si elle en porte une » J'ai honte de m'être laissé prendre au jeu d'Aline!

-Votre femme n'en porte pas par contre » Je regarde Jean interrogatif...

-Oui, je suis comme vous, elle me fait tourner la tête avec son jeu de jambes. » Ajoute-t-il.

Aline regarde et sort manifestement une jambe de sa jupe.

-Vous voulez vérifier par vous-même? » Je bafouille une réponse en regardant Marie.

-Jean peut-il vérifier lui aussi? » Me demande-t-elle!

Je ne sais quoi répondre, mais fini par faire oui de la tête.

Je m'approche d'Aline. Jean de Marie. Je suis Jaloux, qu'on-t-il fait hier. Le parfum d'Aline me transporte, je la regarde. Ses yeux foncés m'invitent à glisser mes mains le long des cuisses nues et bronzés. Elle n'a pas mis de bas.

-Votre femme nous a dit que vous préfériez sans bas ni collants.

-Effectivement, mais ça ne me gêne pas trop...

Ses cuisses sont douces, sa bouche enivrante. Je me rapproche d'elle. Elle rit.

-Vous pouvez regarder votre femme et mon mari en même temps comme ça vous profitez du spectacle, dit-elle.

Je me retourne et pendant que ma main claire glisse sur ses cuisses foncées et sous sa jupe, je vois la main mate de Jean s'enfoncer sous la jupe jaune et les cuisses blanches de Marie. Elle mors sa lèvre inférieur à peu près au moment où je touche le mont de Vénus d'Aline. Je sens une fine couche de tissu. Que Jean sens-t-il? La toison courte de ma femme!

Avec ses deux mains il remonte sa jupe, j'en profite pour écarter celle d'Aline. Marie est toute rouge, un peu mal à l'aise d'être comme ça cul-nue au milieu de nous. Aline est plus à l'aise assise les jambes écartées. Sur l'une on voit un simple ticket de métro au-dessus de jambes gainées de collants auto-collants en dentelle. Sur l'autre des cuisses nues couleur cuivre qui se rejoignent au niveau d'un string transparent et foncé, un string qui ne laisse aucun doute sur le fait que cette chatte est épilée. Bizarrement mon slip est devenu très étroit. Alors que je m'apprête à faire glisser le string d'Aline, elle se lève, et viens rejoindre ma femme. Elle lui ouvre sa jupe. Ma femme fait de même, leurs bras s'entrecroisent et elles baissent l'une la jupe de l'autre et les laissent tomber une fois qu'elles sont arrivées à leurs genoux. Un pas de côté, et elles retirent le débardeur de Marie, et le chemisier d'Aline. Je me demande où va nous mener ce spectacle. Vont-elles s'embrasser? Non, elles se contentent de se déshabiller enlacées l'une l'autre. Leurs seins se touchent. Pendant un moment je pense à une scène lesbienne entre la femme et Aline. Elles ne portent plus que leurs chaussures à talons, et Marie ses bas.

-Eh! Les garçons vous restez habillées? » Pendant un moment j'ai peur. Elles ne vont pas me demander de déshabiller Jean! Mais non, Marie se tourne vers Jean et lui retire sa chemise, Aline viens faire de même avec moi.

Puis Aline viens contre moi, elle défait ma ceinture.

-C'est le moment de vérité! » Dit-elle. Je suis un peu inquiet, ne va-t-elle pas être déçue?

-Je ne fais que... »

-Je sais, me glisse-t-elle, mais je préfère pour la sodomie » puis elle m'embrasse dans le cou et ouvrant ma barguette. Derrière elle, Marie me regarde. Le sexe de jean dans la main, il est énorme. Elle a un large sourire.

-Bon anniversaire! » Me dit-elle... Je suis ému, mais la main d'Aline dans mon caleçon me ramène sur terre. Je me tourne vers elle.

-Regarde je suis toute mouillée en voyant ton sexe » me dit-elle. Alors que je me penche pour glisser ma main dans son entre jambe, je vois Jean faire de même avec Marie. Je me demande ce qu'il sent, si elle est si mouillée que ça. Je regarde le barreau qu'elle branle doucement, elle peine à fermer sa main dessus, Alors qu'Aline a sa main tout autour de ma queue. Je glisse sur ses lèvres lisses et douces. Je pousse mon pouce entre ses lèvres gonflées, et elle glousse, elle est trempée, et son clitoris est dur déjà. Je m'allonge pour glisser ma tête près de son sexe, mais elle ne me laisse pas faire. Pourtant, à côté, Jean embrasse le sexe de ma femme. Elle écarte les jambes pour lui, et je devine sa langue aller et venir sur son clito, puis aux mouvements de sa tête je devine qu'il pointe sa langue dans ce con que je connais si bien. Je suis surpris de les voir faire et de lire ses mouvements aussi facilement. Aline me rappelle à l'ordre, et me présente ses fesses et un tube de lubrifiant!

Je me mets au travail. J'étale la substance entre ses fesses. Je louche sur son petit trou. Et comme je masse tout autour, elle gémit doucement. Puis elle se retourne vers moi, s'allonge sur le côté en ouvrant bien sa jambe pour m'offrir tout l'accès dont j'ai besoin, et elle recommence à jouer avec mon sexe. Je sien est tout luisant de désir. Sur ses fesses, c'est le lubrifiant qui brille et attise mon désir.

De l'autre côté, Marie et Jean ont échangé leur rôles, et elle est à quatre pattes en train d'essayer de faire entrer le zob géant dans sa bouche. Elle remue les fesses et nous montre son postérieur et son sexe est presque lumineux de mouille entre ses cuisses.

Mon massage avance, et pendant que j'ouvre son anus Aline pousse de petits bruits de satisfaction. Je sens que chaque fois elle pousse pour accompagner mon action. Et petit à petit je suis capable de glisser mon pouce dans cet orifice.

Marie se redresse alors que Jean s'allonge

-Je préfère comme ça! » Dit-elle

-Oui comme ça tu pourras prendre ton temps. Et contrôler » lui dit-il.

Elle est à califourchon sur lui et attrape sa queue entre sa main droite devant, et sa main gauche derrière, puis je la vois se baisser en guidant le mat de chair dans son canal d'amour. Elle s'arrête quand le gland de Jean se pose sur ses lèvres. Je devine la pression alors qu'elle s'assoit sur lui.

Mon pouce entre maintenant facilement dans le petit trou d'Aline, et je commence à glisser simultanément mon index et mon majeur. Elle m'encourage en léchant mon sexe. Heureusement les coussins m'aident à rester en position. Marie est à la peine et il est difficile de dire si les bruits qu'elle fait son des plaintes ou le signe du plaisir. Jean semble sursauter, Marie s'enfonce d'un centimètre dans un cri étouffé. Puis elle s'empale doucement dans une plainte continue qui finalement tourne à la satisfaction. J'imagine à quel point elle se sent pleine et écartelée. Connait-elle déjà cette sensation?

Il lui faut quelques minutes avant de remonter.

De mon côté je remets du lubrifiant et ajoute mon annulaire.

-Donne-moi du lube pour ta teub » me dit Aline en souriant, a priori contente de l'assonance qu'elle a trouvée.

Puis elle me barbouille de lubrifiant.

Marie se ré-empale sur le sexe de Jean, dans un soupir plus plaisant que la fois précédente.

-Je crois que c'est le moment » me dit Aline...

-Tu veux venir sur moi, pour contrôler la progression » Je ne sais pas si elle a beaucoup d'expérience même si elle semble bien connaitre la procédure.

-On non, je veux te sentir me prendre, je veux me sentir femelle prise par un male » dit-elle avec un sourire vite efface lorsqu'elle se mort la lèvre inférieur.

-Vite j'ai très envie » ajoute-elle, et se mettant en levrette.

Je me mets à genoux derrière elle et positionne ma queue dans l'axe de son trou, et alors que mon gland touche son anus, je la sens reculer, et venir sur moi, je presse contre elle. La pression monte entre mon gland et son anus. Je pense à Marie assise sur le sexe de Jean. Aline doit connaitre cela aussi.

Je sens son anus se rouvrir lentement. Je progresse de quelques millimètres dans son fondement. Elle grogne, je souffle. Je l'attrape par les hanches, j'en ai envie, je sens mon désir m'enflammer.

Puis mon gland est presque en elle, et la progression est plus rapide, et soudain toute résistance est vaincue, je m'enfonce en elle.

-Oh oui » laisse-t-elle échapper. Je contrôle ma vitesse, mais je rentre plus facilement que je ne pensais. Puis je viens contre ses fesses. Je marque une pause. Et je recule. Aline serre un peu les fesses pour me retenir et gémit.

Je sens mon gland contre son sphincter, à l'intérieur.

-Stop, sort pas, reviens » dit-elle, mais ses yeux montre qu'elle n'est déjà plus tout à fait là.

Je m'enfonce plus vite, plus fort. Mon dieu que c'est serré, mais ça coulisse. Je m'accroche à ses cuisses pour que mon appendice progresse et coulisse tout au fond d'elle. Il n'y a plus qu'elle et moi. Je sens mes boules qui viennent frapper son sexe à chaque fois. J'entant son cri qui m'encourage à continuer. Son corps s'est couvert de sueur. Et finalement je m'enfonce une dernière fois en elle et laisse ma semence bien profond en elle.

-Oh oui comme ça... » Laisse-t-elle échapper. Avant que je ne m'effondre à côté d'elle.

-Merci » ajoute-t-elle en frottant sa joue contre la mienne. Je comprends qu'elle a besoin de tendresse après cela, et je vais pour l'embrasser, mais elle se refuse.

-Pas sur ma bouche, je réserve cela à mon Homme, mais dans le cou si tu veux. » Je suis surpris mais je respecte. Je me frotte à elle. Elle sent fort, mais j'aime cette odeur.

-J'aime bien comme tu grognes quand tu m'encules » me dit-elle. Je réalise que j'ai grogné, je n'en étais pas conscient. Les bruits d'à côté me revienne dans les oreilles. Marie et Jean sont en missionnaire, Marie a les jambes relevées. Je suis un peu déçu de cette position.

-Elle à du mal à s'accommoder de sa taille, et cette position est plus facile » m'explique Aline. Je pense qu'elle doit connaitre le problème.

-Ça lui fait mal » je demande...

-Je ne pense pas, mais il doit rester lent, sinon ce serait le cas, dit si on allait se nettoyer? Tu vas vouloir rejouer avec elle ensuite, pour marquer ton territoire » se moque-t-elle de moi gentiment.

Aline ajuste la température de l'eau, rince mon sexe. Elle me demande de faire me même avec ses fesses. Effectivement la sodomie n'est pas une pratique très propre et son initiative est la bienvenue.

Elle attrape mon gel douche et me savonne...

-Tu veux me savonner avec ton gel douche pour me marquer de ton parfum? » Rie-t-elle

-Je.. n'y avais pas pensé... » Bredouille-je

-Humm tu es un male tu as besoin de ça, tu vas voir avec ta femme tu auras besoin d'être sauvage » me dit-elle!

-Elle ne va pas me sentir » dis-je un peu boudeur!

-Bien sur que si, et l'avantage avec les bites plus modestes c'est qu'elles sont bien dures, et qu'elle regonfle plus vite, crois moi, j'en sais quelque chose! » Elle me réconforte avec un clin d'œil, alors qu'elle rince le gel douche.

-Regarde, tu te ragaillardis déjà... » Ajoute-t-elle en soupesant mes boules alors qu'effectivement mon sexe reprend de l'ampleur.

Nous nous séchons, puis nous retrouvons Jean et Marie en levrette cette fois ci, les choses vont mieux, et l'intensité des cris nous annonce la fin pour bientôt et effectivement Jean se crispe, s'enfonce en Marie. Je devine ce qu'il laisse en elle.

Marie est couverte de sueur, ses cheveux collent à son front. Son maquillage coule. Elle a quelques larmes et elle sourit. Un sourire béat.

A côté d'elle Jean est proche de l'endormissement. Du mat de Goélette ne reste qu'un petit sexe dégonflé. Avec mon début d'érection je suis plus long que lui.

Marie m'aperçois, et me fait signe. Je m'approche, mais elle m'attrape par les boules et me tire vers elle. Vers sa bouche. Et elle commence une fellation qui me regonfle, puis elle me regarde dans les yeux...

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