Jean et Cécile : Affaires Intimes

BÊTA PUBLIQUE

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« Mireille a bien proposé de nous préparer un en-cas mais elle ne travaille plus pour nous, elle a droit à ses loisirs. Dépose tout dans le frigo en revenant puis rejoins-moi dans la chambre .. mon gros loup! »

Une demi-heure plus tard, Jean trouva un petit mot sur leur lit « Je voulais dire ... dans la chambre de Patricia! Bisous partout mon amour»

Il prit une douche en vitesse, mit un pantalon de training et un polo et se dirigea vers la chambre de l'aînée des Lantine. Il toqua à la porte et la voix de Patricia lui dit d'entrer. Il fit deux pas à l'intérieur et ne put s'empêcher de siffler. Elle avait revêtu les plus beaux atours de ses collections. Tout en dentelles et soie blanches. Il sentit immédiatement son sexe gonfler et éprouva un sentiment de culpabilité envers Cécile. Où était d'ailleurs Cécile? Il se retourna et faillit s'étrangler. Une femme était assise contre le mur, face au lit. Entièrement vêtue de cuir noir des pieds nus à la tête recouverte d'une cagoule de cuir noir également, elle était immobilisée par des lanières de cuir rouge qui la maintenaient attachée à la chaise.

« Cécile? »

« Mmmh Mmmh! » Seul un son indistinct lui parvint de derrière la cagoule dont la bouche était couverte d'un opercule. Seuls les yeux de Cécile étaient visibles derrière les ouvertures ad hoc du masque. Son corps était également entièrement recouvert de cuir sauf ses beaux seins qui saillaient hors du costume ouvert à cet endroit. Elle devait être excitée en diable car ses tétons étaient parfaitement dardés et sombres comme chaque fois qu'elle avait fort envie de faire l'amour.

Il n'eut pas l'occasion de la détailler plus avant, Patricia 'était approchée de lui et avait plaqué sa main sur le sexe turgescent du garçon.

« Miam, Cécile ne m'a pas raconté de bobards, tu es bien monté gros loup! »

Elle souleva le polo, agaçant la peau de son torse avec ses ongles jusqu'à ce qu'elle fasse passer le polo par-dessus la tête du garçon puis elle se colla contre lui, lui faisant passer la chaleur de sa poitrine enveloppée de dentelle avant de fléchir les jambes, traçant la voie de son désir le long de son torse et de son pubis jusqu'à ce qu'elle se retrouve agenouillée devant Jean.

Elle empoigna ensuite le pantalon de training à deux mains et l'abaissa d'un coup en prenant garde à éviter le mat de chair qui le distendait jusqu'alors. Dès que le pénis de son partenaire fut visible, elle l'emboucha et commença à le sucer avec une technique parfaite. Jean se cambra pour pousser son membre le pus loin possible dans la bouche hospitalière tandis que la momie de Cécile s'agitait et poussait des grognements étouffés derrière son masque de cuir.

Jean se concentra avec toute la farouche intensité dont il était capable pour ne pas jouir séance tenante sous les assauts de la bouche gourmande. Il la laissa faire encore trois ou quatre minutes avant de faire se relever la jeune femme et la faire basculer gentiment sur le lit.

Ce fut à son tour de s'occuper d'elle. Comme l'autre soir avec Cécile, il ne voulait pas la déshabiller -- du moins pas entièrement . Il fit glisser le slip de soie blanche sous les fesses de Patricia, l'enleva et entama aussitôt un cunnilingus endiablé en suivant à la lettre les instructions que Cécile lui donnait d'habitude. Passant alternativement du clitoris aux grandes lèvres de la vulve, il la fit rapidement gémir sous les coups de sa langue avide.

« Oooh .. ça fait .. du bien ...! J'en avais ... besoin ...aaahh .. Merci ... soeurette ... aaahhh .. il est bon ... ton homme ... oooh! «

Elle attira le visage de Jean tout contre sa conque palpitante , refermant ses cuisses gainées de soie pour l'emprisonner dans un étau d'amour. La sensation de la soie contre ses joues était délicieuse et Jean redoubla d'ardeur, suçant le clito maintenant pleinement érigé, arrachant une cascade de plaintes à son amante.

« AAAHHH .. J'Y .. SUIS ... PRESQ' ... OOOH ... OUIIII ... OUIIII ... JE ... VIENS ... AAAHHHH! »

Elle se relâcha complètement , comme un ressort qui se détend en fin de course, perdue dans un orgasme de grande ampleur qui l'agitait des orteils à la tête qui dodelinait sous l'effet des vagues de plaisir pur. Jean en profita pour se redresser et s'étendre sur sa 'belle-sœur' , se retournant dans un premier temps pour vérifier que Cécile l'observait toujours. Celle-ci devait avoir un sérieux problème de libido car elle fermait et ouvrait convulsivement les jambes comme pour essayer de se donner mais en vain des sensations au niveau du bas-ventre. Au passage, Jean s'aperçut que la combinaison de cuir était grand ouverte à hauteur de son intimité qui était pleinement visible à chaque fois qu'elle écartait les cuisses.

Il pénétra Patricia d'un seul élan, s'agrippant à ses seins pour transformer la pénétration en sauvage coup de boutoir

« WAAAOOOUUUH »

Visiblement, Patricia appréciait l'amour vache comme disait Cécile et il décida d'en profiter, la pistonnant avec une brutalité presque animale, sans lui laisser le moindre répit après son orgasme clitoridien . Comme pour confirmer son impression, les longues jambes gainées de soie de sa belle-sœur vinrent se nouer dans son dos, l'encourager à la fouailler encore plus à fond.

Il arracha les bonnets de dentelle du soutien et sa bouche s'empara d'un mamelon qu'il mordit à belles dents, laissant son empreinte sur le beau globe de chair.

« Uuuhh ... bruuute ... Encore ... l'autre ... oooh ... « Tandis qu'il martyrisait le second sein, il rebondissait au plus profond de la chatte sans défense. Il sentit bientôt un premier spasme l'agiter et comprit qu'elle n'allait pas tarder à se pâmer une seconde fois. Il amplifia ses coups de boutoir, sortant presque du fourreau pour revenir l'empaler de plus belle. A ce rythme, elle jouit assez rapidement sans retenu, ouvrant la bouche sans être capable de proférer le moindre son , tétanisée par la violence de son orgasme.

Haletant, Jean se ficha à une dernière fois dans l'intimité de sa belle-sœur' et attendit qu'elle reprenne ses esprits tout en reprenant son souffle après cette folle cavalcade. Il jeta un coup d'œil par-dessus son épaule et aperçut Cécile qui frottait désespérément son pubis contre le siège de la chaise, dans un illusoire effort pour se donner du plaisir. Avec un mauvais rictus, il se retira de la vulve crispée de Patricia et la hissa sur le lit avant de la tourner sur le ventre, perpendiculairement à Cécile. Il hissa le bassin de la jeune femme au niveau de sa verge toujours aussi bandée et la pénétra à nouveau, lui arrachant un véritable cri de désespoir.

« Aaah ... C'ile ... il va me tuer .... Pitié ... j'en .. peux plus! Oooh ... Arrête ... stop! »

Jean ne l'écoutait pas ; il avait atteint les limites de sa propre résistance et n'aspirait plus qu'à se vider les couilles dans le magnifique corps de sa maîtresse d'un soir. Insensible à ses supplications, il recommença à la pistonner comme une machine aveugle. Un regard vers Cécile refroidit néanmoins ses ardeurs. La poitrine de sa compagne était agitée de sanglots ou du moins par quelque chose qui y ressemblait fort. Pris de remords, il envoya sa main droite chercher le clitoris de Patricia, décidé à mettre un terme à leurs ébats une bonne fois par toutes.

Il lima sa 'belle-sœur' pendant cinq bonnes minutes tout en la masturbant mécaniquement, beaucoup moins intéressé par la splendide créature qui feulait sous lui que par le corps prostré de sa compagne. Patricia finit par s'effondrer sur le lit en hurlant une dernière fois sa joie. Jean se retira aussitôt et se précipita vers Cécile tandis que Patricia restait prostrée sur le lit.

Il trouva rapidement les pressions qui retenaient la cagoule de cuir au reste du costume et libéra sa fiancée . Le visage de Cécile était tout rouge, couvert de transpiration et de larmes. Elle aspira une grande goulée d'air

« Oh Jean ... c'était affreux! »

« Ha! tu vois que ce n'est pas si excitant que cela de voir son amour qui s'envoie en l'air avec un ou une autre? »

« Mais si, au contraire! Ce qui était affreux, c'était de ne pas pouvoir participer! Détache-moi et baise-moi à fond! Je l'ai bien mérité mais je garde le cuir! »

Jean la détacha et la porta vers le lit . Il s'étendit sur le dos aux côtés d Patricia toujours sonnée après ses orgasmes multiples et Cécile grimpa sur lui, gigotant pour introduire la verge toujours tendue de son homme dans son vagin palpitant. Il empoigna ses seins offerts pendant qu'elle s'empalait sur lui avec un hurlement de satisfaction. Jean se contenta d'un soupir de bien-être lorsque sa nite buta au fond de la chatte aimée : il était de retour à la maison!

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