Jeux Pervers - 01 (Timidement)

Informations sur Récit
De mère attentionnée à femme coquine.
6.5k mots
4.69
4.3k
2

Partie 1 de la série de 3 pièces

Actualisé 04/24/2024
Créé 04/07/2024
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Jeux pervers - 1 (timidement)

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Ce texte étant une fiction, les scènes décrites sont le fruit de l'imagination. Toute ressemblance avec des personnes existantes serait purement fortuite. Les personnages présentés sont tous majeurs.

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De retour à la maison, Laura se retrouve bien seule et plutôt déprimée. Elle et son mari, Hervé, viennent d'accompagner à l'aéroport leur fils, Maxime, qui part aux USA pour un stage d'étude de trois mois. C'est une opportunité pour lui, Laura en est consciente, mais il est si jeune, se dit-elle, alors qu'ils ont fêté les 18 ans de Maxime la veille.

Son mari, qui vient de la déposer avant de retourner travailler, n'est même pas là pour la rassurer. Laura se rend compte qu'un cap vient d'être franchi dans sa vie avec le départ de son petit chéri. Depuis la naissance de Maxime, elle ne s'est consacrée qu'à lui, délaissant trop son vieux mari. Elle se dit qu'elle a peut-être été une mère très possessive, mais elle ne peut revenir en arrière.

Se regardant dans une glace, Laura se sent vielle. Elle ne voit que les petites rides qui apparaissent à peine au coin des yeux ou de la bouche. Elle est portant, à 37 ans, encore une très belle femme avec ses beaux cheveux bruns, ses yeux bleus et ses courbes marquées, qu'elle trouve trop prononcées alors qu'elles ne sont qu'attirance pour bien des hommes.

Deux jours plus tard, pour tromper sa solitude, Laura invite Marthe à dîner, à l'occasion du départ en retraite de cette dernière. Marthe a été sa gynécologue depuis une vingtaine d'années et elles sont devenues amies. Laura s'est toujours sentie attirée par des personnes plus âgées qu'elle. Elle a d'ailleurs eu Hervé, de vingt ans son aîné, comme premier et unique amour, ce qui s'est terminé par un mariage peu après ses 18 ans.

Avant le dîner, attendant un mari qui rentre souvent tard de son bureau de courtier d'assurances, les deux femmes prennent l'apéritif et discutent avec une complicité toute féminine.

« Je me sens très seule, depuis le départ de Maxime », confesse Laura.

« Laisse-le vivre sa vie », répond Marthe, « c'est un homme, maintenant ! », avant d'ajouter :

« Pense un peu à toi. Profite de ta liberté. Tu vas retrouver du temps pour t'occuper de ton mari ... qui te le rendra bien, je l'espère. D'ailleurs, comment cela va-t-il ... sur le plan ... sexuel? »

Laura hésite un moment avant de se confier :

« Hervé me fait encore l'amour une ou deux fois par mois ... sans conviction ... mais ça ne me manque pas vraiment. Tu vois, ce n'est plus comme avant ! »

« Que veux-tu dire par là, ma chérie? »

« Au début, il était tout le temps après moi. C'était excitant et j'y prenais beaucoup de plaisir. Et puis, il y a eu très vite cette grossesse pendant laquelle je me suis refusée, par prudence. Après la naissance de Maxime, je me suis sentie plus mère qu'épouse et c'est sûrement moi qui ai mis un coup de frein aux relations sexuelles. Souhaitant me consacrer à mon fils, j'ai voulu éviter d'avoir un deuxième enfant, aussi ai-je pris la pilule, comme tu le sais bien. »

« Et alors? », questionne Marthe.

« Je ne sais pas si c'est une question d'hormones », dit Laura, « mais j'ai eu l'impression que ma libido n'était plus la même qu'avant. Pourquoi? Je ne sais pas ! »

Marthe se lance dans une explication :

« Pour beaucoup de femmes, la liberté sexuelle sans risque, que permet la pilule, fait monter leur désir, mais, pour certaines, l'effet est inverse. Le risque de grossesse est un excitant inconscient qu'elles n'ont plus. Peut-être pourrais-tu arrêter ta contraception? »

« Je ne sais pas ... », répond Laura, dubitative.

« En tout cas », insiste Marthe, « tu devrais provoquer ton mari pour faire retrouver l'envie, à lui comme à toi ! Et puis, si cela ne se présente pas bien ... pense qu'Hervé n'est pas le seul homme qui pourrait s'intéresser à toi, ma jolie ! »

« Oh, non, je ne pourrais jamais ! », s'exclame Laura, qui ajoute dans un murmure :

« ... surtout si je ne prenais plus la pilule ... »

Alors qu'elles entendent la porte s'ouvrir à l'arrivée d'Hervé, Marthe détache deux boutons du chemisier de Laura, découvrant ainsi un décolleté provoquant. Pendant tout le dîner, Laura sent bien que les yeux de son mari ne peuvent s'en détacher et cela la conforte dans l'idée de suivre les conseils de Marthe ... au moins avec son mari.

Le soir, Laura 'oublie' de mettre sa chemise de nuit et c'est un appel clair pour son mari, qui se jette sur elle. Il suce longuement les pointes de ces seins qui l'ont excité pendant tout le dîner. Il les palpe, en pince et suce les tétons. Laura sent sa chatte se mouiller pour la première fois depuis longtemps. C'est peut-être parce que, ce soir, elle se sent désirée. Ce n'est pas pour autant qu'elle se sente désirable. Ce n'est que son vieux mari ! Peut-être n'aurait-elle pas le même effet sur un jeune homme? Laura n'est pas rassurée dans sa féminité, mais elle commence cependant à ressentir un certain plaisir monter en elle. Son mari vient de se coucher sur elle, en lui écartant largement les cuisses, puis de la pénétrer.

Ce sexe qui s'enfonce en elle est juste dans la moyenne mais bien dur, ce qui la surprend. L'âge d'Hervé ne lui faisait pas en attendre autant. Laura se dit qu'elle l'a bien excité avec son décolleté, ce soir, et s'étonne de ce pouvoir qu'elle n'imaginait pas. Le coït s'accélère pour atteindre une vitesse étonnante pour un vieil homme. Malheureusement, Hervé atteint vite la jouissance, la remplissant d'un sperme abondant, alors qu'elle n'a pas pu atteindre l'orgasme.

Laura s'attend à ce que son mari, satisfait, plonge dans un sommeil réparateur, mais ce n'est pas le cas. Hervé se place entre les cuisses de sa femme et lèche les lèvres vulvaires, qu'il finit par écarter avec ses doigts. Laura n'en revient pas, car il la fouille de sa langue et aspire son propre sperme. Elle voudrait lui dire que c'est dégoûtant, mais elle se retient, heureuse de profiter de caresses intimes qui devraient l'amener à la jouissance. Alors, elle passe se doigts dans la chevelure blanche de son mari, augmentant un peu ainsi la pression de la bouche sur sa chatte. Laura laisse son esprit vagabonder dans la direction que lui a suggéré son amie Marthe, l'adultère : et si c'était en elle le sperme d'un amant, son mari le boirait-il de même? C'est en pensant que ce serait peut-être le cas que Laura atteint la jouissance.

Alors que son mari vient de s'endormir profondément, Laura reste éveillée un moment. Comment a-t-elle pu penser à un tel adultère et à une telle attitude d'un mari cocu? Je suis folle, se dit-elle, pensant que c'est cette reprise du plaisir, après tant d'années de quasi abstinence, qui l'a déboussolée. Il faut qu'elle se reprenne, comme il convient à une épouse fidèle.

Le lendemain matin, pendant leur petit déjeuner, Laura dit à son mari :

« Hier soir, Marthe nous a dit qu'elle s'offrait un voyage de trois semaines pour bien commencer sa retraite. Avant ton arrivée, elle m'a demandé si je pouvais assurer ses activités bénévoles dans une association qui s'occupe de personnes âgées et de malades. Je lui ai donné mon accord car cela occupera certaines de mes journées, maintenant que Maxime est parti. Demain, je dois me rendre dans une maison de retraite pour proposer des jeux aux résidents », puis elle ajoute :

« Qu'en penses-tu? »

« C'est une très bonne idée, ma chérie », lui répond Hervé, qui ajoute, avec un petit sourire en coin :

« Tu leur feras prendre du plaisir ... surtout si, en plus, tu les régales avec un beau décolleté, comme hier soir ! »

« Mais non ! Ça, ce n'est que pour toi ! », rétorque Laura, « Tu es vraiment un gros cochon ! »

Le soir, alors qu'ils sont couchés, elle précise à son mari qu'elle va leur proposer des jeux de carte ou un loto. Hervé la félicite pour son choix et l'encourage en disant :

« C'est parfait, ma chérie. Profite-bien de tes jeux. »

Laura s'étonne des derniers mots de son mari, car ce sont plutôt les résidents qui devraient profiter des jeux qu'elle va organiser. Alors qu'elle sent la main d'Hervé se poser entre ses cuisses, Laura se dit que son mari pense probablement à d'autres jeux. Cependant, il se contente de quelques caresses qui font beaucoup de bien à Laura. Elle s'endort ensuite en pensant qu'à l'âge de son mari cela ne peut pas être la fête tous les soirs.

Le lendemain, en début d'après-midi, Laura se prépare car elle doit animer les jeux après la sieste des résidents. Elle se demande quelle tenue choisir. Les jean et tee-shirt qu'elle porte ne lui paraissent pas convenir. Les personnes âgées préfèrent certainement des femmes pas trop décontractées, mais plutôt assez classiques, voire BCBG. Alors, elle choisit une jupe pas trop courte, mais pas trop longue non plus. Elle ne doit pas avoir l'air d'une nonne, tout de même ! Une jupe juste au-dessus du genou sera parfaite. Elle remet le fin chemisier qu'elle portait la veille et qui va bien avec ce type de tenue. Lorsqu'elle se regarde dans la glace, Laura ne peut s'empêcher d'ouvrir un bouton. Elle sent chez elle une féminité retrouvée et se dit que cette vue pourrait embellir la journée des vieux messieurs dont elle va s'occuper. Son décolleté sera moins outrageux que lors de son fameux dîner, mais défaire un second bouton ne serait probablement pas du goût des dames de l'assistance, aussi en reste-t-elle là.

Lorsqu'elle arrive dans la salle où l'attendent les résidents, Laura est surprise de voir qu'il y a plus d'hommes que de femmes, alors qu'elle s'attendait à l'inverse. Beaucoup de femmes, très âgées, ont préféré rester dans leur chambre. Laura propose un jeu de société, mais, voyant les difficultés rencontrées, elle se lance dans des tours de carte qu'elle réussit assez bien et que ses spectateurs apprécient, car c'est une nouveauté pour eux. Lorsqu'elle se penche devant certains pour faire tirer une carte, elle offre, sans y faire trop attention, une bonne vue sur sa poitrine bien mise en valeur par un soutien-gorge pigeonnant. Quelques yeux exorbités l'alertent, mais elle ne peut s'empêcher de continuer. Il serait injuste d'en priver certains, se dit-elle, sans tenir compte d'une autre justification, l'humidité qui règne maintenant entre ses cuisses.

De retour chez elle, Laura est restée dans cette tenue. En arrivant, son mari lui en fait la remarque :

« Si tu es allée à la maison de retraite comme ça, j'imagine que les vieux messieurs ont apprécié ton décolleté autant que tes jeux, n'est-ce-pas? »

« Ils ont bien aimé mes tours de carte, mais aussi ... la vue ... », confirme Laura.

« Si ça c'est bien passé, je suppose que tu vas y retourner », dit Hervé.

« Oui, bien sûr », répond-elle, « J'ai une deuxième intervention prévue après-demain et une troisième en début de semaine prochaine. Je vais être bien occupée, tu vois ! »

Le soir, au lit, Hervé fait de nouveau l'amour à sa femme, qui n'en revient pas de tant de fougue. Ce n'est pas le plaisir inoubliable qu'elle aurait pu attendre, mais c'est mieux que rien, se dit-elle. Laura se doute que son attitude avec les retraités doit être pour quelque chose dans le comportement de son mari. Cela l'étonne car il devrait plutôt être jaloux, mais elle se dit bien vite qu'il n'a rien à craindre de vieillards. Cela doit plutôt l'amuser, pense-t-elle. Cependant ce que lui dit alors son mari devrait la faire réfléchir :

« Pour ta prochaine prestation, tu pourrais peut-être mettre le petit haut très moulant que je t'ai offert, celui dont le décolleté se prolonge avec une fermeture éclair que tu peux régler comme tu le souhaites. »

« Mais il est si collant que l'on voit toutes les marques du soutien-gorge », rétorque Laura.

« Raison de plus pour ne pas en mettre ! », dit alors Hervé.

« Tu rêves ! », s'écrit Laura.

Lorsque, deux jours plus tard, elle se prépare pour sa prochaine intervention en maison de retraite, Laura souhaite remettre la même tenue. Elle s'aperçoit que sa jupe a un faux pli bien visible. Il n'est plus temps de se mettre au repassage, car elle serait alors en retard. Elle pourrait mettre un pantalon, mais elle se dit que les vieux messieurs présents seraient certainement déçus. Alors, elle se met à chercher une jupe et se rend compte que celle à laquelle elle pensait est dans son panier de linge sale. Seule une mini-jupe qui s'arrête à mi-cuisse est disponible. Elle l'avait un peu oubliée car elle l'avait mise de côté, se disant qu'elle n'était plus de son âge.

Laura hésite un moment, pensant à l'impression qu'elle pourrait faire aux vieux hommes présents. Encore une fois, elle sent sa chatte se mouiller. Pourquoi ne pas leur faire plaisir? Cela ne l'engageant à rien, Laura se décide pour cette mini-jupe. Repensant alors à la proposition de son mari, proposition qui maintenant ne la choque plus, elle retire le soutien-gorge qu'elle venait de mettre et enfile le petit haut moulant que lui a conseillé son mari. Un regard dans la glace montre que le fin tissu, collé à sa poitrine, met bien en évidence ses tétons qui pointent, montrant son excitation. Elle ne fait glisser la fermeture vers le bas que de deux centimètres, juste pour donner l'effet voulu, car le décolleté est déjà assez profond comme ça. Elle choisit des chaussures qui n'ont qu'un petit talon car elle ne se veut pas provocante.

Son arrivée dans la salle pour les jeux est saluée par quelques sifflements qui la font rougir. Les regards de désapprobation des quelques femmes présentes augmentent sa rougeur. Elle a décidé de les faire jouer au loto, jeu que les seniors apprécient beaucoup. Un des hommes la questionne alors :

« Que gagne-t-on à ce jeu? »

« J'ai prévu quelques chocolats pour les messieurs et une rose pour les dames », répond Laura.

« Pourquoi pas un baiser? », rétorque l'homme.

Alors que Laura ne sait que répondre, tous les hommes présents se mettent à scander :

« Oui, un baiser ! Un baiser ! Un baiser ! »

Laura, qui sent sa chatte se mouiller, se décide alors :

« Messieurs, tant pis pour vous. Les chocolats iront aussi aux dames », confirmant ainsi que les gagnants auront droit à un baiser.

A la fin du premier loto, un gagnant réclame son baiser, ce qui fait dire à Laura :

« Les récompenses seront à la fin. Nous avons plusieurs parties à jouer. »

Quatre parties s'enchaînent et la parité est bien respectée, car deux femmes et deux hommes ont gagné. Laura annonce alors qu'elle récompense les dames en premier. Chacune reçoit une rose et un petit paquet de chocolats, puis les femmes quittent la salle. Seuls les hommes sont restés.

Le premier gagnant s'approche pour son baiser. Laura tend sa joue et l'homme l'embrasse. Lorsqu'elle se retire, celui-ci réagit, disant :

« Ah, non ! Moi, c'est toujours deux ! »

Alors, bonne fille, Laura tend son autre joue. Cette fois, l'homme l'embrasse juste au coin des lèvres.

Le second gagnant, qui a bien remarqué, fait de même sur les deux joues, mais plutôt à demi sur les lèvres. Il s'attarde même un instant sur le deuxième baiser, ce qui surprend Laura, qui est encore plus étonnée lorsqu'elle sent la main de l'homme se poser sur l'anneau qui orne la fermeture éclair de son vêtement et le tirer nettement vers le bas. Ne voulant pas un scandale, Laura le laisse faire. C'est aussi parce que se sentir ainsi regardée l'excite. Elle en profite pour rester un moment sans corriger sa tenue, prétextant une question sur les jeux qu'ils voudraient faire une prochaine fois. Les vieux hommes présents donnent l'impression d'y réfléchir longuement, mais c'est plutôt l'envie de s'attarder à se 'rincer l'œil' qui les motive, d'autant plus que Laura s'est placée un peu de côté pour que sa poitrine nue soit plus visible. L'un d'eux finit par dire que quelque chose de plus actif, de plus physique ne serait pas mal pour leur santé.

L'idée plaît à Laura qui leur propose :

« La prochaine fois, nous pourrions jouer au bowling, avec la Wii. Il faut se déplacer un peu et bien faire le geste. Le résultat sera visible sur la télévision. Je suppose qu'il y a un appareil avec un grand écran dans cette maison. Je vous montrerai le mouvement car j'ai moi-même pratiqué le bowling en compétition. Tachez, messieurs, de convaincre les dames. »

De retour chez elle, Laura garde sa tenue en attendant l'arrivée de son mari. Celui-ci est alors très excité de voir que sa femme a suivi ses conseils.

Avant leur dîner, alors qu'ils sont assis côte à côte sur le canapé, prenant un apéritif, Laura raconte sa journée. Elle n'omet pas de lui raconter la séance des baisers de récompense, sans cacher les détails, et elle lui montre même comment le deuxième gagnant a ouvert son décolleté. De ce fait, ils vont manger froid car son mari se jette sur elle et la prend sans plus attendre sur le canapé. Laura se dit que son mari paraît plutôt excité que jaloux et qu'elle a peut-être trouvé un bon moyen de lui donner l'envie d'elle bien plus fréquemment qu'avant.

Au lit, Laura explique à son mari son idée de jeu virtuel de bowling. Il approuve totalement et lui dit :

« Pour bien montrer le mouvement, il faudra que tu ne sois pas gênée par tes vêtements. »

« C'est vrai », lui confirme Laura, « j'avais pensé mettre ma petite jupe de bowling, celle qui est très courte et plissée, qu'en penses-tu? »

« Ce sera parfait ! », répond son mari, de nouveau excité, « Les hommes vont avoir une belle vue sur tes jambes magnifiques ... tu pourrais même ... »

« Faire quoi? », interroge Laura, qui sait que les idées de son mari sont toujours très 'orientées'.

« Mettre un string sous ta jupette », répond-il.

« Là, tu y vas un peu fort ! », s'écrie Laura.

« Cela veut-il dire que tu ne le feras pas? », s'inquiète Hervé.

« Tu verras bien », répond Laura, heureuse de laisser planer un doute.

Laura a alors droit à un deuxième tour avec son mari, qui ne peut l'amener à la jouissance, tant la sienne arrive tôt. Même si cela a été loin d'être parfait, Laura se réjouit de la performance de son mari, qui semble excité par tout cela.

Aujourd'hui, en début d'après-midi, Laura se prépare pour son passage à la maison de retraite. Le tee-shirt qu'elle met par dessus son soutien-gorge est aux couleurs de son ancienne équipe de bowling. Ce sera du meilleur effet, se dit-elle. Sa jupette plissée qu'elle utilisait pendant les compétitions, il y a une dizaine d'années, lui paraît bien courte, mais elle se dit que c'est l'ensemble qui convient. A l'époque, elle portait une culotte noire bien couvrante, car les mouvements pouvaient par moments faire bouger la petite jupe d'une façon qui aurait pu être indécente. Qu'a-t-elle pu faire de cette culotte qu'elle avait oubliée? Elle ne la retrouve pas. Elle devra se contenter d'un autre sous-vêtement.

C'est à ce moment qu'elle repense à la suggestion de son mari, alors qu'elle a encore le bas du corps complètement nu. Oserait-elle mettre un string? Ce n'est juste pas possible, se dit-elle. Pourtant cette seule idée suffit a guider sa main vers son entre-jambes. Son index titille son clitoris et caresse les lèvres de sa chatte déjà bien humide. Plus elle se touche, plus son esprit lui dit que cela ne serait pas si impossible que ça. Après l'orgasme libérateur qu'elle espère, Laura penserait certainement différemment, mais elle va rester sur son excitation, car elle voit qu'elle s'attarde trop. Elle n'a plus le temps de se faire jouir. Alors, Laura se décide. Elle enfile le string puis sa jupette qu'elle tire bien vers le haut avant d'en serrer la ceinture.

Arrivée à la maison de retraite un peu en avance pour s'assurer que tout sera en place, Laura constate qu'un grand téléviseur a été installé dans la salle. La console Wii qu'elle a apportée fonctionne bien. Lorsque les résidents arrivent, seuls trois hommes se présentent, les deux gagnants du dernier loto et un autre. Devant son air étonné, ils expliquent que toutes les femmes et certains hommes se sont 'dégonflés', craignant que ce sport, même virtuel, soit au-dessus de leurs forces.

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