Jeux Pervers - 02 (Libérée)

- Laura : « Alors ... tu me pardonnes? »

- Hervé : « Mieux que ça ! Je ... je ... t'en remercie. »

- Laura : « Donc ... tu ne m'en veux pas de ... de t'avoir fait cocu ... et ... en plus ... ici, dans notre lit? »

- Hervé : « Si tu me donnes encore un tel spectacle, tu peux même recommencer plusieurs fois. Vas-tu le revoir? »

- Laura : « Non ! Sûrement pas ! »

- Hervé : « Pourtant tu semblais prendre beaucoup de plaisir, n'est-ce pas?

- Laura : « C'est vrai. J'ai aimé comme il m'a prise, comme sa grosse bite m'a dilatée, défoncée. Il m'a fait des choses que tu ne pourras jamais me faire avec ton petit zizi, mon chéri. »

-Hervé : « Je ne comprends pas ... Vous avez échangé vos numéros de téléphone ...?»

- Laura : « De toutes façons, il sait où nous habitons, alors ... , mais, vois-tu, il ne me plaît pas. Il est vraiment trop laid, même si il baise bien. »

- Hervé : « C'est dommage. J'aurais vite pris goût à tes aventures ... », le tout dit sur un ton bien misérable qui attriste sa femme.

- Laura : « J'ai dit que je ne voulais plus le voir ... lui ... », avec un petit sourire coquin qui n'échappe pas à son mari.

- Hervé : « Cela veut-il dire que tu me feras encore cocu? »

- Laura : « ... tu verras bien. »

A la fin de leur discussion, le petit oiseau d'Hervé reprend vie dans la main de sa femme, qui attire son mari sur elle. Hervé lui murmure à l'oreille :

« Je ne sais pas pouvoir soutenir la comparaison, ma chérie. Je vais essayer de t'amener à la jouissance d'une autre manière. »

Hervé écarte les cuisses de sa femme et approche son visage de la chatte dégoulinante, ce qui fait réagir Laura :

« Tu ne vas tout de même pas ...? »

La seule réponse qu'elle obtient est une bouche qui vient sucer ses lèvres vulvaires, deux doigts qui s'enfoncent dans son vagin et s'y replient pour en faire sortir tout le sperme. Hervé, en bon cocu, suce, aspire, avale, aspire encore.

Lorsque sa bouche est pleine de sperme, il lui vient l'envie de le partager avec sa femme. Il embrasse Laura qui, après un instant de recul, ouvre sa bouche qu'un sperme au goût très fort vient remplir. Il est âcre et odorant, si différent de celui de son mari que Laura le trouve vraiment dégoûtant. A l'instant, elle pense que son mari en a même avalé et qu'il ait pu faire ça pour elle lui paraît une réelle preuve d'amour. Alors, pourquoi ferait-elle la fine bouche? Elle lui doit bien ce partage ! Ce goût si fort, si prégnant, devient alors supportable, puis, peu à peu, élixir de plaisir. Laura, repousse tout le sperme dans la bouche de son mari, non pas pour le refouler mais pour s'exciter à le recevoir de nouveau. Ils échangent ainsi plusieurs fois ce breuvage insolite jusqu'à ce que Laura décide de tout avaler.

Hervé, retourne à sa tâche entre les cuisses de sa femme. Sa langue n'est plus que douceur, frôlant les lèvres et le clitoris, y revenant chaque fois avec plus d'insistance, jusqu'à ce que Laura soit traversée par un orgasme moins violent que le précédent, mais plus long, plus raffiné, plus sensuel, comme une preuve d'amour.

Avant qu'ils ne s'endorment dans les bras l'un de l'autre, Laura pose sa main sur la petite bite maintenant bien dure de son mari et le complimente :

« Mon chéri, tu fais merveilleusement bien ce travail de ... cocu. C'est bien mieux que ... quand tu me pénètres. »

Après un instant, repensant à ses lecture sur Internet, Laura ajoute dans un murmure :

« Si je poursuivais mes aventures excitantes, je pourrais te donner à chaque fois à faire ce travail. Ce serait ta spécialité, mon cocu chéri. »

« Je n'obtiendrais », questionne Hervé, inquiet, « ... que ça de toi? »

« Mais non ! », le réconforte sa femme, « Je m'occuperais de ta petite bite, comme je le fais en ce moment ... mais il ne serait plus question pour toi de me baiser ! Qu'en pense-tu? »

Laura n'obtient comme seule réponse qu'une petite coulée blanche au creux de sa main.

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... à suivre ...