Kidnapping et Soumission

Informations sur Récit
Un couple soumis à un Maître et une Maîtresse.
6.3k mots
4.16
43.2k
6
3
Récit n'a pas de balises

Partie 1 de la série de 15 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 09/01/2017
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I. Le kidnapping

Vendredi soir, dans un restaurant gastronomique du nord de la France, un couple se délecte des mets proposés par le maître d'hôtel.

La femme est habillée en latex, une mini-jupe noire à liseré or, un top en tulle montrant son soutien-gorge par transparence, un blouson type motard noir également en latex. Ses jambes sont gainées par des collants noirs et elle est chaussée d'escarpins noirs vernis à talons métalliques. Son visage est bien maquillé. Elle porte autour du cou un collier en acier inoxydable poli avec un anneau. Les yeux avertis auront tout de suite vu les atours d'une femme soumise à son Maître.

Son Maître n'est autre que son mari qui se tient en face d'elle, la dévorant du regard. Elle, Sweet Pussy, c'était son nom de soumise, souriait parce qu'elle le subjuguait. Mais aussi parce que certains regards se portaient sur elle.

Mais ce couple sans histoire n'a pas toujours connu une vie radieuse faite d'amour et d'eau fraîche. Mariés en 1990, un garçon en 1993, le métro, boulot, dodo, et les ébats amoureux classiques ont eu tôt faits d'installer une routine amoureuse qui semait le doute dans l'esprit de Manu. L'arrivée d'internet à la maison et les nombreux sites internet pornographiques, les films X à canal + l'amenèrent à demander plus à Isa. Manu souhaitait sodomiser Isa, voulait qu'elle suce et avale son sperme.

Les refus incessants d'Isa installèrent de la méfiance et une animosité palpable dans le couple qui commença à se désagréger. Les disputes se firent nombreuses, parfois violentes. Des séparations momentanées furent nécessaires pour évacuer les ressentiments l'un envers l'autre.

Une discussion franche et ouverte sur leur relation et surtout sur leurs pratiques sexuelles amena Manu à demander à Isa de faire des concessions pour le bien de leur couple. Manu désirait qu'elle s'habille en « pute » comme il disait, lorsqu'ils sortaient et en « pute soft » lorsqu'ils étaient en famille. Les séances SM firent leur apparition à la maison lorsque leur fils était en vadrouille. Des punitions pour faute furent infligées à Isa. Manu organisait parfois des week-ends SM dans un hôtel chic dans une autre région, et Isa devait réaliser des missions, comme les appelait Manu. Isa, habillée en pute, devait entrer dans un point presse et acheter des magazines, dans une pharmacie pour acheter des préservatifs. En vacances à Malaucène, Isa jouait à la petite clémentine et portait une robe rose bonbon avec des chaussettes, le tout en latex, avec des chaussures roses à semelles compensées et devait acheter du pain dans une boulangerie. Manu acheta différents uniformes tous en latex : une robe de religieuse, un uniforme d'écolière, un uniforme de soubrette.

Mais ce soir, Manu offrait le restaurant à Isa pour voir ses jambes et sa mini-jupe virevolter sous sa marche.

Le maître d'hôtel leur proposa un café qu'ils acceptèrent avec joie. Ils se rendirent donc au salon pour le prendre. Manu et Isa buvaient leur café en toute quiétude lorsqu'un couple vint à leur table :

« Je n'ai pu m'empêcher de regarder votre soumise Monsieur » dit la femme.

Ils furent stupéfaits de cette approche si soudaine.

« Pardon? » fit Manu interloqué.

« Oui, c'est bien votre soumise, enfin si elle ne l'est pas, elle en a tous les attributs vestimentaires et corporels. Nous souhaiterions vous inviter à prendre une coupe de champagne, nous résidons à quelques kilomètres. »

« Eh bien c'est-à-dire que....qu'en penses-tu Sweet Pussy? »

Isa était gênée d'être appelée par son nom de soumise devant des inconnus.

« Oui, je veux bien. »

« Alors ok, je paie à la réception et nous vous suivons! »

« Non laissez, je connais très bien le gérant de l'établissement, je réglerai cela avec lui. »

« Je suis gêné, je ne me permettrai pas! »

« J'insiste! »

« Soit! »

« Je me présente : Alexandre et voici mon épouse Aurore. Vous me suivez?»

Les deux couples prirent chacun leur véhicule et Manu suivait la Porsche d'Alexandre, puisque c'était son nom.

Ils arrivèrent donc dans un beau petit village et prirent une ruelle à la sortie de celui-ci. Ils arrivèrent devant une grille en acier entourée par deux piliers en pierre taillée. La grille s'ouvrit et les deux véhicules avancèrent sur le chemin légèrement éclairé. Isa et Manu regardaient de chaque côté du chemin pour voir le paysage et le parc fleuri. Ils arrivèrent devant un manoir type 17 ème avec une entrée grandiose.

Les deux couples descendirent de voiture et montèrent l'escalier d'entrée. L'intérieur n'était qu'enluminure et féérie de couleur, de tableaux de maîtres, de tapisseries, de meubles d'époque. Isa avait leurs yeux qui scrutaient le moindre centimètre carré de mur car elle aimait l'art et l'agencement des pièces.

Alexandre les invita à le suivre dans un petit salon et tira un fauteuil pour qu' Isa s'installe convenablement.

« Que désirez-vous boire? »

« Une coupe de champagne. » répondit Isa.

« Ce sera un whisky pour moi, sans glace. » dit Manu.

« J'ai un excellent tourbé, si vous appréciez le bon whisky. » dit Alexandre.

« Parfait! » dit Manu.

Alexandre alla chercher le champagne et le whisky. Aurore dévisageait Isa qui semble être bien gênée par ces regards soutenus.

Alexandre revint avec un plateau et servit les coupes de champagne et les whiskys.

« Trinquons à notre rencontre. »

Les verres s'entrechoquèrent et chacun but.

Isa et Manu apprécièrent leur alcool.

« Très bon votre whisky. »

« Votre champagne aussi, il est délicieux. »

Ils discutèrent de choses et d'autres et Alexandre demanda si un second verre ne les dérangeait pas. Manu et Isa répondirent que non. Après quelques minutes, Alexandre demanda à Manu de le suivre pour lui montrer sa cave à whisky. Ils laissèrent donc les femmes ensemble et partirent à la cave.

Isa ne tarissait pas d'éloge sur leur magnifique demeure et de la décoration. Isa commença à avoir la tête qui tourna et commença à avoir la vue trouble. Aurore lui demanda ce qui n'allait pas. Isa essaya de se lever mais ne fait que trébucher sur le tapis du salon. Aurore posa son verre sur la table et tira Isa par les bras vers le vestibule. De leur côté les hommes dégustaient les whiskys à la cave. Alexandre prit une bouteille poussiéreuse :

« Vous m'en direz des nouvelles de celui-ci, c'est un glenfarclas 50 ans d'âge. »

Alexandre tendit à Manu un verre et le remplit. Il fit de même pour lui.

« Alors? »

« Excellent!, un régal en bouche »

« Oui n'est-ce pas? »

Après quelques compliments sur sa cave, Manu regarda l'heure :

« Ohh mais il se fait tard, je pense qu'il va falloir rejoindre ces dames. »

« Oui vous avez raison, elle vont commencer à s'inquiéter et dire que, comme d'habitude, les hommes les délaissent! »

Ils rirent aux éclats et s'en retournèrent au salon. Alexandre suivait Manu. Lorsqu'ils arrivèrent dans le vestibule, Manu commença à tituber, perdit l'équilibre et s'affala sur le sol.

Alexandre prit les bras de Manu et l'amena à l'ascenseur situé derrière une porte cachée du vestibule.

II. La préparation

Lorsqu'Isa reprit ses esprits, elle voulut se lever mais elle comprit vite qu'elle ne pouvait pas bouger en voyant ses poignets et ses chevilles fixés à une sorte de chaise de gynécologie. Elle regarda autour d'elle et vit une pièce vide aux murs blancs. Elle se regarda et fut surprise d'être nue. Elle se débattait sur sa chaise pour essayer de se libérer lorsque la porte s'ouvrit. Aurore entra dans la pièce :

« Ah enfin, on émerge Sweet Pussy. »

« Pourquoi m'avoir attachée, libérez-moi de suite Aurore! »

Pour toute réponse, elle reçut une gifle qui la stoppa dans son élan pour répondre.

« Ici, tu ne parles que lorsque l'on te le demande. Compris esclave. Et appelle-moi Maîtresse Aurore »

« Libérez-moi et laissez-moi partir, que me voulez-vous? »

« Tu voulais du SM, et tu jouais avec ton petit mari pour lui donner des sensations, ici tu vas connaître les vraies sensations du SM. Je vais tout d'abord te parer de quelques apparats. »

« Je n'ai pas entendu la réponse. »

« Laissez-moi partir et détachez-moi tout de suite. »

Isabelle tirait sur ses poignets et se débattait pour s'extirper de ses liens.

Isa reçut une seconde gifle qui la fit taire.

« Je n'ai pas entendu la réponse, esclave! »

« Oui, Maîtresse Aurore. »

Un homme, que dire, un colosse entra dans la pièce, le torse nu. Très grand, musclé, tatoué sur les bras et la poitrine, des piercings aux oreilles et sur les tétons.

Isa prit peur et commença à s'agiter sur la chaise.

« Calme-toi Sweet Pussy, tu vas être très désirable après cela. »

Maîtresse Aurore prit la sangle du repose-tête et ceintura la tête de Sweet Pussy. Elle sangla aussi son cou pour l'immobiliser complètement.

L'homme sortit ses pinces et ses anneaux. Isa, Sweet Pussy, respirait très fort. Sa respiration emplissait la pièce. Elle comprit ce qu'on allait lui faire subir.

« Non, je vous en prie, ne me faites pas de mal. Pas ça!!! »

« Silence esclave ou je ferme ta gueule avec un ball-gag! »

« Perce-lui la lèvre d'abord. »

« Oui Maîtresse. » répondit l'homme.

L'homme prit un crayon et fit un point dans l'axe de sa lèvre inférieure, un peu en dessous. Il prit sa pince et serra la lèvre de Sweet Pussy qui gémit lorsqu'il serra la pince. L'homme prit une aiguille et l'approcha de la pince.

« Prends une grande inspiration chienne! » lui dit l'homme et il enfonça l'aiguille dans sa peau. Un cri étouffé sortit de sa bouche. L'homme prit un anneau et le passa dans sa peau. Il prit une petite bille qu'il fixa à l'anneau. Maîtresse Aurore caressait le front et les joues de Sweet Pussy pour la soulager de sa douleur et embrassait aussi son front.

Elle fit un signe de la tête à l'homme, qui acquiesça. Il prit une pince spéciale à trois ouvertures.

« Ouvre la bouche et tire la langue, esclave. »

Sweet Pussy serra les dents et fit non de la tête en protestation mais l'homme lui pinça le nez pour l'empêcher de respirer. Dès qu'elle ouvrit la bouche pour happer de l'air, l'homme prit un anneau pour lui bloquer la mâchoire en position ouverte. Avec la pince, il lui prit la langue et la tira vers l'extérieur. Sweet Pussy vit alors trois aiguilles entre les doigts du pierceur et il lui enfonça les trois aiguilles dans la langue en triangle. Puis il lui planta les trois tiges et serra les boules. Il lui retira le ball-gag anneau.

« On continue. » dit Maîtresse Aurore

« Bien Maîtresse. »

Maîtresse Aurore serra la tête de sa nouvelle esclave entre ses mains. Le pierceur reprit son crayon et pointa minutieusement les narines et le septum de Sweet Pussy. Il prit une autre pince spéciale à trois branches mais dont une est ouverte sur le bout, celle du centre. Il serra la pince et Sweet Pussy gémit de nouveau. Sweet Pussy poussa un cri vite réprimé lorsqu'elle vit la longue aiguille que son bourreau présenta à ses yeux avec un sourire sadique.

Il plaça l'aiguille sur la narine droite et transperça celle-ci, puis il pointa le septum et positionna un labret puis poussa l'aiguille pour percer le cartilage. Il continua pour passer l'aiguille dans la narine gauche. Sweet Pussy s'arcbouta sous la douleur. Le pierceur passa alors une tige dans l'aiguille puis retira celle-ci. Il fixa un anneau à chaque extrémité de la tige pour la bloquer à chaque narine. Maîtresse Aurore se plaça devant Sweet Pussy et regarda son esclave. Elle examina son nez. Satisfaite du résultat, elle demanda au pierceur de continuer.

« Passons maintenant aux choses sérieuses. Tu vas être belle avec cela, bandante même! »

Le pierceur prit le téton droit de Sweet Pussy, l'étira et le vrilla sous ses doigts. La nouvelle esclave se crispa sous ce traitement Il pointa son crayon à la base du téton, il reprit sa pince. De nouveau, Sweet Pussy vit une aiguille s'approcher d'elle. L'homme la regarda un instant dans les yeux et enfonça l'aiguille au travers du téton. Un nouvel anneau venait d'être posé. Il fit de même avec le téton droit.

« Bien, c'est pas mal mais ta chatte m'a l'air nue maintenant, on va la décorer aussi. Trois anneaux pour chaque petite lèvre et trois autres anneaux pour les grandes et un pour le capuchon. Pour un début cela suffira. »

Le pierceur fit donc son office pour les demandes de Maîtresse Aurore.

Les lèvres du sexe de Sweet Pussy furent ornées de trois anneaux chacune et le capuchon d'un seul anneau.

Isa « Sweet Pussy » était tremblante et exténuée par les multiples perçages qu'elle venait de subir ; son corps n'était que douleur.

« On revient au visage. » dit Maîtresse Aurore.

« Un anneau placé de chaque côté de la bouche, comme les crocs d'un cobra. »

Le pierceur reprit ses outils et officia selon les ordres.

« Tu vas aller te reposer maintenant dans ta cellule, ce sera ta nouvelle pièce à vivre maintenant.»

Maîtresse Aurore détacha Sweet Pussy. Elle l'aida à se lever et Sweet Pussy se vit dans le miroir. Son corps mutilé par les anneaux la fit pleurer.

« C'est pour ton bien que l'on fait tout cela pour toi. »

Elle l'amena dans sa cellule, une cellule sans fenêtre, cellule blanche du sol au plafond. Maîtresse referma un collier en inox avec 4 anneaux autour de son cou et attacha Sweet Pussy à un des pieds du lit, referma la porte et laissa sa nouvelle esclave seule. Isa regarda son corps avec tous ces anneaux et se remit à pleurer et se demandait si elle ne faisait pas un cauchemar. Elle se coucha sur le matelas du lit picot et s'endormit tout de suite.

La porte s'ouvrit et on la réveilla par des coups sur le pied du lit.

A 08h00 du matin, on vint la réveiller subitement. Un homme entra dans la cellule.

« Debout esclave, aujourd'hui c'est dimanche, ton jour de repos suite à tes piercings mais tu dois prendre l'habitude de te réveiller à cette heure-ci! »

Sweet Pussy émergea de son sommeil et vit l'homme. Elle eut le réflexe de se couvrir le sexe.

« Ah ah ah!! Mais tu crois que tu vas pouvoir me cacher cela longtemps! Descend du lit et mange cela à terre et à quatre pattes comme la chienne que tu es. »

L'homme lui mit à terre une écuelle remplie d'une bouillie de céréale et de lait. Et il sortit aussi vite qu'il fut entré dans la pièce.

Isabelle avait tellement faim qu'elle prit l'écuelle et mangea sa bouillie assise sur le lit. L'homme entra précipitamment, il fit sursauter Isabelle.

« J'ai dit à quatre pattes comme une chienne, obéis ou je vais personnellement m'occuper de toi! »

Isabelle descendit du lit, posa son écuelle à terre, se mit à quatre pattes et mangea sa bouillie comme un animal.

« C'est mieux! Nous te surveillons, alors tu as intérêt à obéir! Et mange car ce sera ton seul repas du jour. »

Isabelle mangea son écuelle même si la nourriture ne ressemblait pas à celle qu'elle avait dégustée ce vendredi au restaurant! Mais elle n'arriva pas à tout avaler et laissa de la nourriture au fond de son écuelle.

Elle essuya son visage avec ses mains et se remit au lit. De toute façon, je n'ai rien d'autre à faire qu'attendre mon sort pensa-telle intérieurement. Elle pensa à Manu. Où était-il, que lui était-il arrivé? Le même sort qu'elle? Elle s'endormit avec ses interrogations et se recroquevilla comme un bébé cherchant la sécurité dans un monde inconnu d'elle.

III. L'entraînement

Isa n'avait pas vu passer la nuit, des images lui revenaient sans cesse à l'esprit, elle ouvrit les yeux et se demandait quelle heure il pouvait être. La porte s'ouvrit soudain.

« Debout esclave, aujourd'hui ton entraînement va commencer mais d'abord la collation! »

Le même homme que la veille lui apporta une écuelle avec la même bouillie de céréales au lait.

« Mange, tu en auras besoin. Et qu'il ne reste rien dans ton écuelle sinon je te gave comme une oie avec cet entonnoir! » L'homme montrait en effet un entonnoir rouge avec un flexible à son embout.

Isa émergeait doucement, elle n'eut pas le temps de bailler qu'on la prenait sans ménagement par le bras pour manger à même le sol. Elle mangea sa bouillie tant bien que mal. L'homme se positionna derrière elle et la regardait manger. Il fixait ses fesses et son trou bistre et les lèvres annelées recroquevillées de sa chatte. Lorsqu'elle eut fini de manger sa bouillie, Sweet Pussy se releva le visage maculé de céréales, du lait coulait sur son menton.

« Tu es bien belle comme cela, une belle petite chienne! »

Ensuite on l'emmena dans la même pièce que deux jours auparavant, seule la chaise gynécologique n'était plus là. A la place, une chaise métallique trônait à sa place, une chaise faite de tubes de fer.

On la fit s'asseoir sur la chaise, ses poignets et ses chevilles furent attachés aux pieds et aux accoudoirs de celle-ci.

Son cul était dans le vide mais l'arrière de ses cuisses qui reposaient sur un tube l'empêchait de basculer. Elle sentit une sensation de froid sur son anus, une main venait de lui appliquer du gel. Un tube fut enfoncé dans son cul et elle sentit de l'eau tiède l'envahir. Son ventre gonflait avec l'eau.

« Vide-toi. » lui dit une voix. Elle poussa et de l'eau brunâtre gicla dans un bassin. 5 lavements profonds lui furent administrés ; jusqu'à ce que l'eau soit claire.

Maîtresse Aurore, habillée d'une combinaison noire en latex, de cuissarde à talon vertigineux entra dans la pièce.

« Bien dormi, Sweet Pussy? »

« Libérez-moi Maîtresse Aurore, je vous en prie, je veux voir mon mari, lâchez-moi! »

« Tu es mon esclave désormais, et tu vas m'obéir sinon, il va t'en cuire. Et tu le verras prochainement ton mari si tu travailles bien, ne t'inquiètes pas. Je vais aussi m'occuper de lui. Pour l'instant, tu vas t'entraîner. »

Maîtresse Aurore passa derrière la chaise, prit un gode en latex qu'elle enduisit de gel et enfonça délicatement celui-ci dans l'anus de Sweet Pussy. Celle-ci gémit, même cria pour refuser l'engin mais rien n'y fit et le gode de 4 centimètres de diamètre s'enfonça dans son cul. Maîtresse Aurore bloqua celui-ci avec une ceinture qui couvrit son sexe et une autour de la taille.

« Tu as un plug de 4 centimètres de diamètre dans ton cul. Celui-ci équivaut à une bite normale. Tu le garderas pendant une semaine complète, on te l'enlèvera uniquement lorsque tu iras chier. Compris? »

« Oui, Maîtresse Aurore. » dit Sweet Pussy résignée.

La semaine sembla très longue pour Sweet Pussy. Le plug lui bouchait les entrailles pendant une semaine. Une esclave venait l'ôter de temps à autre pour ses besoins, puis le remettait de suite dans son cul. Parfois, Maîtresse Aurore lui mettait aussi un plug dans la chatte. Sweet Pussy avait les orifices dilatés, elle pensait même qu'elle allait être déchirée de toute part. Elle passa les journées de la semaine assise sur la chaise les orifices remplis par les plugs. On la détachait vers 20h00 pour marcher un peu dans le couloir des cellules puis on la mettait au lit mais le plug, lui, ne la quittait pas d'un centimètre. Elle se retrouvait seule dans sa cellule d'un blanc immaculé attachée comme un fauve dans sa cage.

Le lundi suivant, Maîtresse Aurore vint lui mettre un plug de 5 centimètres de diamètre. Elle travailla longuement le cul de son esclave pour qu'il s'ouvre et que le gode lui pénètre le cul. Ce gode fut en elle pendant une semaine aussi. Un mois passa et le gode prit une dimension de 7 centimètres de diamètre. Pendant cette semaine, on lui stretcha les piercings qu'elle avait aux seins, sur les grandes et petites lèvres de la chatte et sur son capuchon. Les anneaux sur le lobe de l'oreille aussi furent stretchés. L'épaisseur de ceux-ci passa de 1.6 mm à 2.9 mm. Sweet Pussy sentit un à un les barres qui lui écartaient les chairs et les anneaux passaient un à un dans sa peau.

Pendant cette semaine, le lendemain du stretching, Maîtresse Aurore apparut dans la cellule.

« On va faire un petit peu de peinture pendant cette semaine. »

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