Kidnapping et Soumission Tome 08

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Sweet Pussy connaît de nouvelles péripéties.
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Récit n'a pas de balises

Partie 8 de la série de 15 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 09/01/2017
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Tome VIII

Séjour chez Maître Tumba

Au matin vers 10h00, les deux esclaves étaient prêtes, habillées de leur cape en latex car enfiler leur combinaison leur fut impossible avec la douleur lancinante sur les fesses de Sweet Pussy et les douleurs communes à leurs seins. Elles virent le 4x4 entrer dans le corps de ferme. Maîtresse Marie salua Maître Alexandre lorsqu'il descendit du véhicule, échangèrent quelques banalités puis Maîtresse Marie fit demi-tour sans regarder les deux esclaves et retourna dans un des bâtiments de la ferme. Les deux esclaves sautèrent au cou de leur Maître car la semaine avait été éprouvante et elle voulait montrer leur joie de retrouver leur Maître.

« Pourquoi n'êtes-vous pas habillées de vos combinaisons latex? »

Cet excès d'amour surpris Maître Alexandre qui leur demandait le pourquoi de cette étreinte. Les deux esclaves lui racontèrent alors les épreuves qu'elles avaient subies.

Maître Alexandre les fit monter dans le 4x4 et leur demanda des explications. Il en resta bouche bée tellement certaines épreuves lui paraissaient inhumaines. Mais il sourit fortement lorsque Sweet Pussy lui raconta l'épreuve des étalons et de ce qu'elle subit pour sa désobéissance. Par contre il fut inquiet lorsque N°1 lui narra la suspension par les seins. Il demanda à ses deux esclaves de lui montrer leurs seins pour voir si les prothèses de leur poitrine n'avaient subi aucun dommage. Les deux esclaves ouvrirent leur cape. Leurs seins étaient couverts de marques allant du rouge au violet. La peau autour de leurs piercings était très étirée et des croutes de sang s'étaient formées. Elles avaient tellement encore mal aux seins qu'elles n'avaient aucune idée sur ce sujet. Elle le supplia de ne plus les amener chez cette Maîtresse.

Maître Alexandre demanda à son chauffeur d'arrêter le véhicule. Il sortit et téléphona avec son portable.

Les deux esclaves comprirent qu'il avait appelé Maîtresse Marie au ton de sa voix et surtout lorsqu'il aborda le traitement de leurs seins. Ils entendirent leur Maître parler de remboursement de leur opération si tel était le cas. Même si pour les deux esclaves, leur Maître était prévoyant par ses paroles, elles comprirent qu'elles pourraient subir une autre opération des seins. Maître Alexandre cria haut et fort qu'il parlerait de leur comportement avec ses esclaves lors de leurs sauteries et que plus un Maître ne leur prêterait une soumise et les considérerait comme paria.

« Vous n'irez plus jamais chez cette Maîtresse. »

« Merci Maître. » dirent les deux esclaves en souriant.

« Pour me faire pardonner, je vous emmène chez Maître Tumba pour une semaine de repos. Mais d'abord, on va à la clinique voir le Professeur Van Ribien. Il examinera vos seins. »

Le 4x4 prit la direction de Genk et stationna devant la clinique. Maître Alexandre et ses deux esclaves descendirent du véhicule et se dirigèrent vers l'entrée de la clinique. Lorsque la réceptionniste aperçut Maître Alexandre et les deux esclaves, elle prit le combiné du téléphone et appela le Professeur. Celui-ci alla à leur rencontre et les accompagna dans son bureau. Maître Alexandre prit la parole et ouvrit les pans de la cape de N°1 pour lui montrer ses seins.

« Elles viennent de subir une séance un peu hard et elles ont eu des traitements sévères sur les seins. Vous pouvez me dire s'il n'y a des dommages Professeur? »

« Que s'est-il passé Maître Alexandre? »

« Maîtresse Marie les a pendu par les seins et les a cravachée. »

« Oui je vois, ils sont tuméfiés et la peau est légèrement distendues aux piercings. Il faudrait une mammographie pour s'assurer qu'il n'y a aucun dommage et surtout pas de prothèse éclatée. » En disant cela, le Professeur tâtait les seins de N°1 qui grimaçait légèrement au contact de la main du Professeur.

« Non pas la peine, Professeur. S'il faut opérer, allez-y.»

« Mais il ne » objecta Sweet Pussy qui fut coupée par Maître Alexandre en levant le doigt dans sa direction et lui jetant un regard désapprobateur.

« S'il faut changer les prothèses, changez-les et mettez-en des plus grosses encore! »

Sweet Pussy fit une mine renfrognée en entendant cela. Elle allait, tout comme N°1, repasser sur le billard.

«Je m'en occupe Maître Alexandre. Le temps de commander les prothèses, je pourrai opérer la semaine prochaine, disons vendredi prochain à 06h00 à la clinique. »

« Parfait Professeur. Si vous voulez vous servir d'elles avant, je vous laisse tout loisir. »

« Je vous remercie Maître Alexandre mais je resterai fidèle à mon épouse, je vais simplement prendre les mesures pour les prothèses! »

« Comme vous voulez Professeur, c'était de bon cœur! »

Maître Alexandre ôta les deux capes des esclaves qui se retrouvèrent nues devant le Professeur. Celui-ci prit des photos et des mesures pour la contenance des prothèses.

« Quel profil de prothèse voulez-vous, Maître Alexandre, des anatomiques, des moyens ou des profils hauts? »

« Des hauts, mais je ne veux plus des prothèses comme celles-là. » Dit Maître Alexandre en montrant les seins de Sweet Pussy qui avait des prothèses genre « ballon de rugby ». C'est original au début mais disgracieux. »

« Ok, Maître Alexandre. Ce sera des profils hauts. »

« Je vous recontacte pour vous confirmer le rendez-vous de vendredi prochain. Au revoir. »

Maître Alexandre serra la main du Professeur et quitta le bureau suivi des deux esclaves.

« Maître, croyez-vous utile l'opération. » dit de nouveau Sweet Pussy.

« Je ne veux pas prendre de risque! Je pense à votre santé et tu me le reproches. Ne me mets pas en rogne Sweet Pussy! » Répondit Maître Alexandre.

Après 1 heure de route, le 4x4 pénétra dans l'allée menant au château de Maître Tumba. Une soumise vint leur ouvrir et les dirigea vers le petit salon.

Maître Tumba était assis dans un fauteuil. Il regardait une esclave vêtue d'une combinaison de latex transparente, seins apparents piercés. L'esclave, mains sur la nuque, était en train de faire pénétrer dans son cul et sa chatte des plugs de bon diamètre. La pénétration devait être pénible car elle fermait les yeux et serrait ses lèvres pour faire passer les engins dans ses orifices.

« Bienvenue mes chers amis. » Fit Maître Tumba en se levant. J'étais en séance d'entraînement. C'est Lola qui s'entraîne au plug.

« C'est Lola! » Dit Sweet Pussy avec surprise.

« Oui c'est Lola. Elle est en totale soumission désormais. Son mari était devenu soupçonneux lorsqu'elle partait une semaine pour sa soumission. Il y a deux mois, le mari l'a suivi pensant qu'elle allait voir son amie en difficulté comme elle lui disait. Et il est arrivé ici. C'était sa journée pute, et des hommes se présentaient et elle offrait ses charmes. Sophie a ouvert à son mari pensant que c'était l'un des hommes qui avaient payé pour se la taper. Il est entré dans le salon alors qu'elle suçait un homme et qu'un autre l'enculait. Il s'est transformé en furie mais Momo l'a vite immobilisé et l'a jeté dehors. Lorsqu'elle est revenue chez elle, sa valise était dehors. Il lui a interdit de voir ses enfants et lui a coupé les vivres et toute sa famille l'a rejetée. Ne sachant pas où aller, elle s'est présentée ici et m'a demandé si elle pouvait rester. J'ai accepté mais à condition qu'elle me soit soumise totalement et qu'elle accepte tous mes ordres. Elle a accepté. Et comme vous êtes là Maître Alexandre avec vos deux esclaves, vous allez pouvoir assister au rasage de son crâne et à son épilation complète! »

Lorsque Lola entendit Maître Tumba parler de son rasage, elle s'arrêta net de travailler ses orifices.

« Maître, non je ne veux pas avoir la tête rasée!!! »

« Tais-toi! Je t'ai accueilli chez moi sous certaines conditions, alors tu obéis ou je te jette dehors comme tu es là! »

« Non Maître, je ne sais pas où aller. »

« Alors tu m'obéis! »

Maître Alexandre, Sweet Pussy et N°1 suivirent Maître Tumba qui conduisait Lola vers sa « salle d'opération » comme il l'avait baptisée. Il plaça Lola sur un fauteuil de coiffeur. Il prit une tondeuse et la passa sur la tête de Lola qui pleurait à chaudes larmes quand elle voyait dans le miroir ses longues mèches blondes tomber et voir son crâne blanc apparaître sous le passage de la tondeuse. Maître Tumba prit un gant de toilette humide et mouilla le crâne de Lola. Il prit la bombe de mousse à raser et appuya sur celle-ci. La mousse fit un mont sur le sommet de la tête de Lola.

« Tu ressembles à une Dame Blanche comme ça. » dit-il en ricanant. Cette remarque fit glousser les deux esclaves et éclater de rire Maître Alexandre. Maître Tumba étala la mousse sur le crâne de Lola et passa méticuleusement le rasoir sur toute sa tête. Puis il passa une serviette humide pour ôter le restant de mousse et s'il ne restait pas un cheveu.

« C'est parfait! »

Lola pleurait toujours autant. Maître Tumba lui prit la tête et passa le rasoir sur ses sourcils.

« Allonge-toi sur cette table maintenant, on va passer au reste du corps. »

Lola se leva et s'allongea sur la table sur le dos. Maître Tumba prit alors un laser qu'il dirigea vers le pubis naissant. Lola piaillait sous la petite douleur que créait le laser lorsqu'il détruisait un poil. Puis le laser passa sur les sourcils, les aisselles, l'anus.

« Ce sera tout pour aujourd'hui. On fera les jambes et le reste de la peau dans quelques jours. La semaine prochaine, tu pars avec Sweet Pussy et N°1 pour ton opération des seins. »

« Oui Maître. »

« Oui Maître Tumba, c'est vendredi prochain leur rendez-vous, à confirmer suivant l'arrivée des prothèses. Connaissez-vous un studio de piercing car je souhaiterais tenter une expérience avec mes deux esclaves. »

« Oui, Il y en a un à quelques kilomètres, pourquoi? »

« Comme leurs piercings ont été stretchés naturellement avec ce qu'elles ont subi, j'aurai voulu passer un flesh tunnel au travers de leurs seins et ensuite repasser les barres pour avoir plus de tenue au poids. »

« Pas mal comme idée, je n'y avais jamais pensé! »

« Mais il faudra sans doute commander les flesh tunnel car ce diamètre n'est pas très courant et leur longueur aussi. Je m'en occupe Maitre Alexandre, c'est du 30 mm intérieur pour leur piercing actuel? »

« Oui Maître Tumba. »

Maître Tumba contacta le studio de piercing qui commanda les flesh tunnel de 33 mm de diamètre extérieur. Sweet Pussy et N°1 se rendirent au studio pour le stretch de leurs seins. C'est N°1 qui passa en premier dans les mains du pierceur. Même avec beaucoup de doigter, N°1 poussa un gémissement en serrant les dents pendant que l'outil de stretch lui dilatait les chairs lors de son passage. L'un après l'autre, les seins de N°1 furent ornés de flesh tunnel. Le pierceur vissa les embouts puis repassa les barbels dans les flesh tunnel et vissa les boules à chaque bout.

Sweet Pussy s'asseya timidement sur le fauteuil de travail. Elle attendit non sans crainte que le pierceur fasse son office. Deux longs gémissements se firent entendre pendant le stretching de ses seins. Des gouttes de sueur perlèrent sur son front. Sa bouche souffla fortement l'air alors qu'elle serrait les dents pour endurer la souffrance des stretchings.

Le vendredi suivant, Sweet Pussy, N°1 et Lola furent conduites à la clinique de Genk.

Sweet Pussy fut la première à passer sur le billard. Le professeur implanta des prothèses d'une contenance de 2000 cc chacune. Sweet Pussy allait avoir un 140 bonnet QQQ. Lola passa ensuite et reçut des prothèses de 800 cc, pour avoir un 110 bonnet G. N°1, quant à elle, reçu les mêmes prothèses que Sweet Pussy. Les trois esclaves sortirent de la clinique le soir même et passèrent leur convalescence dans la même chambre chez Maître Tumba.

Une esclave de Maître Tumba fut désignée pour être aux petits soins pour les deux « malades ».

Au bout de trois semaines, Maître Alexandre vint chercher ses deux esclaves.

Soirée spéciale au bar à champagne

« J'espère que vous êtes en forme car j'ai une mission pour vous deux. Un club privé a fait appel à nous pour une petite sauterie demandée par une entreprise. Elle veut conclure un gros contrat et elle veut pour cela que son futur client soit gâté. Nous partons pour Kuurne au New Haven ce soir. Préparez-vous. Top, mini-jupe et string latex de rigueur avec bottes compensées. Si vous travaillez bien, je vous emmène en vacances trois semaines avec Maîtresse Aurore dans notre villa sous le soleil du Vaucluse. »

« Oui Maître. »

Les deux esclaves se préparèrent. Elles mirent chacune un top latex de couleur flashy, jaune pour N°1 et vert pour Sweet Pussy avec une mini-jupe à volant qui ne cachait pas grand-chose de leur intimité et des bottes gogo-girl. Leur poitrine généreuse bombait le top et les rendait affriolantes. Maître Alexandre les félicita pour la tenue. Elles montèrent dans le 4x4 et partirent pour Kuurne. 2 heures plus tard, vers 20h00, le véhicule s'arrêta sur le parking du bar. Maître Alexandre descendit en premier et ouvrit la porte à ses deux esclaves. Ils se dirigèrent tous les trois vers la porte réservée au personnel. La fête battait déjà son plein. Maître Alexandre serra la main du propriétaire du club et montra les deux esclaves. Le proprio leva le pouce pour lui signifier que les deux filles lui convenaient. Maître Alexandre s'éclipsa et sortit.

« Vous allez dans la salle là-bas voir mes clients et vous faîtes tout ce qu'ils demandent. Ils ont demandé deux filles pour deux heures. »

« Oui Monsieur. » firent les deux esclaves en regardant.

Elles se dirigèrent vers les clients quand Sweet Pussy s'arrêta net lorsqu'elle reconnut l'homme assis dans le canapé rouge et la femme à ses côtés en train de rire aux éclats tout en buvant son champagne.

« Non je ne peux pas aller dans la salle. » dit Sweet Pussy.

« Mais qu'est ce qui se passe Sweet Pussy, tu as vu un fantôme? »

« Oui c'est cela, l'homme assis là-bas est mon ancien Directeur d'usine et la femme à ses côtés mon ancienne Chef de service. »

« Mais ils ne vont pas te reconnaître. Tu as changé depuis! »

« Non je ne peux pas! »

Le proprio s'avança.

« Qu'est ce qui se passe! »

« Rien Monsieur, on réajustait nos vêtements. » Dit N°1 en prenant Sweet Pussy par le bras et l'accompagnant vers la salle.

« Ahhh, voilà les filles! » Dit l'ancien Directeur de Sweet Pussy.

« Oui entrez les filles, ne restez pas là, venez nous régaler de votre présence. » dit un homme bedonnant habillé d'un costume noir avec un gros accent portugais.

« Oui, on va bien s'amuser. » renchérit son ancienne Chef de service.

Sweet Pussy et N°1 entrèrent dans la salle. L'éclairage de la salle était particulièrement soutenu. Les canapés étaient en cuir rouge sang. Il y avait une large table basse avec plusieurs bouteilles de champagne vide. Deux barres en inox étaient fixées au plafond. Une autre bouteille était au frais dans un seau à champagne. Les deux hommes et la femme étaient côte à côte. La femme portait une jupe en cuir noir et un chemisier transparent blanc. Le directeur était en costume et cravate.

« Allez, faîtes votre boulot les filles, on a payé pour ça. »

Sweet Pussy et N°1 montèrent sur la table et, agrippant une barre chacune, dansèrent au rythme de la musique techno qui sortait des enceintes du club. Elles se déhanchaient lascivement tout en pivotant autour de la barre. Elles bombaient leur poitrine et pliaient les jambes. Leurs fesses étaient dévoilées tant leur jupe était courte. Un string latex se laissait voir de temps à autre. Les deux hommes commençaient à bander et portèrent la main à leur pantalon pour remettre leur sexe en bonne position. La femme se leva et prit une main des deux danseuses pour les amener devant les deux hommes. Elle les força à se mettre à genoux. Sweet Pussy se retrouva devant son ancien directeur. N°1 faisait face à l'homme bedonnant. Sweet Pussy regardait droit dans les yeux son client et ressentait une gêne devant son ancien directeur. Une boule se formait dans sa gorge.

« Allez les filles, ne vous faîtes pas prier et sucer leur la bite! » Dit la femme.

« Doucement Madeleine, il ne faut pas brûler les étapes. »

« Mais David, ce ne sont que des putes! »

« Peut-être mais il ne faut pas être trop brutal, il faut aussi montrer de la douceur pour mettre en confiance. »

Sweet Pussy dégrafa la braguette de Xavier Duflot, son ancien directeur. Elle prit dans sa main le sexe bandé comme un arc et commença à le sucer. Sweet Pussy sentit aussitôt qu'une main se faufilait dans son entrejambe. Madeleine lui caressait le sexe pendant qu'elle montait et descendait sur la tige de chair. Madeleine se positionna entre les deux filles et commença à pénétrer le sexe des deux filles. D'abord par un doigt puis deux, puis trois. Le sexe des deux putes ne tarda pas à s'humidifier, ce qui excita encore plus Madeleine qui ramona encore plus vite les deux chattes. Sweet Pussy leva la tête lorsqu'elle jouit abondamment sous la main perverse de Madeleine. Elle éclaboussa la manche de son chemisier.

« Regardez-moi cette salope qui gicle comme une vache qui pisse! Elle a mouillé mon chemisier. »

« C'est ce que je disais à l'instant, de la douceur pour éviter les accidents! » Les deux hommes rirent aux éclats de cette remarque.

Madeleine extirpa ses mains des deux sexes et sortit de la salle. Elle revint avec deux longs gants roses, genre gants ménager MAPA, qu'elle enfila prestement. Elle prit un tube de gel anal qu'elle pressa dans sa main droite et enduisit les gants de ce gel.

Les deux esclaves suçaient toujours les deux hommes qui les regardaient avec envie et faisaient tinter leur coupe de champagne en souriant de la situation.

« A notre contrat! Une affaire rondement menée pour le plaisir de chacun. »

Madeleine se positionna de nouveau derrière les deux filles et pointa ses mains vers les deux anus. Sweet Pussy sentit qu'on allait lui pénétrer le cul lorsque Madeleine lui toucha son trou. Elle ferma les yeux tout en suçant son client lorsque Madeleine commença à lui forcer l'anus. N°1 sentit aussi qu'on l'enculait. Madeleine mit en pointe ses doigts et força doucement l'entrée des deux culs. L'ancien Directeur de Sweet Pussy lui leva la tête en lui tirant sa tresse.

« Je veux voir ton visage pendant qu'elle te défonce le cul. »

Sweet Pussy garda la bouche ouverte et un filet de bave reliait ses lèvres à la bite de son client. Elle ferma les yeux pendant que Madeleine poussait sa main dans son fondement. Les gants ménagers étant légèrement rugueux, Sweet Pussy et N°1 sentirent la pénétration, douloureuse par moment. Mais Madeleine réussit à enfoncer complètement ses mains dans les culs.

« Eh ben, ce sont de vrais garages à bites, leurs culs. J'y ai mis la main entière dans chaque. »

Madeleine fermait ses mains ou pliait ses doigts dans les intestins, ce qui faisait couiner les deux esclaves.

« Lèche-moi les couilles et remonte sur ma hampe, petite pute. » Dit le Directeur à Sweet Pussy. Elle cessa de sucer la bite pour lécher les couilles de son client. Sa langue remontait sur la hampe de la tige de chair tandis qu'elle branlait doucement le sexe de sa main droite.

« Oui, c'est bon ça, continue comme cela. Fais-moi jouir comme ça et tu lécheras mon sperme avec ta langue. »

« Oui Monsieur. » Dit Sweet Pussy en le regardant de ses yeux maquillés outre mesure.

L'homme ne tarda pas à jouir dans un râle contenu. La semence gicla délicatement du méat et coula le long du sexe. Sweet Pussy remonta la tige de chair avec sa langue et lapa la sève comme une chatte le ferait pour du lait. Sweet Pussy regarda longuement dans les yeux cet homme qui était, il y a plusieurs mois de cela, son patron alors que Madeleine, son ancienne chef de service lui ramonait toujours le cul. Elle lui suçait la bite! N°1 sentit que le gros portugais allait jouir car la bite avait des spasmes. Elle s'écarta pour que sa langue soit à quelques centimètres de sa bite et branlait l'homme. Il jouit et gicla dans la bouche de N°1 qui reçut une bonne salve de sperme.