Kidnapping et Soumission Tome 10

Informations sur Récit
Convalescence et nouvelles peripeties.
5.9k mots
4.56
11.4k
1
2
Récit n'a pas de balises

Partie 10 de la série de 15 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 09/01/2017
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Tome X

Pendant le trajet, Sweet Pussy, N°1 et Lola restèrent prostrées sur le plancher du fourgon, Sweet Pussy serrant toujours entre ses mains son imperméable. La douleur des coups de ceinture reçus était encore intense. Sa peau était fortement boursoufflée. N°1 et Lola avaient le dos, les fesses et les cuisses zébrés de coup. Du sang avait coulé de certaines traces des coups reçus. La peau commençait à bleuir.

N°1 parla lentement :

« Sweet Pussy, Lola... Est-ce que ça va? »

« J'ai mal partout, on dirait que je suis passée sous un camion. » Dit Sweet Pussy lentement.

Le fourgon roulait à vive allure et les trois esclaves étaient ballottées de gauche à droite dans les courbes de la route et gémissaient lors des mouvements de leur corps.

Maître Tumba entra dans le domaine de Maître Alexandre.

Lorsque le fourgon stoppa devant l'entrée du château, une esclave vint les accueillir suivie de Maîtresse Aurore.

Maître Tumba ouvrit les portes arrière du fourgon. Lorsque Maîtresse Aurore vit les trois esclaves allongées sur le plancher et les coups que leurs peaux portaient, elle jeta un regard assassin à Maître Tumba.

« Qui leur a fait de telles marques! »

« Les ouvriers, Maîtresse Aurore. Ils y ont été un peu fort, je le reconnais. »

« Il va falloir quelques semaines avant que ces marques disparaissent! Pour Lola, je m'en moque éperdument, elle est votre esclave mais Sweet Pussy et N°1 sont mes esclaves! La tournée des clubs commence dans une semaine. Elles ne peuvent pas faire cette tournée avec de telles marques sur le corps. Personne n'en voudra! »

« Veuillez me pardonner Maîtresse Aurore. Je ne pensais pas que les ouvriers les battraient de la sorte. »

« Vous auriez dû y penser avant de les amener à vos ouvriers pour qu'elles fassent la pute. »

Maîtresse Aurore s'adressa à l'esclave qui l'accompagnait :

« Toi, va chercher 3 autres esclaves pour emmener Sweet Pussy et N°1 et installez-les dans la salle d'opération sur le ventre, je m'occuperai d'elles de suite. »

« Oui Maîtresse. »

« Maîtresse Aurore, vous ne voulez pas Lola en dédommagement? »

« Que voulez-vous que je fasse avec votre esclave! J'aime que mes esclaves aient des seins énormes, beaucoup de piercings et qu'elles soient tatouées. Pour Lola, ça n'est pas son cas. »

« Alors équipez-la comme vos esclaves, vous m'enverrez la note Maîtresse Aurore. C'est ma manière de me faire pardonner pour ce qui s'est passé. »

« Entendu! Mais attendez-vous à en avoir pour votre argent! »

« Lola! » cria Maître Tumba en direction du fourgon.

Lola répondit par un petit oui à peine audible.

« Tu vas avec Maîtresse Aurore. Elle va s'occuper de toi pendant quelques semaines. »

« Oui Maître. » fit doucement Lola en grimaçant comme si le fait de parler ravivait la douleur sur sa peau.

Quatre esclaves descendirent le perron, deux d'entre elles prirent délicatement N°1 d'abord, les deux autres saisirent Sweet Pussy. Les deux esclaves grimaçaient et marchèrent difficilement. Sweet Pussy avait encore les lèvres de son sexe boursouflées du coup violent reçu. Sa peau portait de nombreuses marques rectangulaires bleues. Ses seins étaient barrés par une trace rectangulaire bleue foncé.

N°1 avait de nombreuses fines traces rouges. Elle avait reçu de nombreux coups sur les plantes de pied. Du sang avait coulé de bon nombre des coups infligés par les ouvriers. Elle portait même une trace autour de son cou, ce qui intrigua Maîtresse Aurore.

« Ils ne l'ont quand même pas pendue! »

« Je pense malheureusement que vous dites vrai, Maîtresse Aurore. »

« Occupez-vous aussi de Lola, elle restera avec nous quelques semaines. »

Les esclaves obtempérèrent et voulurent se saisir de Lola mais Maîtresse Aurore s'interposa pour observer les marques sur Lola. Maîtresse Aurore souleva l'imperméable qui recouvrait en partie le corps de Lola. Celui-ci s'était collé aux plaies et Lola hurla lorsque Maîtresse Aurore tira sur l'imperméable. Elle avait les mêmes traces sur la peau que N°1. La plante de ses pieds avait reçu de nombreux coups. Ses poignets et ses chevilles portaient des marques de bondage sévère qui avaient pénétré la peau. Elle aussi avait été certainement pendue car son cou portait aussi une marque assez profonde. Ses fesses n'étaient plus qu'une plaie.

Maîtresse Aurore fit un signe de la main et les esclaves emmenèrent Lola qui se laissa porter en trainant les pieds car elle ne pouvait plus marcher. Maîtresse Aurore fustigea du regard Maître Tumba qui détourna les yeux ; sa culpabilité dans cette situation était totale.

« J'ai un travail imprévu qui m'attend Maître Tumba, je ne vous retiens pas. » dit Maîtresse Aurore en tournant les talons pour rentrer sans dire un « au revoir » à Maître Tumba.

« A bientôt Maîtresse Aurore et je vous prie encore d'accepter mes excuses pour cet incident. » dit le Maître.

Maîtresse Aurore fit un signe de la main droite sans même le regarder.

Maître Tumba ne demanda pas son reste et sauta dans le fourgon pour reprendre la route.

Maîtresse Aurore jeta sa veste de dépit sur le fauteuil à l'entrée mais celle-ci glissa et tomba au sol.

Elle se dirigea vers son bureau, se déchaussa, se déshabilla, mit sa blouse blanche et une paire de sandales blanches, ses chaussures d'infirmière. Elle alla dans la salle d'opération dans laquelle se trouvaient, allongées sur des brancards, les esclaves. Une esclave habillée d'une combinaison blanche et d'un masque blanc se tenait près de la table du brancard tenant dans ses mains des compresses et un flacon de bétadine. Maîtresse Aurore prit la bétadine et les compresses pour nettoyer les plaies de Sweet Pussy, de N°1 et de Lola. Malgré toutes les précautions prises par Maîtresse Aurore pour ne pas faire souffrir N°1, celle-ci gémissait en serrant les dents lorsque Maîtresse Aurore tapotait sur les plaies puis soufflait lorsque Maîtresse Aurore reprenait d'autres compresses. Lorsque Maîtresse Aurore eut fini de soigner N°1 « côté pile », elle demanda à deux de ses esclaves de retourner le plus précautionneusement possible N°1 et la positionner sur le dos. Une fois la chose faite, Maîtresse Aurore reprit sa tâche et traita les plaies de N°1 sur ses seins, son ventre, ses cuisses. Puis Maîtresse Aurore s'occupa de Lola et termina par Sweet Pussy. Les marques de Sweet Pussy étaient moins prononcées, en fait les coups de ceinture n'avaient pas blessé l'esclave.

« Tu t'en remettra vite Sweet Pussy. Tu n'auras aucune cicatrice. Tu t'occuperas donc de N°1 et de Lola lorsque tu seras sur pied.»

« Oui Maîtresse dit-elle. »

Maîtresse Aurore et deux de ses esclaves furent aux petits soins pour N°1, Lola et Sweet Pussy. Les pansements furent changés régulièrement. Au bout d'une semaine, Sweet Pussy fut remise de ses blessures. Elle alla au chevet de N°1 et Lola. Lorsqu'elle pénétra dans la chambre, elle vit Maîtresse Aurore et une esclave aux petits soins des deux esclaves. Maîtresse Aurore fit un signe de la main et l'esclave se retira sans un mot. Sweet Pussy vit N°1 et Lola allongées sur le ventre avec de larges bandes de gaze sur la peau.

« Avant de t'occuper d'elles, tu viens avec moi. »

Sweet Pussy laissa passer sa Maîtresse et lui emboîta le pas. Maîtresse Aurore portait une combinaison latex noire, juchée sur des cuissardes à talons vertigineux. Sweet Pussy reconnu le chemin de la salle d'opération. Maîtresse Aurore fit face à Sweet Pussy et lui indiqua du doigt la chaise métallique.

Sweet Pussy se résigna et se positionna sur la chaise. Elle fut surprise qu'il n'y ait pas le fameux plug métallique.

« Pendant ce repos forcé, il ne faut pas oublier tes obligations. Il faut stretcher les anneaux de ta chatte et poser les microdermals sur le front. »

Le pierceur entra dans la pièce. Après avoir disposé son matériel sur la table de travail, Il posa les microdermals en se mettant bien de côté pour que Sweet Pussy se voit dans le miroir lui faisant face. Elle ressemblait à une reine portant sa couronne.

Le pierceur stretcha les 20 anneaux qu'elle avait aux lèvres et celui de son capuchon. Leur épaisseur atteignait désormais le centimètre, comme ceux de N°1. Maîtresse Aurore caressa le visage de Sweet Pussy et passa derrière elle.

« Je vais changer ta coiffure. »

« Non Maîtresse, pas la tête rasée comme Lola! » dit Sweet Pussy inquiète.

« Je vais seulement défaire ta tresse pour t'en faire plusieurs. »

Maîtresse Aurore desserra la tresse de son esclave, prit une paire de ciseaux pour égaliser la longueur et les brossa abondamment. Sweet Pussy sentait les mains de sa Maîtresse et se trouvait bien. Elle fermait de temps à autre les yeux et se serait bien endormit dans les bras de Maîtresse Aurore. Sa Maîtresse sépara délicatement les mèches de cheveux pour faire trente petites tresses. Lorsque Maîtresse Aurore en eut fini, Sweet Pussy se leva dans un entrechoquement d'anneaux. Maîtresse Aurore prit sur une étagère un corset en latex équipé de nombreux anneaux et de ceintures. Elle le passa autour de la taille de Sweet Pussy. Puis elle serra fortement le laçage, Sweet Pussy en eut le souffle coupé. Pour serrer encore un peu plus, Maîtresse Aurore posa un genou dans le creux du dos de Sweet Pussy pour restreindre encore un peu plus Sweet Pussy.

« A quatre pattes maintenant. »

Sweet Pussy s'exécuta. Maîtresse Aurore prit un plug en latex de bonne taille, le lubrifia et l'enfonça dans le fondement de Sweet Pussy. L'esclave serra les dents le temps de la difficile intromission.

« Tu garderas ce plug et je veux aussi que tu te caresses la chatte 3 fois par jour tant que tu soigneras N°1 et Lola. »

« Oui Maîtresse. »

« Tu sonneras de la chambre lorsque tu devras aller aux toilettes, une esclave arrivera et t'ôtera le plug pour tes besoins. »

Sweet Pussy acquiesça de la tête et se rendit à la chambre en marchant comme un canard avec ce plug qui lui écartelait le cul.

Maîtresse Aurore ferma la porte derrière Sweet Pussy. Quelques minutes plus tard, une trappe fut ouverte au travers de la porte et le nécessaire pour les soins apparut sur un plateau. Sweet Pussy prit le plateau, un second plateau apparut avec le repas du matin pour elle trois. Il y avait des laitages, de la compote, du jus d'orange. Sweet Pussy s'empressa de prendre sa part et engloutit yaourt, compote et but son jus. Cela faisait tellement longtemps qu'elle n'avait pas eu un déjeuner de la sorte. Elle donna la « béquée » à N°1 et à Lola. Elles mangèrent ce que leurs forces accordèrent de mastiquer.

Puis Sweet Pussy ôta la gaze sur les plaies de N°1 et commença à changer ses pansements. Sweet Pussy s'adressa à N°1.

« Qu'est-ce qui s'est passé dans le baraquement pour que tu sois arrangée comme cela? »

N°1 ouvrit doucement la bouche et narra ses péripéties :

« Je suis entrée dans le baraquement avec Maître Tumba. Il arracha l'imperméable de mes épaules et lorsque les occupants du baraquement, des portugais, me virent nue en dim-up et escarpins, ils se jetèrent sur moi comme des bêtes. Maître Tumba sortit sans même me regarder. Un des portugais amena un matelas et je commençais à sucer leur bite. Je suçais une bite et en branlais une dans chaque main, une dans ma chatte et une autre dans le cul. Je sentais leur corps velu comme des singes, car un portugais est poilu Sweet Pussy, tu peux me croire. Lorsque tous furent passés sur moi, ils ont commencé à me faire boire une sorte de liqueur forte, du medronho, il me semble. Ils m'ont forcé à boire plus que de raison. Ensuite, un des portugais est arrivé avec du matériel. Ils m'ont attaché les pieds à une poutre en bois avec du câble électrique ou de téléphone. Ils me mirent la tête contre le sol et un des hommes a hurlé de lever mes fesses pour avoir le cul bien en l'air. J'ai vu un homme arrivé avec un entonnoir rouge qui se terminait par un tube flexible. Il me l'enfonça dans le cul. J'ai entendu un autre demander de chauffer l'huile et quelques minutes plus tard un liquide chaud coula dans mon ventre par l'entonnoir. C'était à la limite du supportable. Lorsque l'écoulement s'arrêta, j'ai compris ce qu'il y avait dans mon ventre en voyant l'homme avec une friteuse. On m'a alors ordonné de bien garder toute l'huile dans mon cul si je ne voulais pas subir leur colère. On m'a retourné et je fus allongée au sol voyant tout ce qu'ils préparaient. Je serrais toujours mes fesses pour ne pas perdre le liquide de mon ventre. Une poulie a été fixée au plafond et un câble a été passé dans la poulie pour être fixée à la poutre. Deux d'entre eux ont tiré sur le câble et la poutre et moi-même glissâmes sur le sol. Puis la poutre s'éleva et ma peau glissa contre le lino du baraquement. Ils tirèrent sur le câble jusqu'à ce qu'il n'y ait plus que ma tresse qui touche le sol. Un homme passa du câble dans les anneaux de chaque lèvre de ma chatte et l'attacha à la poutre en n'oubliant pas d'étirer les anneaux vers le plafond. C'est alors que plusieurs gars m'ont frappé avec des bouts de câble. Ils s'en servaient comme si c'était des fouets. Mes jambes, mes fesses, mes seins, tout mon corps fut cinglé. Et ils m'ordonnaient de toujours garder l'huile dans mon cul. Un des portugais s'amusait à frapper entre les lèvres étirées. Lorsqu'il y parvenait je hurlais tellement la douleur était insupportable et lorsque je laissais échapper de l'huile de mon cul, ils frappaient encore plus fort. Lorsqu'ils trouvèrent que j'en avais pris assez, ils me descendirent du plafond. Je pensais qu'ils en avaient fini avec moi mais je me trompais lourdement. Ils détachèrent la poutre de mes chevilles et la fixèrent à mes bras. Je fus de nouveau élevée dans les airs. Ils m'ont alors attaché les jambes à l'équerre. Je sentis qu'on me lubrifiait le cul. Puis je redescendis du plafond doucement. C'est alors que je sentis qu'un objet forçait mon cul jusqu'à le déchirer. Je hurlais sous l'intromission. Un des hommes filmait avec son téléphone pendant que je criais. Un autre prit des clichés avec son appareil numérique. Je descendais toujours jusqu'à ce que mon cul s'ouvre et que je sente l'objet me pénétrer l'intestin. L'huile coulait de mon cul. Ils me faisaient descendre et remonter avec la corde et mon cul glissait en s'écartant sur l'objet. Ils rirent aux éclats en voyant les giclées d'huile sortir de mon cul. Un des portugais me montra son i-phone et je vis alors que j'étais empalée sur une sorte de manche en bois dont le diamètre grossissait en allant vers le sol. Je ne sentais plus mon cul tellement il était écarté. Et ils me faisaient descendre le long de ce manche en bois. Je les suppliais d'arrêter car ils allaient me déchirer. J'avais l'impression qu'on m'ouvrait en deux. Ils bloquèrent le câble à un poteau et mon cul s'arrêta de descendre sur le pal. C'est alors que plusieurs d'entre eux me frappèrent de nouveau avec leurs morceaux de câble.

Puis ils me désaccouplèrent du pal et me firent descendre au sol. Je n'en pouvais plus, je gisais au sol comme une loque. Celui qui m'avait empli le cul me détacha les bras de la poutre et prit le morceau de câble qui pendait de la poulie pour la passer autour du cou en faisant plusieurs tours. Il hurla de me mettre debout, ce que je fis non sans difficultés. Il tira alors sur son câble et je sentis alors mon corps tiré vers le haut. Il pendait comme un jambon. Je suffoquais et essayais de prendre le câble pour avoir du mou mais je n'y parvenais pas. Je me débattais comme un lapin en train de saigner pendu à un crochet. J'eus tellement la trouille que je me pissais dessus. Le portugais lâcha le câble d'un coup et je tombais de tout mon poids au sol, haletante cherchant de l'air. Ils continuaient à rire comme des bossus en me voyant ouvrir la bouche et sortir la langue comme un poisson rouge hors de son bocal. L'un d'entre eux prit mes affaires, deux autres me saisirent par les bras. Le premier ouvrit la porte et je fus jetée sur le sol boueux comme toi. Celui qui tenait mes affaires s'approcha de moi. J'essayai de me relever mais il mit son pied sur ma tête et l'enfonça dans la boue. Je tentais de relever le visage car je suffoquais et en sentant sous son pied ma résistance, il lâcha son étreinte et jeta mes affaires dans l'eau boueuse. »

« Mais c'est monstrueux ce qu'ils ont fait, tu aurais pu mourir! »

« Oui, mais va plutôt t'occuper de Lola, elle a plus besoin de soin. Moi, ça va aller. »

Sweet Pussy laissa N°1 et passa à l'autre lit.

Lola ne dormait pas, elle regardait d'un regard vide la fenêtre. Etant dans ses rêves, elle n'entendit pas Sweet Pussy arriver près d'elle et Sweet Pussy vit son regard livide. Elle s'approcha doucement et caressa un endroit indemne pour lui signifier sa présence. Ce toucher sortit Lola de sa léthargie.

« Comment vas-tu Lola? » demanda doucement Sweet Pussy.

« J'ai mal partout, ils m'ont marqué le corps. »

« Tu veux me raconter? »

« Je fus la dernière que Maître Tumba sortit du fourgon. Il m'emmena dans le baraquement B3 et me déshabilla. Lorsque Maître Tumba ouvrit la porte, des hommes étaient attablés et mangeaient. Les bonnes odeurs de couscous me montèrent au nez. Ils s'arrêtèrent tous de manger lorsqu'ils m'ont vu en bas et escarpins. Ils sifflaient, applaudis saient et frappaient la table de joie. Maître Tumba leur dit que j'étais leur cadeau pour le bon travail qu'ils avaient réalisé sur le chantier. Il quitta le baraquement et me laissa aux mains de ces hommes. Ils étaient tous arabes. L'un d'entre eux m'a demandé si j'avais mangé. Je lui répondis que non et il tapota la chaise libre à sa gauche pour me signifier que je pouvais m'assoir. Il me prépara une assiette de semoule et de légumes avec du jus. Je voulus m'assoir mais un autre homme s'est levé et m'a prise par le bras en me disant qu'une pute ne mange pas à table. Il s'est saisi de l'assiette et m'amena au centre du réfectoire. Il m'obligea à me mettre à quatre pattes et posa l'assiette au sol. C'est comme ça qu'une chienne mange, et tous rirent de sa remarque. J'ai commencé à manger. A un certain moment, l'homme s'accroupit et força mon visage sur l'assiette. J'avais de la semoule et du jus partout sur la figure. Les hommes riaient de voir mon visage maculé de semoule qui retombait au sol. Je riais avec eux pour les amuser. Mais l'homme s'en offusqua et me mit une gifle qui me fit basculer en arrière. Il me prit violemment par le bras et m'amena à une table. Il demanda à un autre d'aller chercher de la corde pour m'attacher. Il revint quelques minutes plus tard avec du câble électrique. L'homme qui me maintenait sur la table lui ordonna de m'attacher les mains et les chevilles aux pieds de la table. J'avais les jambes tellement écartées avec les escarpins que j'avais du mal à tenir sur mes talons. L'homme alla au frigo et revint avec une espèce de tubercule difforme dans les mains. Il l'éplucha et en garda deux. Il se mit derrière moi et je sentis qu'il me mettait quelque chose de froid dans mon sexe et dans mon cul. Puis soudain, je ressentis une brûlure aux orifices qu'il venait de forcer. Je criais et lui demandais d'enlever ce qu'il venait d'introduire. Il me répondit que ce qu'il m'avait mis dans mes trous à bites était du gingembre. Il me demanda ce que j'avais à proposer en échange pour ôter les tubercules. Je lui répondis que je n'avais rien sur moi pour le payer. Ils rirent une nouvelle fois. Il me demanda de nouveau si je n'avais rien à échanger et je compris où il voulait en venir...Je lui dis qu'ils pourraient faire tout ce qu'ils voudraient avec moi. A mes paroles, les hommes présents se sont déshabillés et je les ai vus se mettre derrière moi à la queue Leu leu. J'ai senti qu'on m'enlevait les plugs de gingembre de ma chatte et du cul. Et là, j'ai senti un sexe me pénétrer violemment la chatte et me pilonner le sexe comme un marteau piqueur. L'homme a très vite joui en moi et à peine avait-il quitté mon sexe qu'une autre bite est venue le combler. Les sexes ont commencé à défiler dans ma chatte ou mon cul suivant le bon vouloir des hommes. Puis plus rien, tous les hommes m'étaient passés dessus et ils me regardaient pantelante. Je sentais leur sperme dégouliner de mes orifices. Mes jambes tremblaient, je serrais les poings tellement j'avais mal aux jambes et au sexe. Je leur ai demandé de me détacher pour me soulager un peu de la douleur. Ma demande les a énervés et l'un d'entre eux est sorti du baraquement en maugréant et en claquant la porte. Quelques minutes plus tard, j'entendis la porte s'ouvrir de nouveau puis se refermer tout aussi violemment. Là, j'ai hurlé lorsque j'ai reçu un premier coup sur les fesses. Je tenais les cordes dans mes mains pour essayer d'estomper la douleur qui me traversait le corps. Je vis alors l'homme devant moi avec un nerf de boeuf comme il me le fit savoir. Je reçus quelques coups pour me chauffer le cul me dit-il en riant. Puis les coups s'arrêtèrent. L'homme me détacha les bras et un autre arriva avec du fil électrique qu'il dénuda. Le premier me souleva légèrement et l'autre entoura alors mes seins avec ce fil et fit couler d'un tube une sorte de gel. Il entoura aussi les bouts de deux manches de pelle et il me regardait droit dans les yeux en souriant. Il passa derrière moi et j'ai soudain senti ma vulve et mon cul remplis par quelque chose de gros et humide. Ensuite j'ai ressenti de petits picotements dans les seins et mes orifices. Ces picotements se sont transformés en secousse et j'ai compris alors qu'il faisait passer du courant dans mes seins, mon cul et ma chatte. J'avais déjà fait de l'électrostimulation pour me muscler mais là j'ai dérouillé. L'homme s'est avancé pour être dans mon champ de vision et je l'ai vu alors avec un potentiomètre et une batterie. Il tournait le bouton et je ressentais les impulsions dans tout le corps fortes ou faibles suivant ses envies. Il a continué son petit manège un temps qui m'a paru une éternité. Un des gars filmait avec son i-phone. Lorsqu'il en a eu marre de jouer, je me suis affalée sur la table en nage et tremblante. Deux hommes m'ont enlevé les fils et les manches de pelle de mes orifices. Ils me détachèrent de la table et m'emmenèrent dans leur atelier qui se trouvait juste à côté de la baraque de chantier. Ils prirent une barre de fer qu'ils lièrent à mes chevilles. Ils prirent une chaîne qu'ils fixèrent à un treuil et sur la barre. Un des deux hommes appuya sur une télécommande et je fus traînée au sol, puis mon corps s'éleva dans les airs la tête en bas. Et là, tous les occupants de la baraque formèrent un cercle autour de moi. Chacun avait à la main une corde ou un morceau de câble. L'homme qui m'avait attaché au treuil dit aux autres que c'était lui qui commencerait. Il a fait tourner son bout de corde au-dessus de sa tête et je reçus alors sa corde sur mes fesses. Je hurlais sous la douleur. Le second visa mes cuisses et tous se firent un malin plaisir à cingler mon corps et ses parties les plus intimes et les plus délicates. Lorsqu'ils eurent terminé de me battre, ils me firent descendre du treuil, deux des hommes me prirent par les épaules et me jetèrent hors de l'atelier à moitié évanouie. Voilà ce qui m'est arrivé. Je pensais qu'ils allaient me tuer. » Dit Lola en pleurant à narrer le cauchemar qu'elle avait vécu.

12