L’épicerie

C'est dimanche j'arrive à l'épicerie, ya un peu de monde mais pas comme un vendredi soir ou samedi après-midi. J'vérifie mes billets de loterie au comptoir de service, on n'sait jamais... Et non! « Billets non-gagnants »... Je jette un coup d'œil à la première page du journal dans le présentoir. Ya pas grands choses d'intéressant depuis qu'les élections sont finit et qu'le Canadien est éliminé. J'traverse la guérite et prend un petit panier, j'n'ai pas besoin de grand choses.

J'regarde les fruits en spéciaux, les raisins sont beaux, j'en prends un petit sac. J'continu un peu, les légumes, non, rien d'intéressant que j'aurais d'besoin... sauf ce que je vois, qui n'est ni fruit ni légume... Quelle belle surprise de te voir au bout de l'allée. Tu ne m'as pas vu. J'te regarde, t'examine, t'admire, t'es si mignonne dans ta petite jupe à imprimé fleurit et ton petit jacket en jean. On n's'est pas vu depuis plus de trois semaines. On s'était poigné pour j'sais plus quoi, une niaiserie c'est certain, on se poigne toujours pour des niaiseries, jamais pour rien d'important, de grave.

D'habitude ca durait entre une journée et cinq jours mais là, avec les changements de boulots pour les deux et notre christ d'orgueil, ca dure... J'te regarde et j'ai envi d'aller te parler, de t'embrasser, de savoir comment tu vas, toi, ton travail, ta mère, tes chats, et tout... Tu me manque, plus en te voyant. En même temps t'es si belle comme ca, pourquoi aller gâcher ca. Si tu voulais me voir tu m'appellerais, si j'te manquais tu m'appellerais. D'ailleurs, j'crois qu'c'est c'que j't'avais dit en quittant la dernière fois : « Tu m'appelleras quand tu voudras me voir... »... T'as pas appelée... En y pensant j'frustre, et j'te regarde si belle, et j'frustre encore plus.

J'retourne dans l'autre sens et j'saute une allée. De toutes façons, j'n'ai pas besoins de grand choses et rien dans cette allée. J'continu.

Vite arrivé au bout, j'réalise avoir oublié la sauce à spaghetti, si primordiale à mon alimentation, vu mes talents culinaires passablement limités. J'arrive à l'allée et, comble du malheur, ou bonheur, tu es à l'autre bout. Tu es accroupie vis-à-vis la section des pois de toutes sortes. Tu regardes, cherches, lis les étiquettes, etc.

Accroupie comme tu l'es, ta jupe a remontée. D'où j'suis, j'vois ta culotte... et le commis d'épicerie qui place les tablettes à mi-chemin entre nous aussi. D'ailleurs, il te regarde plus qu'il ne place les tablettes... J'prends un pot de sauce, et continu à te regarder en imaginant ma main sur ta chatte à te caresser au travers ta culotte... à sentir ta chaleur... ton excitation... Ma queue durcit...

Après avoir trouvée, tu t'relèves et me vois au bout de l'allée. Tu souris, avances me rejoindre et m'demandes : « Ça va? »... « Oui et toi? »... « Oui »... On se regarde dans les yeux et tu dis qu't'es contente de me voir. « Moi aussi, surtout avec le show qu't'as donné »... en riant. « Quoi? Quel show? »... Et j't'explique en pointant le commis, toujours là, qui te regarde encore. Gênée, tu m'regardes et dis : « Non.......... »... Et j'réponds : « Et oui.......... »... toujours en riant. Tu passes à l'autre allée par gêne face au commis. J'te t'accompagne, on jase un peu. Le boulot, ta mère, les chats, etc. Puis ton téléphone sonne, c'est ta mère. Quand j'vois que ton appel s'allonge, j'te fais signe que je pars. Tu demandes à ta mère de garder la ligne un instant, et tu me dis que t'es désolée pour l'appel. J'te dis que c'n'est pas grave et part vers les caisses et toi tu retourne à ton appel.

Après ton appel, tu poursuis tes emplettes. Devant la section du pain, tu t'accroupies à nouveau et réalise le show que tu as donnée plus tôt... et que ta culotte est transparente! Tu regardes autour et place ta jupe entre tes cuisses et souris intérieurement... Tu penses à ta culotte qu'on voyait le commis et moi. Le commis devait tout voir, et tu sens une chaleur dans ta chatte. Tu prends ton pain et continues jusqu'à ce que tu réalise avoir oubliée des pâtes alimentaires... dans l'allée du show...

En tournant dans l'allée, le commis est toujours là à remplir les tablettes. Il se retourne et te voit. Les pâtes son dans la dernière section de l'allée, t'es contente, lui est plus loin, mais tu sens son regard. Tu tente de te concentrer sur les pâtes... tu veux au blé entier... tu veux les moins cher... Tu tourne la tête, il te regarde. Il attend le prochain show, c'est certain. T'as l'impression qu'il voit au travers ta jupe... tu sens la chaleur en toi... Voilà! T'as trouvé et tu pars pour les caisses.

Moi, j'suis de retour. Après être passé à la caisse, assis dans ma voiture, j'pensais à toi... à ton show... ta culotte... ta chatte... j'avais envi de toi... j'ai envi de toi... Après être arrêté au comptoir de service et avoir passé la guérite, j'te vois arriver aux caisses. Tu me vois, me souris, moi aussi et j'arrive. Tu me demande : « Qu'est ce qu'il y a? »... « J'ai un problème, suis moi, dis rien... »... J'prends ton panier et tu me suis... On longe les caisses jusqu'après l'entrée. J'place ton panier un peu à l'écart, te prends la main et t'attire dans le petit corridor, au bout la porte de la toilette, j'la pousse, on entre, j'referme et barre.

« Qu'est ce que tu fais? »... « Dis rien, ça m'a excité de te voir tantôt, ta culotte, le commis... J'ai envi de toi, j'vais te baiser, laisse toi faire... »... Tu m'regarde dans les yeux et j't'embrasse, pas amoureusement mais sexuellement... Ma langue joue avec tes lèvres, avec tes dents, avec ta langue... J'te caresse les fesses au travers ta jupe, la relève, et glisse mes mains dans ta culotte. J'les caresses, les pétries, puis j'te tourne face au lavabo... te penche dessus... J'm'à genoux derrière toi et t'enlève ta culotte... J't'écarte les jambes... mes mains remontent tes jambes... jusqu'à tes fesses... que j'écarte... J'te mords le bas de la fesse gauche... puis la droite... J'te goute... tu coules... J'te lèche jusqu'à l'anus... et y pousse ma langue... Mes doigts te caressent le clito... et tu gémies... J'glisse deux doigts dans ta chatte... Ils vont et viennent pendant que ma langue te travail l'anus... Tu pousse contre ma langue... en gémissant encore plus...

Tu veux que j'te prenne. J'me lève et défait mon jean. Tu te retourne pour m'aider, t'à genoux devant moi et me prends dans ta bouche... J'aime... Tu suce bien... J'aime que tu me branle en me suçant... Ta main gauche me tien les couilles comme j'aime... C'est bon... ça fait trop longtemps qu'on a baissés...

J'te relève, t'embrasse... et te retourne sur le lavabo. J'te penche sur le lavabo... t'écarte les jambes... prends ma queue et la glisse entre tes cuisses... dans ta chatte... juste le gland... J'te regarde... penchée contre le lavabo... tes fesses... ton cul... et ma queue dans ta chatte... Et là, j'commence à te baiser... de plus en plus fort... Tu gémies... J'me retire et te pénètre... à fond... encore... et encore... et encore... et encore... Tu essaies de retenir tes gémissements... J'me retire à nouveau et accote ma queue dans ta raie... le gland sur ton anus... Puis j'retourne à ta chatte et te pénètre encore plus fort, la main gauche sur ta hanche et la droite qui agrippe ton jacket, j'te baise... de toute ma longueur... encore... et encore... J'adore te baiser. Tes gémissements changent annonçant la montée de ta jouissance... J'continu encore et encore... et tu jouies............ et j'te baise... et tu jouies...............

J'me retire, passe ma queue dans ta raie... sur ton trou... te redresse... et pousse ma queue dans ton cul... Elle disparait tranquillement... te soutirant un nouveau gémissement... Ton cul est si bon... J'te retourne la tête et t'embrasse... pas amoureusement mais sexuellement... et t'encule en même temps... Tu gémies dans ma bouche... et j'continu... encore... et encore... et encore... et encore... J'arrête un moment ne gardant que mon gland dans ton cul, te regarde... le cul... ma queue... luisante... Me retire et m'insère à nouveau... et encore... J'vais bientôt jouir... Tu gémies... et j't'encule jusqu'au fond encore quelques coups et je jouie..................

Après m'être retiré, j'remonte mon jean sans m'essuyer, t'embrasse, et te remet la clef de la toilette : « Tu la redonneras au comptoir de service »... et je sors avant que tu n'ais le temps de rien dire... Toi tu te nettoies un peu mais ne trouves pas ta culotte... Tu me texte : « As-tu ma culotte? »... Pas de réponse... Tu m'appel... Boite vocale!... Tu dois partir sans culotte... en vélo!