La baise de ma vie

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Histoire vécu d'une baise hard avec... ma femme.
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Je suis un homme dans la quarantaine marié à une femme superbe depuis maintenant 20 ans. Comme bien des couples de cet âge, nous avons vécu des moments passionnés et des moments plus difficiles. Nous avons frôlé le naufrage à plusieurs reprises. Nous avons 2 enfants merveilleux qui commencent à prendre de l'âge et nous laisse plus libre de notre temps.

Je vous dirais honnêtement que vu de l'extérieur, nous formons un couple parfait. Nous partageons beaucoup de tendresse et d'amour. Nous sommes plutôt bien physiquement (elle plus que moi) et nous sommes des gens actifs et impliqués.

L'épine dans le pied de notre relation a toujours été le sexe. Comme dans bien des couples, il y a un décalage important dans nos libidos. Le sexe étant en tête de liste de mes priorités alors que pour ma conjointe c'est un accessoire vite mis de côté dans le tourbillon de la vie. Pour compliquer les choses, ma femme vient d'un milieu où les hommes et leur sexualité sont vu comme menaçants. Sa vision du sexe est essentiellement romantique et son érotisme est très peu développé. Bien qu'à l'aise avec son corps, elle ne se masturbe jamais et ne m'a à peu prêt jamais avoué ses fantasmes. Dans les 15 premières années de notre relation, la position du missionnaire était reine et la simple idée d'une baise en levrette relevait d'un grand sacrifice. Même son vocabulaire intime était conservateur. On pouvait parler de pénis, mais non de queue ou de bite. Elle a toujours trouvé oser que je réfère à son sexe par le mot chatte et je me souviens de son regard outragé quand un jour, je lui ai demandé de me sucer. Il aurait fallu que je lui demande de mettre mon pénis dans sa bouche... Globalement, elle n'aimait pas vraiment le sexe oral, ni le donner, ni le recevoir et mon sperme était pour elle quelque chose de dégoûtant. Dans ce contexte, je vous laisse imaginer son opinion sur les relations anales...

De mon côté, comme je publie cette histoire ici, vous devinerai que je suis quelqu'un de très sexuel, torturé par mes fantasmes et passionné d'érotisme et de pornographie. Ma vie sexuelle a longtemps été une véritable déception. Moi qui est explorateur, ouvert d'esprit et, avouons le, pervers. J'ai une vision assez machiste de la femme et je me considère comme un mâle dominant. Ma conjointe est plutôt féministe et crois plutôt en une certaine supériorité féminine. Malgré tout, j'aime ma femme d'un amour pur et j'ai toujours ravalé ma sexualité animale. On m'a souvent demandé pourquoi je ne la laissais pas. La réponse étant qu'on ne fout pas la vie de 4 personnes en l'air simplement pour une histoire de cul.

Physiquement, ma femme est à la mi-quarantaine. Elle est très jolie, fait 5'6 pour 115 lbs (1m70, 52Kg). Elle est très athlétique et fait beaucoup de sport. Elle a de longs cheveux blonds un peu fous qui encadrent un visage agréable. Elle porte très bien son âge. Son corps est superbe. On ne lui donnerait pas plus de 33-34 ans. Ses fesses sont fermes. Ses jambes sont longues et les jupes et bas de nylon lui vont à merveille. Ses pieds sont petits et très bien définis. Son ventre est plat et solide. Sa poitrine est petite, de bonnet A, mais avec de superbes mamelons pointants qui défient encore la gravité. Ses seins sont encore durs et ultra sensibles et ne démontrent aucun signe d'affaissement. Sexuellement, elle est vaginale et aime la pénétration. Elle orgasme facilement, quoique parfois trop vite. Elle mouille énormément sans être une femme fontaine. Son jus intime est épais et fort goûteux. Sa principale caractéristique reste cependant sa capacité à avoir des orgasmes juste en se faisant caresser les seins.

L'histoire qui suit est arrivée un weekend de septembre. Elle est véridique, mais avant d'entamer le plat principale, j'aimerais vous raconter un évènement datant d'environ 2 ans et qui a changer notre vie de sexuelle.

UNE CHICANE QUI TOURNE BIEN.

À cette époque, notre vie sexuelle était au point mort. Nous faisions l'amour de manière consensuel, souvent le Dimanche matin sous les couvertures. Le manque de passion et d'action dans l'acte me faisait perdre mes érections et j'en étais rendu à abdiquer tout espoir de sexualité satisfaisante. Malgré tout, une partie de moi surchauffait et la frustration grandissait.

Un soir, nous tentons un nouveau rapprochement, mais après 15-20 minutes à la caresser sans obtenir le moindre gémissement, je perds mon érection. J'abandonne et me retourne pour me coucher, franchement frustré. Ma femme se sent rejetée et me reproche de ne plus bander. C'est à ce moment que j'ai explosé. Je ne me souviens pas des mots exacts, mais en gros ça disait :

-Calvaire, tu réagis pas, tu bouge pas un muscle. T'es absolument pas cochonne et on a la vie sexuelle d'un couple de 70 ans.

À ce moment, j'ai su que j'avais été trop loin. La voilà partie en vrille et l'argument prend une tournure des plus désagréables. Je nous ai plongés dans une nouvelle crise diplomatique. Entre les coups de gueules, les crises de larme et les constats de séparation imminente, j'ai prononcé quelques mots qui ont eu des conséquences insoupçonnées :

-Merde, tu n'aime pas le sexe, ne me dit pas le contraire. Si tu aimais le sexe, tu en voudrais, tu prendrais des initiatives, mais tu ne te bouge pas le cul. Tu suce même pas.

Et la bombe :

-Comme femme, TU N'ES PAS SATISFAISANTE.

J'étais totalement furieux. Je me suis retiré pour aller dormir ailleurs. Dans ces cas là, ma colère peu prendre plusieurs jours à retomber. De son côté, ma femme a passé les jours suivants à valser entre le fatalisme d'une séparation inévitable et le romantisme d'un échec amoureux et familial. Toujours est-il que pendant qu'elle se désespérait, je me magasinais des appartements et organisait mon budget...

Un matin, ma femme est venue me trouver dans mon petit bureau alors que je jouait à un jeu vidéo. Elle avait les yeux rougis d'avoir pleuré et le visage dévasté des gens qui ne dorment pas. Elle s'assoit a coté de moi sur un petit sofa et me demande de la prendre dans mes bras. Je m'exécute sans grand conviction. Elle me dit :

-Je t'aime et je m'excuse.

Sur ces mots, elle commence à caresser ma queue dans ma robe de chambre. Je sort mon pénis, elle se penche sur moi et entreprend de me sucer de façon malhabile. Je ne peux pas dire que j'étais transporté de joie, mais j'appréciais l'effort et comme je n'avais pas eu de sexe depuis un certains temps, ma queue en redemandais. Je l'ai donc laissé s'activer. .. pour une fois.

Dans la plupart des cas, les chicanes se terminent par un épisode de sexe intense. Nous ne faisions pas exception à la règle, mais ma mauvaise humeur augmentait au même rythme que mon excitation. Je me disais :

-Si tu pense t'en tirer avec une simple pipe ma... Depuis le temps que tu fais chier... Si on est pour se séparer, je vais toujours bien me soulager ...

J'ai mis ma main dans ses cheveux et j'ai laissé exploser ma jouissance sans l'avertir. Elle a eu un fort mouvement de recule alors que mon jet qui devait être abondant à inondé sa bouche. Elle a recraché ma semence en grimaçant pendant qu'elle me finissait à la main.

J'aurais juré que le fait d'avoir éjaculer dans sa bouche serait le clou dans le cercueil de notre couple. La seule texture du sperme la dégoûte. Quand elle me masturbe, elle saute pratiquement hors du lit au moment où je jouis de peur d'être éclaboussé. À ma grande surprise, elle n'a rien dit et s'est blottie sur moi en soufflant :

-Je m'excuse

-C'est correct, je t'aime.

Ces mots sont sortis par automatisme, pour acheter la paix. Il faut dire que sa fellation m'avait perturbé. Toujours est-i-il que ce petit épisode a calmé le jeu et notre couple a survécu une semaine de plus, et puis une autre, ainsi de suite.

Une pensée m'obsédait tout de même. Pendant plus de quinze ans, elle n'a jamais accepté que j'éjacule dans sa bouche quand je lui demandais, mais le jour où je ne lui demande pas la permission, elle ne dit rien. Je me suis dit qu'il y avait peut être de l'espoir.

Quelques jours plus tard, nous prenions un bain de minuit dans notre spa. Le calme était revenu on se caressait un peu. Je pris sa main et la mis sur ma queue qu'elle se mit à faire bander doucement. Me laissant tomber vers l'arrière, j'ai sortie mon pénis de l'eau juste à la hauteur de sa bouche. Elle s'est immédiatement mise à me sucer avec une douceur et une habilité que je ne lui connaissais pas. Au moment de jouir, j'hésitai un instant, mais je laissai mon sperme couler dans sa bouche. Elle se recula rapidement dans un hoquet. Je vis une grosse goûte de sperme tomber de sa bouche ouverte. Jamais elle ne s'est plainte, jamais elle ne m'en a reparlé. Une semaine ou deux plus tard, le même scénario se répétait avec le même résultat, dans la douche cette fois.

Depuis ce jour, je ne lui ai plus jamais demandé la permission pour jouir dans sa bouche et jamais elle m'a reproché de le faire, même si elle est incapable de cacher son dégoût de la chose.

Je me suis souvent demandé pourquoi elle le faisait. Je n'ai trouvé qu'une seule réponse : pour être satisfaisante.

De mon côté, je me suis dis que si cette méthode fonctionnait pour mon sperme, elle pourrait aussi fonctionner dans d'autres facettes de la sexualité. Ainsi, d'un non absolu au sexe anal, on est passé à des massages délicats de son petit trou lors de nos baises. Au début, sa main trouvait la mienne et la retirait. Lentement, sa main arrivait plus tard et un jour, son orgasme a été décuplé par mes tendres attentions. Maintenant, mes doigts se placent automatiquement sur son anus dès qu'elle me chevauche. La levrette qui était son ultime sacrifice à ma perversité masculine s'est transformée en une position naturelle. Inconfortable et parfois douloureuse certes, mais inévitable pour satisfaire un homme. Il lui arrive même d'en jouir. Je me souviens d'une nuit où après lui avoir procuré un orgasme fulgurant, je lui ai ordonné de se placer sur le ventre pendant que je possédais sa chatte avec vigueur. Son expression trahissait l'inconfort, mais moi, j'ai choisi mon plaisir et j'ai accéléré le rythme. Je n'ai jamais su si elle avait aimé ou pas, mais elle à fait ce qu'il fallait pour me satisfaire. Notre vocabulaire aussi a changé. Maintenant, elle me suce la queue et me caresse les couilles pendant que je lui mange la chatte avant de baiser.

Ce trop long préambule résume le cheminement que nous avons fait comme couple. En assumant mon côté dominant, elle a embrassé son coté soumise et docile. Plutôt que de s'enfermer dans une certaine forme d'avilissement, sa sexualité a explosé. Ses orgasmes sont devenus plus fréquents et surtout plus intenses. En étant plus soumise, elle est devenue plus confortable avec la sexualité, la sienne et celle des hommes, mais rien ne me préparait à cette nuit de Septembre.

UN SAMEDI DE SEPTEMBRE

VENDREDI:

Vous devez d'abord savoir que j'ai un ami avec lequel je partage mes expériences sexuelles et mes aventures. C'est comme un confident. Il m'a un jour demandé de réaliser une demande spéciale en son honneur. Sachant ma femme soumise, mais pas forte sur la fellation, il m'a demandé de prendre ma femme par surprise et de lui fourrer ma queue dans la bouche sans avertissements pour voir sa réaction. Je lui ai promis de réaliser son fantasme dès que possible.

Vendredi soir, je suis rentré tard et j'ai regardé des films de cul en vidant une couple de bière au sous sol pendant que ma femme dormait. Ma fille de 17 ans avait ramené un gars à la maison. Il faut savoir que sa chambre est directement au dessus de la notre et que quand elle baise, on entend brasser. Nous somme ouvert là dessus et elle vie sa vie sexuelle ouvertement. Par ailleurs, ça nous permet d'exercer un certains contrôle sur ses fréquentations. Vers 1h du matin, j'entends le gars quitter et je monte me coucher. Ma femme est réveillée et me confie qu'elle ne comprend pas. Elle a entendu brasser le lit assez fort et une dizaine de minute après, le gars était parti. Elle me dit qu'elle a peur qu'il est baisé ma fille trop fort ou égoïstement, qu'il lui ait fait mal ou pire : violé. Au final, je la rassure, ils n'ont probablement même pas baisé et devaient se chamailler ou quelque chose comme ça. Ma femme me dit : -Tu sais, une fille de 17 ans, c'est fragile. Il faut y aller doucement. Il est mieux de ne pas lui avoir fait mal le criss... Finalement, on se couche comme ça. Pour ceux que ça peu intéresser, ma fille était bien de bonne humeur le lendemain. Finalement, il n'y avait pas eu de problèmes.

SAMEDI, FIN PM

Samedi, j'ai passé la journée avec ma plus jeune fille pour ses activités. Ma femme devait aller se magasiner un pyjama et des petites culottes. Quand j'ai appris ça, je lui ai envoyé des messages textes cochons pour lui demander de s'acheter des choses de sexy. Je lui ai aussi texté que dormir nu était une excellente option dans son cas etc. Le soir venu, au moment de l'apéro et près avoir pris un ou deux verres, je lui ai ordonné de me faire une parade.

Pendant que ma plus jeune regardais la télé au sous sol, elle s'est exhibée devant moi avec chacune de ses trois culottes et de sa nuisette (très sexy, bourgogne et beige, style année 20). Moi, je tâtais la marchandise, assis dans mon fauteuil, verre de vin a la main comme un caïd.

J'ai ensuite été enfilé un boxer moulant et sexy et j'ai été la rejoindre dans la cuisine. J'ai baissé mon pantalon afin d'exhibé moi aussi mon sous vêtement. Elle a trouvé ça beau et j'ai pensé a mon ami en me demandant comment lui mettre membre dans la bouche par surprise. Avant que je puisse agir, elle avait sorti mon pénis. Elle s'est penchée et elle m'a sucé par elle même une minute avant de remballer le tout. J'ai commencé le repas tout en continuant à prendre du vin ...

LES CHOSES SÉRIEUSES

Après avoir couché la plus jeune, on s'est retrouvé dans la chambre et j'ai recommencé à tâter la marchandise. En plus de sa nuisette retro, elle portait une jolie culotte blanche, semi transparente avec de la dentelle. On était sur le lit et elle s'est mise à me masser la queue et à me faire bander en me disant : -Elle est grosse ta queue, elle est à moi, à moi toute seule. Elle est grosse, elle est belle...

J'étais surpris. Elle était dans une zone érotique. Rappelez vous que ma femme est généralement très réservée sexuellement et pas du tout vocale. Elle n'est pas cochonne du tout et s'il n'en tenait qu'à sa libido, nous baiserions dans la position du missionnaire une fois par semaine pour autant que je m'occupe un tant soit peu de ses seins. L'aspect fantaisie de notre vie sexuelle dépend presqu'exclusivement de moi : sexe orale, positions etc.

Quand elle m'a dit ca, j'ai eu une pensé pour mon ami et je me suis dis que ca regardais mal pour accomplir sa fantaisie. Je me suis souri à moi-même et j'ai répondu :

-Oui, elle est à toi toute seul...

C'est à ce moment que le feu a pris. Elle m'a dit :

-Fourre moi mon amour, fourre moi fort, pas comme une fille de 17 ans. Vas-y, je suis capable d'en prendre, Fourre moi comme une cochonne...

Elle prit ma queue et l'à insérée dans sa chatte toute mouillée en tassant sa culotte sur le côté. Je l'ai baisé avec force et comme j'étais un peu ivre moi même, j'étais très résistant, mais tout de même très dur. On s'embrassait à pleine gueule et elle continuait à dire des saloperies au sujet de ma queue en me répétant qu'elle était ma cochonne etc.

J'étais excité comme jamais et de plus en plus agressif dans ma baise. J'entrais et sortait ma queue de sa chatte avec une vigueur généralement réservée aux putes de bas étages. Je n'ai jamais parlé vraiment hard avec elle. Je trouve que ca sonne faux et je ne suis pas à l'aise avec le trash talk, mais là elle me provoquait.

-T'es une cochonne -Oui, je suis ta cochonne -Salope -Oui, je suis salope -Bien tiens ma Salope...

C'était la première fois que je l'insultais en baisant. Normalement, ca aurait signifié une guerre diplomatique de 2 semaines pour lui avoir manqué de respect, mais là, je le pensais vraiment. Je pense que je l'ai traité de chienne aussi, mais dans le feu de l'action, je me rappel plus vraiment. Toujours est-il que je n'avais plus aucune retenu, je la défonçais littéralement en me foutant royalement de son confort. Elle mouillait comme une fontaine et semblait convulser d'un orgasme qui ne finissait pas.

C'est à ce moment que j'ai eu un flash et j'ai su quoi faire pour mon ami. J'ai sorti ma queue de sa chatte baveuse et je lui ai fourré dans la bouche sans avertissement. Elle a eu un mouvement de recul parce que je l'ai embouché avec force. J'étais installé à califourchon sur sa poitrine. Elle ne pouvait pas vraiment bouger et je lui pompais la gueule comme dans les meilleurs films pornos.

Vous devez savoir que dans le passé, elle ne m'avait que très rarement sucé ou même touché quand je sortais de sa chatte. Elle trouve ses sécrétions dégoutantes. Les très rares fois où c'est arrivé, ma queue avait eu le temps de sécher ou elle m'avait essuyé avec le drap avant de se la mettre dans la bouche.

Ma salope a vraiment été pris par surprise, mais elle m'a sucé en me demandant de la laisser faire parce qu'elle n'aimait pas que je lui baise la gueule. Après un moment, je suis descendu lui lécher la chatte avant de la piner de nouveau tout en lui fourrant ma langue pleine de son gout au fond de la bouche. Les bruits de baise mouillée envahissaient la chambre. Me retirant à nouveau, je me suis réinstallé sur elle pour une deuxième dégustation. À ce moment là, elle a relevé les jambes très hautes dans les airs pour me donner accès à sa touffe. Pendant qu'elle travaillait sur ma queue, je lui suçais les orteils alors qu'avec ma main droite, je lui massais la chatte. À trois autres reprises, je lui ai mis ma queue dégoulinante dans la bouche sans qu'elle dise un mot. À chaque fois, elle m'a sucé avec application.

Je me suis ensuite couché sur le dos et elle m'a chevauché. Comme c'est une position courante pour nous, elle ne s'est pas laisser prier. J'ai pratiquement déchiré sa nuisette en sortant ses seins pour les manger goulument pendant qu'elle dansait sur ma bite. Elle était totalement en transe quand elle m'a dit :

- Fourre-moi fort. J'ai pas 17 ans. Et un peu à la blague : - Fais-moi mal Johnny

Je suis alors passé en 2e vitesse. Je lui suçais les seins, je lui mordais les mamelons. De ma main droite, je lui malaxais les boules. J'étirais ses tétons et les pinçait avec force. J'y allais vicieusement. Je ne sais pas si elle jouissait ou pas de mon traitement, mais elle se lamentait et ses muscles vaginaux semblaient avoir une vie propre. Toujours guidé par la luxure, j'ai glissé mon autre main vers son cul pour lui masser l'anus. Même si elle déteste l'idée, cette caresse augmente fortement ses orgasmes. Tant que je le fait en douceur, elle tolère. Mais, après quelques secondes et je me suis dit « fuck » et je lui ai rentré un doigt dans le cul jusqu'à la jointure.

Ma femme si prude se faisait maintenant martyriser les seins et doigter le cul. Elle mouillait comme la dernière des nymphomanes. Après un long moment, je l'ai repoussé. Elle s'est retrouvé sur le dos, les jambes toutes grandes écartées pour m'accueillir, offerte comme une putain. Ignorant son offrande, je l'ai viré de bord sans un mot et je l'ai mis à 4 pattes. Cette position, elle l'a toujours détesté et prise à contre cœur. Ce soir là cependant, elle était relaxe, écartait grand les jambes et bombait son cul de manière très provocante. J'ai tassé sa culotte et je lui ai fourré ma queue dans la chatte en la baisant comme un chien en chaleur.

Je ne sais pas à ce moment si elle jouissait encore, mais j'ai senti que son niveau d'excitation retombais par ce qu'elle ne participait plus à la baise avec autant de vigueur. Son ivresse de luxure laissait place à la femme sage et réservée. Je la sentais décrocher. Moi, j'utilisais sa petite culotte comme un harnais pour la baiser encore plus fort. Sa bobette remontait vers le haut et entrait profondément dans sa chatte en frottant sur son clitoris pendant que je la fourrais sauvagement avec autant de force que possible. C'est moi qui était saoul de sexe maintenant.

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