La Cave 01

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Je découvre les relations troubles de mes beaux parents.
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Ma femme était éplorée. Elle avait perdu sa mère. Ce n'est pas qu'elles se voyaient souvent, en fait, elles ne se voyaient pratiquement plus depuis la mort de mon beau père quelques années auparavant. Mais quand même, c'était sa mère et à 47 ans, elle venait de perdre ses deux parents. Ils l'avaient eu tôt et étaient morts jeunes à 68 et 69 ans.

Le seul point positif, c'est que Marie, enfant unique, héritait d'une maison au milieu de la France.

Nous y descendîmes 15 jours plus tard. La maison était assez grande, et plutôt bien décorée, dans un style assez riche qui tranchait avec la modestie de mes beaux-parents.

Marie nettoyait la cuisine et m'envoya ranger la cave. C'était un capharnaüm hétéroclite d'objets en tout genre que je commençais à trier.

La première chose qui m'étonna fut une grosse cage à chien en grilles de métal scellée sur le sol. À ma connaissance, mes beaux-parents n'avaient jamais possédé que de petites bêtes et je me demandais à quoi une pareille cage pouvait servir, surtout dans un tel endroit. Ils étaient très affectueux tous les deux et je ne les voyais pas enfermer un chien dans un endroit aussi sordide.

Puis, je tombais sur un grand carton sans nom qui m'intrigua et je l'ouvris. Ce qu'il y avait à l'intérieur me stupéfia. Il était plein de jouets sexuels sado/maso, des fouets, des badines, des chaînes, des pinces, et d'autres plus explicite comme des godemichés et des plugs anaux de tailles variées.

J'appelais Marie pour qu'elle vienne voir ma trouvaille. Elle déballa consterné le contenu du carton. Je la regardais faire sans rien dire. Elle s'attarda sur une ceinture munie d'un double gode, sur une cagoule en cuir qu'elle caressa rêveusement.

« Tes parents étaient de grands coquins. »

Elle me regarda comme si je venais de dire une obscénité.

« Et plutôt tourné sur le S/M à en voir leur attirail »

La vision de tous ces jouets ramenait en moi des fantasmes enfouis de soumission et je regardais Marie déballer tout ça avec une curieuse boule dans l'estomac.

Au bas du carton, il y avait un album de photos que Marie consulta sans rien dire.

« Montre »

Elle me le tendit avec une drôle de flamme dans les yeux. À première vue, cette découverte ne la surprenait pas tant que ça.

Je feuilletais les clichés tous plus pervers les uns que les autres. On y voyait mon beau père ligoté, bâillonné, fouetté par ma belle mère, et d'autres plus intimes où il était nu à genoux entre ses cuisses.

Je compris à quoi servait la cage en voyant mon beau-père nu enfermé dedans et ma belle-mère, assise dessus en tenue de cavalière et fumant une cigarette. Il y en avait une surtout qui m'émut particulièrement, on y voyait mon beau père sodomisé par sa femme. Son visage était pris en gros plan et on voyait son rictus de douleur crispé.

J'avais mal pour lui, mais j'avais la sensation de me sentir un peu envieux de sa position.

Les images s'étalaient sur plusieurs années et je compris que cela durait depuis longtemps.

Ma belle-mère dominait mon beau-père et je ne m'en étais jamais douté. Certes, ma belle-mère avait un caractère plutôt autoritaire, mais ils semblaient amoureux et jamais, je n'avais décelé chez mon beau père un caractère à ce point soumis.

Je levais la tête et regardais Marie. Elle déballait les objets avec complaisance, observait chacun d'entre eux avec attention.

Je me rendis compte que je bandais, c'était assez inconfortable et je remis discrètement mon sexe dans mon pantalon. Mais mon geste ne passa pas inaperçu à Marie.

« Tu Bandes? »

Ce n'était pas la peine de nier, la forme de mon sexe raide devant être clairement visible.

« Euh, oui »

« C'est tout cet attirail qui te fait bander? »

Je la fixais d'un air égrillard.

« Peut-être »

Elle avait un léger sourire sur les lèvres

« Ou ce sont, peut-être , les photos de mon père dominé par ma mère? »

J'avais la sensation qu'elle jouait avec moi mais, étrangement, ça ne me déplaisait pas.

« Oui, peut-être »

Et elle lâcha une bombe :

« Ça te plairait que je fasse pareil? »

Je ne pus me retenir de déglutir à cette idée. J'étais mis au pied du mur.

Je fixais Marie, elle avait un sourire carnassier et je me demandais à cet instant si elle n'y avait pas réfléchi avant. Et je me jetais à l'eau sans bien maîtriser ce que je disais.

« Oui »

Elle parut presque aussi surprise que moi de ma réponse, mais elle se reprit rapidement.

« Alors, tu commences par m'appeler 'Madame' »

« Oui Madame »

« Et puis tu te déshabilles et tu te mets à genoux »

C'était dingue, la femme avec qui j'avais vécu pendant 22 ans, celle que j'appelais 'Chérie » et que j'aimais de tout mon cœur me donnait des ordres et ça ne me déplaisait pas

J'obéis, retirant mes vêtements et me mettant à genoux devant elle. J'étais en pleine érection. Elle m'avait vu des milliers de fois, mais je me sentais humilié par ma position soumise devant elle.

Elle passa son pied sur mon sexe raide.

Était-ce ce contact rugueux, ou mon humiliation, mais je sentis le plaisir monter en moi.

Elle dut s'en rendre compte et cessa sa caresse.

« Tu ne crois quand même pas que je vais te faire jouir comme ça? »

Je ne répondis pas et la regardais tristement

Elle ôta sa culotte et s'assit dans un vieux fauteuil en écartant les jambes.

« Viens plutôt me sucer »

C'était assez inhabituel. Marie se douchait toujours avant que l'on fasse l'amour mais là, elle n'avait pas pris cette précaution et j'allais sentir son odeur naturelle.

Ce fut une découverte. Elle sentait fort, une odeur animale, musquée, charnelle. Un mélange de sueur et de mouille qui m'excita au plus haut point. J'observais avec fascination ses lèvres fermées où perlait une goutte épaisse et sortis la langue pour laper cette cyprine grasse et fade. Puis je léchais ses lèvres, infiltrant ma langue entre elles. Elle se laissait faire en me regardant.

« Doucement, nous ne sommes pas pressés, nous avons tout notre temps »

Elle me saisit par les cheveux et guida ma tête. Je sentais mon sexe raide osciller entre mes jambes à chaque mouvement

Ce fut presque dans un murmure qu'elle dicta

« Entre ta langue »

Je pointais la langue sur son vagin et pénétrait le plus loin que je pouvais, écrasant mes joues contre ses cuisses et récoltant encore davantage de mouille visqueuse.

Durant un moment, j'alternais le léchage de ses lèvres avec la pénétration de son vagin.

Cela dura longtemps, je commençais à avoir mal aux genoux, à la langue, et je sentais mon sexe mouiller mon ventre. J'étais à nouveau au bord de l'orgasme et le moindre contact m'aurait fait exploser.

Ma femme mouillait beaucoup. Je m'en étais aperçu parfois en faisant l'amour mais, maintenant que je la suçais, je m'en rendais pleinement compte et j'avais le visage barbouillé de cyprine.

Elle me dirigea brutalement plus haut, vers le bout raide de son clitoris et eut un léger sursaut quand j'y posais la langue.

Je savais ce qui me restait à faire et s désormais cet organe hypersensible, eussé-je voulu le contraire que, de toute façon, sa poigne dans mes cheveux me maintenait fermement en place.

Tandis que je m'activais sur son bouton d'amour, elle commença à onduler légèrement des hanches et à pousser des petits gémissements étouffés.

Je voyais indistinctement son autre main malaxer son sein et savais, pour la connaître, qu'elle avait fermé les yeux en approchant de l'orgasme.

Depuis que nous étions mariés, je ne l'avais jamais fait jouir avec ma langue. Il est vrai que je ne l'avais jamais sucé si longtemps. D'ordinaire, c'était juste des préliminaires et, mon excitation prenant le pas, je me relevais et la prenais.

Aujourd'hui, mon excitation était omniprésente, mais je continuais mon labeur.

Tout à coup, elle devint comme folle et, m'écrasant contre elle, me frotta de haut en bas sur sa vulve dégoulinante. Écrasé contre sa chatte, j'étais incapable continuer à la lécher, et je respirais difficilement, les narines bouchées par la mouille et la bouche grande ouverte cherchant l'air.

Elle se frotta ainsi sur l'arrête de mon nez avant de pousser un cri de bête blessée et de cesser tout mouvement, me maintenant serré contre elle.

Elle s'était raidi durant l'orgasme. Quand elle se détendit, elle me relâcha et je tombais en arrière, cherchant à reprendre mon souffle.

J'avais le visage trempé, les narines bouchées, e palais enduit d'un mucus épais.

J'avais également mal dans le sexe tellement je bandais. J'aurais pu me toucher et cela aurait certainement suffit pour me faire jouir, mais je ne le fis pas, retenu par un curieux sentiment.

J'éprouvais une sorte de fierté d'avoir fait jouir ma femme. Je la regardais, alangui sur son fauteuil, les yeux fermés, le souffle court, reprenant doucement ses esprits. Je crois que je ne l'avais jamais trouvé aussi belle.

Elle ouvrit les yeux, se rassit plus convenablement t me regarda. Elle avait le regard brillant et les taches sur les joues qu'elle avait toujours quand elle avait joui.

Je pris conscience de ma propre position, nu, à genoux, avec une érection comme j'en avais rarement eu.

Elle se leva doucement et tourna autour de moi.

« Tu te rends compte que ce n'était pas un événement isolé? »

« Qu'est-ce que tu veux dire? »

" Que dorénavant, c'est ainsi que nous fonctionnerons, moi la maîtresse, et toi l'esclave »

Je ne reconnaissais pas ma femme. Ce n'était pas comme ça que je concevais les rapports de couple mais cela m'attirait inexplicablement.

« Tu veux cela tout le temps? »

« Comment ça? »

« Je veux dire, dans la vie »

« Je ne sais pas...disons que, pour le moment, quand je t'appellerai dans la cave, tu sauras à quoi t'en tenir...Un point, d'abord, tu ne t'approches plus de moi, et puis tu arrêtes de te branler »

Je la regardais stupéfait. Ne plus la toucher, pourquoi? Ce n'est pas que nous faisions l'amour très souvent mais quand même. Et puis, comment savait-elle qu'il m'arrivait de me masturber quand elle n'était pas là?

Perturbé, je répondis ce qui me passait par la tête.

« Tu ne veux plus que je te touche. Tu ne m'aimes plus? »

« Si, imbécile, ce n'est pas ça, mais il n'est pas convenable qu'un esclave se permette n'importe quoi »

Je comprenais que ce 'jeu' prenait des proportions imprévues.

Marie retourna farfouiller dans la caisse et revint avec un tube en grillage épais et un anneau.

« Tu sais ce que c'est? »

« Oui, c'est une cage de chasteté »

Elle regarda mon sexe raide.

" Je ne peux pas te mettre ça comme ça, branle-toi »

C'était très intimidant de me masturber devant elle. En 20 ans de mariage, ça ne m'était jamais arrivé. Je restais à genoux, portais la main sur mon sexe raide et commençais à me branler.

J'étais sur-excité mais le plaisir ne montait pas. Marie s'était réinstallée dans son fauteuil et me regardait faire, un sourire sur les lèvres.

Elle retira une chaussure et plaqua son pied sur mon visage. Elle connaissait mon fétichisme et s'en servait. Le bas humide de sueur m'emplit d'une odeur fauve et aigre. Je n'aimais pas cette odeur à proprement parler, mais elle avait sur moi un effet pervers et je sentis immédiatement le plaisir monter.

Elle éclata de rire en constatant mes yeux fous, retira l'autre chaussure et la plaça contre mon membre.

« Vas-y jouis dans ma chaussure »

Est-ce l'odeur, l'idée d'être nu à genoux en train de me branler devant ma femme, l'humiliation que je ressentais à jouir dans sa chaussure et le contexte de soumission qui présidait à tout cela, mais je me déconnectai et me sentis éjaculer à longs jets dans l'escarpin qu'elle me tendait.

Je me sentais comme dans un rêve érotique et le plaisir ressenti semblait presque irréel.

Elle inclinait sa chaussure, collectant mon sperme au fur et à mesure que je l'expulsais

Quand j'eus fini, je me sentais épuisé. Je regardais Marie avec gêne. Elle avait retiré son pied de mon visage et penchait sa chaussure, accumulant le sperme blanchâtre dans le talon.

« Ouvre la bouche »

J'avais compris son idée perverse et ça me dégoûtait, mais j'obéis, penchant la tête et ouvrant grande la bouche. Elle y versa le sperme encore chaud. C'était âcre, gluant, abominable. J'avalais docilement en ayant des haut-le-cœur.

Quand il n'y eut plus rien, elle tendit la chaussure devant moi.

« Lèche »

Je regardais un instant sa chaussure, c'était celles qu'elle utilisait pour faire le ménage et elles étaient loin d'être neuves. Des marques brunâtres de crasses maculaient le cuir beige de l'intérieur.

Je me penchais, respirant encore cette odeur fauve et un léger relent de cuir, et passais la langue. L'humidité de mon sperme et de ma salive était encore présente mais très vite, ce fut le goût salé/amer de sa semelle qui pris le dessus.

J'avais conscience de lécher sa sueur rance mais curieusement, cela m'excitait.

Je léchais ainsi un moment avant qu'elle ne retire sa chaussure et l'observe.

« Bon, ça va, tu es reçu comme nettoyeur de godasses »

Puis elle considéra mon sexe qui ramollissait après mon éjaculation.

« On va pouvoir te mettre ta cage, lève-toi »

Je ne dis rien et me relevais en silence. J'avais machinalement mis les mains derrière le dos.

Elle boucla l'anneau derrière mes testicules, glissa avec difficulté mon pénis dans la cage d'acier, et ferma le tout avec un cadenas.

« C'était la cage de mon père, mais je pense qu'elle t'ira »

Les photos me revinrent en mémoire. Cet homme, humilié, bafoué, mais qui adorait sa femme, comme j'adorais la mienne.

Quand elle lâcha la cage, le métal lourd et courbé entraîna mon sexe entre mes jambes. Je regardais fasciné. C'était froid et mon sexe au repos en occupait environ les deux tiers.

Penser que son père avait porté cette cage me faisait un drôle d'effet. C'est comme si le temps s'était aboli. J'étais maintenant à la place de cet homme et Marie à celle de sa mère.

Une idée me percuta..

« Tu savais, pour tes parents? »

*

« Je m'en doutais, j'ai vu des marques sur le dos de mon père et, un jour qu'il était en maillot de bain, la marque de la cage apparaissait clairement. Je regardais ma mère effarée, elle me fixa en souriant »

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3 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

Magnifique, j’adore. Cnest si bon la honte .....

lecocqlecocqil y a plus d’un an

vivement la suite j'adore

AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

très bon debut

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