La Déchéance de Caroline - 02

Informations sur Récit
Séjour en Afrique - 2ème partie.
5k mots
4.5
7k
1
Récit n'a pas de balises

Partie 2 de la série de 7 pièces

Actualisé 04/23/2024
Créé 04/02/2024
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Le lendemain, une nouvelle journée de travail, parsemée de réunions, de visites et de rencontres, s'égrène. Le soir, Caroline a de nouveau rendez-vous au restaurant de l'hôtel pour le dîner. Seuls seront présents à sa table les 2 Députés, le Président Parmentier mangeant chez le Préfet. Si ce qui s'est passé la veille n'est pour la Directrice au mieux qu'une lamentable erreur de comportement et au pire une exhibition inappropriée, cette anecdote n'est toutefois pas perçue de la même façon par les 2 sexagénaires qui vont passer la soirée en sa compagnie. Le corps voluptueux de la femme n'a pas manqué de faire naître en eux les pires phantasmes. Aussi, après s'être entretenus, ils ont imaginé un scénario libidineux pour pouvoir profiter sans vergogne des charmes qui se sont étalés devant eux.

Prenant contact avec un employé de l'hôtel, grassement soudoyé qui, à son tour, a mis dans la confidence (contre un très gros pourboire) le barman officiant chaque soir, ils ont indiqué leurs souhaits quant au déroulement de la soirée et donné des instructions très précises quant à la nécessité, pour leurs complices, de se procurer rapidement du GHB ou à tout le moins une drogue équivalente, afin que ce produit soit versé dans les verres de la jolie jeune femme au moment du repas.

Il est 19h30. La Directrice apparaît dans la salle à manger et le maître d'hôtel la conduit à travers la salle, à moitié bondée, jusqu'à une table située en retrait, dans un coin tranquille. Deux convives, les 2 Députés, y sont déjà installés. L'air de rien, masquant leur concupiscence, ils l'invitent chaleureusement à se joindre à eux. Elle est sublime avec sa robe courte mais classe, aux épaules dénudées. Elle ne voit pas le clin d'œil inquiétant que Yannick Noizet, l'un des 2 élus, échange avec le barman. La Directrice est tournée vers Antoine Pêcheur, avec qui elle converse. De suite, un serveur arrive et déposé les coupes de champagne devant les 3 convives, plaçant le verre « amélioré » devant Caroline. Le repas commence. Elle prête à peine attention au garçon, venu déposer une nouvelle coupe. Ses iris commencent déjà à se dilater. Le deuxième verre est à peine terminé que déjà le serveur lui propose une nouvelle boisson, un vin blanc, lui aussi « spécial ». Ses iris sont maintenant complètement dilatés. Il lui faut désormais beaucoup de temps pour répondre à la question la plus simple et sa voix apparaît pâteuse, ses mots étant de plus en plus mal articulés et agencés...

Elle est désormais parfaitement détendue. Ses joues sont d'une rougeur anormale et ses mouvements sont des plus langoureux : fatigue des jours passés, drogue, alcool : le cocktail est détonnant et redoutable. Les 2 hommes la regardent avec désir, alors qu'elle est visiblement plus qu'un peu ivre. Antoine, assis à sa gauche, en profite pour prendre de plus en plus de libertés, traînant sa main sur son dos, la laissant ensuite tomber pour jouer avec l'étendue croissante de sa jambe qui se montre largement. L'ourlet de la robe de Sophie a migré au-dessus de ses cuisses et l'élu passe et repasse son doigt sur la peau nue ainsi exhibée :

- Votre peau est douce, lui minaude-t-il. Vous portez parfois des porte-jarretelles?

La femme regarde ses propres cuisses comme si elle essayait de comprendre ce qu'elle montre. Elle cherche à moitié à se couvrir et marmonne, de manière ridicule :

- Ce sont mes cuisses. Elles se maintiennent d'elles-mêmes.

- Et votre string? Il reste toujours en place ou il descend facilement? poursuit le Député.

La Directrice semble déconcertée par la question, alors que les 2 hommes rient de plus belle.

Pêcheur enchaîne : - Parlez - vous de nous de vous, Caro! Vous aimez vous exhiber devant des vieux pervers?

La femme anone péniblement : - Oui... euh... non... je ne sais pas...

La jolie fille ne comprend plus. Ses pensées sont pénibles et confuses. La voix de l'élu sonne creuse et déconnectée de son visage souriant. Dans sa lutte pour se concentrer sur ce qu'il dit, le reste de la salle à manger se réduit soudain pour la Directrice à un microcosme et elle n'est plus que vaguement consciente des autres personnes.

L'élu remonte maintenant la robe au maximum et Sophie s'avère incapable de rassembler ses idées pour arrêter cette progression : - Regardez - moi comme c'est beau! glousse-t-il à l'adresse de son compagnon de table, tout en soulevant le vêtement pour lui montrer le string de Caroline. Il prend alors tranquillement un glaçon dans son verre et le laisse tomber sur la peau nue de la femme, au-dessus de ses cuisses. Celle-ci crie de surprise et écarte les jambes sans réfléchir, désarçonnée par la glace fondante. La main du vieux dégarni profite de cet instant d'inattention pour glisser sa main sous le tissu du string et introduire l'un de ses doigts dans la fente de la femme, profitant de la lenteur de réflexion de cette dernière.

Celle-ci gémit, sans que l'on sache s'il s'agit d'une protestation ou d'une marque de plaisir. D'autant que le pouce et l'index du sexagénaire ont rapidement trouvé son clitoris. Cette sensation agréable apaise toute objection éventuelle dans le cerveau embrouillé de Caroline. Pour le moment, le centre du plaisir l'emporte sur sa pensée rationnelle.

Les doigts travaillent sans relâche son entrejambe, titillant et faisant rouler son bouton d'amour, et font haleter la créature de rêve d'excitation. Son sexe est bientôt trempé et suffisamment mouillé pour que les attouchements subis provoquent des bruits incongrus dans son lieu privé. Aussi confuse qu'elle soit, la Directrice a encore assez de bon sens pour montrer une certaine, mais relative, réticence.

- Votre string est humide, Caro, il est temps de l'enlever! suggère le Député, sachant qu'elle n'est pas capable de relier les idées dans son esprit. Il remonte à nouveau l'ourlet de sa robe, mais cette fois jusqu'au ventre plat de la magnifique femme :

- Enlevez - le pendant que personne ne regarde, voyons, insiste-t-il. Faites - le sans attendre! Tout de suite!

La femme, à moitié hagarde, soulève ses fesses de la chaise et fait passer le sous-vêtement délicat sur ses genoux avant de lever, l'un après l'autre, ses pieds pour retirer complètement celui-ci. Elle est désormais cul nu sur son siège, fort heureusement caché à la vue des autres clients du restaurant. Antoine récupère le dessous et l'étale sur la table. .

L'élu le presse sans vergogne contre son nez avant de passer le trésor de dentelle à Yannick Noizet pour permettre à celui-ci d'apprécier ce parfum intime. A la fin du repas, après avoir à nouveau ingurgité deux grands verres de vin rouge, la femme, titubante, s'appuie sur les bras des 2 hommes, tandis que l'un d'eux exhibe la clé de la chambre de Caroline, ce qui permet d'ouvrir la voie vers l'ascenseur. Dès que les portes de celui-ci se referme, les 2 Députés, à tour de rôle, embrassent la Directrice goulûment, qui est incapable de résister et de faire valoir ses objections. Elle passe d'un individu à l'autre en l'espace de quelques secondes, chacun des 2 engouffrant sa langue dans la bouche de la femme désorientée...

Parvenus à la chambre, les hommes se mettent à l'aise, enlevant leur veste de costume et se servent dans le mini-bar. La femme se tient debout au milieu de la pièce, incertaine de la raison de la présence de ses compagnons de voyage. Les invités défont à présent leur cravate. Alors qu'elle veut prendre une chaise, Antoine lui demande de se déshabiller. Elle sent la fermeture éclair de sa robe descendre lentement le long de son dos, tandis qu'elle s'agrippe maladroitement pour tenter de préserver sa pudeur. Le soutien-gorge est ensuite rapidement dégrafé de son buste.

Et la main du Député caresse déjà sa poitrine.

- Enlève tes vêtements, Caro! ordonne-t-il. -- Montre - nous, à Yannick et à moi, la beauté de ton corps et tes charmes incroyables! Il est plus que temps que tu te dévoiles!

Désemparée et confuse, les yeux vitreux, elle trouve péniblement la fin de la tirette de sa ravissante tenue et termine de l'abaisser. L'habit glisse de ses hanches et tombe jusqu'à ses pieds. L'air frais de la pièce donne la chair de poule à sa peau exposée. Ses tétons dressés palpitent avec une sensibilité qu'elle peut sentir.

Mécaniquement, elle pousse sa tenue sur le côté lorsqu'elle s'est amassée autour de ses pieds. Ses jambes sont magnifiques, ses seins ronds et fermes, son sexe presque glabre, surmonté uniquement d'une petite bande de poils pubiens, ses fesses magnifiques. Tandis que le Député affiche un sourire satisfait, son Collègue Yannick ne manque pas de faire part de son plaisir : le corps de la jeune femme est encore plus beau que ce qu'il imaginait dans ses rêves les plus fous...

- Bouge ta poitrine pour nous! l'encouragent - ils en chœur, et la belle jeune femme berce le haut de son corps jusqu'à ce que ses miches se secouent et se balancent.

Antoine s'est rapidement dévêtu et se tient derrière elle, en se pressant contre son postérieur alors que ses mains prennent possession de ses globes mammaires. Elle inspire fortement lorsqu'il pince avec insistance ses mamelons tendus :

- Humm! Très beaux seins! On va bien s'amuser avec! commente-t-il.

Son autre main descend vers le mont de vénus, son genou écartant l'entrejambe. L'employée ouvre ses cuisses pour lui donner plus d'accès, alors qu'il la fouille avec son majeur. D'un air goguenard, il ressort celui-ci, luisant de mouille :

- Elle est trempée, la petite chérie! Madame la Directrice est visiblement prête à se faire baiser!

- C'est bien cela, Caro? Tu es prête à nous accueillir dans ta bouche, dans ta chatte et dans ton cul? renchérit Yannick. Toujours l'air décontenancée, elle tient le poignet de l'autre Député, Antoine, qui la fouille en taquinant vicieusement son bourgeon d'amour jusqu'à ce que ses fesses commencent à onduler en réponse. Elle respire par petits halètements et grimace à chaque fois que le pouce passe sur son capuchon en érection. Le bruit obscène émanant de son entrecuisse témoigne de l'abondance de ses sucs. L'homme a maintenant trois doigts qui plongent en elle et elle s'écrase contre sa main en roulant ses hanches de manière lubrique avec une urgence qui indique clairement qu'elle veut un orgasme.

Il l'aurait bien laissée jouir avant de la chevaucher, mais il a d'autres projets. Il l'allonge sur le lit, lui écarte les cuisses, et se glisse en elle pendant qu'elle arque son vagin vers lui. Les mains de la Directrice ont saisi le postérieur du sexagénaire et l'attire vers elle, tandis qu'elle lui offre sa chatte, ne laissant aucun doute sur ce qu'elle veut vraiment. Chaque fois qu'il la pénètre, elle hurle et marmonne de façon incohérente jusqu'à ce que, après seulement une douzaine de coups, elle crie et subit de plein fouet un orgasme intense. A peine la première secousse de plaisir s'est-elle terminée, via des tremblements, qu'une seconde vague l'emporte à nouveau par-dessus bord. Des halètements et des geignements de plaisir emplissent la pièce et signalent visiblement un désir de forniquer sans retenue.

Lorsqu'Antoine éjacule enfin, il apparaît soudain plus calme que la jolie femme. Il sort d'elle épuisé et haletant. Yannick lui succède, la fille et ses doigts prenant le contrôle du pénis en érection et le frottant contre sa vulve. Mais le Député a un autre objectif : couvrant l'anus de salive, il sonde les fesses de la jeune femme avec un doigt et positionne son sexe face à l'œillet. Caroline beugle lorsqu'il franchit l'ouverture. Mais rapidement, les yeux fermés, elle grogne de bien-être, tandis que son assaillant atteint le nirvana et crache longuement son foutre dans son cul. Elle est devenue une poupée de chiffon, trop fatiguée pour faire autre chose que de recevoir les hommages crémeux des 2 mâles dans ses orifices bien utilisés. Elle est trempée de sueur, après avoir été baisée et enculée si minutieusement.

Antoine frotte son sexe gonflé sur sa joue, puis le traîne sur ses lèvres : - Allez, salope, montre-nous tes talents de suceuse de bites! murmure-t-il. Elle gémit un peu, mais sa bouche s'ouvre et sa langue titille le gland et lèche la hampe. Le Député poursuit : - Bon coup de langue, chuchota-t-il. - Lèche - moi les couilles et la rondelle à présent!

Et Yannick, lui, de contempler le muscle rose de la jeune femme passer sur le scrotum de son Collègue.

Quelques instants plus tard, tandis qu'Antoine inonde la gorge de la Directrice de semence masculine, Yannick aide Caroline à se mettre à 4 pattes sur le lit, le postérieur en l'air. Et pour la seconde fois de la soirée, il l'encule, mais cette fois beaucoup plus longuement, faisant coulisser son membre à travers la spirale rose et serrée de l'œillet.

La future quadragénaire sombre alors dans l'inconscience. Le lendemain, au réveil, elle est recroquevillée dans les draps souillés, nue et couverte de sperme. Ses poils pubiens ont également disparu. Malgré son épouvantable mal de tête, elle tente de reprendre ses esprits et de se souvenir de ce qui s'est passé. Des flashs lui renvoient des images d'elle, possédée par 2 hommes qu'elle connaît. Son corps ne porte aucune trace de coup, comme le miroir dans lequel elle se regarde le confirme.

-Mon Dieu! J'ai trompé mon mari! Ce n'est pas possible! J'étais ivre et ils en ont profité! Les salauds! Ou alors j'ai été droguée? Mais par qui? Comment le prouver? Et s'ils ont pris des photos? J'ai honte! Que vais-je dire à mon chéri et à mes enfants?

Des pensées contradictoires et confuses l'assaillent, tandis qu'elle prend une longue douche chaude pour effacer toute trace du méfait perpétré contre son corps. Retrouvant peu à peu ses esprits, elle se calme et décide de descendre au déjeuner. Il est déjà près de midi! Heureusement, la journée de travail prévue ce jour-là est moins chargée. Demain, tandis que les 2 Députés rencontreront des homologues gabonais, elle et le Président, escorté par 2 soldats, iront à la découverte du parc national de Pongara, situé dans la province de l'Estuaire. Il couvre une superficie de 870 km2. Cette réserve se trouve à un peu plus d'une heure de Libreville.

Caroline, à peine arrivée dans la salle à manger, est accueillie par Yannick et Antoine, comme si ceux-ci la guettaient. Alors qu'elle se raidit et leur tend la main pour les saluer, les 2 hommes, à tour de rôle, lui font la bise sur la joue.

-Après ce qui s'est passé, hier, on peut désormais se tutoyer! lâche Pêcheur. Tu viens? On a réservé une table. Le Président Parmentier nous rejoint d'ici 10 minutes...

La Directrice s'apprête à répliquer de manière cinglante et à faire un esclandre, mais ravalant sa fierté, elle les suit sans mot dire et s'installe à table. Noizet en profite pour en rajouter une couche : - Tu étais chaude comme la braise, cette nuit! Quelle partie de jambes en l'air! Je ne te connaissais pas comme cela! Mais bon, on gardera cela pour nous! Disons que nous avons satisfaits des besoins primaires!

L'arrivée du Président interrompt la conversation, qui prend une tournure plus banale. Celui-ci est simplement étonné que les 2 hommes tutoient désormais la femme, qui reste relativement silencieuse pendant toute la durée du repas. La journée se termine par 3 visites de courte durée dans un hôpital, une crèche et une école.

Rentrés en début de soirée à l'hôtel, les membres de la délégation vaquent à leurs occupations chacun de leur côté, Caroline préférant éviter de rester en compagnie des autres et s'isolant. Tôt le lendemain, elle se retrouve assise à l'arrière d'une jeep de l'armée en compagnie du Président Parmentier. Elle a pris avec elle quelques affaires de rechange, car il est prévu de camper au cœur du parc national.

Escortés par 2 soldats, la Directrice et le Chef de la délégation passent une journée à la découverte de la faune et de la flore gabonaise. Au sein du Pongara, on trouve des milliers d'hectares de mangroves qui renferment une quantité importante d'alevins et de crevettes. Les plages de ce parc sont également des lieux de ponte pour les tortues marines. Quant aux forêts, elles abritent des populations survivantes de petits singes, de buffles, de céphalophes. Les marais d'eau douce sont peuplés de poissons et ses prairies regorgent également de nombreuses espèces de fleurs, d'insectes et d'oiseaux. Au soir tombant, après que les 2 soldats aient dressés 3 tentes, une pour la jeune femme, une pour Jacques et une pour eux-mêmes, tous s'endorment rapidement. En pleine nuit, des coups de feu claquent, réveillant brusquement la Directrice. L'entrée de sa tente est soudain arrachée et un grand Noir, armé d'une mitraillette, lui ordonne de sortir.

L'empoignant par les cheveux, il la traîne dehors. Elle découvre avec horreur les corps, sans vie et baignant dans une mare de sang, des 2 soldats qui les escortaient. Le Président Parmentier, lui, se tient debout près du feu de camp, vêtu d'un short de pyjama et d'un simple t-shirt. Il est tenu en joue par un homme noir, porteur d'un pistolet. Caroline se retrouve, avec pour seuls vêtement un débardeur rouge et une culotte noire, face à 5 pillards et à son Chef de délégation.

Déjà le colosse black éructe : - La Blanche, si tu veux vivre, mets-toi à poil! Tout de suite...

Terrorisée, elle s'exécute, faisant passer son débardeur au-dessus de sa tête et laissant tomber son short. Elle se retrouve totalement nue devant 6 hommes dont, honte suprême, celui qui est son patron. Les Blacks la contemplent avec ironie. Ils rient et échangent des commentaires incompréhensibles dans leur langue maternelle.

Caroline claque des dents comme s'il faisait un froid polaire. Les Noirs, habillés de guenilles, avec des armes dans les mains, s'amusent de la voir si apeurée. Celui qui l'a sortie de la tente s'approche d'elle et lui palpe le sein gauche sans ménagement. La Directrice frissonne sans oser esquiver le moindre geste et baisse la tête.

Les commentaires affluent encore, ponctués de rires gras. L'homme continue à explorer son corps, insinuant sa main entre ses cuisses, entrant un doigt dans son sexe. La femme gémit de peur sous le viol qu'elle va subir. Elle est amenée à même le sol et se retrouve allongée nue sous le regard de tous les mâles. Elle voit en face d'elle le Noir confier sa mitraillette à l'un de ses complices, défaire son ceinturon et déboutonner son pantalon qu'il fait glisser le long de ses jambes musclées.

Elle a le temps de voir son membre ébène dressé devant lui pendant qu'il la regarde sans aucune pitié. Paralysée par la peur, elle a juste le temps d'imaginer ce gros sexe noir entrant en elle. L'homme s'abat sur elle de tout son long et de tout son poids, écrasant le joli corps à la peau blanche. De ses genoux nerveux, il écarte ses cuisses sans qu'elle ne résiste et elle sent la chaleur du sexe masculin contre son bas ventre.

Le soudard trouve l'ouverture de sa fente, ses doigts ouvrant brutalement le passage et engageant son gland entre les lèvres chaudes. La Directrice claque toujours des dents en continu sans pouvoir maîtriser sa nervosité, son corps ne lui appartenant plus et vivant indépendamment de son cerveau qui, lui, est conscient de la situation.

Le colosse pousse fort ses reins puissants et son membre pénètre rapidement dans le vagin de la Directrice. Elle se cambre, pousse un cri aigu, sentant ses chairs distendues au passage du gland qui progresse sans ménagement. Le Noir la fixe toujours, arborant un sourire satisfait. Il resta fiché en elle sans bouger, tandis que son corps vibre en continu. Et puis ses reins se remettent en marche, d'abord lentement. Elle sent un repli du sexe avant un retour brutal au fond de son ventre, un nouveau repli, un nouveau retour et le mouvement s'amplifie. Le bouche ouverte, hébétée, incapable d'une quelconque défense, les yeux écarquillés vers ce visage impassible au-dessus d'elle, la jolie fille subit les coups de boutoir qui éveille en elle un mal de ventre tant le gland du noir lui pilonne l'utérus.

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