La Déchéance de Caroline - 03

Informations sur Récit
Séjour en Afrique - 3ème partie.
5.3k mots
4.39
6.1k
1
Récit n'a pas de balises

Partie 3 de la série de 7 pièces

Actualisé 04/23/2024
Créé 04/02/2024
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Tandis que le Président est emmené vers un autre bâtiment, toujours sous l'escorte de 2 soudards, Caroline est contrainte de pénétrer à son tour dans la pièce que vient de quitter son chef. Le garde la pousse brutalement en avant : elle manque de tomber et se retient au bureau faisant face à l'entrée. Le soudard ferme la porte et reste derrière elle tandis que cette dernière fait face à un homme assis audit bureau, lisant une quelconque paperasse. Il ne lève pas la tête, continuant sa lecture. La femme blanche, malgré ses angoisses, note qu'il est complètement chauve, assez âgé, sans doute dans la soixantaine, et assez corpulent aussi.

L'atmosphère est lourde.

L'homme a enfin un soupir, lève les yeux de sa lecture et considère la fille, qui se tient nue devant lui, de ses petits yeux perçants. Il la jauge en une seconde avant de lui adresser la parole :

-Visiblement, tu fais partie d'une délégation en visite au Gabon. Nous n'avons pas besoin de Blancs comme toi dans notre pays! Si tu étais une touriste, je t'aurais déjà fait abattre! Mais visiblement, ton patron a une bonne valeur marchande et, en plus, il m'a supplié de t'épargner! Nous allons donc prendre contact avec ton Gouvernement et dès que l'argent que nous réclamerons aura été payé, nous vous libérerons. En attendant, tu as intérêt à être obéissante!

Le Chef du village se lève de son siège et fait le tour du bureau pour se planter devant la fonctionnaire, croisant ses mains derrière son dos : - Des Blancs venus sucer le sang de l'Afrique, comme des vampires! Mais ici, pendant quelque temps, tu vas sucer autre chose que du sang, crois - moi! La Directrice baisse la tête sans rien dire, mais elle sent soudain sous son menton une badine qui l'oblige à relever la tête.

Le Noir hurle : -Regarde - moi quand je te parle, femelle!

Elle s'efforce alors de soutenir le regard dur et méprisant du dominateur. Soudain, sans raison, la badine s'abat sur le postérieur de la prisonnière. Celle-ci tressaille sous le trait de feu qui zèbre sa fesse et reste silencieuse, attendant, horrifiée, la suite. Le sexagénaire s'avance si près d'elle qu'elle sent son souffle chargé d'alcool, mais aussi, plus globalement, son odeur de sueur et de crasse accumulées.

Le visage du « commandant » est à 3 centimètres du sien. Il la fixe avec mépris. Il single encore sa badine contre le cul de Caroline et semble y prendre un certain plaisir.

L'homme est hystérique, hurle aux oreilles de la femme et sa badine se met à siffler dans l'air de la pièce avant de s'abattre à nouveau plusieurs fois sur le postérieur déjà endolori de la Blanche qui gémit à chaque coup porté. Puis, il s'adresse au garde :

-Emmène-là à côté!

Aussitôt le sbire se saisit de la Directrice et la pousse dans une pièce contiguë, plus petite et plus sombre. Sans ménagement, il lui écarte les jambes, nouant chaque cheville à un anneau scellé dans le sol. Ensuite, il passe une corde entre ses poignets liés et par l'intermédiaire d'une poulie, hisse la corde remontant ainsi les 2 bras de la prisonnière au-dessus de sa tête jusqu'à tendre lesdits bras bien haut. La poulie n'étant pas juste au-dessus de son corps mais un peu en avant d'elle, la Directrice doit se cambrer pour suivre le mouvement ascendant de la corde. La position est éminemment inconfortable et terrorise plus encore cette dernière, sa peau se couvrant d'une pellicule de sueur luisante et la faisant frissonner de tout son être.

Le « patron » des soudards vient se planter devant elle, la regarde de la tête aux pieds et ricane. Il passe sa badine le long de son corps et entre ses cuisses, insistant sur son sexe tout en la regardant d'un air ironique. Il grogne et avance sa main entre ses cuisses, lui palpant durement le sexe, introduisant ses doigts boudinés dans l'antre intime de la malheureuse et fouillant ses entrailles. Il lui palpe les fesses aussi, comme on flatte la croupe d'un cheval, évalue son corps et passe derrière elle. Il défait sa braguette, sort son sexe et le guide entre les cuisses de la femme suppliciée. En 3 mouvements de son bas ventre, il s'introduit en elle avec un soupir satisfait, la besogne de coups de reins puissants qui la propulse en avant et fait dodeliner sa tête en mesure. La jolie femme, incapable de la moindre défense, abandonne son corps à son sort, toute concentrée sur sa survie.

La saillie du chef ne dure pas longtemps, 3 minutes à peine et il se répand en elle en grognements satisfaits : - Te voilà baisée jusqu'à la moelle, chienne! Et dans un éclat de rire, il s'en va, non sans donner quelques dernières instructions à son sbire :

- Conduis -- là chez Mama Wemba! Elle va s'occuper de la chienne blanche et de son dressage!

Se retrouvant à nouveau dans la rue, toujours nue, elle précède le garde, qui ne manque pas de contempler les jolies fesses roulant devant lui. Quelques personnes, dont des femmes et des enfants sont désormais sortis dehors et regardent d'un air étonné cette Blanche déambulant dans le plus simple appareil.

Quelques soudards, en armes, ne manquent pas de faire des commentaires graveleux sur son passage. Mais voilà déjà que l'homme qui l'escorte lui intime de s'arrêter devant une petite maison délabrée. A leur arrivée, une grande femme (1,80 m), longiligne, en sort et s'adresse directement au garde, tout en s'approchant de Caroline :

-En voilà une belle petite chienne!

Puis, elle commence à soupeser les seins de la Directrice : - Superbe poitrine! Les seins sont gros, ronds, larges, fermes avec de jolies aréoles! Avant d'ajouter à l'attention de la prisonnière : - Tourne - toi! La fille s'exécute et Mama Wemba palpe ses fesses tout en faisant un commentaire : - Très beau postérieur! Ferme et tonique! Je vais faire de celui-ci le cul le plus accueillant du village! Suis - moi, chienne!

L'homme s'en va, tandis que la femme noire, suivie par Caroline, pénètre dans la maison, assez délabrée. Près de l'entrée, une pièce contient un grand panier en osier, quelque peu dépareillé. Il y a également un anneau en fer, fixé dans un mur et auquel est attaché une chaîne. Deux écuelles, vides, une pour l'eau et une pour la nourriture, sont abandonnées dans un coin. La matrone indique à sa captive : -- Voilà ta chambre! Tu y dormiras la nuit le temps de ton séjour parmi nous! On va maintenant te laver! Tu es pleine de sperme séché! On voit que tes trous ont déjà servis!

La Directrice est emmenée dans une petite cour arrière, où elle encaisse une volée d'injonctions, tandis que Mama Wemba se saisit d'un simple petit tuyau d'arrosage :

- Il est temps que de nettoyer ta crasse! Tu es immonde! Ecarte tes fesses de Blanche! Montre - moi les lèvres de ton vagin et ton anus! Il est temps de les rendre propres!

Après une rapide aspersion de l'ensemble du corps de la captive, la femme, dirigeant le jet vers l'œillet de celle-ci, ne manque pas d'ajouter une remarque qu'elle trouve drôle : - C'est froid, non? Et tandis qu'elle guide la faible pression vers le rectum, elle ajoute : - Il ne faut pas oublier de nettoyer l'intérieur aussi! Et elle appuie, sans plus attendre, le bout du tuyau contre la rondelle plissée de la prisonnière.

Celle-ci est brisée psychologiquement.

Lui tendant un semblant d'essui, la matrone lui ordonne de se sécher avant de l'emmener dans sa chambre, composée d'un lit et de vieux meubles datant de l'époque coloniale.

-Il est temps que je te goûte! commande-t-elle.

Et déjà elle se colle à Caroline, passant ses bras autour du cou pendant qu'elle étreint sa taille. N'osant pas la repousser, de peur des conséquences, la Blanche, qui n'a jamais fait l'amour avec une femme et n'a aucun intérêt pour le saphisme, se laisse néanmoins embrasser partout sur sa figure. Les lèvres de Mama Wemba s'écrasent sur ses siennes et sa langue, dont elle arrive à sortir une belle longueur de sa bouche, pénètre dans la sienne. Elle l'oblige à suivre le rythme, les langues se séparent puis se retrouvent dans des baisers prolongés. La geôlière a commencé à caresser frénétiquement la poitrine de la Directrice, avant de s'intéresser à son sexe, et plus particulièrement à ses lèvres vaginales et à son clitoris.

Elle se déshabille prestement et, maintenant nue elle aussi, entraîne la captive sur le lit, où elle l'embrasse avec ardeur, frottant sa poitrine contre la sienne ainsi que son ventre et son pubis contre les siens. Ensuite, après que chacune se soit bien occupée avec sa bouche et sa langue des seins de sa partenaire puis des mamelons qui ont été sucés, aspirés et mordus, elle l'oblige à se mettre tête bêche. Chacune s'applique à embrasser et lécher le sexe de l'autre puis avec sa langue à fouiller l'intérieur de la chatte ou à s'en prendre au clitoris. Se sont maintenant les mains et les doigts qui entrent en action, ces derniers s'agitant dans les grottes respectives. Excitée comme jamais, la femme noire est soudain prise de tremblements, emportée par un orgasme, tandis que des jets de cyprine s'échappent de son vagin et arrosent la main de Caroline et le drap. Après s'être un peu calmée, Mama Wemba emmène la Blanche dans la pièce qui va lui servir de chambre et l'attache à la chaîne qui est fixée à l'anneau. Elle verse ensuite de l'eau dans l'une des écuelles et une tambouille grossière dans l'autre. Enfin, elle dépose un seau dans un coin de la pièce : - C'est pour tes besoins naturels! Maintenant, mange un peu et repose - toi, car tu auras une rude journée demain! Je vais voir le Chef!

Et la porte de la chambre de se refermer...

La Directrice passe une fin de journée et une nuit des plus horribles. Elle repense à toutes les humiliations subies, à toutes les pénétrations qui lui ont été imposées. Elle voudrait mourir, mais le fait de penser à ses enfants et à son mari la maintient un minimum en vie. Elle finit par s'endormir avant d'être réveillée par sa tortionnaire.

Celle-ci, après l'avoir déliée et aidée à se remettre debout, glisse autour de son cou un vieux collier de chien relié à une ficelle servant de laisse. La matrone termine la procédure en utilisant une petite serrure pour le fermer et empoche la clé. Tirant sur ladite ficelle, elle emmène alors Sophie, la promenant tel un animal de compagnie, vers la maison du Chef. Alors qu'elles arrivent près de celle-ci, elles croisent le Président Parmentier qui, escorté d'un soudard, en sort. La captive remarque qu'il porte désormais une chemise blanche à manches courtes et un pantalon en toile. Sans doute s'agit-il de vêtements récupérés par les pillards dans leurs tentes lors de l'attaque nocturne. Mais pourquoi suis-je toujours nue, se demande-t-elle, les larmes aux yeux. Son compagnon de captivité, arrivant à sa hauteur, lui adresse un petit sourire : - Tout sera bientôt fini, rassurez - vous! Ils vont vous demander de faire une vidéo pour prouver que nous sommes en vie...

Déjà le garde l'invite à s'éloigner et la femme, suivant toujours Mama Wemba, pénètre dans le bureau du Chef du village. Celui-ci n'est pas là, mais une chaise est placée contre un des murs, face à un petit camescope sur pied. Un soudard s'apprête à filmer. La matrone tend alors un débardeur à Sophie, qui reconnaît le vêtement lui appartenant, et une de ses vestes : - Couvre toi, sauf si tu veux faire la vidéo toute nue! Avant que tu t'installes sur la chaise, j'ai un dernier détail à régler : penche - toi contre le bureau et écarte les fesses! La captive blanche obéit.

Elle sent alors que son anus est graissé et qu'un objet, de bonne taille, est inséré dans son fondement, sous le regard hilare du caméraman : - Voilà, chienne, maintenant tu es prête à faire l'actrice! Tu diras simplement à la caméra, dans un beau sourire que tu es bien traitée, que ta famille et tes amis te manquent et que tu demandes à ton Gouvernement de tout faire pour que tu sois libérée rapidement!

Une fois assise, Caroline sourit gracieusement à la caméra (qui ne filme que le haut de son corps), faisant de son mieux pour paraître relaxée. Une seule prise suffit pour que ses géôliers soient satisfaits de sa prestation. La matrone demande alors au caméraman amateur et improvisé de changer de cassette : -Comme tu es douée pour faire l'actrice, on va maintenant faire un petit film pour ma collection privée! Reste sur la chaise, mais mets - toi à poil! Allez, vite, enlève tes fringues! Ecoute-moi bien, chienne : je veux être sûre que tu es totalement embrochée! Tu vas mettre tes mains derrière ta tête, les lever bien haut. Ensuite, je veux voir tes genoux toucher tes mamelons, histoire qu'on voit bien le gode dans ton cul. Puis tu écarteras largement tes jambes et tu te branleras de manière bien visible. Enfin, tu passeras ta langue sur tes lèvres et tu diras, toujours face à la caméra, que tu as besoin d'une grosse bite noire! Nyambo, ici présent, te rejoindra et tu as intérêt à lui tailler une bonne pipe! C'est moi qui filmerai et gare à toi si tu me déçois : je te ferai mal comme jamais on ne t'a fait mal! Compris, chienne?

Alors la Directrice s'exécute, faisant de son mieux pour contenir ses larmes et entame sa fellation. Le caméraman gémit et se creuse ses reins, s'abandonnant totalement à la bouche qui commence à coulisser de plus en plus rapidement autour de son sexe. L'esclave blanche le suce savamment, mue par la crainte. Elle va et vient avec toute son expérience et la plus grande douceur sur le membre envahissant sa cavité buccale. Pendant qu'elle continue sa succion, ses mains commencent discrètement un lent voyage vers la raie des fesses du soudard.

Elle sent qu'il se contracte dès que ses ongles effleurent son anus, le faisant sursauter, mais elle lui prodigue tellement de plaisir avec sa bouche qu'il capitule et se laisse faire sans coup férir. Caroline s'occupe maintenant des bourses, les malaxant avec rudesse. La fellation qu'elle offre ne tarde pas à rapidement produire ses effets et, dans un grand râle, le Black éjacule puissamment dans sa bouche.

Elle avale tout.

Quelques minutes plus tard, elle se retrouve une nouvelle fois dans la rue, sous les quolibets des autochtones. Elle baisse les yeux, incapable de rencontrer les regards qu'elle devine pleins de mépris. Elle suit Mama Wemba, qui lui a remis son collier et la guide avec la ficelle, tandis que le caméraman ne manque pas de tout filmer, surtout son cul, dans lequel est toujours profondément fiché un gros gode ébène.

S'arrêtant près d'un grand tonneau, elle l'enlève le couvercle de celui-ci et, tandis qu'elle lui ôte son collier de chien, ordonne à la captive de se mettre dedans avant de reposer à nouveau le couvercle. La Directrice se retrouve ainsi enfermée dans un fût en bois très large, assez spacieux pour lui permettre de s'agenouiller sur le coussin déposé au fond de celui-ci. Une certaine lumière traverse les interstices situés entre les planches. Mais un détail la rend mal à l'aise : le trou situé juste devant elle et suffisamment large pour ressembler à un « glory hole ».

Avec horreur, elle comprend ce qui l'attend lorsque Mama Wemba prend la parole :

-Tu vas rester ici pendant 3 heures. Et tu suceras chaque bite qui passe par ce trou! Et je te conseille de tout avaler! Malheur à toi si je vois une goutte sur ton corps ou sur le coussin!

Cette fois, la tortionnaire, en accord avec le Chef du village, s'est surpassée en matière de cruauté mentale. Elle rit d'ailleurs en son for intérieur à la seule pensée d'imaginer Caroline enchaîner les fellations sur des queues de parfaits inconnus.

Mais déjà une première pine noire apparaît, et la main de la prisonnière s'attache autour du long et mince pénis, tandis que sa bouche commence à sucer fort son extrémité. Elle essaie de ne pas penser à ses enfants ou à son mari, pour se concentrer sur sa tâche, être efficace et développer une technique de pipe lui permettant de faire éjaculer l'homme le plus rapidement possible. Sa bouche, d'où sort habituellement un langage cultivé, sert à présent à vider des couilles, ses doigts élégants courant sur les testicules, et à avaler du sperme. Déjà elle a fini, regarde la bite rapetisser et sortir du trou. Mais déjà aussi, une autre la remplace, toujours de couleur noire mais cette fois entouré de poils pubiens nombreux, longs et drus.

Celle-ci dégage une odeur répugnante. Son propriétaire ne doit pas se laver très souvent, pense-t-elle. A contrecœur, elle enroule ses lèvres autour de la queue et commence à utiliser sa langue. L'homme essayant de rentrer son engin au maximum dans le trou, la Directrice se retrouve bien vite le nez dans les poils noirs. Heureusement, le tonneau est une barrière naturelle qui l'empêche de sentir le reste du bas-ventre. Quelques minutes se sont écoulées, et l'homme, secoué d'un spasme, inonde la bouche de l'Occidentale, qui s'efforce de tout avaler, malgré le goût particulièrement acre de la semence qui vient d'être expulsée dans son gosier.

Les bites s'enchaînent...

Après 3 heures passées dans le tonneau, la Blanche voit le couvercle s'ouvrir et Mama Wemba, lui tendant sa main, l'aide à enjamber le fût, non sans une ultime remarque humiliante : - Félicitations, chienne! Record battu : tu viens de sucer 28 bites! Tu dois avoir mal à la mâchoire! Le caméraman, lui, ne perd rien de la scène, filmant celle-ci.

Ramenée à la maison de la matrone, Caroline est nettoyée, toujours au jet d'eau, la tortionnaire insistant cette fois pour rincer l'intérieur de sa bouche. Elle est ensuite obligée de se soumettre à une séance d'amour lesbien avant d'être, à nouveau attachée, par une chaîne, à l'anneau fixé dans le mur. Après s'est nourrie de l'infâme bouillie qui lui est offerte, elle s'endort, épuisée, jusqu'au lendemain matin.

Les 2 jours suivants, le même schéma se reproduit : enfermée dans le tonneau, elle suce des bites : 26 le premier jour et 31 le deuxième! Au matin du 4ème jour, Mama Wemba lui indique qu'aujourd'hui, les choses seront différentes, avant d'ajouter dans un sourire sardonique : - Je t'ai promis de faire de ton cul le plus accueillant et le plus visité du village : aujourd'hui, ce sera le cas! Je tiens ma promesse!

Toujours nue, avec son collier de chien autour du cou et la laisse tenue par la matrone, la Directrice est alors amenée dans non loin de la maison du Chef du village. Près la demeure est installée un cadre en bois, ou plutôt un pilori moyenâgeux horizontal troué à trois endroits. Après avoir débarrassé l'esclave de son collier, la femme noire l'oblige à se mettre à 4 pattes et, refermant le haut du cadre à l'aide d'un cadenas, lui bloque ainsi et la tête et les 2 mains. Elle ne peut donc pas voir ce qui se passe derrière elle tout en étant parfaitement immobilisée : - On dirait une chienne prête pour la saillie! s'esclaffe la tortionnaire qui, sortant de sa poche une fiole orange, s'agenouille entre ses jambes et passe un liquide épais et visqueux sur son clitoris et sur ses lèvres vaginales.

Elle lui ouvre ensuite ses fesses et, les maintenant écartées, pose sur la spirale rose et serrée de son œillet que ce les marabouts gabonais appellent le « feu d'ange », une pommade entraînant une puissante excitation sur les zones érogènes.

Se plaçant à présent devant le visage de Sophie, elle lui demande d'ouvrir la bouche et verse à l'intérieur de celle-ci le contenu d'une petite bouteille d'eau mélangée à différentes plantes. Malgré le goût immonde, la captive est contrainte de la boire dans sa totalité. Là encore, il s'agit d'un aphrodisiaque. Mama Wemba, regardant sa vieille montre, contemple en souriant la Directrice. Après quelques minutes, les produits commencent à montrer leurs premiers effets. La captive commence à mouiller abondamment et se retrouve prise d'une irrésistible envie de copuler! Satisfaite, la geôlière crie alors à l'attention des hommes présents :

- La salope blanche est prête! Vous pouvez vous amusez! Mais attention : uniquement avec son cul et avec sa bouche! Sa chatte sera offerte plus tard en cadeau à un ami!

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