La Déchéance de Caroline - 04

Informations sur Récit
Retour en Europe - 1ère partie.
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Récit n'a pas de balises

Partie 4 de la série de 7 pièces

Actualisé 04/23/2024
Créé 04/02/2024
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4 nouveaux mois ont passé. Cela fait plus d'un semestre que la jeune femme n'a pas remis un pied au travail. Son retour est prévu la semaine qui arrive. Elle envisage clairement et fermement de démissionner, ne se sentant pas la force morale de faire face à son Patron, avec qui elle a été contrainte d'avoir des relations sexuelles.

4 jours avant la fin de son congé de maladie, elle reçoit toutefois un coup de téléphone de Charlotte de Messincourt, l'épouse d'origine noble de Patrick Parmentier. D'une voix douce et pleine d'empathie, celle-ci, de manière surprenante, l'invite à la rencontrer le mercredi qui vient dans le logement de fonction de son époux.

Au moment prévu, un peu avant 11 heures du matin, Caroline se présente au domicile des époux. L'invitant à rentrer, l'hôtesse des lieux se montre charmante, attentive, compatissante. Mise en confiance par cet accueil et après avoir partagé 2 coupes de champagne, la jeune femme se livre à quelques confidences et annonce à la Comtesse la prochaine démission de ses fonctions : - J'ai besoin d'une nouvelle vie, loin des souvenirs de ce kidnapping. Je ne veux plus être séparée de ma famille.

-Je comprends parfaitement, abonde Mme Parmentier. Toutefois, avant de prendre une décision définitive, je vous propose de regarder une petite vidéo très instructive!

Et tandis qu'elle termine son verre, assise aux côtés de son invitée dans le canapé, dans le salon et devant une télévision à écran large, la noble enclenche une vidéo. Et sous les yeux horrifiés de la Directrice, s'égrène, pendant de longues minutes, un récapitulatif de toutes les débauches sexuelles de cette dernière au Gabon.

Pleurant à chaudes larmes, elle tente de se justifier -à juste titre-, argumentant que toutes ses séquences obscènes ont été réalisées sous la contrainte. Charlotte Parmentier, le regard froid, rendu encore plus dur par son apparence stricte, à savoir un tailleur noir classique, et un visage austère surmonté par un chignon, la coupe sèchement :

-Ecoute-moi bien, petite pute! Tu as baisé mon mari comme la pire des catins! Tu as été fourrée par je ne sais combien de bites noires! Tu peux dire ce que veux, mais désormais, tu as intérêt à m'obéir au doigt ou à l'œil! Si pas, je diffuserai une copie de tes exploits -sauf la dernière scène où figure mon mari- via internet et ta famille, ton mari et des collègues découvrions à quel point tu as été bien traitée! Est-ce que c'est clair, salope?

- Oui...

- Oui, Maîtresse, on dit! C'est comme cela que tu t'adressas désormais à moi quand nous serons seules! Sinon, en public, ce sera Madame la Comtesse. Compris?

- Oui, Maîtresse...

- Bien, tu apprends vite! Autre chose : tu vas donc retourner au travail dès la semaine prochaine! Demain, tu enverras un mail à la Direction des ressources humaines et tu indiqueras que, vu les événements passés survenus, tu souhaites, pour éviter tout traumatisme, être affectée au Secrétariat de mon mari, en sollicitant la fonction de Cheffe de Cabinet! Rassure-toi : ce sera une formalité de te l'accorder, vu que tu es la pauvre victime d'un enlèvement! Dans la foulée, tu préviendras ton mari, en lui signalant qu'il s'agit d'une promotion que tu ne peux pas refuser et, ce qui est vrai, que tu bénéficieras d'un salaire plus important. Mais, revers de la médaille, en échange, tu devras malheureusement t'absenter à raison d'un week-end par mois pour le boulot... Je vais m'occuper de ton éducation!

- Mais...

Une violente gifle interrompt, en plein vol, la réponse de Caroline. Charlotte, elle, continue son monologue :

-Tu as compris? Maintenant, file, non sans m'avoir donné ton numéro de GSM privé! Je te contacterai prochainement! Désormais, tu es à ma totale disposition...

Pleurant à chaudes larmes, tentant de contenir ses émotions, la jeune femme rentre péniblement à son domicile. Tel qu'ordonné par l'épouse de Parmentier, elle envoie un mail sollicitant son détachement au Secrétariat du Président, au grade de Cheffe de Cabinet. Dès le surlendemain, soit le vendredi, elle reçoit une réponse positive et, le lundi de son retour de congé de maladie, se présente au bureau de celui-ci. Elle a la grande surprise d'être accueillie directement par la Comtesse qui, sans attendre la moindre réponse, enjoint la Directrice à l'accompagner pour une journée shopping : - Ma chère, il te faut des tenues plus adaptées à tes nouvelles fonctions! Nous allons aller faire quelques achats, sur le budget « habillement » du Cabinet de mon mari, cela va évidemment sans dire! Allez, en route!

Celle-ci, sans un regard, lui aboie quelques ordres avant de démarrer :

- Va aux toilettes et enlève tes sous-vêtements. Apporte-les-moi ensuite. Nous allons changer entièrement ta garde-robe.

La Directrice file aux toilettes et fait ce que Madame Parmentier lui a ordonné. Elle prend soin de vérifier que tous les boutons de sa robe sont fermés. Elle se sent si vulnérable. Sans soutien-gorge, elle a peur que sa forte poitrine ballotte à chaque pas.

Elle retourne ensuite près de l'épouse du Président, ses seins se balançant sous le tissu. Ses tétons, qui frottent contre la robe, pointent fièrement. Elle n'en est que plus mal à l'aise.

La Comtesse, un sourire ironique aux lèvres, met les sous-vêtements dans son sac à main. Celle-ci se tient devant la jeune femme, la toise avec mépris et lui parle comme un vulgaire objet :

- Tu as un corps très sexy, Caro! Il faut le montrer! Déboutonne le devant de ta robe. Sois à l'aise!

A contrecœur, les larmes aux yeux, elle enlève la première attache de sa tenue.

- Plus!

Elle défait le bouton suivant.

- Plus encore!

- S'il vous plaît, Maîtresse, c'est trop embarrassant. S'il vous plaît, larmoie-t-elle...

Charlotte hurle :

- Embarrassant? Tu seras autrement perturbée quand tout le monde verra que tu es une salope à blacks! Maintenant, enlève ce bouton et ferme-la!

La Directrice, les doigts tremblants, défait une autre attache. Heureusement, pense-t-elle, il n'y a personne aux environs.

Madame Parmentier, d'un air supérieur, se tient en face d'elle, mais n'est toujours pas satisfaite :

- Encore, je te dis!

Finalement, Caroline est contrainte d'enlever 4 boutons. Les bords de la tenue, largement ouverts, exposent presque la moitié de ses seins. La Comtesse reprend son monologue :

- Et maintenant, que dirais - tu de te mettre plus à l'aise au niveau des jambes?

La jeune femme serre les mâchoires, anéantie, mais au moins est-elle encore couverte. Elle se penche et déboutonne la première attache en bas de sa toilette, qui arrive jusqu'aux chevilles. Ainsi courbée, elle offre à la femme du Chef de délégation une vue magnifique sur ses seins, seuls les mamelons étant cachés : - Encore!

La haute fonctionnaire défait un nouveau bouton, puis encore un, et enfin un cinquième. Ce dernier est situé à mi-cuisses. Enlevé, il découvre près des 3/4 des jambes de l'intéressée.

- N'est-ce pas mieux, Caro? C'est bien d'être sexy! N'est-ce pas ton désir le plus profond?

- Oui, répond timidement la jeune femme.

- Oui, quoi? Je n'ai pas entendu! Répète!

- Oui, c'est bien d'être sexy, Maîtresse! répond, désespérée, la Directrice.

Jamais elle ne s'est sentie aussi dégradée dans sa vie professionnelle. Durant tout le trajet, l'épouse du Président mate ouvertement les cuisses largement exhibées de la future Cheffe de Cabinet, ainsi que ses seins à moitié découverts.

En arrivant au centre commercial, elle lui ordonne de la suivre, sans toucher à sa tenue. La fille y pénètre en suivant la femme de son patron dans un magasin de vêtements plutôt osés.

Tête baissée, elle est contrainte d'enfiler de nombreuses tenues dans l'une des cabines d'essayage, le rideau suffisamment entrouvert pour que la Comtesse, qui s'est installée à proximité, ne perde pas une miette du spectacle ainsi offert. Elle ne manque pas d'étudier le moindre détail du corps de sa future soumise : les seins sont beaux, ronds et fermes ; la toison beige clair est finement taillée et met en exergue un sexe en forme d'abricot ; les jambes sont bien proportionnées et les fesses toniques.

Après une heure, la fonctionnaire ressort avec plusieurs paquets contenant 5 minijupes très courtes, qui font ressortir ses globes fessiers parfaitement moulés dans celles-ci ; 5 « tops », qui sont en fait des chemisiers très légers, échancrés et assortis aux jupettes ; 3 débardeurs ouverts sur les côtés et qui dévoilent, en cas d'absence de soutien-gorge, sa magnifique poitrine ; 2 shorts en jeans tellement courts qu'en cas d'oubli d'une culotte, le postérieur devient scandaleusement apparent. Le magasin suivant est une enseigne de chaussures, dont elle ressort avec 5 paires d'escarpins à talons hauts, là encore assorties aux différents tops et minijupes. Une fois de retour dans la voiture, Caroline observe un silence de mort, que rompt Charlotte de Messincourt, un sourire satisfait aux lèvres :

- Et bien, petite salope, voilà enfin des tenues adaptées à ton nouvel emploi!

Dès le lendemain, suivant les consignes de Madame Parmentier, la Cheffe de Cabinet se rend en mini-jupe, en chemisier et en talons hauts à son nouveau bureau. Drôle de tenue par une telle fonction! D'autant que le port de tout sous-vêtement lui a été interdit! Fort heureusement, le Secrétariat du Président est composé un employé administratif, d'une soixantaine d'années, dont on devine qu'il est un vieux garçon, avec ses vêtements démodés et d'un autre temps, et d'un Chauffeur-homme à tout faire, proche de la pension. Aucun des 2 ne fait la moindre remarque, les relations étant exclusivement professionnelles même si, de temps à en temps, Caroline surprend l'un ou l'autre regard s'attardant sur ses formes bien mises en évidence!

Durant toute la semaine, elle ne rencontre pas son patron, celui-ci étant retenu par des réunions à l'extérieur. Le lundi qui suit, la Directrice, se présentant à nouveau au Cabinet, est, une nouvelle fois, directement accueillie par la femme de Parmentier.

Sans autre forme de politesse, cette dernière l'invite à la suivre pour une journée chez une coiffeuse -- esthéticienne chez qui elle a pris rendez-vous. A peine sont-elles installées dans la voiture que la Maîtresse dévoile le programme de la journée :

- J'ai regardé attentivement tes vidéos et ton pubis glabre! Or, j'ai remarqué que lorsque tu as essayé tes vêtements la semaine dernière dans la cabine, tes poils pubiens avaient repoussé! Or, je trouve qu'un ticket de métro correspond mieux à ton côté de super « salope »! Nous allons donc te faire une épilation au laser! Après tout, au fond, tu es juste un sac à foutre, n'est-ce pas? Une vraie bimbo...

- Oui, Maîtresse!

- Mais alors, si tu es une bimbo, pourquoi n'es-tu pas blonde?

Désarçonnée par cette question imprévue, Caroline ne sait pas quoi répondre. Charlotte en profite :

- Ton silence prouve bien que tu es bête. Et une femme stupide, c'est souvent une blonde. Donc, comme tu ne l'es pas, on va y remédier cet après-midi. Au bureau, les collaborateurs de mon mari, qui n'osent pas te le dire évidemment, pensent que tu es une super vicieuse, avec tes minijupes, tes chemisiers sous lesquels tes gros seins se balancent librement en l'absence de soutien-gorge, ou encore avec tes chaussures à talons hauts qui font rouler tes fesses! Il faut leur donner raison!

Et la femme de Parmentier de poursuivre son monologue : - Mais, en plus d'être une chienne, il faut aussi que tu montres à tous que tu es une idiote! Je te veux en blonde!

3 heures plus tard, Caroline ressort donc de chez la coiffeuse -- esthéticienne avec une vulve parfaitement et définitivement lisse, hormis une mince bande de poils pubiens surplombant son clitoris. Quant à sa chevelure en cascade au teint naturel, dont elle était si fière, elle a fait place à une coupe courte d'un blond presque platine.

-Mais que vais-je dire à mon mari? se lamente-t-elle.

-Ce n'est pas mon problème! rétorque sèchement la comtesse. Dis-lui que tu avais envie de changer de look pour lui plaire! Fais-une bonne pipe et il sera content!

Durant la semaine, la mort dans l'âme, la Cheffe de cabinet se rend donc à son travail avec ce nouveau « style » quelque peu en décalage avec la fonction importante qu'elle est censée exercer. Là encore, aucun de ses 2 collègues masculins ne dit mot. Quant à son mari, sa réaction, pleine de surprise, n'a toujours guère été plus loin qu'un simple haussement d'épaules, rapidement oublié par la délicieuse fellation prodiguée par son épouse le soir même. Le lundi suivant, là encore, la Directrice est accueillie par l'épouse de son patron, toujours invisible, et emmenée cette fois chez un tatoueur pratiquant le piercing. La Directrice, décontenancée, se retrouve avec un petit brillant dans la narine droite et, toujours du même côté, avec un autre au-dessus de la lèvre supérieure de sa bouche.

-Voilà! Tu es enfin parfaite! Tu me plais comme cela! s'esclaffe sa Maîtresse. Une vraie poule de luxe! Au fait, je n'ai plus de femme de ménage! Je me suis arrangée avec mon mari. Aussi, chaque vendredi, tu partiras 2 heures plus tôt du boulot et tu viendras chez moi nettoyer mon appartement! Je t'attends à 14h précises.

Le vendredi arrive. Caroline, qui n'a toujours pas vu Monsieur Parmentier de la semaine, se présente au logement de fonction de ce dernier. Sa femme l'accueille, vêtue d'un tailleur très strict et lui fait visiter l'appartement. Elle lui montre les produits d'entretien et lui intime de commencer à faire les vitres. Prétextant un rendez-vous, elle laisse la jeune femme vaquer à ses occupations, humiliée comme jamais! La voilà réduite à un rôle de simple technicienne de surface...

Une semaine plus tard, la Directrice revient au domicile des époux. Cette fois, après l'avoir saluée, Charlotte l'informe qu'elle souhaite désormais la voir affublée d'une tenue plus adéquate avec sa nouvelle fonction :

- Il y a des vêtements qui sont prêts pour toi dans la chambre d'amis. A l'avenir, je veux que tu portes ceux-ci, ni plus ni moins.

La Cheffe de Cabinet enfile donc, la mort dans l'âme, une tenue de soubrette, qui se résume à un costume noir avec un petit tablier blanc en dentelle. Cette dernière met en valeur la belle poitrine de l'intéressée tandis que la jupe est très courte. Une paire de bas auto-fixant gaine ses jambes et des ballerines complètent la tenue.

Il n'y a aucun sous-vêtement.

Madame Parmentier la regarde des pieds à la tête et, sans mot dire, la laisse travailler. Quelques minutes plus tard, la fonctionnaire entre dans le bureau de son patron. Celui-ci est présent et, à la vue de la Directrice, affiche un large sourire. Tandis qu'elle nettoie des bibelots sans importance, son patron lui demande de rebrancher la prise de la lampe située à côté sa table de travail. Caroline, qui lui tourne le dos, doit malheureusement se pencher pour le faire. Elle comprend immédiatement qu'il l'a fait exprès, afin d'avoir une vue plongeante sur ses fesses ou, au minimum, sur le haut de ses bas autoportants. Elle rougit de honte.

Elle ressent un profond sentiment de détresse, mais son boss ne fait aucune remarque ou allusion. Alors, elle continue son ménage comme si de rien n'était.

Une nouvelle semaine passe.

Le vendredi suivant, la jeune femme trouve une nouvelle tenue. Elle l'enfile. Cette fois, c'est une minirobe en cuir noir au décolleté très profond. Cette fois encore, aucun sous-vêtement ne l'accompagne. Elle fait donc son nettoyage nue sous ladite robe. Parmentier, à nouveau présent, la suit dans toutes les pièces pour la regarder remplir ses tâches de bonne à tout faire. Elle peut sentir son regard inquisiteur sur l'ensemble de son corps. Charlotte est aussi présente et semble satisfaite.

Une nouvelle semaine passe. Présent cette fois à son Cabinet, Parmentier ne fait aucune remarque ni allusion. Un nouveau vendredi arrive. Cette fois, Caroline trouve un grand tablier blanc, et rien d'autre. Elle comprend qu'elle doit l'enfiler après avoir quitté ses affaires. Elle remarque aussi un tube d'un puissant gel chauffant posé sur le lit avec une note manuscrite : - A passer obligatoirement sur tes lèvres vaginales et ton clito.

Elle s'exécute. Avant de sortir de la pièce, elle se regarde dans le miroir. Elle voit une jolie femme, terriblement sexy. Le tablier cache une partie de ses seins, mais le volume de ceux-ci les fait déborder sur les côtés. Elle a les fesses nues. Quand elle débarque dans le salon, elle voit son patron et son épouse assis dans le canapé. Ceux-ci ne semblent pas surpris de la voir habillée ainsi. La Directrice se met au travail.

Charlotte lui intime de venir nettoyer la table basse située devant eux. La femme de chambre obéit, penchée face à eux. Elle sent le regard lubrique du Président sur sa poitrine à peine cachée. Faisant le tour de la table, dévoilant tantôt ses seins, tantôt son cul. L'effet du gel chauffant commence à se faire sentir et, malgré elle, Caroline se sent soudain très excitée. Elle sent alors, tandis qu'elle tourne le dos au couple, une main glisser entre ses jambes. Elle ne bouge plus, tandis que celle-ci remonte et entre en contact avec les lèvres humides et commence à titiller celles-ci tandis qu'une autre s'amuse avec son clitoris. Puis, des doigts tire sur le cordon du tablier, ouvrant celui-ci. Parmentier s'est dressé derrière elle. Il pose ses mains sur les hanches, saisit les seins, les malaxe un moment, pince les tétons qui durcissent immédiatement. Il fait maintenant pencher sa Cheffe de cabinet en avant. Celle-ci prend appui sur la table, ses fesses bien relevées.

Un sexe chaud entre alors en contact avec ses lèvres vaginales. Doucement, elle sent le gland se frayer un passage. Il est large et écarte, sans se presser, les chairs. A peine est-il au fond d'elle que Caroline a un premier orgasme, sous l'œil attentif de Charlotte, qui est placée face à elle et observe la scène sans mot dire. Parmentier se met alors à donner des puissants coups de reins, s'agrippant aux hanches de la Directrice. Sa queue semble énorme. Il continue à la besogner, puis se crispe et la soubrette sent la bite gonfler encore davantage, avant de déverser en elle par saccades. Elle reçoit une quantité impressionnante de sperme.

L'homme s'affale sur le canapé. La jeune femme est rouge de honte. Pour la 2ème fois de sa vie, elle vient d'être baisée par son patron, cette fois sous le regard de son épouse, qui se contente dire : - C'est fini pour aujourd'hui, petite salope! Tu peux rentrer chez toi. Alors, tête basse, Caroline quitte l'appartement.

Un nouveau vendredi arrive. Lorsqu'elle arrive dans l'appartement, la bonne d'un jour entend 2 autres voix masculines dans le salon. Visiblement, le couple reçoit des amis. Se rendant dans la chambre pour se changer, la Directrice, cette fois, ne découvre aucun vêtement, mais une simple paire de chaussures avec des talons relativement hauts. Le puissant gel lubrifiant est posé à côté, avec une note manuscrite : - A passer obligatoirement sur tes lèvres, ton clito et ta rondelle!

Elle sait qu'elle n'a pas le choix et dès lors, obéit. Arrivant dans le salon, totalement nue, elle découvre avec stupéfaction l'identité des 2 invités : Antoine Pêcheur et Yannick Noizet, les 2 Députés qui, lors du séjour au Gabon, ont déjà goûté à ses charmes.

Déjà Charlotte, l'épouse de Parmentier, lui ordonne de se mettre à 4 pattes sur le tapis placé au milieu de la pièce, au pied des canapés. Prenant la position requise, elle entend les 4 personnes faire de nombreux commentaires graveleux sur son corps.

L'un des élus vient se positionner derrière elle, et sans plus attendre et sans préliminaire, la pénètre violemment. Le second, se positionnant à genoux devant la Directrice, lui présente son sexe. Et voilà donc notre soubrette baisée en même temps par 2 vieux. Cet après-midi - là, elle est le jouet sexuel des 3 sexagénaires et à droit à tout! Pour la première fois, elle subit notamment une triple pénétration : empalée sur Noizet, elle est contrainte de sucer Pêcheur tandis que Parmentier la prend par le cul. Elle connaît, malgré elle, plusieurs organismes avant, pour clôturer la séance, de tailler des pipes successivement aux 3 hommes jusqu'à ce que, tour de rôle, ceux-ci se vident au plus profond de sa gorge. Elle est ensuite renvoyée chez elle, ses mâchoires et ses fesses lui faisant mal...

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