La Déchéance de Caroline - 05

Informations sur Récit
Retour en Europe - 2ème partie.
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Récit n'a pas de balises

Partie 5 de la série de 7 pièces

Actualisé 04/23/2024
Créé 04/02/2024
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Le samedi matin est là. Garée devant la maison de sa soumise, Charlotte attend celle-ci dans une voiture décapotable. Embrassant son mari et ses enfants sur le pas de la porte, la Directrice, une petite valise à la main, rejoint le cabriolet. Adressant un petit signe hypocrite à la famille, la femme de Parmentier, dès le départ, ne manque pas d'humilier sa passagère :

- Pas mal, ton mari! Peut-être que je le baiserai un jour! Mais nous verrons cela plus tard! En route vers de nouvelles aventures...

La première heure de trajet se déroule dans un silence pesant. L'autoroute empruntée est relativement déserte et parsemée de parkings. Madame Parmentier s'arrête soudain sur une aire déserte et se gare juste à côté de la cabine du seul camion qui y stationne et qui est immatriculé en Pologne : - Ici, ce sera parfait! On va proposer un petit spectacle à ce brave routier! Vêtue d'un chemisier et d'une mini-jupe, la jeune femme est immédiatement invitée à se déshabiller :

- Mets - toi à poil, salope! Et ouvre la boîte à gants. A l'intérieur, il y a le gode noir que tu aimes tant! Mouille - le en le faisant coulisser dans ta bouche! Ecarte les cuisses et commence à te branler! Et adresse à ce Monsieur ton plus beau sourire! Passe ta langue sur tes lèvres! Montre - lui que tu es une chaudasse et que tu as envie d'une bite! Avec horreur, la Cheffe de cabinet voit que le routier a sorti son GSM et commence à filmer la scène! Paniquée, elle s'adresse à sa tourmenteuse : - Mais... Maîtresse... Il me filme! Le regard dur, Charlotte réplique : - Et alors! Ce n'est pas mon problème! Peut-être qu'on te verra sur internet! Continue!

Excité par la scène qui se déroule sous ses yeux, le chauffeur poids - lourds finit par descendre de sa cabine et à s'approcher de la voiture. Tout en filmant, il pose sa main sur un des seins de la malheureuse et commence à le toucher. La femme du Président donne de nouvelles directives :

- Laisse - le faire et continue à lui sourire!

Rangeant son portable, le routier ouvre alors sa braguette et en sort un sexe de taille moyenne, à hauteur du visage de la soumise. Des ordres fusent : - Arrête de te branler maintenant! Ouvre ta bouche de suceuse et taille - lui une pipe! Tout de suite!

Alors la malheureuse, vaincue, enfourne la bite qui se présente à son visage et commence à s'escrimer dessus, malgré l'odeur d'urine et de manque d'hygiène qui s'en dégage. A peine 5 minutes plus tard, elle reçoit dans sa gorge un flot de sperme.

Satisfaite, Charlotte l'invite à se rhabiller et la voiture redémarre, non sans une dernière pique : - Je suis contente! Ma petite salope vient d'avoir sa dose de vitamines!

Caroline est mortifiée. Quittant l'autoroute, la voiture roule encore une heure, mais cette fois par des chemins secondaires, avant d'atteindre le point d'arrivée : une belle villa isolée.

L'épouse du Président envoie un SMS au moment pile où elle se gare. 5 minutes plus tard, une réponse lui parvient. Satisfaite en la lisant, elle invite alors la Directrice à la suivre.

La maison de vacances compte 3 chambres, 1 salle de bain et 1 vaste espace salon-cuisine-salle à manger complètement ouvert. Il n'y a pas d'étage, le rez-de-chaussée s'avérant suffisamment spacieux et accueillant. Un vaste espace herbeux entoure la maison. Situé non loin, un ponton invite à plonger dans le lac qui jouxte l'endroit.

Alors qu'elle s'apprête à ouvrir la porte de la 3ème chambre, Charlotte s'adresse à sa soumise :

- J'ai une surprise pour toi, salope! Tu te souviens que je t'avais promis une belle grosse queue noire, et bien, la voici!

Et se disant, elle pousse la Cheffe de cabinet dans la pièce. Celle-ci découvre alors avec stupeur, un homme entièrement nu, mesurant de près de 2 mètres, tout en muscles, de couleur noir ébène. Il doit avoir une vingtaine d'années et porte un loup sur son visage. Son sexe, au repos, est pour le moins impressionnant. Une caméra sur pied est également installée dans un coin de la pièce. Elle reconnaît celle utilisée dans l'appartement des Parmentier.

Charlotte s'amuse à faire les présentations :

- Ernest, voici Caroline, qui travaille pour mon mari!

- Salope, voici Ernest : c'est le nouveau chauffeur que vient d'engager mon époux. Il commence mardi matin! Mais je trouvais plus sympa que vous fassiez connaissance dans un cadre informel. D'autant que cela va être une connaissance très intime et très profonde!

Puis, elle ordonne à sa soumise de se rendre à la salle de bains : - Tu vas t'y déshabiller et faire un brin de toilette, surtout ta bouche, ta chatte et ton anus. Bref, tes 3 trous! Tu as 15 minutes, d'autant que tu as 3 petits textes à apprendre par cœur! Puis tu reviens ici!

De retour à la chambre et se présentant dans le plus simple appareil, elle découvre que l'homme, toujours masqué, est allongé sur le lit. Respectant à la lettre les consignes qui lui sont données par sa tortionnaire, elle fait face à la caméra installée dans la chambre. Elle est tête bêche, sa bouche étant située au-dessus de la queue du chauffeur, et commence à réciter le texte que lui a imposé sa Maîtresse :

- Bonjour! Je m'appelle Caro et je travaille comme Directrice dans une institution publique. Mais, derrière mon côté austère au travail, je suis, dans ma vie privée, une salope et j'aimerais vous montrer comment on suce une grosse bite noire. Les énormes queues blacks sont en effet mes préférées! Et j'en ai déjà connu des dizaines!

Tout en enfournant le sexe énorme entre ses lèvres, elle poursuit, en sortant de temps à autre la queue de sa cavité buccale, son discours : - Il convient d'abord de bien lécher le gland, la hampe et les couilles. Se faisant, elle termine par un : - Evidemment, comme on ne peut pas parler la bouche pleine, je vais me contenter de vous faire une démonstration pratique, dont la conclusion doit toujours se terminer par un avalage de sperme et un bon nettoyage de la pine qui vient d'être sucée.

Accueillant la semence dans sa gorge et retirant la bite de sa bouche, elle continue son monologue, tout en commençant à branler lentement le sexe qui vient d'éjaculer. Après 5 minutes d'efforts, celui-ci est à nouveau bien dur et la Cheffe de cabinet reprend ses explications : - Il est important maintenant de vous montrer comment il faut bouger son cul et onduler sur une grosse queue noire...

Toujours face à la caméra, mais cette fois de dos, elle s'empale péniblement, en guidant la bite entre ses lèvres vaginales. Puis, elle commence un lent mouvement de va-et-vient, tout en prononçant, comme Charlotte lui a imposé, des commentaires des plus vulgaires :

- Putain! C'est bon! J'aime avoir une pine bien dure en moi!

Elle accélère son mouvement de bassin, obtenant en moins de 10 minutes un nouvel orgasme de son partenaire d'un jour. Sortant d'elle l'engin, elle s'active à nouveau immédiatement sur ce dernier, qui doit mesurer plus de vingt centimètres.

Après un quart d'heure, elle parvient à ses fins et revigore le membre flasque. Toujours face à la caméra et toujours au-dessus du black, elle positionne elle-même l'énorme gland contre son anus, avant de reprendre ses commentaires :

- Pour conclure une bonne séance de baise, il importe de terminer celle-ci par une grosse queue dans le cul. L'objectif est de jouir en même temps que son amant, lorsque celui-ci crache son foutre. L'idéal est donc de se branler le clito pour être tous les deux un minimum coordonné. Pendant de longs moments, la Cheffe de cabinet s'encule, montant et descendant sur la bite, tout en se touchant son bouton d'amour.

Elle ne ressent aucun plaisir devant l'énormité du sexe lui défonçant le rectum. Mais, comme sa Maîtresse lui a ordonné, elle doit donner le change et simuler un orgasme. Son visage est déformé par la douleur, tandis qu'elle s'efforce de demeurer naturelle :

- Oh, putain, que c'est bon! Une bite dans le cul, rien de tel!

Et tandis que son partenaire lui inonde les entrailles, malgré le peu de sperme qui reste en lui, elle s'effondre pendant plusieurs minutes sur le lit, avant d'être sortie de sa torpeur par Charlotte : - Il est temps de vous rhabiller tous les 2 et d'aller ranger nos affaires en vitesse! D'autant que les autres vont bientôt arriver!

- Quels autres? s'étonne la jeune femme.

- Mon mari et ton collègue Albert! répond méchamment Madame Parmentier. En voilà une bête question! Tu as vraiment le QI d'une blonde. Et plus le Q que l'intelligence! Au fait, je veux que tu portes un débardeur et un short pour les accueillir!

Une heure s'écoule. Rouge comme une pivoine, vêtue uniquement du short qui dévoile presque la moitié de ses fesses, et du débardeur ouvert sur le côté qui, lui, ne masque rien de sa poitrine, elle vient saluer les arrivants. Albert, son collègue, est au bord de l'apoplexie en la découvrant dans cette tenue, tandis que le Président fait comme si de rien n'était. Après le repas du midi, tandis que ce dernier, accompagné de son nouveau chauffeur, s'en va faire quelques courses, Charlotte « invite » la Cheffe de Cabinet et Albert à prendre le soleil près du lac, en précisant : - Nous y avons installé d'agréables transats non loin du ponton. Nous règlerons la question des chambres plus tard : il va falloir s'arranger, car nous sommes 4 pour 3 chambres!

Puis s'adressant à la Directrice : - N'oublie pas de mettre ton joli bikini blanc et d'amener de la crème solaire. Tu en trouveras dans le frigo.

Sur ce, retournée dans sa chambre, Caroline se rend compte de la situation dans laquelle l'entraîne volontairement l'épouse de Parmentier. Espèce d'ordure! pense-t-elle, tandis qu'elle se change et enfile son micro bikini. Je hais cette sale conne!

Ce faisant, elle s'approche et entend la conversation entamée par Charlotte, habillée d'un sage maillot, à l'égard d'Albert :

- Une comme cela, on n'en voit que dans des films pornos, et encore, pas dans n'importe lesquels! Quand vous l'aurez vue à peine habillée, avec la paire de seins qu'elle a, vous aurez compris! Et si elle se retourne, vous pourrez aussi voir ses fesses!

La Cheffe de cabinet arrive enfin. Son collègue est estomaqué de la voir ainsi vêtue. Arrivant comme si elle n'avait rien entendu, elle s'installe sur une serviette de bain qu'elle vient d'étendre sur la pelouse, à environ 3 mètres des transats. Couchée sur le ventre, elle a conscience de montrer l'intégralité de son cul à un vieux célibataire.

Déjà, la femme du Président l'interpelle malicieusement :

- Caro, tu vas bientôt cuire dans cette tenue! Heureusement que tu as apporté de la lotion solaire. Que dirais - tu si Albert venait t'en passer un peu sur ton dos et sur ton postérieur?

- C'est une bonne idée, Madame la Comtesse, répond - elle, anéantie.

Albert ne se fait pas prier et déjà, en s'agenouillant près d'elle, verse de la lotion sur la peau douce de la Directrice. Puis, il frotte la chair, en prenant tout son temps. Il s'attarde longuement sur les magnifiques globes fessiers de la jeune femme, les massant. L'épouse de Parmentier, vicieusement, reprend alors la parole :

- Les liens risquent de laisser des traces. Or, je pense que tu souhaites un bronzage intégral, non?

- C'est vrai, Madame la Comtesse, murmure-t-elle, mortifiée.

Alors, Albert entreprend de dénouer le fin nœud qui, dans son dos, retient le haut, et ensuite les sangles qui, de chaque côté des hanches, maintiennent le bas. La beauté naturelle, sur les coudes, est contrainte de se lever légèrement, toujours allongée sur le ventre, afin de faciliter l'enlèvement de son deux-pièces. Désormais sans le moindre vêtement, elle sent que le vieil homme lui écarte les fesses, verse de la lotion solaire sur son anus, descendant même afin d'en passer sur sa fente.

Elle constate, horrifiée, l'érection qui distend le maillot de bain désuet de son collègue. Celui-ci, satisfait du spectacle proposé, retourne sur son transat. Une demi-heure plus tard, Charlotte reprend l'initiative :

- Caro, tu vas brûler si tu restes toujours du même côté! Il est temps de te mettre sur le dos. Que penses - tu si Albert vient te mettre de la lotion afin de protéger l'autre partie de ton corps, afin que ta magnifique poitrine et tes parties intimes soient épargnées par le soleil?

- Vous avez tout à fait raison, Madame la Comtesse...

Alors le vieil homme fait gicler la crème solaire, tandis qu'elle est obligée d'avoir les jambes légèrement écartées, et regarde sa chatte en souriant. Ses beaux gros seins pâles, presque blancs, sont bien visibles. Ses gambettes sont belles et sexy. Albert commence par les pieds et les mollets, puis lui frotte les cuisses, la forçant à ouvrir celles-ci davantage. Il passe ensuite ses doigts sur son mont de venus, enduisant celui-ci de crème protectrice. La Cheffe de cabinet se tortille, laissant échapper un souffle.

Ses tétons commencent à pointer, tandis que son collègue commence à doigter profondément son vagin tout en massant sa belle poitrine. Alors, Charlotte porte s'estocade finale :

-Je m'en doutais, elle est déjà excitée! Ce n'est pas possible! Albert, il faut vous dévouer pour la soulager! Ne vous gênez pas : vous pouvez la prendre par ses 3 trous!

Le reste de l'après-midi n'est qu'une orgie des sens : Caroline est tour à tour pénétrée par les doigts curieux d'Albert, puis obligée de sucer sa queue, avant de le chevaucher. Il finit aussi en la prenant par son joli petit cul, sous les yeux amusés de Charlotte, de son époux et du chauffeur, ceux-ci étant en effet revenus d'avoir été faire les courses. Après le repas du soir, Madame Parmentier décide que la Cheffe de Cabinet devra partager sa chambre. La première nuit, elle devra la passer Albert, et la deuxième avec Ernest, ajoutant moqueuse :

- Il est normal que je dorme avec mon mari. Quant à Caro, comme elle est venue seule et a de gros besoins sexuels, il est tout aussi normal que les 2 mâles célibataires ici présents comblent ses envies.

Puis, s'adressant à son époux : - Chéri, tu as ramené tout ce que j'avais demandé? Devant la réponse affirmative de celui-ci, elle ajoute alors, toute guillerette : - Il est temps de retourner au salon pour passer une belle soirée avant d'aller nous coucher! Je propose de faire un jeu un peu spécial. Allons - y!

Ayant été contrainte par sa Maîtresse de se déshabiller à nouveau, la Directrice, se tenant debout, nue, au milieu de la pièce de vie, jette un œil craintif sur les divers objets que sort d'un grand sac plastique l'épouse du Président. Elle croit défaillir : il s'agit d'une panoplie de tenues, d'objets et d'accessoires trouvables uniquement dans un sexshop : une tenue d'infirmière ultra - sexy, une autre d'écolière perverse (avec chaussettes montantes), un énorme gode noir couplé à un stimulateur de clitoris, des plugs anaux de différentes tailles, dont un moyen de taille ébène, un dildo blanc et de taille normale, un chapelet anal, des boules de geisha, un bâillon - boule, un collier de chien et une laisse, une paire de menottes pour les poignets et une autre pour les chevilles, une barre de contrainte cou - poignets (destinée à bloquer totalement les mains dans le dos), un écarteur buccal (pour empêcher la bouche de se refermer), une cravache, un plug anal doté d'une queue arrière imitant celle d'un chien. La jeune femme est horrifiée par tous ces ustensiles érotiques. Charlotte a en outre fait acheter à son mari un pot de vaseline et différents lubrifiants vaginaux. Tout cela ne dit rien qui vaille.

Déjà Madame Parmentier donne des injonctions : - Bon, Caro, va dans le fauteuil qui est libre. Pendant qu'Albert te filmera, Ernest prendra quelques clichés de toi. Et tu es priée de suivre mes ordres à la lettre. Sinon, tu seras corrigée comme jamais!

Après avoir été contrainte de s'enduire largement la fente et l'anus d'une épaisse couche de vaseline, cuisses largement écartées, une jambe posée sur chaque accoudoir, elle est invitée à se branler avec le grand gode noir qui, en même temps qu'il pénètre son vagin, stimule son clitoris. Les ordres fusent :

- Passe ta langue sur tes lèvres ! Sors la langue ! Ecarte ta chatte avec 2 doigts ! Retourne - toi : écarte tes fesses, salope! Ne bouge pas! Je vais te décorer, espèce de petite chienne!

Elle sent alors un plug anal s'introduire dans son œillet. Celui avec la queue de chien. Un bâillon - boule est également placé dans sa bouche, avant d'être fermé à l'arrière de sa nuque. Enfin, un collier avec une laisse est passé autour de son cou. Et voilà la Directrice marchant sur le carrelage à 4 pattes, une touffe de poils noirs dépassant de son anus, promenée telle une chienne et ne pouvant produire le moindre son.

- Il est temps de t'apprendre l'obéissance! Je vais cravacher ton cul. Tu vas recevoir 20 coups.

Et sa Maîtresse d'exécuter ses menaces. Prisonnière du gag, la Directrice hurle de douleur, mais est réduite au silence. Son postérieur prend une couleur de plus en plus rouge. La punition, donnée sans aucune raison, se termine enfin pour la pauvre soumise.

- Il est temps d'enculer la chienne! Mon chéri, tu commences?

La Cheffe de Cabinet sent son patron se positionner derrière elle, tandis qu'elle est toujours à 4 pattes et bâillonnée, Charlotte tenant la laisse. Elle sent qu'on lui retire le gode anal. Une queue lui succède, forçant l'anus lubrifié par la vaseline et coulissant sauvagement dans son rectum, de plus en plus vite, sans se soucier de ses cris étouffés. La bite imposante lui ruine sa rondelle, violemment distendue par cette intrusion brutale, non voulue et, surtout, conséquente.

Parmentier empoigne les seins et les malaxe âprement, tandis que ses burnes frappent la croupe alors qu'il redouble ses coups de boutoir, le corps entier de la fille étant secoué par les puissants assauts. Il se réjouit de l'enculer : il veut l'abaisser et la dégrader. Aussi se contrôle-t-il le plus longtemps possible. Mais, après un bon quart d'heure, il ne peut se retenir d'éjaculer dans le cul de sa victime.

C'est ensuite au tour d'Ernest de lui succéder et de loger sa queue dans l'anus couvert de vaseline et de sperme. Comme elle a déjà pu le constater le jour même, lui aussi est plus que particulièrement bien doté! Une fois à moitié enfoui en elle, le chauffeur black se positionne mieux pour parfaire son intromission. Il se concentre quelques instants, compte jusqu'à trois et d'un coup de rein l'embroche. Elle ne peut retenir plusieurs geignements étouffés, tandis que des larmes coulent sur ses joues. L'homme noir la défonce ainsi sans ménagement pendant plus de 20 minutes. Enfin, ayant rempli son intestin de foutre chaud, il cède sa place à Albert qui, à son tour, entreprend de l'enculer vigoureusement, coulissant sans pitié dans l'œillet distendu. La torture dure un peu moins de 10 minutes. Elle est ensuite envoyée dans la chambre. Son vieux collègue l'a rejoint mais, épuisé, s'endort de suite et la laisse tranquille. Le répit est toutefois de courte durée...

Dès le lendemain matin, soit le dimanche, avant même le petit déjeuner, après l'avoir obligée à nouveau à se déshabiller, Madame Parmentier place la barre de contrainte dans le dos de Caroline. S'étendant du cou jusqu'aux poignets, elle empêche ceux-ci de bouger. L'obligeant à se mettre à genoux, sa Maîtresse glisse ensuite un écarteur circulaire en caoutchouc dans la bouche de la soumise. Elle demande à Ernest de se placer face à elle et d'engouffre sa queue dans la cavité ainsi ouverte.

Le chauffeur la force à engloutir la totalité de son membre dans la bouche ainsi asservie.

Elle cherche à repousser de la langue cette mentule envahissant sa gorge, mais rien n'y fait : le pieu de chair se met à coulisser de plus en plus vite entre ses lèvres bloquées.

Charlotte, prenant la cravache, se met alors à lui fouetter les fesses, la Cheffe de cabinet s'étouffant de douleur, sa croupe recevant 10 violents coups, tandis que fou d'excitation, le Black déverse son foutre chaud au fond de la gorge de la jeune femme. Cette dernière n'a pas d'autre choix que d'avaler le sperme sans en perdre une goutte.

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